Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1431

  • De quoi le « contrôle au faciès » est-il le nom ?

    Aujourd’hui le tribunal de grande instance (TGI) de Paris doit rendre sa décision concernant la plainte collective déposée pour « discrimination », contre l’Etat et le ministère de l’Intérieur, par treize  personnes qui s’estiment victimes de contrôles d’identité abusifs  en raison de la couleur de leur peau.  Le Nouvel Obs rappelle que l’un des avocats des plaignants Félix de Belloy, aux côtés de son confrère Slim Ben Achour, s’était félicité en  avril 2012, depuis les marches du palais de justice de Paris ce  que cette action en justice soit   «une première en France ». Pour autant,  « à l’audience, qui s’est tenue début juillet, l’Etat, comme le parquet, ont préconisé de débouter l’ensemble des plaignants ».

     Le procureur Sylvie Kachaner  avait en effet  affirmé que « Ce n’est pas au tribunal de statuer là-dessus, mais au législateur ». «  Dans chaque dossier, le contrôle (était) justifié » et qu’il n’y a  « pas (eu)  de motif discriminatoire ».

     Elle avait demandé rapporte encore le Nouvel obs,  « à ce que les demandeurs soient déboutés. Avant que ne fasse part de sa stupéfaction et de son étonnement qu’on impute entre autres à la justice et à la police des contrôles au faciès sur des critères non démontrés et quasi imaginaires. Elle avait ajouté que « nul ici ne (pouvait) être pour le contrôle au faciès mais qu’aucun des treize cas n’échapp(ait) au cadre légal. Le parquet avait donc demandé aux juges de rejeter les demandes purement et simplement. »

     Ces personnes qui sont l’objet de contrôles d’identité «  se sentent stigmatisés en raison de leur origine, et du lien que fait la police entre l’origine et la couleur de peau et la propension à la violence », avait notamment dénoncé Slim Ben Achour à l’audience.

     Félix  de Belloy   indiquait que les plaignants    sont « des Français de tous âges et toutes catégories sociales » « qui travaillent, étudient, sont insérés, n’ont pas de casier » et sont contrôlés quand « ils marchent dans la rue, vont faire du sport, ou sont attablés en terrasse ». «  Il est temps que la République prenne la mesure et la conscience de ce que sont les contrôles d’identité pour une partie de la population » précisait encore Me de Belloy, qui est aussi romancier à ses heures perdues…

     Le candidat François Hollande, lors de la campagne présidentielle,  avait annoncé qu’il lutterait contre le «délit de faciès» lors des contrôles. Sous la pression des représentants des policiers, Manuel Valls,  soucieux de ne pas se mettre à dos ses « administrés » dés son entrée  en  fonction, avait abandonné l’idée, « un temps évoqué », d’une   « la remise d’un récépissé après un contrôle d’identité ». «  Le ministère de l’Intérieur a néanmoins annoncé le retour du matricule sur les uniformes et un nouveau code de déontologie de la police ».

     A l’appui de leurs dires, les plaignants et leurs avocats  citent une  étude menée en 2009 à Paris par une « fameuse » ONG, l’ Open Society Justice Initiative et le Centre national de la recherche scientifique (CNRS).  Selon cette étude et le rapport qui en a découlé,  intitulé «L’égalité trahie. L’impact des contrôles au faciès», «  les contrôles d’identité par la police à Paris se fondent principalement sur l’ethnicité et le style de vêtements portés par les personnes contrôlées et non sur la base d’un comportement suspect ».

     Ainsi  les personnes perçues (sic)  comme «noires» et «arabes» seraient  contrôlées respectivement six et huit fois plus que celles perçues (sic) comme «blanches».  « Dans certains endroits de France, quand on est noir, on a jusqu’à 11 fois plus de chances d’être contrôlé, jusqu’à 15 fois quand on est arabe. : «A refuser d’entendre les avertissements, on court le risque de favoriser l’éclosion d’une société plus fragilisée, plus fragmentée et plus dangereuse» était-il encore affirmé.

     Bruno Gollnisch relève de son  côté que l’on peut raisonnablement douter de la volonté des policiers effectuant des contrôles de harceler ou de stigmatiser une partie de la population sur un simple critère ethnique, bref de se livrer au « délit de faciès ». Nous allons le voir,  les raisons sont beaucoup plus prosaïques…et statistiques.

