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immigration - Page 1430

  • Une préférence étrangère

     

    immigration-konk.gifAprès DSK affirmant il y a quelques jours sur une chaîne américaine qu’il n’a pas de problème avec les femmes,  c’est au tour de François Fillon de nous dire que lui en a un avec les hommes. En l’occurrence ceux qui soutiennent  Nicolas  Sarkozy au sein de l’UMP  et avec  l’ex chef de l’Etat qui a précipité son retour  depuis la décision du conseil constitutionnel d’invalider ses comptes de campagne. Un Sarkozy « qui en cinq ans, de 2007 à 2012, a perdu toutes les élections intermédiaires »  mais « qui a été fêté comme une rock star par la centaine de militants ameutée à cet effet devant le siège de l’UMP »  lundi  rappelait Michèle Cotta dans Le Point .  Ce qui a contraint «François Fillon a contre-attaqué jeudi : Pas d’accaparement de l’UMP par un homme providentiel, pas de recours ou de retour automatique, pas de piédestal, pas de traitement de faveur… »  a-t-il déclaré à l’adresse de son rival. Traitement  de faveur que  la droite et la gauche  aux affaires  réservent en général aux étrangers au détriment des Français.

     Le Maine Libre  indiquait cette semaine le cas de cette «  mère de sept enfants d’origine Tchadienne (qui)  a fraudé 35 831 euros à la Caisse d’Allocations Familiales (CAF). La femme de 39 ans était retournée à deux reprises avec ses enfants au Tchad pendant plusieurs mois, en omettant de prévenir les services sociaux. Elle a donc continué à percevoir les aides, sans en avoir le droit (…) Elle a reconnu les faits et a avoué un oubli de sa part ». Bien sûr cette somme ne sera jamais remboursée et ce  comportement de prédation ne suscite pas l’indignation de la gauche morale  qui préfère se mobiliser pour faire barrage au FN.

     Les Français-vaches-à lait sont  invités à financer encore et toujours  l’immigration de peuplement des duos   Fillon-Sarkozy  et Ayrault-Hollande. A titre indicatif,  la Caisse nationale d’allocations familiales (Cnaf) affirme d’ailleurs  que grâce à une amélioration des méthodes de contrôle,  les fraudes détectées  ont augmenté de 20% en 2012 , soit  110 millions d’euros, tandis que 18.000 personnes ont dans ce cadre  fait l’objet d’un redressement de la Sécurité sociale.

     Si la proportion des fraudeurs allogènes n’est pas communiquée,  l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) s’est livré à une étude relayée  il y a peu dans Le Figaro sur «  la part des étrangers  dans les «multimises en cause pour crimes et délits» à l’aide du «  fichier des antécédents judiciaires (STIC) du ministère de l’Intérieur».

     A été ainsi scruté et analysé  « un large échantillon d’environ 1500 personnes mises en cause pour cinq infractions ou plus ayant eu lieu en 2009 et 2010 à Paris ou dans sa proche couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne. »

     Est-ce une surprise, et ce taux grimperait encore si l’on y incluait les Français originaires des pays maghrébins et africains, «  On y découvre qu’ils (les étrangers, NDLR) pèsent un tiers des multimis en cause dans l’agglomération parisienne. Et encore ces chiffres ne sont-ils pas rapportés à ce que représente dans la population globale du Grand Paris chaque communauté, Français, d’un côté, forcément les plus nombreux, et étrangers, de l’autre. »

     L’auteur principal de cette étude scrupuleuse, Étienne Perron-Bailly, constate que «les étrangers multimis en cause présentent une part d’atteintes aux biens supérieure à celle des Français (76,4%, à comparer à 58,6%)». 

     Alors qu’au 1er janvier 2014 les Roms pourront venir  s’installer sans plus aucune entrave chez eux chez nous, il est indiqué que «  Chez les étrangers mis en cause au moins cinq fois par les agents (450), ceux de nationalité roumaine représentent plus de la moitié de l’effectif (231). Parmi ces derniers, 89,6% sont mineurs: 37,7% de garçons et 51,9% de filles (…) ».

