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immigration - Page 1366

  • « Politique de la ville » : la spirale criminelle – (1)

    Par Xavier Raufer

    Occultation, encore et toujours, de la corruption et de la criminalité dans les cités qui gangrène la vie politique française.

    Dessin de CHARD, datant de l’époque où Philippe Séguin, ici caricaturé, était premier président de la Cour des Comptes (2004-2010)

    Toujours plus, le cancer aimablement nommé “politique de la ville” ronge la vie politique française, d’abord au niveau municipal, mais aussi désormais, à ceux du département et de la région.


    Houla ! “cancer”… “crime organisé”… Serait-on ici dans la polémique, dans l’outrance ? Nullement – il suffit de lire Le Monde de ce 12 juin pour réaliser la virulence criminelle et criminogène d’une “politique de la ville” corrompant notre pays depuis trois décennies.

    Nous voici à la cour d’appel de Marseille, où l’on juge une élue au conseil régional pour détournements de fonds publics. Citons Le Monde : “Entre 2005 et 2008, un total de 716.000 euros a ainsi été ‘flambé’ par les deux principaux bénéficiaires de la fraude”, notamment “un caïd plusieurs fois condamné”. Mme Zerbib, la présidente de la Cour, s’indigne – lisons-la bien : “C’est quoi la politique de la ville ? C’est des charrettes de billets qu’on déverse dans les quartiers et on se sert ?

    Médiapart – de gauche, lui aussi – parle, ce 7 juin, de “procès de voyous”. Il nous présente “le relais de Mme Andrieux, son fer de lance dans la campagne de 2007”, [Abderrezak Zeroual], “condamné à quatre ans de prison dans un dossier de trafic international de cannabis”. Un nervi multicarte ayant tout compris de la politique de la ville, car à la fois membre de l’UMP et du PS. Ce chef d’une bande de voyous “connus de la justice pour violences volontaires, tentatives de meurtres, séquestration ou escroquerie” (Libération, 11/03/2013) “assurait la sécurité des élections” – et comment. L’un de ses sbires, [Boumediene Benamar], menace ainsi un récalcitrant au racket politico-criminel : “Tu veux faire le mariolle, je vais m’occuper de ton cas, tu vas morfler.

    Après chaque homicide ou presque, un élu local bêle à la télévision que “Marseille n’est pas Chicago”, mais à entendre Abderrezak et Boumediene, on éprouve un sérieux doute…

    Doute encore aggravé quand la Chambre régionale des comptes de Provence – Alpes – Côte d’Azur nous apprend que le conseil général des Bouches-du-Rhône avait attribué plusieurs marchés à des sociétés (comme Alba-Sécurité) proches du truand Bernard Barresi, fiché au grand banditisme.

    Une nouveauté à Marseille, cette corruption criminelle de la politique de la ville ? Pas vraiment, car voici comment se défend M. Michel Vauzelle, président socialiste du conseil régional de Paca (Libération, 14/03/13) : “Les procédures viciées étaient déjà en place lorsqu’il est devenu président en 1998” – donc 15 ans minimum que ça dure…

    Rappelons ici que, selon la Cour des comptes et de 2000 à 2005, cette politique de la ville a coûté, tous financements confondus, Union européenne, Etat, collectivités locales, la somme pharaonique de 34 milliards d’euros. Et sans doute autant depuis.

    Mais dans les cités hors contrôle, sur les territoires [de] la “politique de la ville”, siphonner le pactole de la “politique de la ville” est-il la seule ressource illicite ? Non : publié en décembre 2013, un rapport sur l’ “Impact des nouveaux dispositifs sur la population des cités sensibles marseillaises dépeint les trafics de stupéfiants dans les quartiers Nord de la ville. Il constate que “les centaines de milliers d’euros de bénéfices tirés [chaque mois] du trafic [de stupéfiants]prennent probablement une part dans l’économie locale”.