     Il convient aussi de douter de  l’impartialité de l’étude  commanditée  par Cet Open  Society Institute. Il s’agit en effet d’un des instruments  possédé par  le milliardaire mondialiste George Soros,  au rôle politique très trouble,  dont nous avons déjà fait état sur ce blog.    Très impliqué dans la défense des Roms, M. Soros est entre autres joyeusetés, un militant actif de la poursuite  d’une politique d’immigration soutenue des pays du Sud vers l’Europe.

     Rappelons aussi la polémique qui était née en mars 2010 lorsque le journaliste et essayiste Eric Zemmour qui avait été alors en but aux attaques du lobby dit « antiraciste »,   avait déclaré , invité d’une émission l de Thierry Ardisson que « Les Français issus de l’immigration sont plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes… C’est un fait ».

     Un « fait «  confirmé  en « off », notions nous alors  par les magistrats et les  policiers,  notamment  par Maître Eolas sur son blog :  « Je pense en effet que les deux tiers des prévenus à une audience ordinaire sont typés noirs ou maghrébins (ce qui ne les empêche pas d’être le plus souvent français). (…) Mais il demeure ce fait : en région parisienne et dans les grandes villes, la population noire et maghrébine se taille la part du lion dans le box des prévenus, avec les gitans pour les juridictions du sud de la France. Aucune statistique fiable n’existe, puisque tout traitement de données sur des bases ethniques est interdit comme contraire à la Constitution »

     Alors avocat général à la cour d’appel de Paris, Philippe Bilger, avait pris la défense de M. Zemmour en écrivant sur son blog « je propose à un citoyen de bonne foi de venir assister aux audiences correctionnelles et parfois criminelles à Paris et il ne pourra que constater la validité de ce fait, la justesse de cette intuition qui, aujourd’hui, confirment un mouvement né il y a quelques années  années. »

     D’ailleurs  et Eric Zemmour n’avait pas manqué de le préciser dans un courrier envoyé aux chiens de garde de la LICRA, le sociologue franco-iranien Farhad Khosrokhavar de l ‘École des hautes études en sciences sociales ( EHESS),  estimait lui aussi,  dans son le livre L’Islam dans les prisons, qu’ entre 50 % et 80 % des détenus étaient  musulmans dans certaines prisons.

     Une  réalité souvent rappelée  par Bruno Gollnisch qui  lui, sans évoquer le critère religieux,  souligne plus spécifiquement la réalité du   poids  de l’immigration et des Français de papier dans le développement affolant de la criminalité.

    http://www.gollnisch.com/2013/10/02/controle-au-facies-il-nom/

  • En Seine-Saint-Denis, la charte de la laïcité peine à s’appliquer

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) – La charte de la laïcité est une mesure cosmétique sans incidence concrète sur la réalité. Ainsi, Rachida est bien allée hier au château de Guédelon avec la classe de CM1 de sa fille, école située en Seine-Saint-Denis. Pourtant, jeudi dernier, l’institutrice avait expliqué à cette femme voilée qu’elle ne pourrait pas accompagner la sortie scolaire. Mais devant l’indignation et la mobilisation des parents d’élèves, la direction de l’établissement a fini par céder.

    Inadaptée, la charte de la laïcité semble donc condamner à rester lettre morte. Il est vrai que si l’on affirme que l’islam est compatible avec la République française, on voit assez mal pourquoi ceux qui le pratiquent devraient être mis à l’écart de certaines activités collectives.

    À force de ne pas vouloir trancher les questions de fond, on se condamne ainsi à la plus complète impuissance.

    http://fr.novopress.info/141869/en-seine-saint-denis-la-charte-de-la-laicite-peine-a-sappliquer/

  • Résorber le chômage ? D'abord l'immigration (arch 2009)

