Le caractère ethnique des récentes émeutes en Grande-Bretagne aurait pu déboucher sur des affrontements intercommunautaires.
Cinq morts, des centaines d'arrestations, des dizaines de policiers blessés, des commerces pillés et incendiés - dont le magasin Carpetright, l'équivalent de nos Galeries Lafayettes -, un bilan prévisible de 100 millions de livres rien que dans le secteur de la distribution, des habitations livrées aux flammes, des bus, des camions de police et des voitures brûlés, des coups de feu tirés sur les « bobbies » : le quartier de Tottenham, au nord de Londres, puis d'autres quartiers de la capitale anglaise, ainsi que les villes de Birmingham, de Mandchester et de Liverpool ont été au mois d'août le théâtre de violences spectaculaires.
Ces émeutes ont eu pour origine la mort de Mark Duggan, un Jamaïcain âgé de 29 ans et père de quatre enfants, tué par des policiers le 4 août, à Tottenham. À en croire les tenants de la « culture de l'excuse », ce brave garçon aurait été un bon père de famille; les policiers, quant à eux, dressent le portrait d'un gangster chevronné et d'un trafiquant de drogue - ce qui n'exclut d'ailleurs pas qu'il ait pu avoir la fibre paternelle...
Duggan, alias Starrish Mark (« Marc la star ») était en réalité, à en croire le London Evening Standard, le meneur de l'une des douze bandes des tristement célèbres Tottenham Man Dem, gang ethnique lui-même dépendant des Yardies jamaïcains dont l'emprise s'étend sur des milliers de membres de la diaspora jamaïcaine au Royaume-Uni et aux États-Unis. Dealer de crack, il avait été placé sous surveillance par la police qui le soupçonnait de vouloir venger la mort d'un de ses cousins, lui aussi lié aux Yardies, assassiné dans une boîte de nuit en décembre 2011. Duggan aurait été chargé par le super-gang jamaïcain de retrouver et de tuer les meurtriers. Selon la police, c'est lui qui, ce 4 août, ouvrit le feu le premier, touchant en pleine poitrine un policier en civil qui ne dut son salut qu'au poste de radio qu'il portait sous sa veste et qui arrêta la balle.
La population jamaïcaine du quartier de Tottenham organisa, le 7 août, contre cette prétendue « bavure » policière, une manifestation de protestation qui dégénéra vite en affrontements entre les forces de l'ordre et 300 jeunes noirs bien organisés et armés de barres de fer, de couteaux, voire de sabres, qui bombardèrent les policiers avec des pavés, fusées de détresse, cocktails molotov, tandis que les commerces étaient pillés et les passants rançonnés.
Nous voilà loin des considérations sur le taux de chômage et le mal-être social des populations afro-caribéennes en Grande-Bretagne...
Les émeutes s'étendirent les jours suivants à d'autres quartiers du nord et du sud de Londres, puis à d'autres villes britanniques. À Birmingham, où une voiture fonça délibérément sur un groupe de jeunes Pakistanais qui tentaient de s'opposer aux pillages, tuant trois d'entre eux, l'on put craindre des affrontements inter-communautaires, probablement évités par les appels au calme du père de l'une des victimes.
« Puisque les flics nous laissent tomber. »
Au reste, les Pakistanais n'étaient pas seuls à organiser leur propre défense, pour pallier l'incapacité de la police anglaise à assurer le maintien de l'ordre. Des groupes d'auto-défense issus des milieux populaires, appelés « vigilants » se sont rapidement constitués. Natalia Vesna, envoyée spéciale de Minute en Angleterre, a rapporté les propos de certains d'entre eux, comme Marty, 32 ans, propriétaire d'un magasin de disque à Enfield, dans la banlieue nord de Londres : « Je n'aime pas l'idée de faire respecter l'ordre moi-même, dit-il, mais puisque les flics nous laissent tomber, il faut bien le faire. » « Vigilant » lui aussi, John, 45 ans, explique à Natalia Vesna : « Nous sommes surtout là pour dissuader les pillards. En fait, nous avons eu quelques accrochages sérieux les 9 et 10 août, et puis ça s'est calmé, parce qu'ils ont vu qu 'on les accueillait à la barre de fer et que s'ils voulaient vraiment nous voler, il allait falloir nous passer dessus. »
Ces Vigilants, issus de milieux populaires, n'ont pas manqué d'être dépeints par la presse correctement pensante comme des racistes. Le racisme, en réalité, était en face, comme l'a souligné dans le Telegraph Katharine Birbalsingh, elle-même d'origine indienne : « Nul n'osait dire l'indicible. Que les émeutiers étaient tous noirs, ou pratiquement. (...) Lorsque j'ai vu la première photo publiée de Mark Duggan, j'ai compris ce qu'instinctivement j'avais deviné la veille : des noirs ont encore mis Londres à feu et à sang ».
Pour terminer, quatre conclusions peuvent être tirées de ces émeutes.
Premièrement, ce n'est pas le mal-être social des jeunes issus de milieux défavorisés qui est à l'origine des troubles, mais la volonté, de la part d'un super-gang de trafiquants, de décourager la police de mettre son nez dans ses trafics. Les Tottenham Man Dem n'en sont d'ailleurs pas à leur coup d'essai : ils étaient déjà à l'origine des émeutes raciales de 1985, au cours desquelles un policier fut tué par une quarantaine d'Afro-Caribéens qui lui infligèrent 42 blessures, dont 8 coups de machette à la tête.
Deuxièmement, ces émeutes soulignent l'échec du modèle « communautariste » d'intégration - que prônait en France SOS-Racisme, dont les patrons se trouvent aujourd'hui aux commandes du parti socialiste.
Troisièmement, le gouvernement anglais s'est laissé dépasser et la police anglaise déborder. Le Premier ministre, David Cameron, a déclaré qu'à l'avenir il n'hésiterait pas à faire appel à l'armée. C'est un faux-semblant : en Angleterre comme en France, les policiers ont les moyens d'assurer l'ordre - c'est une question de détermination politique.
Enfin, de telles émeutes pourraient fort bien s'imaginer en France : il suffit pour s'en convaincre de se rappeler celles de 2005, ou plus récemment les affrontements à Grenoble, après la mort d'un braqueur dans des circonstances assez semblables à celle de Mark Duggan.