    Voilà donc l’indéniable preuve que la politique de la ville, créée vers la fin de la décennie 1970 pour insérer les “quartiers chauds” dans le droit commun et y faire émerger des élites policées, a abouti à l’exact inverse : concentrer dans ces quartiers d’énormes trafics illicites, contrôlés par des gangs “tenant” par ailleurs des politiciens complices ou épouvantés.

    Cela, même les actuels politiciens socialistes ne tentent plus de le nier : le précédent ministre de la Ville, M. Lamy, veut “rompre avec trente ans d’échecs de la politique de la Ville” et l’actuelle titulaire du poste, Mme Vallaud-Belkacem, parle des politiques de naguère comme d’un “empilement de dispositifs formant un millefeuille aussi illisible que souvent incohérent”.

    Même désormais, de grands prêtres de la culture de l’excuse comme les sociologues Didier Lapeyronnie et Michel Kokoreff en viennent à dénoncer (Le Nouvel Observateur, 10/01/13) “la montée des violences des bandes en lien avec des trafics de drogue”.

    Jusqu’au Monde, impavide soutien de la “politique de la ville” trente ans durant, contraint de lâcher (7/06/13), dans un article intitulé “Cités mortelles : la mort violente frappe plus en banlieue qu’ailleurs”. Et le 7 février 2014 encore, à propos du quartier hors contrôle du Mirail, à Toulouse : “Les voyous se sont structurés en équipes de malfaiteurs… Le trafic de drogue s’est aggravé de manière quasi exponentielle ces dernières années… la présence des trafiquants pèse de plus en plus.

    Tout cela, notons-le, prévu, décrit et publié par les criminologues sérieux depuis à peu près vingt ans.

    Avouer tardivement ne suffit cependant pas. Il faut autopsier cette “politique de la ville” car la corruption criminelle des cités et quartiers “sensibles” n’est ni récente, ni bien sûr cantonnée à la seule ville de Marseille.

    Dès 1999, un rapport de l’instance régionale (Ile-de-France) d’évaluation de la politique de la ville s’alarme de “l’apparition des vols à main armée” et de la “présence de bandes bien visibles dans les espaces collectifs privés”.

    Mais en la matière, l’omerta joue vite et ce rapport est enterré. Le lobby pro-politique de la ville fait tout aussi vite disparaître le rapport (2005) d’un “Observatoire national des faits d’insécurité dans l’habitat social”, suscité par la puissante Union sociale pour l’habitat, qui regroupe quelque 800 organismes HLM (4 millions de logements, 76.000 salariés). Occultation encore et toujours (2007) du rapport de “l’Observatoire de l’activité commerciale dans les quartiers sensibles”.

    Quels drames provoqueront cette occultation ? Tel sera le thème de la seconde partie de cette étude.

    Le nouvel Economiste

    http://fortune.fdesouche.com/345343-politique-de-la-ville-la-spirale-criminelle-1#more-345343

  • Peine dérisoire pour les trois racailles islamistes qui avaient agressé un Français parce qu’il mangeait un sandwich au jambon

    En juin 2013, trois racailles étrangères multirécidivistes avaient agressé un passager dans un tramway de Reims, au prétexte qu’il mangeait un traditionnel jambon-beurre, puis l’un de ses amis qui s’interposait.

    Youcef Benabed – jugé dans la foulée pour un dossier d’extorsion –, Florian Piddiu – délinquant multirécidiviste –, Dahim Belfatmi – qui a écopé il y a un mois de 4 ans de prison dans une affaire de drogue, tous les trois 25 ans, n’ont écopé que de six mois de prison, après avoir affirmé à l’audience avoir été agressés par les deux Français.

    Source JN

    http://www.contre-info.com/

  • Réponse à Houria Bouteldja, l’indigeste de la république

    Dans une lettre ouverte (lire ici), l’indigeste de la république Houria Bouteldja s’en est pris violemment à Éric Zemmour « l’israélite », qu’elle qualifie de « connard » vendu aux « blancs » par haine de ses origines « arabes et juives ». Une réponse en bonne et due forme s’imposait.