    Les deux chiffres officiels sont tombés le même jour, 25 février. L'un concernait un chômage en plein boom - + 90 200 demandeurs d'emploi en janvier, avec une augmentation de 23 % pour les jeunes de moins de 25 ans -, l'autre l'immigration, elle aussi exponentielle : 119 965 titres de séjour de plus d'un an délivrés en 2008 à des étrangers par la seule préfecture de police de Paris, 185 150 premiers titres de séjour pour toute la France, également submergée de clandestins, Africains et Chinois notamment, si coûteux en terme de santé et de sécurité publiques.
    On nous dira que le rapprochement est simpliste. Mais comment oublier que depuis l'instauration en 1976 du regroupement familial, qui a donné lieu à tant de dérives, la France n'a jamais renoué avec le plein emploi, même en période faste ?
    Pour remédier à la hausse record du chômage, le Premier ministre a aussitôt organisé une « réunion de suivi des mesures du sommet social » et annoncé que le Fonds d'investissement social sera « abondé par l'État autant que nécessaire », Mais comment l'État, dont Sarkozy nous prévenait dès janvier 2008 que « les caisses sont vides » - et le sont toujours plus puisque, selon le cabinet du ministre du Budget Eric Woerth, « la crise économique a conduit à des moins-values fiscales de plus de 11,5 milliards d'euros en 2008 » -, pourra-t-il continuer à jouer les cornes d'abondance, sous peine d'accroître encore le déficit public, qui a dépassé l'an dernier le cap des 56 milliards d'euros ?
    Soit 3,2 % du Produit Intérieur brut, avec une prévision de 5,5 % cette année de l'aveu même du Premier ministre confirmant le 3 mars que « toute l'année 2009 sera une année de crise ».
    Il est vrai que comme nous l'a aussi dit François Fillon, se voulant rassurant, « le gouvernement n'a pas encore utilisé tous les outils des politiques classiques de traitement social du chômage » et qu'il s'y emploiera avec « sang-froid et courage », Pourrait-on dès lors lui suggérer aussi, alors que s'effondrent - toujours en raison de la crise - les industries du bâtiment, de l'automobile, du textile et de l'hôtellerie, d'organiser d'urgence le retour chez eux de tous les allogènes si nombreux dans ces secteurs ? C'est ce que font actuellement la Chine, les Émirats, la Thaïlande et même la République tchèque qui préside l'Union européenne. Un excellent exemple à suivre.

    D'AILLEURS, n'est-ce pas un certain Sarkozy, candidat de l'UMP à l'élection présidentielle, qui affirmait le 3 avril 2007 que « la maîtrise de l'immigration est une obligation pour sauvegarder notre pacte social, sinon il va exploser » ? « Depuis 30 ou 40 ans, déclarait-il à Paris ce jour-là, on a subi une immigration familiale qui a fait venir en France des gens qui n'avaient pas de formation, pas d'emploi et qui a créé des ghettos... Qui ne voit qu'il y a un lien évident entre la politique d'immigration non maîtrisée depuis 30 ou 40 ans et l'explosion sociale dans nos quartiers ? Si on laisse venir tout le monde, comment on va financer notre politique sociale, comment le pacte social va-t-il y résister ? C'est sans doute très généreux de dire qu'il faut que tout le monde vienne mais c'est totalement irresponsable. »

    ON NE le lui fait pas dire. Le candidat est devenu président, et même hyper-président. Qu'attend-il pour se montrer enfin "responsable" et tenir ses promesses d'avril 2007 ? Inverser la courbe de l'immigration est le seul moyen d'inverser celle du chômage, dont on ne redira jamais assez qu'il est certes une catastrophe économique et sociale, mais surtout humaine, qui détruit les individus comme les familles. Or, qu'il y réfléchisse bien, c'est de sa capacité à faire respecter le droit au travail des Français, et des Français d'abord, et non de ses incessantes prises de parole (une trentaine de discours en deux mois) et de ses auto-invitations sur le petit écran, que dépendront sa popularité, et donc ses chances de reconduction à l’Élysée alors qu'après une brève accalmie, les sondages sont pour lui désastreux. Mais non, c'est dans la direction contraire qu'il s'obstine. Le 13 février, à l'occasion de la remise des Médailles de la Famille française, on apprenait que la législation en vigueur, instaurée en 1920 et nécessitant donc un "dépoussiérage", un décret venait d'être soumis au Conseil d’État : il vise à supprimer la condition de nationalité pour les mères "méritantes".
    Le chômage a de beaux jours devant lui.
    Camille Gallic, RIVAROL