Patrick Cousteau monde & vie . 27 août 2011
immigration - Page 1430
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GRANDE BRETAGNE : L'échec sanglant du modèle communautaire d'immigration
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Des hors la loi occupent une église avec la bénédiction du vicaire !
L’église de l’Estrée, située à Saint-Denis, a été occupée hier par plusieurs dizaine de clandestins, lesquels exigent leur régularisation. Le vicaire de la paroisse, l’abbé Thierry Geisler, « trouve leur démarche normale sur le fond« , espérant cependant « que ça ne va pas se transformer en une occupation de longue durée » car « d’un point de vue sanitaire on n’est pas armés pour les accueillir« .
Les clandestins ont accroché sur le parvis de l’église, en arrivant ce matin, une banderole « Non aux expulsions des sans-papiers ». Quant à Hicham Hassanine, délégué de la Coordination 93 de lutte pour les sans-papiers, il dénonce et s’explique : « On dénonce le mauvais traitement des dossiers des sans-papiers: les durées d’attente des dossiers excessivement longues, la qualité d’accueil, les refus de dossiers » .
Quelques questions se posent : la France a-t-elle encore le droit de posséder la maîtrise de son territoire et de réguler les flux migratoire à l’aune de du bien commun ? La régularisation des clandestins, par ailleurs, leur est-elle due ? Quelle arrogance tout de même d’arriver clandestinement dans un pays souverain chez lui, en violant la loi, et de pousser l’indécence jusqu’à exiger d’être régularisé comme si l’on était chez soi ! Quant au prêtre desservant, il ferait mieux de remplir ses églises de fidèles plutôt que de se lancer dans un combat politique qui ne le concerne pas et d’appeler à la désobéissance civile dans un domaine où l’État est pourtant souverain : ce n’est pas tout de prêcher à tout bout de champ la séparation de l’Église et de l’État, il faut la vivre Monsieur l’Abbé! Ce sera sans doute, dans ce cas, un moindre mal…
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Préférence étrangère : approchez, c'est l'État qui régale !
Communiqué de Jeune Bretagne du 08 janvier 2013Lundi 7 janvier, 5h du matin. Le TGV Quimper-Paris s’apprêtait à partir avec à son bord, deux familles de clandestins débarquées mercredi dernier en Bretagne, et dormant depuis dans des hôtels de Lorient, logées et nourries, aux frais du contribuable puisque les hôtels sont indemnisés par l’État.Afin de gaspiller un peu plus l’argent public, la préfecture de Bretagne a même payé aux deux familles les billets de TGV nécessaires afin de pouvoir aller se faire enregistrer en préfecture, à Rennes, en vue de leur régularisation.Les militants de Jeune Bretagne, présents sur place depuis 4h ce lundi matin, ont donc décidé, au nom de l’égalité pour tous, de permettre à tous les passagers du train de bénéficier de nuits d’hôtels et de billets de train payés par l’État.Un tract avec coupon réponse a été distribué, afin de proposer à chacun de demander à la préfecture le remboursement de son loyer, de son billet de train, de ses amendes ou encore de ses courses.La seule condition à remplir étant de renoncer immédiatement à sa nationalité française, ces remboursements payés par le contribuable ne pouvant être effectué qu’à des clandestins.Vous pouvez donc, vous aussi, profiter de la générosité de la région Bretagne en imprimant et en nous retournons ce bon, disponible sur cette page.En pleine crise économique, en pleine crise sociale, en pleine crise du logement, l’État français préfère nourrir et loger des clandestins plutôt que de venir en aide à sa propre population.Quand l’État n’est plus en mesure de garantir un traitement juste pour ses citoyens, il est du devoir de chacun de se révolter.C’est pourquoi nous incitons également l’ensemble de la population à imprimer, à diffuser et à remplir ce tract que nous acheminerons massivement vers la préfecture d’Ille et Vilaine, haut lieu de la préférence étrangère.« Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir. » (Antoine de Rivarol)
Vidéo de l'action menée par "Jeune Bretagne" -
Des retraites en babouches dorées
« Retraités » en France ou immortels en Algérie, les immigrés peuvent dire merci à la CNAV... et aux salariés français qui cotisent.
« Vivre en France » ? Rien de plus simple, ni de plus confortable, pourvu que l'on se soit doté d'un précieux petit livret publié sous ce titre explicite par l'Agence Nationale de l'Accueil des Étrangers et des Migrations et destiné, comme de juste, aux « ressortissants étrangers arrivant en France ». Cet opuscule de 66 pages, financé par les contribuables les plus généreux de la planète, prodigue tous les renseignements utiles concernant la liberté syndicale, la meilleure manière de trouver un logement social ou d'obtenir la nationalité française, l'accès aux crèches, à l'assistance sociale, à l'aide ménagère, à la contraception et à l'« IVG » remboursée mais qui « doit rester exceptionnelle car des interruptions de grossesse trop fréquentes pourraient compromettre de futures grossesses », à la Couverture Maladie Universelle pour ceux qui ne travaillent pas, et même à l'emploi, si toutefois l'on y tient vraiment : « Avoir un emploi, c'est important. Si vous désirez travailler, vous devez avoir un titre qui vous y autorise. » Comme on dit à Marseille, où les lecteurs du livret sont pléthore, avec des « si » on mettrait l'ANPE en bouteille.
709 euros de retraite par mois, 1 157 pour un couple
Plus fort encore : un immigré âgé de plus de 65 ans, lorsqu'il débarque en France pour la première fois, a droit à « l'allocation de solidarité aux personnes âgées » (APSA). L'information figure en toutes lettres dans le livret d'accueil, page 54 : « Vous n'avez pas travaillé en France ou vous n'avez pas assez travaillé pour avoir des droits à la retraite, vous pouvez demander l'allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) ». Autrement dit, 709 euros de retraite par mois, 1157 pour un couple.
Combien d'agriculteurs ou de petits commerçants ne perçoivent-ils pas cela au bout de toute une vie de travail et de cotisations en France ! Combien de veuves qui ne touchent qu'une chiche pension de réversion, et dont les maris ont pourtant mis au pot des caisses de retraite, des années durant ! Rappelons que la pension de réversion moyenne représente moins de 600 euros par mois - ce qui constitue d'ailleurs un énorme scandale dans un pays dont les dirigeants n'ont que le mot de « parité » à la bouche. Et ce sont ces mêmes caisses de retraite, abondées par les cotisations des salariés, qui payent généreusement l'ASPA aux nouveaux débarqués, qui n'ont jamais travaillé en France, ni jamais cotisé.