      « Quel que soit l’âge des étrangers plusieurs fois mis en cause, sur les 450 cas isolés par les statisticiens comme représentatifs, selon eux, après les Roumains et les ressortissants des Balkans viennent les étrangers du Maghreb (105 cas), d’Afrique (63 cas) et de Chine (12 cas). Les autres nationalités représentent 39 cas (…) ».

      L’ONDRP  précise encore que « les hommes mineurs d’Afrique hors Maghreb sont assez souvent mis en cause pour atteintes volontaires à l’intégrité physique, c’est-à-dire de faits de violence. »

     Toutes choses qui préoccupent infiniment plus nos compatriotes affirme Bruno Gollnisch, que la guéguerre Fillon-Sarkozy, a fortiori  au regard du calamiteux bilan qui est le leur dans le domaine  de l’insécurité  et de l’immigration  entre 2007 et 2012.

    http://www.gollnisch.com

  • Cécile Kyenge veut plus d’Africains en Italie et en Europe

    Cécile Kyenge veut plus d’Africains en Italie et en Europe

    ROME (NOVOpress) – La ministre italienne au sang congolais, Cécile Kyenge (photo), enfonce le clou : elle souhaite accélérer l’immigration de remplacement en Europe. Pour elle, il est temps que les Européens commencent « à raisonner ensemble pour se donner des règles communes » en matière d’immigration. Dans un entretien au journal Il Messaggero, elle fait référence au modèle français : « Si une personne prend, par exemple, la nationalité française, elle devient, par voie de conséquence, citoyenne européenne ». Traduction : Cécile Kyenge, qui compte 37 frères et sœurs au Congo, milite pour une propagation de l’immigration extra-européenne à l’échelle du Vieux continent.

    La dirigeante africaine, incorporée au gouvernement de coalition formé par le démocrate Enrico Letta depuis avril dernier, axe son action politique en faveur de l’octroi de la nationalité italienne aux enfants nés dans la Péninsule de parents étrangers. Dans son viseur : la loi sur la citoyenneté italienne, basée sur le seul droit du sang, à la différence de la France (droit du sol). Cécile Kyenge veut remettre en cause aussi le délit d’immigration clandestine, rendre le marché du travail plus accessible aux étrangers et, dans une langue de bois très politiquement correcte, « lutter contre la violence sexiste, raciste et de toute autre nature ». Une sorte de Taubira transalpine, adversaire acharnée de l’identité italienne et européenne.

    Crédit photo : European University Institute via Flicr (cc). http://fr.novopress.info/

  • La diversité‏, par NB

    On ne cesse de parler de l’« Autodestruction des peuples d’Europe ». C’est faux, archi-faux ! En fait, les peuples ne sont pas masos, ils sont toujours détruits par un autre, et en l'occurrence par un autre qui se fait passer pour eux.
    D’où, l’apparence d’un suicide. Mais il est interdit de prononcer le mot meurtre. C’est à peine si l’on peut le dire, le murmurer, le susurrer. Alors je le dis doucement, très doucement, le plus doucement possible : avec le progrès, la terre promise est devenue la Terre promise… avec un T majuscule, c'est-à-dire la planète.
    Dans une Terre promise, il ne peut y avoir de Nations. Il faut donc tout mélanger, malaxer, broyer, triturer, pétrir, aplatir, piétiner, bref, désidentifier.
    Un esclave n’a bien sûr pas de couleur, pas de passé, pas d’avenir et bien évidemment pas de Nation. La diversité est le poison mortel dont LEURS médias nous abreuvent tous les jours et qu'ils vont jusqu'à instiller dans le biberon de nos enfants.
    Il faut à tout prix lutter CONTRE la diversité.
    Chez moi tout est propre, clair, net, ordonné, rangé, fonctionnel et efficace. Il fait bon y vivre.
    Les outils sont dans le garage, les fauteuils dans le salon, les chaises dans la salle à manger, les lits dans les chambres et partout chaque chose a sa place et chaque place a sa chose.
    Si vous ouvrez les tiroirs et les portes des placards, vous verrez : les couteaux son avec les couteaux, les fourchettes avec les fourchettes, les cuillères avec les cuillères, les draps avec les draps, les couvertures avec les couvertures, les sous-vêtements avec les sous-vêtements, les chemises avec les chemises, les pantalons avec les pantalons, les torchons avec les torchons, les serviettes avec les serviettes.
    Chez moi tout est propre, clair, net, ordonné, rangé, fonctionnel et efficace. Il fait bon y vivre.
    Il n’y a pas de diversité… sinon dans un endroit, un seul : LA POUBELLE !

