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immigration - Page 1366

  • Des livres sur l'art de la guerre du Jihâd à Carrefour

    On y lit des choses aussi sympathiques que ceci :

    "Toute sorte de jihad tend à proscrire toute autre adoration que celle de Dieu, l'Unique" (…)

    "Le mérite du jihad et de la mort en martyr pour la Cause de dieu est exprimée en termes nets dans les annonces véridiques divines et dans les hadith authentiques du Prophète (S.B sur lui) qui font du jihad l'oeuvre la plus méritoire et l'acte de dévotion le plus distingué"

    "L'art de la guerre, non seulement en vue de repousser les éventuels assauts de leurs ennemis, mais aussi pour être en mesure d'assurer la suprématie de la parole de Dieu" page 628 d'une édition Ennour 2011.

    "se doter de toutes sortes d'armements et de se perfectionner dans l'art militaire, non seulement défensif, mais aussi offensif(…)"

    Michel Janva

  • AME : « Ici, on soigne gratis ! » Jusqu’à quand ?

    Le budget alloué à l’AME (aime médicale de l'État), permettant aux étrangers en situation irrégulière de voir leurs soins médicaux prix en charge, s’est littéralement envolé.   

    Marisol Touraine l’a avoué tout à trac, le 3 juin dernier devant les sénateurs : oui, le budget alloué à l’AME (aime médicale de l’État), permettant aux étrangers en situation irrégulière de voir leurs soins médicaux prix en charge, s’est littéralement envolé, augmentant en un an de près de 30 % (soit une hausse de 156 millions d’euros). Oui, de véritables filières existent, filières organisées qui usent et abusent du système.

    Alors, Le Parisien a enquêté. Il a enquêté, dit-il, malgré la préfecture de police, claquemurée dans son silence ; il a enquêté malgré les Hôpitaux de Paris, « magnifique exemple de langue de bois ». Et les résultats qu’il a livrés dans son édition de lundi sont édifiants : filières chinoises, tchétchènes, géorgiennes (des repris de justice trentenaires, ayant contracté une forme grave de la tuberculose en prison, nécessitant des mois voire des années de traitement, expliquent ainsi benoîtement qu’en Géorgie, on propose « un protocole France »), consultations fictives, prescriptions gonflées de médicaments, et bien sûr… croissance exponentielle du nombre de clandestins.

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  • Paris : procès de quatre djihadistes repérés sur Internet par les services anti-terroristes français

    Pour éviter les interceptions de mail, ils écrivaient directement dans la partie «brouillon» de la messagerie. De sorte qu’ils n’étaient pas obligés d’envoyer leurs messages pour dialoguer, réduisant ainsi le risque de se faire repérer sur Internet par les services anti-terroristes français. Le procès de quatre djihadistes soupçonnés de s’être rendus entre 2008 et 2011 sur une zone de combats pakistano-afghane, et de leur groupe de soutien logistique, s’est ouvert ce lundi après-midi devant la 16e chambre du tribunal correctionnel de Paris.

    Au cœur de cette filière, figure la mosquée Omar de la rue Jean-Pierre Timbaud (11e) et son quartier, décrit par les enquêteurs comme un «important lieu du salafisme radical». «Sa réputation est d’être fréquentée par des gens un peu radicaux. C’était surtout l’imam de la mosquée qui faisait des prêches radicaux», a reconnu ce lundi à la barre un des prévenus, soupçonné surtout d’avoir financé les départs grâce à un magasin de taxi-phone situé en face du lieu de culte.

     

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    http://www.contre-info.com/paris-proces-de-quatre-djihadistes-reperes-sur-internet-par-les-services-anti-terroristes-francais

  • Ebola : une bombe à retardement

    Le virus Ebola progresse en Afrique de l'Ouest, et se répand dans les pays limitrophes de la Guinée, sans qu'on puisse apparemment l'endiguer. C'est l'organisation "médecins sans frontières" qui a donné l'alerte vendredi, en déclarant que l'épidémie en Afrique de l'Ouest était désormais "complètement hors de contrôle". Le directeur des opérations de MSF à Bruxelles, Bart Janssens, a prévenu que l'épidémie est loin d'être terminée et qu'elle sera probablement la plus mortelle jamais vécue. Les plus récentes données de l'Organisation mondiale de la santé font état de plus de 330 morts en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia, et l'on recense maintenant quelques cas suspects au Mali. 