  • La mentalité primitive et ses expressions modernes

    Qu'un Européen peu scrupuleux leur apporte un tonneau de tafia, et aussitôt, sans perdre une minute, ils se jettent sur ce poison pour s'en gorger jusqu'à tomber ivres morts. Crédules, obscènes, frivoles, paresseux, menteurs, ils déshonorent l'espèce humaine.
    Charles Richet.
    Nous vivons sur le cadavre putréfié de la France de jadis. Sidérés par le syndrome du bougisme hystérique, abrutis par des stimuli alimentaires, sexuels, pornographiques et stupéfiants incessants, administrés par la très aliénante télévision (objet par excellence de l'assujettissement des individus scotchés sur leur canapé de mort), les Français (à la francité inconsciente) ne se rendent même plus compte des conditions de l'effroyable écosystème dans lequel ils vivent. Comme assis sur un tas de détritus ou sur la dépouille d'un animal suintant de pus, l'individu sous neuroleptiques télévisuels avale sans broncher les poisons psychiques déversés par leurs maîtres. Il se complaît dans la fange produite par un Système qui englobe tout, qui salit tout, qui altère tout, qui empoisonne tout. Progressivement déféqués, les excréments au milieu desquels baignent les Hexagonaux sans âme provoquent chez eux, d'une manière indolore, anosmie, agueusie et cécité. Les voilà fin prêts pour disparaître, déjà étouffés, dissous par le méconium du monde-prison qui vient. La télévision et les outils annexes de propagande servent en premier lieu de tampon entre l'individu (la personne nécessairement esseulée par ce Système jaloux) et les métamorphoses monstrueuses subies par une société au point de rupture. Bref, les moyens de diffusion propagandistes sont tout à la fois incitateurs de décadence et chloroforme embrumant les effets de ladite décadence, un peu comme ces psychopathes appréciés des cinéastes torturant atrocement leurs victimes en leur susurrant de gentils mots... de réconfort. Chaque jour est-il bon de s'interroger sur les effets réels et profonds de leur infernale télévision décortiquant le cerveau de ses innombrables victimes. Combien de temps le régime politique en place survivrait-il à la disparition de la télévision ? Et le Système ? Et son Engeance mortifère ? Combien de temps ? Combien de temps l'autochtone mettrait-il pour se réveiller ? Combien de temps supporterait-il ainsi le monde hideux qui l'entoure sans cet objet maléfique, totem des foyers, destiné à distordre la réalité ? Regardons froidement autour de nous et estimons à sa juste proportion le nombre de jeunes gens, de chômeurs ou de retraités qui recherchent inconsciemment les effets anxiolytiques de la télévision qui ruinent littéralement les capacités critiques et de réaction de l'indolent téléphage. Le sourire de telle présentatrice demeurée apaisera l'automobiliste mis en danger dans la journée par un chauffard d'origine incontrôlée. La propagande ethno-masochiste du 20h fera digérer les blessures, les vexations quotidiennes qui ont mortifié le cœur et souvent le corps de Français sans défense à la merci d'exotiques tortionnaires. Les explications alambiquées d'experts certifiés conformes persuaderont, souvent tard le soir, au paroxysme de la fatigue du téléspectateur, la petite ménagère pâle estomaquée devant des comportements bizarres et violents, que tout s'arrangera avec le temps et que les incivilités des Autres ne sont rien comparées à l'extrême souffrance qui habite ces gens « un peu » différents...
    Le développement fulgurant de la mentalité primitive
    Étonnant phénomène qui gangrène la France, hier si "cartésienne" (dans le sens vulgaire du terme), spirituelle, fine, intelligente. Celui du développement de l'irrationalité tribale telle que cette grossière imbécillité dépeinte au début du siècle dernier par le sociologue juif Lucien Levy-Bruni (cousin d'Alfred Dreyfus et esprit relativement libre jusqu'à l'avènement de l'anti-fascisme intellectuel dans la première moitié du vingtième siècle) dans son fameux ouvrage La mentalité primitive. Un livre dans lequel le savant prétend démontrer la spécificité remarquable de l'esprit des "Sauvages" d'Afrique ou d'Océanie qui se caractériserait donc par une irrationalité fondamentale expliquant cette propension tribale à tout corréler à la magie et aux forces telluriques mystérieuses pour le moins conjecturelles. On pensait cette façon de penser disparue, l'idolâtrie révolue... Las, nous assistons aujourd'hui à une lamentable avancée de l'irrationalité brute et axiologique. Étrange évolution ou plutôt involution sociologique dans un indigénat judéo-maçonnique qui assène à tous les petits élèves de l'école salement républicaine les slogans laïcards les plus violents et qui s'échine