Qui osera prétendre, ensuite, que les caisses de retraite sont déficitaires ? Et quel dirigeant ira sans rougir demander aux Français de travailler plus longtemps pour sauver la répartition ?
1 milliard d'euros aux retraités algériens, morts ou vifs
On apprend également aux premières pages de « Vivre en France » que notre pays « compte 62 millions d'habitants ». Apparemment, c'est insuffisant aux yeux de la Caisse nationale d'assurance vieillesse (CNAV) censée gérer les retraites des salariés du secteur privé. Les magistrats de la Cour des comptes se sont en effet aperçus lors d'un contrôle que la caisse versait une pension à de très nombreux centenaires algériens retournés passer leur retraite au bled. Faut-il que le climat algérien soit excellent pour assurer une telle longévité... À moins que ce ne soit le climat de la CNAV : il apparaît assez curieusement que les centenaires algériens sont plus nombreux parmi les pensionnés de la caisse que sur les registres de l'état-civil algérien...
En somme, ce n'est pas parce que la poule aux œufs d'or est morte qu'il faut que ses enfants et petits-enfants cessent de plumer les cotisants français. Papi est mort, vive papi ! Les retraités algériens de la CNAV ont trouvé le secret de l'immortalité et leur nombre ne cesse d'augmenter.
Combien coûte cette fraude à la caisse de retraite des salariés ? Il est difficile de le préciser ; mais la CNAV paie annuellement 1 milliard d'euros aux retraités algériens, morts ou vifs.
Hervé Bizien monde & vie du 2 avril 2011 -
Que signifie vraiment « Capitale verte » pour la ville de Nantes ?
NANTES (NOVOpress Breizh) – Nantes a obtenu pour 2013 le titre de « Capitale verte de l’Europe ». Ici, l’adjectif « verte » signifie en principe « amie de la nature ». Mais le maire socialiste de Nantes pourrait envisager de lui donner une toute autre coloration…
Le prix « Capitale verte de l’Europe » fait partie des opérations promotionnelles – et budgétivores – lancées par la Commission européenne. Créé en 2008, il est décerné sur concours à une ville de plus de 200.000 habitants qui mène une politique exemplaire en faveur de l’environnement. Avant Nantes, Stockholm, Hambourg et Vitoria-Gasteiz ont porté le titre de « Capitale verte de l’Europe ».
Ce n’est pas un titre qu’on s’arrache. Dix-sept villes seulement ont candidaté à l’un des titres de 2012 et 2013. Mais pourquoi Nantes a-t-elle été retenue ? Avant tout pour sa politique de transports en commun. Le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes n’a pas été pris en considération car, malgré le militantisme de Jean-Marc Ayrault en sa faveur, c’est un projet d’État et non un projet nantais !
Les élus verts/écologistes de Nantes Métropole assurent avoir joué un grand rôle dans l’obtention du titre et n’apprécient pas que les socialistes prétendent le récupérer au profit d’un discours pro-aéroport. La discorde entre les deux camps est telle qu’un divorce prochain paraît très envisageable. La bagarre entre anciens amants pourrait être féroce autour du titre de « Capitale verte ».
Mais Nantes semble avoir décidé de couper l’herbe sous le pied des écologistes. « Happy Green Year! » (« Bonne année verte ! » en tout petit) proclament ses panneaux d’affichage signés par Patrick Rimbert, nouveau maire socialiste de Nantes. L’utilisation de la langue anglaise cache cependant un message subliminal : la jeune personne qui figure sur l’une des affiches est apparemment d’origine maghrébine et porte un vêtements aux motifs arabes traditionnels.
Le vert est la couleur de l’islam. Et dans certains pays arabes comme la Syrie, pour se souhaiter une bonne année, on se souhaite une « année verte ». Les socialistes nantais multiplient depuis des années les égards à l’attention des communautés musulmanes et favorisent la construction d’impressionnantes mosquées. De là à imaginer qu’ils comptent donner au titre de « Capitale verte de l’Europe » un sens que ses promoteurs n’avaient pas prévu…
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DALO : 2 000 000 logements vide en France ! explications SVP
Droit au logement est un droit fictif, un faux espoir, le droit "opposable" stupide ! comme le fumeux principe de précaution, dans ces deux cas c'est la réponses énarchique, étatique, face aux réalités d'une France qui ne compte que 56 % de propriétaires (ou l'on détruit les patrimoines et ou on empêche les jeunes générations de s'en constituer un ) par des prélèvements très lourds, une fiscalité confiscatoire et par l'émigration des forces vives est leurs capitaux. La crise des logements sociaux est l'un des facteurs qui participent au déclin moral et économique de notre société. Sans toit, sans adresse ni dignité les "pauvres" sont condamnés à vie dans un assistanat humiliant, une trappe à misère. Les politiques publiques du logement mises en place par l'Etat jacobin, centralisateur, fonctionnarisé et géré par des multitudes d'organismes HLM ne parviennent pas à satisfaire les demandes, ni pour la quantité et la qualité à des prix raisonnables. Le secteur privé a toujours été laminé, méprisé, accablé de taxes, d'impôts, de réglementations très inégalitaires et contraignantes. Au lendemain de la guerre sous la pression communiste, les propriétaires forcement "exploiteurs" ne disposent plus des revenus pour investir, entretenir leur parc locatif. Des lois très favorables aux locataires indélicats, aux squatters, avec la complicité d'une justice coûteuse et lente, cela décourage les investissements pour la location. Résultat : 2 000 000 logements vides ? Inutiles. Soit en attente de travaux, soit que leurs propriétaires ne veulent plus louer par crainte des impayés ou des impôts ! Il faut faire des réformes pour que le secteur privé participe dans la sécurité à l'offre locative ! Pour désengorger les HLM des locataires qui s'y incrustent faute d'offres à prix abordables. L'offre de logement doit être régulée par le marché et par la garantie du respect de la propriété privé. C'est un droit naturel, universel, inscrit dans la Constitution de 1789 ! Seul le marché peut s'adapter aux besoins des français en quantité et en qualité, dans la liberté, avec une fiscalité raisonnable avec des contrats équilibrés entre les deux parties bailleurs/locataires. Le DAL (droit au logement ) et les autres mouvance d'extrême gauche qui prônent les réquisitions se trompent. Un droit au logement ne saurait être un droit naturel, car il est impossible à réaliser sans prendre aux uns pour donner aux autres.