  • Le mariage qui fait honte à la France

    Lui se nomme Sofiane Ben Ahmed, elle Yamina El Attari. Leur récent mariage, à Orange, n’est pas passé inaperçu. On y a hissé les couleurs, mais pas celles de la France. Celles du Maroc et de l’Algérie. Pour le mariage d’un soldat avec une gendarmette, voilà qui fait désordre. 
    C’est une histoire symptomatique des ravages de la double allégeance ; une histoire de Français de « la France d’après »; une histoire comme on en voit tous les samedis ou presque mais qui cette fois, par la personnalité singulière des protagonistes, touche le corps social dans ce qu’il devrait avoir de plus fiable : ses forces armées. 
    Nous sommes le samedi 22 juin à Orange, la cité du Vaucluse connue pour son théâtre antique, ses chorégies et son député-maire, Jacques Bompard, à cheval sur les principes et le respect du drapeau tricolore. Dans la salle des mariages de la mairie a lieu l’union de Sofiane Ben Ahmed et de Yamina El Attari. Il n’y a rien de secret : conformément à la loi, les bans ont été affichés publiquement durant les dix jours précédant leur union. 

    Deux signatures pour rien au bas d’une charte 

    Tous deux sont français. Leur métier exige qu’ils le soient. Sofiane Ben Ahmed est sous-officier dans l’armée. Yamina El Attari est gendarme. Honneur et patrie. Lever des couleurs. Hymne national. Ordre. Discipline. Force à la loi. Ils ont choisi Orange pour s’unir parce que leurs parents y sont domiciliés. 
    Comme tous les futurs époux, ils ont signé une charte. Echaudé – et exaspéré, comme les habitants du centre ville – par quelques mariages qui ont transformé les abords de la mairie en défilé de la victoire un soir de victoire de l’équipe algérienne de football, Jacques Bompard a décidé, en décembre 2011, de soumettre une charte de bonne conduite aux futurs époux. Depuis, plusieurs villes ont fait de même comme Nice, Beauvais, Cavaillon ou Forbach. 
    La Charte pour le bon déroulement de la cérémonie de mariage, longue de deux pages, rappelle les règles élémentaires de la politesse (veiller à être à l’heure, par exemple) et attire l’attention des futurs époux sur le nécessaire respect du Code de la route par le cortège. Elle se conclut ainsi: « Je reconnais avoir pris connaissance des instructions ci-dessus énoncées et je m’engage à les respecter et à les faire respecter par les participants. » On date et on signe, ce qui fut fait. 