incessamment à ringardiser la religion et la "crédulité" de nos ancêtres. Leurs "Lumières", leur psychanalyse,  leur  civisme,  leur "science", leurs idéologies ne sont-ils pas utilisés (et parfois créés dans ce sens) pour casser religion  et  appartenances  religieuses ? Leur but avoué fièrement tout récemment par un Jacques Attali euphorique ? Transformer en lupanar postmoderne les nations du monde et en particulier la France, cible et proie de choix. « La France doit devenir un hôtel...». Une zone de transits nomades où tout est relatif, tout est démonétisé dans un monde désenchanté. Un territoire intégralement dévolu à la consommation, à la prostitution, au mélange des races... et à la violence d'importation. L'objectif d'Attali n'est plus très loin : l'esprit de nos aïeux se meurt dans une France ouverte aux quatre vents violentée chaque jour un peu plus par ceux qui prétendent la diriger. Mais la mentalité primitive, d'importation celle-là, s'amplifie. Ici observe-t-on la multiplication d'espèces de rituels  Vaudou, ailleurs des fausses messes au cours desquelles des corps boudinés et enfiévrés s'agitent en danses macabres. Là encore, de ténébreux individus s'adonnent à la pratique du sacrifice et à l'écoulement du sang humain pendant que d'autres énergumènes (qui sont censés être sensés... et nos égaux !) cuisinent des pénis de je ne sais quelle bestiole africaine ou sniffent de la poudre de gonades de zébu dans l'espoir d'accroître magiquement leurs sacro-saintes capacités sexuelles. D'autres, enfin, n'ont pour désir que la possession de la femme autochtone, rousse ou blonde de préférence.
    La prolifération de la cigale au détriment de la fourmi
    La mentalité primitive se caractérise-t-elle également par une puérilité persistante (à l'âge adulte), une insouciance invétérée et un manichéisme réflexif mis en exergue il y a un siècle par le prix Nobel de médecine Charles Richet ? C'est parfois ce que l'on peut penser en observant attentivement les comportements spontanés des populations "banlieusardes" ou néo-parisiennes et primo-arrivantes à la suite d'événements subjectivement heureux ou malheureux effleurant leur épiderme. On se rappelle à ce propos des incroyables scènes de liesse collective dans certains squats de l'Est parisien à la suite de l'intervention militaire française au Mali où l'on voyait alors des allogènes pratiquer la danse du ventre pour exprimer leur soulagement... Performance relativement esthétique accompagnée des cris hystériques de grosses femmes joviales et exaltées à l'écoute desquels l'on discernait (sans l'accent) des « Merci la France, merci la France »... Cette même France (sans l'accent) qui fut hier encore, à Joué les Tours, tour à tour abhorrée puis louée par de drôles agités arborant des drapeaux fort exotiques. En août dernier, une vidéo équivoque procédait à la victimisation de deux jeunes femmes africaines qui auraient été maltraitées par la police dans cette localité. Rien n'est alors dit (et ne sera dit) sur les circonstances de cette échauffourée... Le but étant, encore une fois, de stigmatiser la France blanche. Illico presto les demoiselles, sous le statut de victime, portaient plainte contre les agents responsables d'un "racisme" insondable et apparaissaient aux yeux du média complice comme des anges du vivre-ensemble républicain. Aussitôt les familles, les amis, les voisins, les frères et les sœurs des plaintives s'approprièrent les rues de Joué les Tours pour faire partager leur joie aux locaux. En faisant visiblement mouche puisque l'on aperçoit dans un reportage journalistique (entendre propagandiste) immortalisant cette liesse colorée quelques autochtones se trémousser au rythme du tamtam des djembés ghanéens.
    Une criminalité ludique ?
    L'été sera chaud, pronostiquaient quelques météorologues (et sociologues) il y a quelques mois. Il le fut. C'est pourquoi, tout naturellement, les Lyonnais (ou résidents lyonnais) se sont précipités dès le début du mois de juillet dans les piscines municipales ou communautaires de Lugdunum et de sa région afin de fuir les morsures du soleil estival. Les baigneurs pensaient faire preuve de sagesse en fréquentant ces complexes aquatiques où ils espéraient trouver une fraîcheur et une quiétude salvatrices. Grossière erreur et naïveté puérile... La majorité des piscines publiques du Rhône furent contaminées par de gros bacilles enragés qui agressèrent les familles placides et les adolescents caucasiens. Je ne sais cependant si l'on perçoit correctement les éléments violents en question sur les clichés publiés par le journal antiraciste Le Monde du 4 août dernier, où l'on constate par ailleurs de jeunes Africains courir aux abords de la piscine ; ce