Les droits des uns ne peuvent s'exercer aux dépens des droits des autres. L'état ne peut tout faire. Avec des lois simples, des réformes réelles, le public et le privé peut résoudre l'offre et le prix des logements. La liberté d'entreprendre dans la responsabilité, sans trop de contraintes coûteuses est un facteur de réussite. 60 ans d'échec en matière de logement d'état, c'est la triste réalité….. Effectivement, c'est une stupidité totale. Si nous n'avions pas tant d'immigrés que l'Etat nourrit, habille, loge à nos frais, il y aurait une quantité suffisante de logements pour les Français qui sont souvent plus mal logés que les immigrés. Une certaine concurrence s'établirait entre les propriétaires bailleurs et maintiendrait les loyers à un niveau honnête. En 2009, nous avons perdu 200.000 emplois industriels et nous avons laissé entrer autant, sinon plus d'immigrés. Un jour, les Français vont se réveiller et tout va voler en éclats. Parfois, je me demande s'il n'y a pas un complot contre la France. Toutes mes salutations.
2010 EVRARD Michel.
ET AUSSI La pénurie de logements dépend aussi grandement d'une immigration massive, toujours aussi peu contrôlée et pas du tout choisie contrairement à ce qu'affirme l'illusionniste qui nous sert de Président. Chaque année, par centaines de milliers de nouveaux immigrés viennent alourdir le fardeau des Français. Ils réclament une prise en charge totale, demande que la France s'échine à satisfaire car des lois idiotes et mortelles pour notre pays prévoient que tout individu, même entré illégalement sur le territoire français, est en droit d'exiger l'application de ces lois ! Nous ne pouvons les loger ni leur procurer du travail, d'ailleurs ils sont peu nombreux à entrer chez nous pour ce motif les aides et allocations de toutes sortes leur suffisent, et en plus nous devons emprunter des milliards d'euros à l'international pour satisfaire à leurs besoins ! Nous délirons et nous sommes au bord du précipice ! Avec 5 millions de personnes en âge de travailler et qui n'ont pas d'emploi, le problème de la main d'œuvre doit être résolu avec des solutions franco-françaises et non par un appel incessant à l'immigration pour arriver, par des formations adaptées au monde du travail et des salaires étudiés, à diminuer fortement le coût du chômage. Croire que les immigrés d'aujourd'hui paieront nos retraites demain est faux : dans 20 ans ils seront aussi à la retraite, une retraite qu'il faudra assumer. Leurs enfants, passés par l'Ecole de la République ou par les collèges et lycées musulmans, qui pulluleront bientôt, auront d'autres ambitions que de remplacer leurs parents sur les chantiers ou dans le usines !! Faire encore et toujours appel à de nouvelles couches d'immigrés extra-européens c'est tout simplement entrer dans un cercle infernal alors que par le simple jeu de la fécondité la France sera africaine et musulmane à plus de 50% avant la mi-siècle. La solution minimale qui s'offre à nous pour redresser cette situation c'est un moratoire d'au moins dix ans pendant lequel toute immigration sera suspendue. Ce temps nous permettra peut-être de régler les problèmes des immigrés qui acceptent de s'intégrer par le travail et par le respect des lois et des coutume françaises, les autres devront être renvoyés chez eux.Y.P. 2010
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L'impact macro-économique de l'immigration
Introduction
A côté des coûts budgétaires, que l’on pourrait qualifier de micro-économiques, bien caractérisés par des écritures comptables inscrites dans un budget – ce qu’ont fait avec talent nos intervenants précédents – on peut identifier des coûts macro-économiques, diffus, quasi invisibles car noyés dans la masse, qui se reflètent dans les agrégats macroéconomiques de la France ou dans la comptabilité nationale ; mais qui existent bien quand même.
Les immigrés constituent désormais un segment important de la population française, soit 12,6% de la population totale Or, quand une large partie de la population change sous l’effet d’une immigration rapide, intense et prolongée –c’est le cas de la France –, on peut imaginer aisément que cette nouvelle population d’immigrés, et de leurs descendants, va exercer une influence significative, d’une part, sur les divers agrégats macro-économiques : consommation, épargne, investissement, qui constituent le produit national, et, d’autre part, sur les grands équilibres économiques qui conditionnent son évolution : endettement, chômage, niveau des salaires, productivité ; sans compter le coût des biens sociaux majeurs que sont la santé, l’éducation et le logement.
I
L’immigration et les grands agrégats économiques
1°/ Immigration et consommation
Que les immigrés contribuent à la production des biens et des services de la nation est indéniable. Toute la difficulté est de savoir combien.
- A/ La contribution des immigrés à la production
La seule façon de mesurer la contribution des immigrés aux ressources est de prendre en compte le total cumulé de leurs salaires. En supposant, ce qui est admis, que le salaire moyen des immigrés est de 15% inférieur au salaire moyen en France, cela donne, en cumulé, pour 2,6 millions d’immigrés au travail, environ 37 milliards d’euros sur un total de PIB 1.933 milliards (à prix courants). Il faut y ajouter les impôts et charges sociales qui, selon la comptabilité nationale, représentent 50% des rémunérations, soit 18,5 milliards, ou encore 55,5 arrondis à 56 milliards au total.
- B/ La consommation des ménages immigrés
La consommation, faute d’épargne significative des immigrés, pourrait être évaluée au montant cumulé des salaires, soit 37 milliards. La consommation des ménages dans les comptes nationaux atteint 1.084 milliards d’euros. La part des immigrés, 10% de la population, devrait donc atteindre 10% de ce total, soit 108 milliards. La différence entre ces deux chiffres, soit 71 milliards, laisse un peu perplexe. Comment cette consommation est-elle financée ?
Il faut supposer que ce soit, en partie, les prestations sociales reçues par les immigrés à divers titres, calculées selon certaines sources à 58,6 milliards, qui permettent de financer cette consommation. A ce chiffre s’ajouterait le montant de la fraude, de la délinquance et du travail au noir, estimé à 13,6 milliards (sans doute bien davantage). Ce qui, avec 72 milliards, permet de retomber à peu près sur nos pieds.