    Pour les voitures, y’a pas mieux que les Allemands

    Le mariage s’est bien déroulé; c’est après que ça s’est gâté. Quand les mariés et leurs invités ont repris leurs voitures – ou celles qu’ils avaient louées, ou empruntées. De bien beaux véhicules. Qualité allemande (BMW, Audi…) mais exubérance nord-africaine. Les Orangeois n’en ont pas cru leurs yeux. Les caméras de surveillance non plus… 
    Les amis du soldat et de la gendarmette, son épouse, faisant ronfler leurs puissants véhicules – dont un, allez savoir pourquoi, immatriculé en Roumanie – se sont déployés dans la ville avec des drapeaux marocains et algériens ! Comme on dit dans la gendarmerie: « Pour la patrie, l’honneur et le droit. » 
    Et ni le soldat, ni la gendarmette son épouse, n’ont fait quoi que ce soit pour faire respecter les engagements qu’ils avaient pris. 
    Deux signatures au bas d’une feuille de papier de la mairie, qu’est-ce que ça vaut ? « Gendarme de France, soldat de la loi », à d’autres ! Le souk, pour rester dans le ton, a gagné la Nationale 7, qui traverse la ville. « Tout excités, on chante, on fête/Les oliviers sont bleus, ma p’tite [Yamina], L´amour joyeux est là qui fait risette/On est heureux Nationale 7. » Puis la rue de la République. Y’a des jours comme ça où les symboles parlent d’eux-mêmes. 
    Tandis que scooters et motos bloquaient un carrefour pour faire passer le cortège (tutut et youyous), la voie de gauche était occupée par un véhicule remontant (à contresens donc) la petite dizaine de voitures archi-pleines pour les filmer. Le cameraman amateur a dû avoir du mal à ne manquer personne car il y en avait partout : assis sur le coffre, assis ou debout, nez au vent, aux portières grandes ouvertes, sur le capot et même sur un pare-brise. C’était à qui ferait le plus le guignol et à qui brandirait le mieux, le plus haut, son drapeau marocain ou algérien
    La police municipale, qui ne s’attendait pas à de tels débordements vu la personnalité des mariés, a été débordée. Mais à Orange, les caméras de vidéosurveillance sont bien faites : elles enregistrent. 
    Plainte a donc été déposée auprès de l’officier du ministère public, avec un descriptif détaillé des faits, films des événements, nom et qualité des époux. Théoriquement, Sofiane Ben Ahmed et Yamina El Attari, responsables des infractions commises par leurs invités, devraient être convoqués devant le tribunal de police. Et écoper d’une amende. 
    Et Yamina El Attari devrait se faire remonter sérieusement les bretelles. Un courrier a été envoyé au colonel de gendarmerie commandant le département, histoire qu’il localise la donzelle. Idem pour le beau militaire, qui n’avait pas indiqué son affectation. Il serait caporal dans les troupes de Marine. Et il s’est vanté, à la mairie, d’avoir servi… au Mali.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Immigration, changements de société et mutations de civilisation

    Les migrations sont aussi vieilles que l’homme.
    Ce dernier, en quête de ressources, partage, en effet, avec la plupart des espèces animales, la capacité de coloniser sans répit de nouveaux territoires accessibles.
    Sans cela, l’homme n’aurait évidemment pas colonisé la planète entière dès les temps les plus reculés.
    1° Mais le terme migration recouvre en réalité des choses bien différentes.
    En premier lieu, il y a la colonisation de territoires vierges de toute présence humaine. En second lieu, il y a l’entrée, paisible ou violente, acceptée ou forcée, de territoires déjà occupés. C’est le second terme qui nous préoccupe ici.
    2° Le XXIe siècle va être dominé par l’extraordinaire poussée démographique de l’homme, et notamment par l‘explosion démographique de l’Afrique. Selon les prévisions de l’ONU, les populations de ce continent pourraient atteindre 3,4 milliards d’individus à la fin de ce siècle. Dès lors un homme sur trois serait originaire d’Afrique. Un phénomène d’une telle ampleur ne peut qu’entraîner des conséquences difficilement imaginables, notamment en termes de flux migratoires.
    3° L’immigration est, par  définition, destructrice du tissu social, à des degrés divers selon l’intensité des flux migratoires. Comme le disait Paracelse, « c’est dans la dose qu’est le poison » .
    Certes, l’immigration est, en soi et en principe, un élément de dynamisme économique, ne serait-ce que du fait de la stimulation de la demande globale de consommation (*). En revanche, elle nécrose le tissu social dans lequel elle s’implante.
    En d’autres termes, l’immigration massive fortifie le corps mais altère ou, au pire, porte atteinte à l’identité à l’âme des populations d’accueil.
    Au delà d’un certain degré, en effet, d’une part, elle dissout les liens de solidarité et les références identitaires existant entre les différents groupes sociaux (sentiment  d’appartenance à une classe sociale, valeurs nationales, références religieuses, traditions, héritage culturel, modes de comportement etc.) et génère des tensions entre les différentes composantes de la population en quête de reconnaissance sociale et d’accès aux biens de consommation.
    4° Le XXIe siècle verra l’opposition entre les nations à forte intensité migratoire – Etats-Unis, Europe à faible homogénéité sociale –  et les nations à faible intensité migratoire mais à forte homogénéité sociale : Chine, Inde, Japon, Russie, Afrique, Amérique latine, Moyen-Orient.
    Quelles seront celles, des sociétés composites et des sociétés homogènes, qui  l’emporteront dans le combat pour les ressources et la domination géopolitique  régionale ou mondiale ?
    5° Car les sociétés composites souffrent d’un mal originel, à savoir la difficulté, ou l’incapacité, de dégager un consensus global sur les objectifs politiques et sociétaux à atteindre. La volonté collective se disperse et se dissout entre une multitude d’individus sans liens relationnels forts entre eux, si ce n’est la satisfaction des besoins de consommation.
    À cet égard, il est prévisible que les Etats-Unis, de plus en plus dominés par des minorités avides de pouvoir d’achat et de consommation de biens matériels, auront de plus en plus de difficulté à définir et à mettre en œuvre une politique étrangère au service d’une vision stratégique d’ensemble du destin américain.
    Qui va survivre ou dominer le monde de demain ?
    Yves-Marie Laulan, 2/07/2013 http://www.polemia.com/