    Mme Bouteldja, je ne vous appellerais pas « très chère » car à mes yeux, vous ne l’êtes pas pour un sou.

    Votre récente lettre est à la mesure de votre agressivité coutumière. Sous des airs moqueurs, vous réduisez Éric Zemmour à sa judéité méditerranéenne, vous délectant qu’il ne fasse « pas partie de la race des seigneurs » et qu’il ne soit « pas blanc malgré ses efforts pour atteindre cette dignité ». Or cette dignité, Zemmour ne l’a jamais revendiqué, ni même cherché. Pour la simple et bonne raison qu’il se veut un Français avant tout.

    L’assimilation, voilà bien quelque chose qui vous échappe, vous qui n’avez de cesse de communautariser le débat, quand ce n’est pas pour le racialiser comme vous venez de le faire. Vous refusez la France, ses us et coutumes, et ne vous en cachez pas. Croyez-vous pouvoir vivre dans la paix et l’ostentation à la fois ? C’est bien mal connaître l’histoire de notre pays, rythmée par les guerres civiles et les tensions religieuses. Pour haïr, il faut un autre. [...]

    La suite sur Le Bréviaire des Patriotes

  • Débordements sur les Champs après le match de la Fra… ah non, de l’Algérie !

    Que dire ?! Que dire sinon « encore » !

    En effet, à Paris, cette coupe du monde s’annonce aussi, sinon plus, algérienne que française !
    Bien sûr suite à la victoire de la France la semaine passée, on pouvait entendre des supporters parisiens jubiler dans les bars, mais ceux qui font le plus de bruit cette semaine ce sont les Algériens !
    De retour sur les champs – cela faisait longtemps depuis la victoire du PSG il y a quelques semaines ! – ils sont assez nombreux, ils crient et s’agitent comme des animaux dès lors qu’ils aperçoivent une caméra !

    Pauvre France !

    Marie de Remoncourt

    http://www.contre-info.com/debordements-sur-les-champs-apres-le-match-de-la-fra-ah-non-de-lalgerie

  • Laurent Obertone : Rom lynché, l'indignation indécente

    FIGAROVOX/HUMEUR - François Hollande a dénoncé des « actes innommables et injustifiables » après le lynchage d’un jeune rom. Laurent Obertone s’étonne de cette indignation politique et médiatique à géométrie variable, alors que des faits-divers de la sorte restent impunis tous les jours.

     

    Laurent Obertone est diplômé d’Anthropologie et de l’école de journalisme de Lille. Son premier livre, La France orange mécanique, paru en janvier 2013, devient un phénomène de société. Son second livre Utoya est paru le 22 août 2013.

    France, juin 2014. La classe politique, médiatique et associative s’enthousiasme -enfin- pour un fait divers.

    Pour les gens encore en contact avec la réalité, le fait qu’un Rom soit suspecté de vol ou le fait qu’une bande de « jeunes » du 9-3 tabasse un homme seul, voilà qui n’a rien de sensationnel. [...]

    La suite ici

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Laurent-Obertone-Rom-lynche-l

  • Le CV anonyme ou l’échec du modèle assimilationniste français

    Reposant sur le postulat fantasmé d’un patronat raciste et xénophobe, le CV anonyme, comme il fallait s’y attendre, a atteint le but contraire de celui initialement recherché.   

    « Dans les entreprises d’au moins cinquante salariés, les informations mentionnées à l’article L. 1221-6 et communiquées par écrit par le candidat à un emploi ne peuvent être examinées que dans des conditions préservant son anonymat. Les modalités d’application du présent article sont déterminées par décret en Conseil d’État. » Ainsi est rédigé l’article L.1221-7 du Code du travail, issu de la loi du 31 mars 2006 pour l’égalité des chances. En 2011, Christian Vanneste, alors député, faisait remarquer à Xavier Bertrand, ministre du Travail, que ce que l’on appelle couramment le CV anonyme n’avait toujours pas fait l’objet d’un décret d’application, son absence rendant ce dispositif d’une parfaite innocuité juridique.