Il en ressort que les immigrés reçoivent à peu près deux fois plus qu’ils ne produisent et que la communauté immigrée vit largement de l’aide sociale et d’activités hors marché. Ce qui, à vrai dire, n’a rien de bien surprenant.
- C/ La contribution des immigrés à la croissance
Dans ce contexte, il nous reste un dernier devoir à accomplir, à savoir à tordre le cou à ce « canard » persistant, véhiculé par une gauche à la conscience troublée, que « les immigrés sont indispensables à la croissance et qu’ils vont payer pour nos retraites ».
Regardons plutôt ce que disent des chercheurs sérieux, à l’étranger. Aux USA, les travaux de George Borjas, qui fait autorité en la matière, ont démontré de façon irréfutable que le gain annuel procuré par les immigrés était infime : moins de 0,1% du PIB par an. Même son de cloche en Angleterre où les études menées à la demande de la Chambre des Lords (en 2008, citée par Michèle Tribalat) parviennent à des résultats identiques : l’apport économique dû à l’immigration est quasi nul, 0,1% du PIB. Les enquêtes conduites aux Pays-Bas sont également sans équivoque : le PIB global augmente un peu, certes, mais le PIB par habitant, celui qui mesure le niveau de vie, diminue.
L’enseignement principal de ces travaux est que le gain obtenu par le travail des immigrés va aux immigrés eux-mêmes mais nullement à la population d’accueil qui est perdante dans l’affaire.
C’est ce que le simple bon sens aurait déjà donné : l’immigration a un effet d’appauvrissement sur l’ensemble de la population d’accueil, bien que les immigrés eux-mêmes recueillent largement les bénéfices de leur situation.
En France, bien entendu, c’est l’ « omertà » : on ne veut pas savoir.
2°/ Incidence de l’immigration sur l’investissement et le commerce extérieur
Pour l’investissement, la réponse est simple : les immigrés épargnent peu ou pas et ne peuvent contribuer en aucune façon à la formation de capital fixe.
Pour le commerce extérieur, c’est une autre affaire. Certes, on se doute bien que les immigrés ne peuvent apporter de contribution, même minime, aux exportations. Mais il y a un lien direct entre importations et consommation des ménages. Avec une consommation de 108 milliards, et un marché de 7 à 8 millions de consommateurs nouveaux, l’incidence des ménages immigrés sur les importations doit être sensible.
Nos importations, composées aux trois quarts de pétrole et de produits manufacturés ont atteint 537 milliards en 2010. L’application de la règle de proportionnalité donnerait donc un montant de 54 milliards imputables aux produits importés au bénéfice des immigrés.
Avec un déficit commercial de 71 milliards, on pourrait en déduire que la consommation de la communauté immigrée, sans contrepartie productive significative, suffirait à justifier une large part du déficit commercial de la France. On verra plus loin que l’on pourrait en dire autant du déficit budgétaire.
En ce qui concerne la balance des paiements maintenant, on observera des transferts annuels de l’ordre de 5 milliards, le cinquième du total des transferts courants. On observera avec chagrin que ces transferts ne servent pas à financer l’investissement et le développement comme on pourrait le souhaiter mais servent simplement de soutien alimentaire au bénéfice des familles restées au pays.
II
L’immigration et les grands équilibres économiques
1°/ Immigration et chômage
En septembre 2011, la France comptait 4.176.000 chômeurs, 4.442.000 avec les DTOM, plus de 10% de la population active. Comment mesurer l’incidence de l’immigration sur ce total ?
Les difficultés d’insertion d’une population, peu ou pas qualifiée, sur un marché du travail déjà saturé sautent aux yeux. Avec un taux de chômage de 13,2%, sur les trois millions d’immigrés que compte la population active, 2,6 millions d’immigrés seulement auraient un emploi, 400 000 seraient au chômage.
En fait, pour ce qui concerne l’immigration légale, trois solutions se présentent :
- ou bien les immigrés ne trouvent pas d’emplois et sont donc au chômage ;
- ou ils trouvent des emplois, mais poussent les natifs vers le chômage ;
- ou ils trouvent bien des emplois, mais ce sont des emplois aidés, donc qui coûtent cher à l’Etat.
En conséquence, en termes de coûts :
- - Le coût des immigrés au chômage serait de 3,4 milliards.
- - Un emploi jeune sur quatre bénéficie d’une aide de l’Etat qui prend en charge environ 70% des coûts, soit, pour 450.000 contrats, un coût budgétaire de 4,2 milliards d’euros.
- - Mais le plus important est ailleurs : le coût des natifs chassés par éviction vers le chômage peut être estimé à 22 milliards (à 700 euros par mois, soit 8.500 euros par an, pour 2,6 millions de nouveaux chômeurs natifs).
Le total de ces trois rubriques s’élève donc à 29,6 milliards d’euros.
En d’autres termes, en période de sous-emploi chronique et de quasi-stagnation économique – c’est le cas depuis 10 ans et plus –, l’immigration, quelle soit légale ou non, exerce directement ou indirectement un effet fortement négatif sur les chiffres du chômage et sur les charges budgétaires.
2°/ Immigration, salaires, productivité et désindustrialisation
C’est en quelque sorte le corollaire du cas de figure précédent. L’immigration a, de toute évidence, tendance à tirer vers le bas le niveau moyen des salaires. C’est ce que démontrent abondamment les enquêtes menées à l’étranger, notamment celle de la Chambre des Lords en Angleterre en 2008 (déjà citée par Michèle Tribalat). Aux Etats-Unis, George Borjas, qui fait référence en la matière, a démontré que les salaires des immigrés, notamment les moins qualifiés, exercent un effet négatif d’environ 7% sur le niveau des salaires. On préfère évidemment ne pas trop savoir.
En France on estime le niveau moyen des salaires des immigrés environ inférieur de 15% à celui des natifs, et cela d’autant plus que la grande majorité des immigrés travaillent dans le secteur des services à faible rémunération et à faible productivité : services domestiques (les nounous), restauration et hôtellerie, services de nettoyage, construction, etc.
Tout cela entraîne des conséquences très sévères sur l’économie française.
La première concerne l’investissement productif des entreprises dont on constatera avec inquiétude une lente dérive à la baisse depuis 10 ans. Cela se comprend. Devant une main-d’œuvre abondante et bon marché, l’entrepreneur aura naturellement avantage à substituer du travail au capital, à recruter du personnel à bas coût plutôt qu’investir. Et c’est bien ce que l’on constate. Les dépenses d’investissement en France prennent un sérieux retard, non seulement par rapport à l’étranger, mais aussi par rapport aux performances des années précédentes. De ce déclin tendanciel témoigne aussi la baisse des projets d’investissement industriels constatée ces dernières années.