    Note :
    (*) En fait, ce postulat, cher à Alfred Sauvy, le grand démographe, ne se vérifie pas toujours. La preuve en est la France, et l’Europe, terres d’immigration, mais frappées  néanmoins par la stagnation chronique.

  • « Les indigènes de la République et la fin de la France européenne par Pierre LE VIGAN

    De même qu’il n’y a pas au sein de la droite au pouvoir un seul partisan sincère et cohérent de l’identité nationale, ou un seul partisan sincère de la fin de la repentance, il n’y en a pas à gauche. Le « socialiste » Manuel Valls affirme : « Je suis favorable à une immigration régulée, contrôlée, et en même temps nous devons affirmer que l’immigration peut être une chance pour notre pays. » Et il explique que la droite pratique « une politique non avouée de régularisation de la plupart des sans-papiers » (in Valeurs actuelles, 5 novembre 2009). Droite et gauche vont toutes deux à l’encontre de la nécessaire inversion des flux migratoires. De son côté, Houria Bouteldja de l’association Les Indigènes de la République écrit : « Aussi douloureux que cela puisse être ressenti par les écorchés du drapeau et les thuriféraires d’une France éternelle et gauloise, nous transformons la France. En d’autres termes, elle aussi, s’intègre à nous. Certes en y mettant le temps, mais nul besoin d’une conspiration fomentée par les masses arabo-négro-berbères, ni d’un quelconque complot ourdi par des cellules dormantes de barbus-le-couteau-entre-les-dents. La France ne sera plus jamais comme dans les films de Fernandel. Notre simple existence, doublée d’un poids démographique relatif (1 pour 6) africanise, arabise, berbérise, créolise, islamise, noirise, la fille aînée de l’Église, jadis blanche et immaculée, aussi sûrement que le sac et le ressac des flots polissent et repolissent les blocs de granit aux prétentions d’éternité » (19 septembre 2009).

     

    Ces propos provocateurs ne font en fait que dire ce qui se passe vraiment. Ils ne sont pas une menace, ils disent le vrai. On doit ajouter que le paradoxe est que Mme Bouteldja représente par ailleurs exactement les immigrés tels que je les souhaite : intégrés, pas voilés pour ce qui est des femmes, parlant français, politisés, intéressés par la politique extérieure et non pas zombies. L’ennui c’est que la nouvelle que nous annonce Mme Bouteldja n’est pas bonne : c’est la fin d’une France européenne.

     

    Pierre Le Vigan http://www.europemaxima.com

  • François Hollande réduit unilatéralement la dette tunisienne

    François Hollande réduit unilatéralement la dette tunisienne

    Ci-dessus, photo de la colonne au centre de la place de la Bastille à Paris, lors de la fête le soir de l’élection de François Hollande à la présidence de la République, le 6/5/2012. Les drapeaux on été légendés.

    TUNIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Le président Hollande, en visite en Tunisie la semaine dernière, a affirmé vouloir aider ce pays dans sa transition démocratique. Ainsi a‑t‑il annoncé vendredi dernier son intention de convertir une partie de la dette tunisienne (qui s’élève à un milliard d’euros) en investissements. Il a par ailleurs évoqué l’octroi d’un demi‑milliard de prêts et de dons.

    Premier président français à se rendre en visite d’Etat en Tunisie depuis la révolution qui a chassé le président Ben Ali, en 2011, François Hollande a réaffirmé toute sa confiance dans la Tunisie nouvelle, estimant même « Que l’islam et la démocratie étaient compatibles ».