    Les comportements des populations devraient évoluer pour prévenir et contenir la maladie, mais ce n'est absolument pas le cas: bien que prévenus, de nombreux Africains de l'Ouest continuent de se nourrir de chauves souris, de singes, de rongeurs divers et de viande "sauvage" (viande de brousse), alors que certains épidémiologistes ont reconnu l'incidence de ces viandes dans la transmission du virus. Une fois infecté, le malade se met à tousser, se sent très fatigué, puis des vomissements, diarrhées et émorragies l'emportent en une semaine, dans la majeure partie des cas. Ebola ne se soigne pas, et se transmet extrêmement rapidement.

    Ce qui est très inquiétant, en Europe, c'est l'importation des viandes en provenance d'Afrique de l'Ouest, qui se retrouvent à Roissy, et sont distribuées partout en France: 

    "Le grand souci, c’est notamment le trafic de viandes de brousseentre l’Afrique de l’Ouest et l’Europe. Une enquête publiée en 2010, sur base du travail des services de douane ainsi que de la société zoologique de Londres, avait estimé que cinq tonnes de nourriture « potentiellement contaminée » débarquaient chaque semaine à l’aéroport Charles de Gaulle en provenance du Cameroun, de Centrafrique, du Congo,…"

    Ces chiffres ont été confirmés en octobre 2012 et décembre 2013:

    "Plus récemment encore, en décembre 2013, la police et les services sanitaires avaient fait une descente dans le quartier Château-Rouge (XVIIIe arrondissement de Paris), connu pour ses boutiques et restos africains. Les découvertes avaient été significatives : morceaux de viandes de singes, de gazelles, de rongeurs et… de chauves-souris."

    Même si les hôpitaux parisiens sont avertis sur la conduite à tenir en cas d'apparition du virus sur le sol français, il est plus qu'urgent de contrôler étroitement tout ce qui provient d'Afrique de l'Ouest, et notamment ses populations. Les Etats africains concernés n'ont que très peu mis en oeuvre cette forme de protection des frontières, sauf le Sénégal, et c'est vraisemblablement ce qui a permis la propagation aussi rapide d'Ebola. 

    Marie Bethanie

     
  • Des malades étrangers s'organisent pour se faire soigner gratuitement en France

    INFOGRAPHIE - La ministre de la Santé a reconnu début juin que ces cas de fraudes faisaient gonfler le nombre de bénéficiaires à l'aide médicale de l'Etat, faisant exploser le budget alloué à cette prestation.

    Les fraudes à l'aide médicale de l'Etat préoccupent la ministre de la Santé. Si le phénomène n'est pas nouveau, Marisol Touraine a remis le problème sur le devant de la scène en reconnaissant devant les sénateurs début juin que des filières de patients venus d'ailleurs abusaient de cette aide destinée aux ressortissants en situation irrégulière et précaire. La ministre de la Santé a même admis que ces cas de fraudes gonflaient - en partie - le nombre des bénéficiaires à cette aide, qui a progressé de 35% sur ces deux dernières années. Résultats: le budget alloué à cette prestation a explosé, s'élevant à 744 millions d'euros en 2013 au lieu des 588 prévus au budget, rappelle une enquête du Parisien ce lundi. Pour 2014, le budget de l'AME est prévu en loi de finances à 600 millions d'euros.

    Difficiles à identifier, ces cas de fraudes sont très variés: site Internet chinois proposant des cartes AME payantes, médecins escrocs produisant des actes fictifs pour revendre des médicaments à l'étranger, association présentant des copies dossiers AME, sans oublier des réseaux de personnes étrangères qui fraudent pour se faire soigner dans certains hôpitaux français. C'est notamment le cas d'une filière géorgienne, détaillée par Le Parisien dans son édition de lundi.

    Le cas des Géorgiens tuberculeux

    Ils ont une trentaine d'années et sont hospitalisés à Paris ou dans sa proche banlieue depuis plusieurs mois. A l'origine de leur hospitalisation? Ils sont porteurs d'une forme grave et résistante aux antibiotiques (la forme XDR) de la tuberculose, qui nécessite une prise en charge spécifique (chambre spécialisée à pression négative) et un long traitement (entre 6 et 7 médicaments, pas tous commercialisés en France), écrit le quotidien.

    Le problème, c'est qu'ils bénéficient de l'AME alors qu'ils ne l'ont jamais demandée et qu'ils n'y ont pas droit. «Beaucoup arrivent avec un visa de touriste, délivré par l'ambassade de France en Géorgie, et attendent le dernier jour de validité pour débarquer à l'hôpital», explique un médecin au Parisien. Une hospitalisation de dernière minute à moindre frais: quand leur visa n'est plus valide, c'est l'hôpital qui finance ces soins vitaux. Autrement dit, l'aide médicale de l'Etat (AME) prend le relais à partir du 91e jour. La Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) a répertorié 57 cas. Montant de la facture? Près de 13,7 millions d'euros pour l'ensemble de ces dossiers, affirme Le Parisien, qui évoque aussi le cas d'une filière tchétchène.