On assiste donc à une baisse de l’investissement productif privé mais aussi à une tendance à la désindustrialisation de notre pays. L’industrie ne procure plus que 14% de la richesse nationale contre 22% pour la moyenne européenne et 30% pour l’Allemagne. Depuis les années 1980, l’emploi industriel a chuté de 2 millions, de 350.000 postes depuis 2 ans. L’immigration a certainement eu une incidence sur ce phénomène. En France, à ce rythme, on ne fabriquera plus d’avions ou de TGV mais on construira des logements sociaux.
Dernière conséquence, souvent ignorée, et non des moindres, l’effet sur la productivité du travail en France. Chacun sait de quoi il retourne. C’est, en gros, la production tirée d’une quantité donnée de facteurs de production, le travail au premier chef. La productivité reflète le progrès technique. Si la productivité horaire en France apparaît à peu près satisfaisante, sous l’effet du chômage bien sûr, la productivité par salarié, la seule qui a un sens, en vérité, accuse un net déclin, non seulement par rapport à l’étranger (USA, Europe) mais aussi par rapport aux tendances passées, par manque de qualification et de motivations. Sous l’effet d’une immigration de masse, la France est donc tout doucement en train d’emprunter le chemin qui mène au sous-développement économique.
3°/ Pour terminer, on peut estimer que le coût du surendettement des ménages immigrés s’élève à 2,5 milliards.
III
Regards croisés sur trois coûts sociaux majeurs sous estimés
Que les immigrés soient de grands consommateurs de biens sociaux est une évidence que peu de monde se hasarde à nier. On ne peut manquer de se réjouir de cette générosité institutionnelle en progression constante, qui contribue sans doute à la paix sociale, pour un temps. Le malheur veut qu’elle ait un coût. Cette consommation à caractère social porte notamment sur ces trois secteurs majeurs que sont l’éducation, la santé et le logement.
1°/ L’éducation nationale
Chacun reconnaît la dégradation, grandissante, de notre système scolaire. Certes, des réformes, inutiles ou ineptes, sont passées par là, qu’il s’agisse de la méthode globale ou du collège unique, toujours dénoncées, jamais corrigées. Mais il y a un autre facteur majeur, rarement évoqué : l’immigration.
L’éducation nationale coûte de plus en plus cher, pour de moins en moins de résultats, et d’ailleurs moins d’élèves (sauf d’enfants d’immigrés). Le budget de l’éducation nationale croît d’année en année, près de 61 milliards en 2011, une augmentation de 2% par rapport à l’année précédente.
Mais comment ne pas établir aussi un lien de causalité manifeste entre le dépérissement du système scolaire et l’obligation faite à nos écoles d’accueillir des enfants d’immigrés toujours plus nombreux ? Leur place dans la population scolaire est passée de 14% à 16%, et maintenant près de 18%, en raison d’une fécondité deux à trois fois supérieure à la nôtre, celle des natifs. A cela s’ajoute une concentration très forte dans certaines zones, plus de 60 à 80% selon Michèle Tribalat, précisément celles qui sont le centre de violences permanentes dans les filières techniques, les lycées professionnels, ceux qui accueillent le plus d’immigrés.
« Deux tiers des échecs scolaires concernent les enfants d’immigrés », a déclaré Claude Guéant, à la grande indignation des bien-pensants. C’est peut-être exagéré. Mais ce qu’il y a de sûr c’est que le taux d’échecs scolaires des enfants d’immigrés est le double de celui des autres enfants et que les enfants immigrés sortent deux fois plus souvent que les autres du système scolaire sans aucune qualification.
En fait, l’afflux non maîtrisé d’enfants d’immigrés venant de familles déshéritées dont beaucoup maîtrisent mal la langue française provoque la saturation puis la décrépitude de l’ensemble d’un système scolaire largement plus inadapté à cette mission, quoi qu’on fasse.
Comment calculer le coût social phénoménal résultant d’une situation de ce genre, à savoir une éducation au rabais dispensée aux enfants, tous les enfants de France, qu’ils soient ou non issus de la population immigrée ? Tout à l’heure, on a estimé à 1 milliard environ les coûts spécifiques du système scolaire liés à l’immigration. Je crois que cette évaluation est notoirement sous-estimée. Pour ma part, je pense qu’il faut, une fois de plus, appliquer la règle de proportionnalité : si les enfants d’immigrés forment 18% de la population scolaire, les coûts supplémentaires dus à l’immigration (18% de 61 milliards d’euros) peuvent être évalués à 11 milliards d’euros.
2°/ Immigration et dépenses de santé
Les dépenses de santé liées à l’immigration méritent que l’on s’y attarde. Car ce sont des coûts très importants qui sont en jeu ici et pour lesquels, par chance, l’on dispose d’informations statistiques, donc relativement sûres.
Pour les immigrés clandestins, estimés à plus d’un demi-million, les statistiques de l’Aide médicale d’Etat affichent plus de 200.000 consultations par an pour un coût de 600 millions par an, soit plus de 30% du budget du ministère de la Santé.
Mais l’essentiel est ailleurs, avec la CMU, la Couverture médicale universelle, complétée par la CMUC, complémentaire instituée en 1999 par Martine Aubry (laquelle s’affirme décidément, avec les 35 heures, comme un des grands fossoyeurs de l’économie française). On sait que, sous conditions de ressources minimales, ces deux systèmes permettent un remboursement à 100% des soins de santé, notamment des soins hospitaliers, les plus coûteux.
Les études ont montré que le coût de soins ainsi gratuits était d’environ 13% supérieur au coût moyen de soins hors CMU et provoquaient une augmentation de 20% du volume des consultations. Ce qui n’est guère surprenant. La gratuité a toujours cet effet-là. Observons que cette surconsommation médicale des immigrés souvent en quête de placebos est d’ailleurs attestée par le témoignage de nombre de jeunes médecins installés en grande banlieue parisienne.