    Ce 18 juin, saisi par La Maison des potes – Maison de l’égalité, le MoDem Sciences Po et un étudiant en droit, le Conseil d’État examinera leur requête aux fins d’enjoindre le Premier ministre d’édicter ledit décret. Rappelons que le CV anonyme se définit comme ne devant nullement faire apparaître les mentions des nom et prénom, l’adresse, le sexe, l’âge ou la date de naissance, le lieu de naissance, la nationalité, la situation de famille et la photo du candidat à l’embauche. Avant d’être éventuellement étendu à tout le pays, il était expérimenté dans huit départements pilotes (Nord, Bas-Rhin, Seine-Saint-Denis, Paris, Hauts-de-Seine, Loire-Atlantique, Rhône, Bouches-du-Rhône).

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  • Société multiculturelle, société multiconflictuelle

    Le lynchage d’un jeune Rom vendredi dernier à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) enlevé, violemment tabassé et  laissé pratiquement  pour mort par une bande issue selon certaines hypothèses de la cité voisine – « la cité des Poètes» ça ne s’invente pas… - a été l’occasion d’un concert unanime d’indignations. Cette vengeance ( ?) – la victime aujourd’hui dans le coma a été interpellée plusieurs fois par la police pour des délits et laissée en liberté-  aurait pour cause l’exaspération générée par les cambriolages que des Roms auraient commis à l’encontre des populations afro-maghrébines voisines. Le Figaro rappelle aussi, et l’un n’empêche pas l’autre, que «la cité des Poètes est connue pour être touchée par le trafic de stupéfiants, des trafiquants auraient pu souhaiter faire peur à la communauté Rom, susceptible d’attirer trop souvent le regard des autorités ». Si ce campement de nomades a en effet décidé de déménager, il est clair pourtant que tous les regards sont désormais braqués sur la cité en question…
     SOS racisme, le PS, le PC, mettent en cause rituellement dans cette triste affaire la montée de la xénophobie, et bien sûr un Front National à qui l’on impute d’être responsable d’une « libération de  la parole» facilitant le passage à l’acte violent !
    Le  discours habituel, mélange de bêtise et d’hypocrisie,  qui est le propre des officines immigrationnistes. Répéter en boucle de vieux mantras  ne fait pas disparaître la réalité. A savoir  l’exaspération générée par une immigration non maîtrisée, dont les premières victimes sont les plus pauvres. Et aussi le ras-le-bol devant le laxisme judiciaire qui laisse penser (souvent avec raison) que les voyous peuvent agir en toute  impunité.
     Une impunité dont jouissent largement d’ailleurs les mafias Roms qui exploitent d’autres Roms dans des réseaux criminels à l’échelle européenne. Mafieux qui pourraient  aussi être les auteurs de ce tabassage en règle.
    Les violences subies par ce jeune délinquant Rom ont suscité, nous l’avons dit, une avalanche de réactions. François Hollande a commenté pour la première fois depuis son élection un acte de violence, certes supposément à dimension raciste, ce qui explique l’émotion nationale et obligatoire qu’il suscite…  
    « Ces actes sont innommables et injustifiables, ils heurtent tous les principes sur lesquels notre République est fondée », a-t-il déclaré. Il faut que « les responsables de cet acte inacceptable soient retrouvés dans les délais les plus rapides pour répondre de leurs actes devant la justice », a affirmé de son côté Manuel Valls, tandis que le ministre de l’intérieur,Bernard Cazeneuve, a diffusé un communiqué dans lequel  il promet que « la police judiciaire est totalement mobilisée pour faire rapidement la lumière sur cette affaire, interpeller les auteurs des faits et les remettre à la justice ».
    En avril dernier constate Bruno Gollnischle président de la république, le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur  ne s’étaient pas sentis obligés de communiquer sur le viol particulièrement monstrueux d’une jeune gauloise de 18 ans à Evry (Essonne), la ville de M. Valls, par des mineurs étrangers âgés de 11 à 17 ans. Le silence de la caste  politico-médiatique sur ce drame fut quasiment total.  