    Pour autant, ce phénomène est loin d'être massif. Selon Médecins du monde, «seuls 9% des étrangers en situation irrégulière disposent d'une couverture maladie» et «la santé personnelle ne représente que 2,3% des raisons ayant motivé la migration». «Ces chiffres démontrent combien les discours contre les migrants qui viendraient profiter des systèmes de santé européens sont infondés», conclut l'association citée par Le Parisien.

    Mieux repérer les fraudes

    Pour mieux détecter ces abus, la ministre de la Santé a déclaré début juin qu'elle souhaitait poursuivre les contrôles engagés dans les différentes caisses primaires. «Nous devons évidemment (...) lutter contre les abus qui pourraient être constatés, a-t-elle déclaré. A partir de 2015, nous disposerons de statistiques permettant de comparer les taux d'acceptation ou de refus de l'aide médicale de l'Etat caisse par caisse», afin de savoir s'il existe ou non un recours excessif à ce disposif. Autre possibilité: mieux coopérer avec les pays d'origine pour que ces personnes étrangères aient un meilleur accès aux soins dans leur pays.

    Pour limiter la hausse du nombre de bénéficiaires, la gouvernement Fillon avait instauré un droit de timbre fixé à 30 euros en 2011. Ce système, qui avait fait baisser de 20.000 le nombre de bénéficiaires, a été supprimé le 4 juillet 2012, juste après l'élection de François Hollande. Hausse des demandeurs, déparage des dépenses... Le député UMP de Paris, Claude Goasguen avait déjà tiré la sonnette d'alarme fjn 2013. Le rapporteur de la loi de finances 2014 pour le budget de l'aide médicale d'État (AME) avait proposé de «repenser globalement le dispositif» et de recentrer l'AME «sur les besoins urgents, à l'instar des pratiques de nos voisins européens».

    Ce qu'il faut savoir sur l'AME

    En vigueur depuis janvier 2000 sous le gouvernement de Lionel Jospin, l'aide médicale de l'Etat est destinée aux étrangers en situation irrégulière et précaire. Cette prestation a été crééé dans l'idée d'éviter la propagation de certaines maladies sur le territoire national. Pour en bénéficier, les demandeurs doivent résider de manière stable sur le territoire depuis plus de trois mois et avoir des revenus inférieurs à 8593 euros par an (12.890 euros pour un couple). Tout enfant mineur de parents en situation irrégulière est d'office éligible. L'AME est attribuée sans condition aux mineurs dont les parents sont en situation irrégulière même lorsque ces derniers n'en bénéficient pas encore ou dépassent le plafond de ressources, précise l'Assurance maladie sur son site Internet.

    L'AME donne droit à la prise en charge à 100 % des soins médicaux et d'hospitalisation en cas de maladie ou de maternité dans la limite des tarifs de la sécurité sociale, sans avoir à avancer les frais. En revanche, les cures thermales et les actes techniques, examens, médicaments et produits nécessaires à la réalisation d'une aide médicale à la procréation ne sont pas pris en charge.

    source

    http://www.oragesdacier.info/2014/06/des-malades-etrangers-sorganisent-pour.html

  • [Vidéo] Mondial/Algérie : "A Lyon, c’était des scènes de guérilla urbaine" (RMC)

    Dans Bourdin direct, un policier relate de nombreux débordements à Lyon mais aussi à Marseille et Paris, suite à la victoire de l’Algérie sur la Corée du Sud. Il regrette l’omerta des médias sur le comportement scandaleux des supporters algériens. 

    Via FdeSouche

  • Horreur ! La Suisse est un pays… démocratique !

    L’Union européenne n’en croit pas ses yeux et les menaces sont prêtes à partir. Déjà Bruxelles s’échauffe contre Berne, coupable d’un délit qu’on ne saurait nommer.

    Mais qu’ont donc fait les Suisses pour provoquer le courroux des fonctionnaires qui nous gouvernent ? Quel plan machiavélique concocté par les descendants de Calvin, entre Vaud et fromage, est assez grave pour provoquer un conflit entre la Suisse et l’Union européenne ?

    Le Conseil fédéral, c’est-à-dire l’organe exécutif de la Confédération helvétique, a fait vendredi 20 juin une annonce tout à fait incroyable : il va appliquer strictement l’initiative sur l’immigration votée par les Suisses le 9 février 2014.

