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immigration - Page 1434

  • Naturalisations : 600.000 électeurs nouveaux pour le Parti socialiste

    PARIS (NOVOpress via Kiosque Courtois) – « Ils sont en train de brader la France ! ». Nadine Morano, qui fut pourtant ministre d’un gouvernement particulièrement laxiste en matière d’immigration, n’a pas de mots assez forts pour fustiger l’explosion des naturalisations, en hausse de 14% en l’espace d’un an grâce à l’action zélée du ministre de l’Intérieur, Manuel Valls. Lequel s’est félicité de ce « beau combat pour la France ».

    Hollande, ne pouvant imposer le droit de vote des étrangers, se livre donc à une véritable entreprise de contournement. Est ainsi acté la quasi-disparition des critères de naturalisation, entre autre l’abrogation de l’obligation de détenir un CDI et la suppression des questionnaires de culture et de langue française. Le fait même d’avoir été clandestin, et donc d’avoir violé la loi française, n’est plus un obstacle à la naturalisation. 2013 s’annonce comme une année record avec un taux d’avis favorable des préfets qui passe de 40 à 61 %. Le chiffre record de 2012 de 100.000 immigrés naturalisés par voie réglementaire, en plus des 20.000 naturalisés par mariage, sera largement dépassé. Afin de saper les derniers îlots préfectoraux de résistances, la prochaine étape vise à harmoniser les pratiques de l’administration par la création de « plates‑formes régionales » pour l’instruction des dossiers.

    Ce « grand remplacement », pour reprendre l’expression de Renaud Camus, n’est pas nouveau : déjà sous Sarkozy, l’ancienne majorité y avait largement contribué. Le 3 mai 2010, le quotidien Aujourd’hui en France écrivait : « Les naturalisations explosent à Paris où grâce à la récente simplification des démarches, le nombre des étrangers naturalisés a doublé par rapport au 1er trimestre 2009, soit une augmentation de 52 % ». Fin de citation. Diktat de l’oligarchie cosmopolite, ce phénomène se retrouve dans tous les pays européens. Ainsi en Italie, la ministre de l’intégration, Cécile Kyenge, d’origine congolaise a réaffirmé sa volonté de voir s’instaurer le droit du sol.

    Cette course folle des politiques européens avait été théorisée un peu avant les élections présidentielles de 2012 par le cercle de pensée Terra Nova, proche du Parti socialiste. Selon ce dernier, le PS s’étant coupé de sa base sociologique ouvrière, c’est dans la masse des immigrés que se trouve pour les socialistes les nouveaux gisements de voix qui doivent les maintenir indéfiniment au pouvoir « La France des quartiers populaires [comprendre des quartiers ethniques] est massivement à gauche (…) la France de la diversité est aujourd’hui la composante la plus dynamique, tant électoralement que démographiquement, de la gauche en France. » (rapport de 2011). Entre 2002 et 2010, il y a eu environ 700.000 naturalisations en France, ce qui, selon Terra Nova, a arithmétiquement produit quelque 600.000 électeurs nouveaux pour le Parti socialiste.

    http://fr.novopress.info/141237/naturalisations-600-000-electeurs-nouveaux-pour-le-parti-socialiste/#more-141237

  • L’immigration et la destruction de l’Angleterre : la prise de conscience du Guardian

    Le métissage de la planète ne pourrait plus que nous divertir.
    Nous n’avons plus de maison, nous n’avons plus de ville,
    nous n’avons plus de patrie, nous n’avons plus de race.
    Mieux encore : nous n’avons plus de contemporains.

    Lucien Rebatet ("Dialogues de vaincus")

    Comme je l’ai indiqué, on assiste à un timide réveil de la conscience anglo-saxonne devant l’immigration qui rapidement nous fait oublier tous les Crocodile Dundee et John Wayne de l’univers. Kevin McDonald officie en Amérique ainsi que d’autres, M. Salter en Australie, qui a refusé de s’asseoir sur l’invasion de son pays et surtout la déformation de sa profession, la biologie, devenue à se tordre de rire. C’est comme la conquête spatiale ou les feuilletons télé...

    En Angleterre, j’ai déjà rappelé la vision prophétique d’Enoch Powell (un homme qui refusait aussi la guerre contre les Russes, mais est-ce un hasard ?), souligné la révolte récente du Monty Python John Cleese, et même celle de la presse tory (le Daily Mail), si différente de notre Figaro pas trop bien-pensant mais bien trop engraissé de subventions, et qui nous informe que les Anglais - les britons - fuient Londres où ils ne se sentent plus chez eux, chassés par la hausse des prix et leur timidité d’autochtone envahi.