    Enfin, le président français a réitéré sa promesse d’aider la Tunisie à récupérer les biens mal acquis du clan Ben Ali, qui vit en grande partie en exil à travers le monde.

    http://fr.novopress.info/

  • Montrouge : après la mosquée, la salle spéciale ramadan !

    MONTROUGE (NOVOpress) – La justice ordonne au maire de Montrouge (Hauts-de-Seine) de prêter une salle de prière à une association musulmane pendant le ramadan. Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise), saisi en urgence par l’Association fraternité Montrouge (AFM), l’a « enjoint » de lui offrir une salle communale dans un délai qui « ne saurait excéder 48 heures à compter de la notification » de la décision de justice. La requête émanait de l’association Fraternité Montrouge. Elle dispose déjà d’une mosquée dans la rue Auber, mais voulait en plus une salle afin que les musulmans y puissent fêter la « rupture du jeûne ».
    Le maire de Montrouge, Jean-Loup Metton, avait rejeté cette demande mi-juin, invoquant, selon l’association islamique, qu’une telle mise à disposition « méconnaîtrait le principe de laïcité ». Il vient donc d’être désavoué par la justice. Nouveau signe de l’arrogante islamisation du pays, encouragée par l’immigration de masse, les industriels, les médias et les institutions de la République française.
    http://fr.novopress.info

  • La loi la plus nocive

    De toutes les lois scélérates promulguées ces dernières décennies, celle sur le regroupement familial organisé par le duo d’enfer Giscard-Chirac (décret n°76-383 du 29 avril 1976) est certainement la plus pernicieuse, au regard de ses conséquences d’autant plus désastreuses qu’elle est totalisante.
    Rappelons tout d’abord le tableau démographique. Cette loi intervient l’année suivant la loi Veil sur l’avortement (janvier 1975). Nous en payons les pots cassés : une progressive substitution de population, les familles immigrées ayant en moyenne plus d’enfants que les françaises indigènes : d’après Michèle Tribalat, la natalité française est de 2,1 enfants par femme, mais tomberait à 1,71 sans les immigrés. Les extra-européens passent ainsi d’une minorité, assimilable tant qu’elle reste peu nombreuse (selon De Gaulle), à une part substantielle de la population française.
    Nous le voyons, une contre-colonisation – que Renaud Camus nomme « le grand remplacement » – est à l’œuvre en France. Un génocide en marche encensé sous le nom de « métissage » (Ivan Rioufol préfère quant à lui parler d’idéologie « mélangiste »), avec ses arguments de propagande désormais bien connus (ouverture, tolérance, diversité…) et ses procès en sorcellerie à l’encontre des réfractaires.
    Et pourtant, derrière le culte du « Veau d’Autre » décrit par Pierre-André Taguieff se glisse une contradiction insurmontable.
    Chanter les louanges de la Diversité et en même temps se faire l’apôtre d’un métissage global (ou « mélangisme ») constitue une aporie. En effet, c’est ce « métissage global » qui revêt un aspect de plus en plus obligatoire, et qui s’avère être une menace réelle pour la diversité, la vraie, celle des peuples et de leurs spécificités culturelles et ethniques. Si se métisser relève du choix individuel, LE métissage est aujourd’hui une idéologie serinée, une obligation, le seul traitement adapté au cas d’un Français recuit et moisi, tel que le livre « L’idéologie française » du philosophe milliardaire BHL l’a décrit (un travail dans lequel BHL a été secondé, rappelons-le, par le pesant et épuisant écrivain Philippe Solers). Comme l’exposait Taï Luc, chanteur de La Souris Déglinguée, « le métissage c’est une affaire sentimentale. C’est des initiatives d’êtres humains avant tout. Ce ne sont pas des partis politiques qui doivent te dire ce que tu dois faire. »