En 2007, la CMU concernait 1,5 million de personnes bénéficiaires et la CMUC, avec l’Outre-Mer, 4,5 millions, soit, au total, 6 millions de bénéficiaires. Il s’agit souvent d’une population jeune, féminine et urbaine. Il est logique de penser que sur les 7 à 8 millions d’immigrés dont les ressources sont modestes, une grande majorité sont inscrits à l’un ou l’autre de ces deux régimes.
Par ailleurs, le coût moyen annuel par tête, un secret d’Etat bien gardé, était estimé à environ 1.000 euros en 2006. Combien aujourd’hui ?
Dès lors, le coût total du bilan santé de l’immigration s’établit à près de 6 milliards d’euros par an. Il s’alourdit, avec des flux migratoires de 250.000 par an, d’environ 250 millions d’euros chaque année.
3°/ Le logement
- a) La location
Les immigrés sont en majorité locataires à hauteur de 75% (90% chez les immigrés d’origine africaine). Ils occupent 70% des logements dits sociaux à loyer faible ou modéré.
Par ailleurs, 50% des loyers (charges comprises) sont couverts par les aides au logement. Le loyer médian s’élève à 430 euros, soit 5.160 euros par an.
Pour 1.370.000 ménages d’immigrés en location, le total représente donc 7 milliards d’euros. Enfin, on estime qu’un locataire sur 3 connaît des difficultés de paiement ou ne paie pas.
Dés lors, le coût, pour la collectivité, du logement des immigrés est de 50% du total des loyers, soit 3,5 milliards pour les aides et 1/3 pour les impayés soit 2,3 milliards, soit 5,8 milliards au total.
A cela s’ajoute naturellement le coût de la rénovation urbaine dans le cadre de la politique de la Ville, soit 21 milliards sur 5 ans ou encore 4 milliards par an.
Le coût du logement des immigrés frôle donc 10 milliards d’euros par an.
- b) La construction de logements sociaux
Elle fait l’objet d’une demande pressante et permanente. Il n’y aura jamais assez de logements sociaux.
En 2010, l’Etat aura aidé au lancement de 131.000 chantiers, contre un rythme de croisière de 100.000 par an.
A un prix moyen de construction TTC de 1.820 euros au m2, en 2007 le prix unitaire moyen d’un logement de 80m2 ressort à 145.600 (arrondi à 150.000 euros). Ce qui donne un coût annuel de construction de logements sociaux d’environ 20 milliards par an couvert par les financements de l’Etat ou des collectivités territoriales.
4°/ Bilan des coûts
1. Il convient à ce stade d’additionner les coûts sociaux :
- logement : 30 milliards
- santé : 6 milliards
- éducation :11 milliards
soit au total 47 milliards.
2. Mais il faut y ajouter les coûts du maintien de l’ordre : 5,7 milliards, et celui des fraudes et de la délinquance : 13,6 milliards, du surendettement : 2,5 milliards et du chômage : 29,6 milliards, soit 51,4 milliards.
3. A ces coûts il convient d’ajouter les prestations sociales reçues par les immigrés (retraites, famille, vieillesse, allocations diverses), soit 30,3 milliards.
4. Nous arrivons ainsi à un chiffre de 128,7 milliards, dont il faut néanmoins défalquer la contribution des immigrés à la production de richesses, évaluée à 55,5 milliards, ce qui laisse un solde net de 73,3 milliards.
Au total, les coûts nets directs ou indirects de l’immigration s’élèveraient ainsi à 73,3 milliards d’euros.
5°/ Immigration et endettement de l’Etat
En conclusion, la conséquence de tout ce qui précède est : l’endettement de la France, qui a fait couler tant d’encre et qui a manqué de pousser notre pays à la banqueroute.
Qu’il y ait une corrélation étroite entre immigration et endettement public ne fait guère de doute.
C’est ce que nous apprend le rapprochement des séries statistiques du déficit et de l’endettement. Car, quel que soit le chiffre final du coût de l’immigration qui ressortira de nos travaux en fin de journée, cette immigration est, qu’on le veuille ou non, financée en totalité ou en partie par le déficit budgétaire, 85 milliards d’euros, lequel alimente l’endettement de la France, 1.646 milliards d’euros (85% du PIB), dont on a tant parlé et si tardivement. Non seulement il nous a coûté notre cher triple A, mais il sera payé par nos enfants et nos petits-enfants. Financer par l’emprunt une immigration largement composée d’inactifs et d’assistés sociaux, et cela en pleine crise économique et financière, il n’y a qu’en France que l’on voit cela.
Conclusions
La France connaît depuis plusieurs années un appauvrissement tendanciel. Le revenu par habitant plafonne depuis dix ans et recule depuis six ans. C’est le prix de la crise, d’un mauvais management de l’économie mais aussi d’une immigration excessive. L’immigration n’enrichit pas, elle appauvrit.
Si les réformes de restrictions budgétaires retenues par le gouvernement sont mises en pratique, ce qui reste à voir, l’immigration, au lieu d’être payée par l’emprunt, sera payée par nos impôts. Ce qui est déjà un mieux. Mais il serait mieux encore de la ramener à un niveau proportionné aux capacités d’intégration ou d’assimilation de la France.
Mais ceci est une autre histoire…
Yves-Marie Laulan Polemia
Colloque de l’Institut de géopolitique des populations
16/02/2012 -
Les vrais chiffres du chômage : 9 millions de demandeurs d’emplois
Il y a les chiffres officiels (les fameuses catégories A) et puis ceux que l’on ne comptabilise pas… les chômeurs invisibles !
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Russie : l’immigration illégale durement réprimée
Le président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine a signé une loi durcissant les sanctions pour les organisateurs de l’immigration illégale, révèle jeudi le site internet officiel du Kremlin.
L’organisation de l’entrée illégale dans le pays ou du séjour des citoyens étrangers ou des personnes sans nationalité est désormais punie de 300.000 roubles (7.500 euros) d’amende, contre 200.000 roubles (5.000 euros) par le passé. Par ailleurs, la durée maximale du travail obligatoire passe de 360 à 420 heures, des travaux correctifs d’un à deux ans, et des travaux forcées de deux à trois ans. Enfin une nouvelle loi indique que l’aide à l’immigration illégale est passible d’une peine d’emprisonnement de cinq ans maximum, et de 7 ans si la finalité criminelle est constatée.
En Russie le laxisme n’est pas de mise. On ne se contente pas de pérorer dans les médias, on agit. Il est vrai qu’en France, on ne risque pas d’agir dans ce domaine, puisque François Le Normal est un président immigrationiste, élu en partie grâce aux voix des immigrés.