    Nous sommes maintenant à la place des Indiens d’Amérique et ce dans toutes les capitales blanches. La débandade est généralisée, à Berlin ou Stockholm y compris, villes occupées par des hordes globales. On est revenus au temps des Tartares, dit-on, mais c’est tout bon. On nous avait dit que nous avions besoin d’immigrés, nous avons refusé ceux de l’Europe de l’Est, jugés trop blancs et trop chrétiens pour notre goût, et nous leur avons préféré ceux d’Afrique et d’Asie, et nous avons pourtant vingt millions de chômeurs. C’est drôle tout de même.

    Les cons, dirait Audiard, ne s’arrêteront pas en route, et ils revoteront à gauche en 2017 en hurlant à la mort de la liberté si le FN de Marine Le Pen, pourtant bien timide maintenant, ombre de ce qu’il fut pour mieux dire, fait les 30 % attendus au premier tour.

    Il n’y a pas de victimes, disait-on dans Deux flics à Miami, il n’y a que des volontaires.

    Icône de la gauche humaniste britannique, David Goodhart fait amende honorable dans un récent article du Guardian. Il publie aussi un livre sur le sujet, "the British Dream", dans lequel il explique astucieusement que l’immigration c’est mauvais... pour le pays de l’émigration. Le Malawi n’aurait plus que 336 infirmières, ayant exporté les autres comme des ananas et la Sierra Leone a 90 % de ses diplômés à l’étranger (comme la France !), se demandant ce qu’elle peut faire de tous les milliards que nos démocraties exsangues lui envoient une fois que l’on a racketté l’été le contribuable et siphonné les consciences avec les résultats sportifs.

    David Goodhart a beau expliquer que l’immigration n’est pas trop bonne pour eux, il en oublie de dire qu’elle n’est pas très bonne pour nous. Et il ajoute quand même que les dépenses de la sécurité sociale britannique, au pays de Tony Blair si fêté par Alain Madelin et tous nos libéraux, et aujourd’hui milliardaire du pétrole kazakh, que les dépenses de la sécurité sociale british donc ont augmenté de 40 % depuis l’élection, en 1997, du si libéral et si belliciste PM travailliste. Et la population du grand Londres (ou ce qu’il en restait...) a été remplacée ou déportée. On avait le new labour, on a le new coloured !

    C’est dommage parce que comme beaucoup de gens de droite j’aimais bien l’Angleterre.

    Mais si c’est pour y revoir Belleville ou Barbès... je me contenterai de relire Tolkien, de revoir la très belle bio filmée de CS Lewis en attendant de me relouer en rêve un cottage paumé dans le district des lacs.

    Goodhart reproche à la gauche d’avoir trop prolongé la panique des années 50, notamment concernant les réfugiés. En cela il est proche aussi de Kevin McDonald lorsque ce dernier explique les modifications pour des raisons humanitaires des lois sur l’immigration dans les années 60 aux Etats-Unis : les réfugiés, les immigrés, c’est-à-dire deux milliards de personnes, sont chez nous chez eux. Les pas contents peuvent partir.

    Il n’est pas mal tout de même qu’un homme de gauche en Allemagne (Thilo Sarrazin) ou en Angleterre se réveille sur ce qui se passe. Cela ne se passera pas en France, terre des droits des l’Homme etc., mais comme on disait plus haut il n’y a pas de victimes, il n’y a que des volontaires. On verra où nos enfants pourront se réfugier (82 % de l’élite des diplômés s’en vont chaque année maintenant) ; quant aux Anglais, ils vont devoir abandonner leur île (12 % sont déjà partis en une génération, les blancs n’y sont plus que 83 %) après avoir abandonné leur prestigieuse capitale qui avait résisté aux bombes nazies.

    Car ce que ni Philippe II, ni Napoléon ni Hitler n’avaient réussi à faire, occuper l’Angleterre, l’humanitarisme l’aura fait sans un coup de feu en cinquante ans : Charles Clarke, le responsable de l’immigration du parti travailliste parle de 300 millions à un milliard de venues futures parce que, dit-il, on ne s’entend pas sur la définition de réfugié.

    Qui a dit que l’enfer est pavé de bonnes intentions ?