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  • « Politique de la ville » : la spirale criminelle – (1)

    Par Xavier Raufer

    Occultation, encore et toujours, de la corruption et de la criminalité dans les cités qui gangrène la vie politique française.

    Dessin de CHARD, datant de l’époque où Philippe Séguin, ici caricaturé, était premier président de la Cour des Comptes (2004-2010)

    Toujours plus, le cancer aimablement nommé “politique de la ville” ronge la vie politique française, d’abord au niveau municipal, mais aussi désormais, à ceux du département et de la région.


    Houla ! “cancer”… “crime organisé”… Serait-on ici dans la polémique, dans l’outrance ? Nullement – il suffit de lire Le Monde de ce 12 juin pour réaliser la virulence criminelle et criminogène d’une “politique de la ville” corrompant notre pays depuis trois décennies.

    Nous voici à la cour d’appel de Marseille, où l’on juge une élue au conseil régional pour détournements de fonds publics. Citons Le Monde : “Entre 2005 et 2008, un total de 716.000 euros a ainsi été ‘flambé’ par les deux principaux bénéficiaires de la fraude”, notamment “un caïd plusieurs fois condamné”. Mme Zerbib, la présidente de la Cour, s’indigne – lisons-la bien : “C’est quoi la politique de la ville ? C’est des charrettes de billets qu’on déverse dans les quartiers et on se sert ?

    Médiapart – de gauche, lui aussi – parle, ce 7 juin, de “procès de voyous”. Il nous présente “le relais de Mme Andrieux, son fer de lance dans la campagne de 2007”, [Abderrezak Zeroual], “condamné à quatre ans de prison dans un dossier de trafic international de cannabis”. Un nervi multicarte ayant tout compris de la politique de la ville, car à la fois membre de l’UMP et du PS. Ce chef d’une bande de voyous “connus de la justice pour violences volontaires, tentatives de meurtres, séquestration ou escroquerie” (Libération, 11/03/2013) “assurait la sécurité des élections” – et comment. L’un de ses sbires, [Boumediene Benamar], menace ainsi un récalcitrant au racket politico-criminel : “Tu veux faire le mariolle, je vais m’occuper de ton cas, tu vas morfler.

    Après chaque homicide ou presque, un élu local bêle à la télévision que “Marseille n’est pas Chicago”, mais à entendre Abderrezak et Boumediene, on éprouve un sérieux doute…

    Doute encore aggravé quand la Chambre régionale des comptes de Provence – Alpes – Côte d’Azur nous apprend que le conseil général des Bouches-du-Rhône avait attribué plusieurs marchés à des sociétés (comme Alba-Sécurité) proches du truand Bernard Barresi, fiché au grand banditisme.

    Une nouveauté à Marseille, cette corruption criminelle de la politique de la ville ? Pas vraiment, car voici comment se défend M. Michel Vauzelle, président socialiste du conseil régional de Paca (Libération, 14/03/13) : “Les procédures viciées étaient déjà en place lorsqu’il est devenu président en 1998” – donc 15 ans minimum que ça dure…

    Rappelons ici que, selon la Cour des comptes et de 2000 à 2005, cette politique de la ville a coûté, tous financements confondus, Union européenne, Etat, collectivités locales, la somme pharaonique de 34 milliards d’euros. Et sans doute autant depuis.

    Mais dans les cités hors contrôle, sur les territoires [de] la “politique de la ville”, siphonner le pactole de la “politique de la ville” est-il la seule ressource illicite ? Non : publié en décembre 2013, un rapport sur l’ “Impact des nouveaux dispositifs sur la population des cités sensibles marseillaises dépeint les trafics de stupéfiants dans les quartiers Nord de la ville. Il constate que “les centaines de milliers d’euros de bénéfices tirés [chaque mois] du trafic [de stupéfiants]prennent probablement une part dans l’économie locale”.

    Voilà donc l’indéniable preuve que la politique de la ville, créée vers la fin de la décennie 1970 pour insérer les “quartiers chauds” dans le droit commun et y faire émerger des élites policées, a abouti à l’exact inverse : concentrer dans ces quartiers d’énormes trafics illicites, contrôlés par des gangs “tenant” par ailleurs des politiciens complices ou épouvantés.

    Cela, même les actuels politiciens socialistes ne tentent plus de le nier : le précédent ministre de la Ville, M. Lamy, veut “rompre avec trente ans d’échecs de la politique de la Ville” et l’actuelle titulaire du poste, Mme Vallaud-Belkacem, parle des politiques de naguère comme d’un “empilement de dispositifs formant un millefeuille aussi illisible que souvent incohérent”.