     Entraînée dans un terrain vague  sous la menace d‘un couteau,  notre compatriote avait  étéviolée  plusieurs fois pendant deux heures, torturée, battue jusqu’au sang. Les racailles chance-pour-la-France avaient expliqué au juge que le traitement qu’ils avaient  fait subir à cette jeune fille était normal puisque   « toutes les Françaises sont des putes ».
     Le racisme anti-français est lui quantité négligeable et n’est jamais  relevé par les faiseurs d’opinion puisqu’il  faut conforter la propagande  multiculturaliste en faveur du « vivre-ensemble » dans la paix et l’harmonie, d’un monde à terme  sans frontières  et favorisant  lemétissage universel.
     Le grand politologue, philosophe, géopoliticien et comique  Jamel Debbouze le rappelait encore aux sombres abrutis que nous sommes dans Le Monde ces dernières heures : les « artistes » (sic)  doivent «gueuler (…) que l’on vit dans l’ère du métissage. Qu’on n’a pas d’autre alternative que de faire avec l’autre, que l’étranger n’est pas une mauvaise nouvelle, mais, au contraire, une très bonne nouvelle, qu’il faut faire corps ensemble face à l’adversité».
      « Il faut faire très attention aux discours (du FN) qui tentent d’arrondir les angles. Marine Le Pen – je devrais dire Jean-Marine Le Pen - n’a pas changé, ses paroles sont dangereuses et font du mal à la France. Les gens qui y adhèrent sont fous.» a encore expliqué M. Debbouze.
     Autre phare de la pensée, député et dirigeant de la très vertueuse UMP, Xavier Bertrand,  invité de Radio J dimanche, a lui aussi fait une nouvelle fois l’étalage de ses puissantes convictions…cosmopo-maçonniques.
     Membre de la secte du Grand Orient, celle là même qui a déclaré « une  guerre à mort au FN » le frère Bertrand a intimé l’ordre à Marine  de « faire le ménage dans son propre entourage » tout en concédant qu’elle «  n’est certainement pas prête à prendre les mesures qu’il faut pour écarter définitivement du Front National les personnes qui pensent commeJean-Marie Le Pen » . « Les électeurs qui mettent un bulletin FN dans l’urne doivent savoir que le Front National sera toujours prisonnier de son passé et, qu’à cause de l’attitude de certains de ses dirigeants, ne sera jamais un parti comme les autres». M. Bertrand n’a apparemment toujours pas compris que c’est justement parce  qu’il n’est pas un parti comme les autres que le FN séduit !
     Autre pointure intellectuelle, le député-maire  UDI de Drancy (Seine-Saint-Denis),  Jean-Christophe Lagarde, a abondé dans le même sens que M Bertrand.
     Invité de  la radio RCJ, M. Lagarde a tenté d’expliquer que Marine «est le faux-nez d’une  extrême droite qui se veut présentable mais dont le projet politique est d’abord et avant tout anti-républicain, parce que la République est fondée sur  l’égalité des personnes quelles que soient leurs origines et leurs religions et  cela est consubstantiellement impossible avec l’extrême droite. Son projet est  profondément anti-républicain et profondément anti-français».
     Ce louvoyant centriste aime décerner des brevets de républicanisme et de patriotisme.Fédéraliste européiste, il a voté en faveur du mariage et de l’adoption pour les couples homosexuels, vice-président du groupe d’amitié France-Qatar de l’assemblée jusqu’en 2012, il a apporté son soutien du très contesté  imman de Drancy, Hassan Chalghoumi.
    Le citoyen Lagarde s’est aussi illustré en permettant la construction  dans « sa »  commune, en 2007-2008, et  dans « le plus grand secret » (par conviction intégrationniste ? Electoralisme ? Clientélisme ? Communautarisme ?) d’un centre culturel islamique (mosquée)  d’un coût de 2,1 millions d’euros, financé  entièrement par les  contribuablesen totale contradiction avec  la Loi de 1905…
     Que tous ces gens là continuent à nous insulter et à nous cracher au visage, est somme toute  plutôt bon signe et prouve que l’opposition nationale, populaire et sociale garde le bon cap !  