qui est formellement interdit pour des raisons évidentes de sécurité, soit dit en passant. Les autorités ont doublé le nombre d'agents de sécurité, augmenté d'un tiers les effectifs en maîtres-nageurs, incité la police nationale à visiter davantage les alentours des piscines, mais rien n'y fit. Les violences s'intensifièrent jusqu'aux premiers rafraîchissements climatiques qui mirent (provisoirement) fin aux véritables émeutes insufflées par des chances pour la France. Ainsi en juillet et août, des dizaines de jeunes « très nouvelle France » attaquèrent à plusieurs reprises des piscines municipales ! Attaques indubitablement organisées puisque les belligérants prirent d'assaut plusieurs complexes en lançant des centaines de cailloux de taille non négligeable sur des bassins en plein air ! Le 6 juillet, les policiers durent utiliser leur Flash-Ball pour protéger une population pâle prise en otage par une prolifique violence. Trois jours plus tard, une centaine de délinquants juvéniles (que l'on ne présente plus) refusa de quitter les bassins de la piscine du Rhône traumatisant des employés peu préparés à ce genre de guérilla urbaine. La mesure principale préconisée par les petits politiciens locaux dans l'espoir de combattre efficacement la délinquance aquatique nous laisse sans voix : l'augmentation des tarif s pour dissuader les baigneurs extérieurs... Alors que la plupart des néo-barbares visés ici resquillent toujours d'une manière ou d'une autre pour faire trempette !
    Décidément, on a du mal à appréhender cette mentalité et à l'accepter même lorsqu'elle ne nous touche pas directement. Il y a quelques jours dans un supermarché de la belle ville de Colomiers une saynète extraordinaire (à nos yeux tout du moins) témoignait de cet étrange fonctionnement cérébral. Une fillette d'origine gabonaise de 10 ans à qui la maman avait demandé d'aller chercher très vite les courses manquantes dans le magasin courut le long des caisses quand elle croisa le « compagnon de la cousine de sa mère » (sic), lui-même gabonais, soudainement irrité... Sans raison, par jeu, il frappa à sept reprises le crâne de la gosse devant une clientèle abasourdie. Assommée, il la releva en la tirant par une oreille... Le tribunal bouleversé par le chômage du boxeur ne lui infligea que quelques mois de sursis. Peut-être que notre clémente institution a-t-elle également jugé bon de ne point juger ce qu'elle ne comprenait pas ?
    Ces agitations simiesques ne sont bien sûr rien comparées aux événements qui ensanglantent depuis des mois et des années la nouvelle Necropolis, Marseille et ses environs. Les commentateurs maquillés parlent de règlements de compte, de spirale de la violence, de crimes organisés, évoquent les conditions socio-économiques désastreuses de la cité phocéenne (quid de son immigration à croissance exponentielle épinglée dès les années 1930 par Lucien Rebatet ?), la drogue, l'argent facile... Certes, ces éléments sociologiques participent-ils à nourrir le phénomène de l'ultra-violence qui touche une grosse partie des Bouches-du-Rhône, et probablement ont-ils joué un rôle dans sa genèse, mais leurs effets sont démultipliés par un phénomène qui a déjà été étudié dans les quartiers afros et latinos états-uniens : le goût du crime pour le crime cultivé dans une configuration idoine. « Pour la première fois, déclarait l'ancien juge d'instruction et nouveau romancier André Fortin dans Le Monde du 22 août, je me demande s'il n'y a pas un phénomène d'émulation criminologique à Marseille », ou en d'autres mots (et d'ailleurs la plupart des derniers assassinats marseillais ne seraient pas spécifiquement des règlements de compte) si cette succession de crimes et de canardages n'était tout simplement pas l'expression d'une mentalité primitive mise à nue par de longues années de violence glorifiée. Heureusement, cette mentalité spécifique (pour ne pas utiliser un autre adjectif) peut engendrer des comportements plus doux comme à Trappes ou à Saint-Denis où les autorités de notre indigénat pensent encore qu'avec le couvre-feu de 20 heures, "on" peut calmer la masse des quartiers... Un nouvel habitant de Saint-Denis témoignait le 28 août dernier pour le journal Le Parisien : « On voit des groupes déjeunes, des verres de vodka à la main, passer quasiment toute la nuit dans des salons de coiffure (sic) »... Pendant que des merlans et des maquereaux d'un nouveau genre absorbent les fumées magiques de leur crack à quelques encablures de là... Tout allait bien jusqu'à ce couvre-feu qui, selon le sociologue Christian Mouhanna possédant, au moins, cette faculté de nous faire rire, « risque de casser la vie sociale »...
    François-Xavier Rochette Rivarol 5 septembre 2013