    Nicolas Bonnal

    http://www.france-courtoise.info/?p=1488#suite

  • « L’immigration, c’est le génocide des peuples » : Forza Nuova dénonce le projet fou de Cécile Kyenge en Italie

    <i>« L’immigration, c’est le génocide des peuples »</i> : Forza Nuova dénonce le projet fou de Cécile Kyenge en Italie

    ROME (NOVOpress) – Des militants du parti Forza Nuova ont déposé, mercredi, devant un bâtiment administratif de Rome, trois mannequins maculés de sang factice accompagnés du slogan suivant : « L’immigration, c’est le génocide des peuples. Kyenge, démission ! ». Un appel dirigé contre Cécile Kyenge. La ministre de l’Intégration italienne, aux racines congolaises, ne cesse de vouloir s’attaquer à l’identité du peuple italien. La veille de cette opération, elle était en campagne à Venise afin de réitérer sa volonté d’instaurer le droit du sol en Italie qui favoriserait l’immigration de masse dans ce pays.

    « Notre geste veut symboliser le danger dans lequel se trouverait l’Italie si l’on appliquait le droit du sol », a d’ailleurs expliqué Forza Nuova sur son compte Facebook. Depuis avril dernier, Cécile Kyenge mène une croisade en faveur de l’octroi de la nationalité italienne aux enfants nés dans la Péninsule de parents étrangers. Elle veut en finir avec la loi sur la citoyenneté italienne, basée sur le seul droit du sang, à la différence de la France (droit du sol). Cécile Kyenge veut remettre en cause aussi le délit d’immigration clandestine, rendre le marché du travail plus accessible aux étrangers et, dans une langue de bois très politiquement correcte, « lutter contre la violence sexiste, raciste et de toute autre nature ».

    Crédit image : DR.

    http://fr.novopress.info/141207/limmigration-cest-le-genocide-des-peuples-forza-nuova-denonce-le-projet-fou-de-cecile-kyenge-en-italie/#more-141207

  • Colombes : un banditisme « made in » Marseille

    Soixante-dix policiers ont été déployés en renfort dans la nuit de mardi à mercredi à Colombes (Hauts-de-Seine). La ville a été le théâtre de deux fusillades entre bandes rivales en moins de 24 heures. Mardi, vers 19 heures, un groupe de délinquants a tiré sur le conducteur d’un véhicule. Il a pris la fuite et n’a pas été retrouvé par la police. Une source policière évoque « une recrudescence des règlements de compte entre bandes rivales ». La veille, déjà, un homme d’une trentaine d’années avait été blessé par balles dans le quartier multiculturel de Petit-Colombes, gangréné par les trafics de stupéfiants depuis de nombreuses années.

     

    « Toutes proportions gardées, nous connaissons dans certains quartiers une situation comparable à [celle de] Marseille », a déclaré Philippe Sarre, le maire socialiste de Colombes. « Si la violence est moins élevée, la logique maffieuse de conquête de territoire et de maîtrise des marchés parallèles est à l’œuvre », a estimé l’édile francilien. Tombé entre les mains de la pègre maghrébine, le nouveau banditisme ne frappe pas qu’à Marseille, mais s’étend à l’ensemble du territoire national. L’un des nombreux méfaits de l’immigration de masse.

    http://fr.novopress.info/141144/colombes-un-banditisme-made-in-marseille/#more-141144

  • Du regard à la cigarette : Ces faits divers que la France ne comprend pas

    Du regard à la cigarette : Ces faits divers que la France ne comprend pas

     

    La recherche Google: « agressé pour une cigarette » donne près de 3 millions de résultats. Si on remplace « une cigarette » par « un regard », nous ne sommes pas loin de 18 millions de résultats. Même si ces statistiques sont un peu à l’emporte-pièce, elles révèlent tout de même des faits nombreux et fréquents. Beaucoup de sites internet en parlent, signe d’une inquiétude grandissante.

     

    Si on lit les articles de presse relatant ces agressions, il y a un élément dominant : les agresseurs sont le plus souvent issus de l’immigration. Pour être plus précis, ils viennent eux, ou bien leurs parents du Maghreb. Les immigrés originaires du reste de l’Afrique ne semblent pas participer à cette criminalité ou dans une moindre mesure.

     

     Voici quelques clés pour comprendre ce phénomène.

     

     Au Maghreb, fumer est considéré comme un acte impur qui s’accompagne de certaines règles sociales différentes de celles en vigueur dans la majorité des pays occidentaux. Par exemple :

     

     -         Il est permis de fumer dans la plupart des lieux publics

     

     -         Les femmes ne fument pas. Celles qui le font, ne fument jamais en public.