  • #CDM2014 : le Bloc Identitaire s’affiche à Barbès

    #CDM2014 : le Bloc Identitaire s’affiche à Barbès

    17/06/2014 – PARIS (NOVOpress) - À la veille du match de Coupe du Monde Belgique – Algérie, qui a lieu aujourd’hui à 18 heures, des affiches du Bloc Identitaire ont été collées en plein cœur de Barbès, quartier parisien malheureusement célèbre pour son caractère multi-ethnique et ses émeutes les soirs de match impliquant l’équipe d’Algérie.

    Dans son communiqué, le Bloc identitaire déclare que “Face à l’abandon des pouvoirs publics aveuglés par leur idéologie, il était de notre devoir d’interpeller directement ces supporters dans « leur » quartier en les appelant au bon sens et à la cohérence : tout bon patriote doit un jour regagner la terre de ses ancêtres !”.

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  • L’antiracisme nous impose un monde atroce…

    Entretien avec Renaud Camus

    Jean-Marie Le Pen s’est encore illustré ce week-end par un nouveau “bon mot” dont il nie a posteriori toute connotation antisémite. Il est de bonne foi, selon vous ?

    Écoutez, je vais sans doute vous surprendre, et je sais bien que je vais là contre le flot grondant, au risque de me faire emporter par lui moi aussi, mais je ne serais pas du tout étonné qu’il soit de bonne foi, oui. Pour l’immense majorité des Français le mot fournée n’évoque pas du tout les fours crématoires, et pas même les fours, malgré l’étymologie. On songe plutôt à un regroupement pour la commodité : une fournée dans l’ordre de la Légion d’honneur, le pape a fait une fournée de cardinaux. Jean-Marie Le Pen s’exprime beaucoup, on peut difficilement lui interdire d’employer le mot fournée, qui est très courant en français dans le sens que je viens d’évoquer. Il serait antisémite en l’occurrence, parce qu’il venait juste après le nom de Patrick Bruel. Oui, mais juste avant il était question de Yannick Noah, qui n’est pas juif. Ces messieurs ne sont pas contents des succès du Front national, qu’ils s’en aillent, regroupons leur cas, ça fera une fournée — voilà ce que je comprends, et rien d’autre.

    Mais peut-être suis-je influencé dans ma façon d’en juger par deux mésaventures qui me sont arrivées ces jours-ci. D’une part je suis couvert d’opprobre, à forte connotation homophobe, d’ailleurs, par un certain “bougnoulosophe”, c’est ainsi qu’il se nomme, en fait un vague sociologue belge nommé Jamal Es Samri. Je trouve toujours très ridicules ces antiracistes patentés qui, se contredisant eux-mêmes, ne parlent jamais qu’à partir de leurs origines. Et, poussé à bout, songeant à Cocteau et à ses poètes qui « chantent dans leur arbre généalogique », il m’est arrivé de demander au “bougnoulosophe” anonyme s’il lui arrivait jamais de « descendre de son arbre généalogique » — c’est-à-dire, dans mon esprit, de s’exprimer autrement qu’en tant que Marocain immigré en Belgique. Qu’est-ce que je n’avais pas dit ! Voilà qu’un researcher in international relations, Jean-Philippe Dedieu, m’apprend qu’il me dénonce à la police judiciaire ! Parler d’arbre, même généalogique, à un Africain, c’est le traiter de singe, paraît-il. Je vous jure mes grands dieux que rien n’était plus éloigné de mon esprit.

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