  • La saga Baby Loup : comme un germe de guerre civile

    La crèche associative Baby Loup s’est fait connaître en 2008 après avoir licencié l’une de ses salariées voilée, en raison même du port de son voile. Le 19 mars 2013, la chambre sociale de la Cour de cassation avait jugé le licenciement de l’intéressée comme étant dépourvu de cause réelle sérieuse.

    L’affaire close, on pensait ne plus jamais entendre parler de Baby Loup. Mais voilà que la crèche revient sur le devant de la scène suite au refus de la région Île-de-France de subventionner son déménagement de Chanteloup-les-Vignes à Conflans-Sainte-Honorine.

    À une période où tous nos hommes politiques font du zèle en matière de laïcité, la décision a de quoi surprendre. Quel est donc le motif de ce refus ? Officiellement, la région ne subventionne que les investissements et non les simples financements d’association. Pourtant, si l’on en croit Le Figaro, la région aurait déjà financé la crèche dans le passé. Nous ne sondons pas les reins et les cœurs, mais il se pourrait bien qu’officieusement la cause de ce refus soit plus inquiétante. Dans un texte publié sur le site du Monde, la directrice de l’établissement nous révèle les difficultés qui furent les siennes depuis l’éclatement de l’affaire. Le moins que l’on puisse dire est qu’il y a matière à douter que la France soit encore la France : [...]

    Adrien Abauzit - La suite sur Boulevard Voltaire

     

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-saga-Baby-Loup-comme-un-germe

  • « Sale blanc » : conférence-dédicace à Strasbourg

    « Sale blanc » : conférence-dédicace à Strasbourg

    AGENDA – Gérald Pichon, l’auteur du livre « Sale blanc, chronique d’une haine qui n’existe pas », paru aux éditions IDées sera en conférence-dédicace à Strasbourg le vendredi 18 octobre 2013 à 20 heures, à l’invitation du Cercle Eugène Ricklin, créé par le Bloc Identitaire Alsace. Sur inscriptions uniquement, à l’adresse alsace(at)bloc-identitaire.com.

    http://fr.novopress.info/141820/sale-blanc-conference-dedicace-a-strasbourg/

  • Berkane Maklouf, assassin de la petite Fiona : une vraie « chance pour la France »

    Le Point dresse un portrait bref mais peu flatteur de Berkane Maklouf, le beau-pière de Fiona qui, après avoir joué une ignoble comédie suite à la « disparition » de la fillette de 5 ans, a été convaincu de son meurtre.

    Petit caïd de banlieue, toxicomane, menteur éhonté, tabassant régulièrement la Française un peu paumée qu’il s’était dégotté comme beaucoup d’autres, « connu des services de police » comme on dit, etc.

    L’article du Point peut donner à croire que la conduite de Maklouf était seulement de « la faute à la drogue », mais cette racaille étrangère était  globalement assez lucide pour, sans officiellement travailler (et donc toucher des aides), acquérir un studio, ou encore pour pousser sa compagne à se convertir à l’islam…

    http://www.contre-info.com/

  • Les Roms, vus de votre village et vus par Bruxelles

    Les Roms, vus de votre village et vus par Bruxelles

    PARIS (NOVOpress/Kiosque Courtois) - « Les occupants de campements ne souhaitent pas s’intégrer dans notre pays pour des raisons culturelles ou parce qu’ils sont entre les mains de réseaux versés dans la mendicité ou la prostitution. » « C’est illusoire de penser qu’on réglera le problème des populations roms à travers uniquement l’insertion. » « Il n’y a pas d’autre solution que le démantèlement des campements et les reconduites à la frontière. » Autant de petites phrases prononcées ces jours-ci par Manuel Valls en réponse aux appels à l’aide de centaines de maires.