    Concrètement, le métissage détruit la diversité, la vraie, celle des peuples et de leurs spécificités culturelles. Nous irons même jusqu’à dire que dans les faits, l’idéologie du métissage constitue dans ses fondements un paradigme néonazi mutant : alors que dans les années 30, l’Allemagne hitlérienne nous sommait de nous marier avec une « aryenne », le ver mondialiste de ce siècle nous exhorte à épouser une Noire. Il n’est que de citer Tahar Ben Jelloun dans son ouvrage pour enfants de 7 à 77 ans, « Le racisme expliqué à ma fille », sorte de manifeste du « Métissons-nous tous en rond » : « En général, les métis sont beaux. C’est le mélange qui produit la beauté. » Dirait-on aujourd’hui dit du Blanc ou du Noir qu’il est beau parce que Blanc ou Noir ? Non, ce serait « raciste ». Alors que, pour résumer l’implicite du propos suprémaciste de Tahar Ben Jelloun, dire que le métis est génétiquement supérieur, cela, c’est toléré. Il faut bien ici parler d’un nouveau racisme, puisque nous avons affaire à un essentialisme pseudo-biologique.
    Économiquement, le discours rocardien est connu : « La France ne peut accueillir toute la misère du monde, mais elle doit savoir en prendre fidèlement sa part. » Ou l’avènement d’un « humanisme » larmoyant immigrationniste (immigrationnisme qui est, d’après Taguieff, la « dernière utopie des bien-pensants »).
    Mais comme le rappelait Orwell, il faut se défier de la sémantique officielle. L’immigration est en réalité une déportation (nous employons ce mot à dessein) de main d’œuvre – taillable et corvéable à merci – destinée à servir, prolonger et perpétuer la mondialisation néolibérale. L’extorsion de la plus-value est aujourd’hui maximisée par la mobilité de la main d’œuvre, et les profits (retours sur investissements en novlangue) substantiels et juteux. Voilà de quoi il s’agit en réalité.
    En ce sens, la loi sur le regroupement familial traduit le véritable projet des soixante-huitards reconvertis business, le projet des nantis contre celui des travailleurs : un miséreux du Tiers-Monde accepte sans broncher des conditions et salaires indécents, que refuse un travailleur national – lequel se retrouve donc aujourd’hui acculé, puisqu’il est menacé de remplacement par un esclave docile. Le temps où l’on faisait venir des casseurs de grève d’autres pays voisins, pratique si bien décrite par Marx, est révolu : le libéralisme hors-sol, déifié par Jacques Attali, a su parfaitement s’adapter à la nouvelle donne. La mondialisation de la main d’œuvre est inséparable de la mondialisation du capital.
    Les travailleurs, depuis le regroupement familial, sont donc les dindons de la farce, et cela quelle que soit leur origine. Les Français sont victimes de pression sur les bas salaires (dumping social) ; les allogènes, eux, sont obligés de quitter leur patrie pour venir compromettre leur santé ici, dans les emplois les plus usants et les moins rémunérés, leur pays d’origine se voyant en outre privé d’une part importante de sa main d’œuvre la plus performante – et cela, jusqu’à 70% du vivier des cadres, s’agissant de ces médecins de là-bas, devenus brancardiers ici. Seul le mondialisme, et son virus opportuniste, le patron indigne – l’hyper-nomade dirait Jacques Attali – y gagnent : plutôt que de délocaliser en Chine ou en Inde (même si parfois le grand patronat ne se prive pas de le faire), c’est la main d’œuvre qui est délocalisée. Après tout, pourquoi supporter des coûts inutiles (du point de vue du patronat) lorsqu’il s’agit uniquement de rester compétitif ? « Les patrons sans cœur sont les agents de la subversion », disait déjà, en 1934, le Colonel de La Rocque.
    Socialement, dans la réalité du monde du travail, le constat est dramatique. Un triste spectacle s’offre à l’observateur attentif. La course au bas salaire a remplacé la solidarité par une lutte des travailleurs entre eux, en particulier entre nationaux et allogènes, climat créé et entretenu par les financiers mondialistes et leurs serviteurs idéologiques (quand le contrat collectif devient individuel, il n’y a plus de rapport de force possible pour les individus les plus fragiles). Dénués de culture syndicale, les non-européens ne feront pas valoir leurs droits, pas plus qu’ils ne montreront une solidarité qui, il y a peu, allait encore de soi chez les travailleurs – et quand ils le feront, ce sera trop souvent avec un arrière-plan ethnique, voire racial. Une absence de solidarité symptomatique de la postmodernité, et qui s’insère parfaitement dans le cadre général du déclin des vieilles sociétés chrétiennes, oublieuses de leurs valeurs morales. C’est ainsi que, idiots utiles du mondialisme, les déracinés ont malgré eux contribué à détruire l’esprit de corps dans le monde professionnel.