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Coûts et abus de l'aide médicale d'État arch 2009
L'Aide médicale d'État autorise les immigrés clandestins à se faire soigner en France gratuitement, sans risquer aucun contrôle de leur situation. Le système est si confortable que les Français aimeraient être aussi bien traités.
Soigner un malade, fut-il immigré clandestin, c'est-à-dire un étranger entré (et installé) illégalement sur le territoire français, est, sans doute aucun, un devoir non seulement de charité, mais encore de simple humanité. L'Église défend l'une et l'autre raison. Mais si la protection sociale ainsi offerte - gratuitement - devient un automatisme, voire une combine, elle peut, en étant donnée au premier venu, et notamment à celui de l'extérieur, vicier tout un système, les coûts dépassant rapidement le financement qui est celui de notre Sécurité sociale.
Le signe emblématique de cet état de fait s'appelle l'aide médicale d'État (AME), qui a été mise en place, à compter du 1er janvier 2000, par Bernard Kouchner et Martine Aubry, en remplacement de l'aide médicale gratuite destinée aux sans-papiers, et qui était régie par les départements. Gérée par la Direction générale des affaires sociales, en accord avec la Caisse nationale d'assurance maladie, l'AME prend en charge, depuis cette date, les dépenses médicales des étrangers en situation irrégulière et sans ressources résidant en France.
Plus précisément, cette aide donne droit à la prise en charge à 100 % (avec dispense d'avance des frais), aux soins médicaux et aux prescriptions médicales, que ce soit chez le médecin ou à l'hôpital, dans la limite des tarifs conventionnels ; mais également au forfait journalier en cas d'hospitalisation. La grossesse et les soins aux enfants font évidemment partie des "pathologies" prises en charge - de même que l'interruption volontaire de grossesse, c'est-à-dire l'avortement. En conséquence, les sommes énormes allouées à cette aide médicale aux clandestins sert aussi la culture de mort !
Justifier de son identité sans papiers...
Les conditions que doit remplir le bénéficiaire de l'AME sont simples: résider en France depuis plus de trois mois, sur présentation mensuelle d'un justificatif de présence (inscription scolaire ou facture d'hôtel, carte d'abonnement RATP, voire visa... expiré); et disposer de ressources inférieures au plafond fixé pour la CMU complémentaire (621 € mensuels pour une personne, 1 800 € pour six personnes, en métropole, au 1er juillet 2008). La demande, enfin, doit être renouvelée chaque année. En outre, cette aide peut être attribuée, sur décision du ministre chargé de l'action sociale, à certaines personnes de passage en France. Quant aux clandestins qui ne peuvent pas justifier d'une présence de plus de trois mois, ils peuvent néanmoins bénéficier d'une prise en charge des soins d'urgence. L'étranger qui en fait la demande doit justifier de son identité - pour un clandestin, supposé "sans-papiers", la chose peut ne pas manquer de sel... Pour ce faire, l'intéressé peut présenter une carte d'identité, un permis de séjour périmé, ou tout autre document « de nature à attester l'identité du demandeur et celle des personnes à sa charge », telle une carte d'étudiant, ou l'« attestation d'une association reconnue ou d'un professionnel de santé prouvant la bonne foi du demandeur en cas d'impossibilité de produire un document probant ».
Qu'il s'agisse des ressources ou des justificatifs, on peut s'interroger sur la réalité (ou la véracité) des documents fournis. Qu'en est-il, en effet, du calcul de ressources pour des gens dont le travail au noir est officiellement reconnu, dans la plupart des cas, comme le principal revenu ? De même, si une carte d'identité bénéficie aujourd'hui de moyens de contrôle, il n'en est pas de même pour une carte d'étudiant, ou tout autre attestation. Encore ces justificatifs - selon un rapport publié en 2003 par l'Inspection générale des Affaires Sociales, qui comptabilisait pour cette année-là quelque 170 000 bénéficiaires - sont-ils susceptibles d'être remplacés par une déclaration sur l'honneur. Dans la capitale, 40 % des attestations de résidence et 99 % des justificatifs de ressources seraient ainsi suppléés. On comprend qu'il ne soit guère difficile pour un clandestin de bénéficier de cette AME puisque, en définitive, il n'est besoin ni de papiers, ni de ressources déclarées ; et qu'en pratique, il soit aussi aisé de passer la frontière et de fournir facilement ces attestations, pour se faire soigner aux frais de la France lorsque l'on est atteint d'une maladie lourde. Certains petits malins bien Français tentent même de se faire passer pour clandestins afin de bénéficier de l'AME, plus intéressante que la CMU !
Point n'est besoin de grands discours pour comprendre les abus que favorise ce système d'aide. En 2006, la dotation officielle au titre de l'AME était de 233,5 millions €. (Sans parler des 8,5 milliards au total de surcoût que représente l'immigration pour la protection sociale, selon les calculs du professeur Jacques Bichot). Une somme largement insuffisante, puisque la dette de l'Etat fin 2005, soit après cinq ans d'AME, dépassait les 400 millions. De ce fait, l'AME est devenue la part la plus importante des systèmes complémentaires aux services généraux de l'assurance maladie (les deux autres étant l'accès à la protection maladie complémentaire et le fonds d'indemnisation des victimes de l'amiante). L'an dernier, elle représentait 58,6 % de cette complémentarité ; cette année, elle s'est hissée à 80,5 % !
Olivier Figueras monde & vie - 20 septembre 2008
Migrations familiales
L'Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE) a rendu, le 10 septembre dernier, son rapport annuel sur les « Perspectives des migrations internationales ». Il n'y est, bien sûr, question que d'immigration légale. Mais la tactique du regroupement familial favorise l'entrée aussi bien d'étrangers en règle que de clandestins. L'OCDE note qu'en France, 2006 a été une année de stabilisation avec quelque 135 000 titres de séjour accordés. Mais il y a eu, dans ce cadre général, une forte augmentation (60 %)de migrations familiales. Or, la nouvelle loi relative à la maîtrise de l'immigration, entrée en vigueur le 20 novembre 2007, stipule que ce regroupement familial des étrangers demandeurs doit être soumis à un test évaluant leur connaissance de la langue française et des valeurs de la République. A en juger par l'actualité récente, il n'apparaît pas que ce contrôle soit toujours très suivi ...