    C’est une véritable déferlante

    Le Conseil de l’Europe décompte 20.000 Roms en France, mais l’ONG de défense des Roms, « La Voix des Roms », estime leur nombre à 500.000. Combien seront-ils en 2014, quand la Roumanie et la Bulgarie seront membres de plein droit de l’Union européenne ?

    Les propos de Valls ont néanmoins provoqué l’ire de certains socialistes… Mais le soutien d’autres

    Martine Aubry, Harlem Désir, Cécile Duflot, Anne Hidalgo, Jean-Luc Le Drenn y sont allés de leur couplet, inquiets d’y voir « un tapis pour les thèses de l’extrême droite ». Voire de « mettre en danger le pacte républicain », un comble s’agissant de Valls, un ponte du Grand Orient !

    Mais ensuite seize élus socialistes, tous maires ou premier adjoint (les municipales sont proches !) ont publié une tribune soutenant Manuel Valls. Parmi eux le maire de Lyon, Gérard Collomb et l’ancien ministre, Daniel Vaillant.
    Il faut dire qu’un sondage BVA a trouvé que 77% des Français interrogés, approuvent les propos de Manuel Valls «car il faut dire les choses clairement». Après les municipales ces maires et adjoints socialistes auront 4 ans pour soutenir l’inverse.

    L’agacement de Viviane Reding

    « Si je ne me trompe, il y a de l’élection en l’air en France. A chaque fois qu’on ne veut pas parler de choses importantes comme le budget ou les dettes, on trouve les roms, » a ironisé la vice-présidente de la Commission européenne. Elle a rappelé au ministre de l’Intérieur que la Commission européenne a débloqué 50 milliards d’euros pour l’intégration des Roms – une bagatelle ; elle n’a pas exclu l’éventualité de sanctions si Paris limitait la libre circulation de certains ressortissants de l’Union.

    Crédit photo : Novopress, (cc).

    http://fr.novopress.info/141803/les-roms-vus-de-votre-village-et-vus-par-bruxelles/#more-141803

  • Allemagne : la Münchner Bank barre l’accès au compte en banque d’un handicapé militant de Die Freiheit

    Allemagne : la Münchner Bank barre l’accès au compte en banque d’un handicapé militant de Die Freiheit

    MUNICH (via le site de Lionel Baland) – Christian Holz (ci-dessus) est porteur de la décoration « Munich brille » pour sa participation, durant 22 ans, à la Commission des personnes handicapées de la ville de Munich. Membre du parti anti-islamisation die Freiheit, il a voulu retirer de l’argent à un distributeur automatique. Or, son mot de passe ne fonctionne plus car son compte en banque est bloqué par la Münchner Bank.

    Michael Stürzenberger, qui dirige die Freiheit à Munich, vient de recevoir de la Münchner Bank l’information que son compte en banque est lui aussi immédiatement bloqué

    Christian Holz n’a pas la vie facile. Handicapé moteur, il est depuis l’âge de 14 ans dans une chaise roulante. Après avoir été membre du Parti social-démocrate SPD, du parti écologiste, du Parti post-communiste die Linke,, il a décidé de rejoindre die Freiheit, car ces trois première formations politiques refusent d’aborder la question de l’islamisation.

    La raison du blocage du compte en banque de Christian Holz par la Münchner Bank réside dans le fait que le site Internet anti-islamisation PI-News, qui compte 90.000 visiteurs par jour, a lancé une campagne de soutien à Christian Holz, suite à la condamnation à une amende de 1.800 euros qui l’a frappé pour avoir mal manœuvré sa chaise roulante lors d’un rassemblement organisé par die Freiheit et d’avoir ainsi heurté la jambe d’un contre-manifestant social-démocrate.

    Crédit photo : Lionel Baland.

    http://fr.novopress.info/141768/allemagne-la-munchner-bank-barre-lacces-au-compte-en-banque-dun-handicape-militant-de-die-freiheit/#more-141768