    Au-delà de ce domaine, enfin, les incompatibilités culturelles sont devenues criantes et patentes depuis longtemps (sans parler de l’effondrement du niveau scolaire) : selon l’ancien commissaire de police Lucienne Bui-Trong (cf. son livre « Violences urbaines »), 90 à 95% des violences urbaines sont le fait d’immigrés ou de leurs descendants, élément que les sociologues – aussi bien « bourdivins » qu’issus de la « deuxième gauche » –, grassement payés par l’Etat pour leur refus obstiné du réel, attribuent perpétuellement à des causes purement « sociales ». On remarquera que ces mêmes sociologues restent incapables d’expliquer le pourquoi de la plus faible délinquance attribuable aux asiatiques ou aux Français « souchiens » (terme que nous empruntons à la sympathique et si sémillante Houria Bouteldja, laquelle mérite bien sa place, dans le tableau que nous venons de dresser, pour sa remarquable contribution à la montée des tensions entre pauvres).
    La trop commode grille de lecture de nos sociologues institutionnels a été déconstruite par une récente enquête de Xavier Raufer : les départements les plus pauvres de l’Hexagone sont le Cantal et la Creuse, sans pour autant être le théâtre des violences urbaines observables en banlieue. Voici une nouvelle trahison des clercs, qui servent une fois de plus le mondialisme : nier le réel est un bon moyen d’exaspérer ceux qui le subissent. Pendant que le peu de Français dignes de ce nom seront aliénés par un combat identitaire – superstructurel – exclusif, les questions économiques – infrastructurelles – seront complètement délaissées par ces derniers, devenus donc, eux aussi, des idiots utiles.
    En conclusion, résumons la stupidité de la loi sur le regroupement familial, et son intérêt pour les mondialistes : volonté de création d’un nouveau Surhomme fantasmé (le métis), afin d’homogénéiser les cultures, pour mieux s’en assurer le contrôle. Une éradication du peuple français à moyen terme qui risque fort de déboucher sur une compétition, voire une guerre, entre citoyens d’une Cité qui n’existe plus (une guerre civile qui rendra aussi, à termes, plus difficile la coopération entre États souverains). Un pillage systématique de la main d’œuvre du Tiers-Monde, l’accroissement mécanique des écarts de revenus et de fortune entre des pauvres toujours plus pauvres et des riches toujours plus riches. La communauté française devenue un assemblage de minorités haineuses et revanchardes, pleurnichardes et victimaires, détruisant par leur action conjuguée tout rêve légitime d’unité nationale, de solidarité, de fraternité. Substitut au projet français du citoyen conscient : un individu métis – de partout et donc de nulle part – délocalisable ad vitam aeternam (citoyen du monde), l’inverse au fond du patriote enraciné, défenseur d’un héritage et de valeurs morales ancrées dans la conscience historique.
    Le regroupement familial, ou le plus gros piège mondialiste, et le plus tragiquement efficace.
    [texte initialement publié sur Enquête et Débat]
    http://www.scriptoblog.com

  • Levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen : un scandale

    La pétition mise en ligne sur le site du Front National dénonçant la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen rencontre un franc succès; comme l’illustre aussi la progression foudroyante du FN dans les dernières élections partielles, elle prouve la mobilisation des sympathisants frontistes contre l’injustice et les manœuvres indignes pour museler les défenseurs des identités nationales et de l’Europe des patries libres. Nous mettons en ligne ici deux interventions de Bruno Gollnisch réagissant à ce scandale dans l’hémicycle du Parlement européen, dont nous avions publié les textes lundi.

    http://www.dailymotion.com/video/x11gnmf_levee-de-l-immunite-de-marine-le-pen-une-procedure-digne-du-soviet-supreme-de-l-union-sovietique-pou_news#from=embediframe

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=PoqMOqxI5AU

    http://www.gollnisch.com