    Même désormais, de grands prêtres de la culture de l’excuse comme les sociologues Didier Lapeyronnie et Michel Kokoreff en viennent à dénoncer (Le Nouvel Observateur, 10/01/13) “la montée des violences des bandes en lien avec des trafics de drogue”.

    Jusqu’au Monde, impavide soutien de la “politique de la ville” trente ans durant, contraint de lâcher (7/06/13), dans un article intitulé “Cités mortelles : la mort violente frappe plus en banlieue qu’ailleurs”. Et le 7 février 2014 encore, à propos du quartier hors contrôle du Mirail, à Toulouse : “Les voyous se sont structurés en équipes de malfaiteurs… Le trafic de drogue s’est aggravé de manière quasi exponentielle ces dernières années… la présence des trafiquants pèse de plus en plus.

    Tout cela, notons-le, prévu, décrit et publié par les criminologues sérieux depuis à peu près vingt ans.

    Avouer tardivement ne suffit cependant pas. Il faut autopsier cette “politique de la ville” car la corruption criminelle des cités et quartiers “sensibles” n’est ni récente, ni bien sûr cantonnée à la seule ville de Marseille.

    Dès 1999, un rapport de l’instance régionale (Ile-de-France) d’évaluation de la politique de la ville s’alarme de “l’apparition des vols à main armée” et de la “présence de bandes bien visibles dans les espaces collectifs privés”.

    Mais en la matière, l’omerta joue vite et ce rapport est enterré. Le lobby pro-politique de la ville fait tout aussi vite disparaître le rapport (2005) d’un “Observatoire national des faits d’insécurité dans l’habitat social”, suscité par la puissante Union sociale pour l’habitat, qui regroupe quelque 800 organismes HLM (4 millions de logements, 76.000 salariés). Occultation encore et toujours (2007) du rapport de “l’Observatoire de l’activité commerciale dans les quartiers sensibles”.

    Quels drames provoqueront cette occultation ? Tel sera le thème de la seconde partie de cette étude.

    Le nouvel Economiste

    http://fortune.fdesouche.com/345343-politique-de-la-ville-la-spirale-criminelle-1#more-345343

  • Peine dérisoire pour les trois racailles islamistes qui avaient agressé un Français parce qu’il mangeait un sandwich au jambon

    En juin 2013, trois racailles étrangères multirécidivistes avaient agressé un passager dans un tramway de Reims, au prétexte qu’il mangeait un traditionnel jambon-beurre, puis l’un de ses amis qui s’interposait.

    Youcef Benabed – jugé dans la foulée pour un dossier d’extorsion –, Florian Piddiu – délinquant multirécidiviste –, Dahim Belfatmi – qui a écopé il y a un mois de 4 ans de prison dans une affaire de drogue, tous les trois 25 ans, n’ont écopé que de six mois de prison, après avoir affirmé à l’audience avoir été agressés par les deux Français.

    Source JN

    http://www.contre-info.com/

  • Réponse à Houria Bouteldja, l’indigeste de la république

    Dans une lettre ouverte (lire ici), l’indigeste de la république Houria Bouteldja s’en est pris violemment à Éric Zemmour « l’israélite », qu’elle qualifie de « connard » vendu aux « blancs » par haine de ses origines « arabes et juives ». Une réponse en bonne et due forme s’imposait.

    Mme Bouteldja, je ne vous appellerais pas « très chère » car à mes yeux, vous ne l’êtes pas pour un sou.

    Votre récente lettre est à la mesure de votre agressivité coutumière. Sous des airs moqueurs, vous réduisez Éric Zemmour à sa judéité méditerranéenne, vous délectant qu’il ne fasse « pas partie de la race des seigneurs » et qu’il ne soit « pas blanc malgré ses efforts pour atteindre cette dignité ». Or cette dignité, Zemmour ne l’a jamais revendiqué, ni même cherché. Pour la simple et bonne raison qu’il se veut un Français avant tout.

    L’assimilation, voilà bien quelque chose qui vous échappe, vous qui n’avez de cesse de communautariser le débat, quand ce n’est pas pour le racialiser comme vous venez de le faire. Vous refusez la France, ses us et coutumes, et ne vous en cachez pas. Croyez-vous pouvoir vivre dans la paix et l’ostentation à la fois ? C’est bien mal connaître l’histoire de notre pays, rythmée par les guerres civiles et les tensions religieuses. Pour haïr, il faut un autre. [...]

    La suite sur Le Bréviaire des Patriotes