     

     -         Un jeune ne fume jamais devant une personne plus âgée

     

     -         Un homme, même âgé, ne fume jamais devant sa mère ou son père

     

     -         Un homme ne demandera jamais une cigarette à son père, son frère ainé ou en général, toute personne manifestement plus âgée.

     

     -         On ne demande jamais une cigarette à un supérieur hiérarchique

     

     -         On ne fume pas devant un imam

     

    -         On ne fume pas devant une mosquée ou dans un cimetière

     

     En Algérie, quand mon père – un homme âgé – sort de la maison, les jeunes du quartier le saluent poliment. Ceux qui fument cachent discrètement leur cigarette. Dans le même ordre d’idées, quand on passe devant une maison où il y a des funérailles, on éteint ou on planque sa cigarette par marque de respect.

     

     Le fait de fumer est socialement acceptable au Maghreb mais frappé par énormément de règles.

     

     Comment demande-t-on une cigarette en Algérie ?

     

     -         Pardon mon frère, tu as une cigarette pour moi ? Hachak mon frère.

     

     -         Oui, tiens. Tu veux du feu aussi ?

     

     -         Oui, merci mon frère. Hachak.

     

     Le mot « hachak » veut dire «  sauf ton respect ». Il est de bon temps de le placer une fois ou deux dans la conversation. La personne qui demande la cigarette doit manifester un grand respect envers son interlocuteur. Ces règles de bienséance sont applicables – mais plus souplement – même si les deux personnes se connaissent. Et encore une fois, on ne demande des cigarettes qu’à des males de même âge – ou plus jeunes – et de même condition sociale.

     

     Ces précautions sont justifiées par le fait que fumer est un acte impur et demander une cigarette est faire participer l’autre à un tel acte.

     

     Hors de ce contexte, la demande de cigarette est – en soi – une insulte. Demander du feu pour allumer une cigarette qu’on possède déjà est soumis aux mêmes contraintes. Par contre, on peut demander l’heure, son chemin, de la monnaie sans précautions particulières. Ceci montre que la cigarette a un statut spécial.

     

     L’Immigration en France

     

     En termes d’immigration, la France est la poubelle du monde et ce n’est pas le Front National qui le dit. Cette affirmation est un lieu commun dans toute l’Afrique. Sur ce continent, l’émigration – fuir, partir définitivement – sont des thèmes récurrents. En résulte naturellement un classement des destinations selon la difficulté d’obtenir un visa, les possibilités d’insertion sociale et professionnelle, l’attitude des habitants vis-à-vis des étrangers… etc. Ne lisez pas ce qui va suivre si vous êtes Français : l’Allemagne est considérée comme un pays difficile à cause de la langue et de l’hostilité des habitants, l’Autriche c’est l’Allemagne en puissance dix, le Canada est mal coté à cause de son climat froid et la France c’est la poubelle du monde.

     

     Ce terme de « poubelle » renvoi à un autre concept utilisé de manière très libérale au Maghreb et en Afrique : celui de « déchet ». On utilise ce terme entre nous pour designer des gens sans scrupules, sans valeurs et sans intelligence aucune. Ils détruisent tout ce qu’ils touchent et là où ils arrivent, les habitants d’origine commencent à fuir devant la dégradation immédiate de la qualité de vie. Incapables au sens le plus large du mot, ils ne peuvent vivre que d’assistanat. Et pendant que leurs voisins vont au travail pour les nourrir par leurs impôts, leurs enfants brulent leurs voitures et leur jettent des ordures.

     

     Nous n’utilisons pas le mot déchet pour les insulter, mais pour les décrire. Le déchet va usuellement à la poubelle. Comme la France est l’Eldorado de l’assistanat et l’impunité, il est donc naturel qu’elle attire ce genre de clientèle qui devient « une chance ». Ce pays est champion en inversion de valeurs.

     

    Beaucoup d’émigrés avec un bagage professionnel et intellectuel évitent la France. Ils connaissent le climat malsain qui y règne. Ils savent que le travailleur honnête payera des taxes, dormira dans un taudis et vivra sans papiers alors que le déchet qui crache sur la France sera vite naturalisé.

     

     Il y a des immigrés de qualité en France mais eux-mêmes, après un parcourt difficile pour s’insérer, vivent mal les choix d’immigration de ce pays. Il est pénible de devoir prouver chaque jour qu’on est « hors système » et qu’on ne vient pas dans le cadre de la déchèterie à ciel ouvert.

     

     L’Agression Demande de Cigarette

     

     L’agresseur psychopathe – issue de l’immigration-déchet – demande une cigarette. La démarche est déjà une insulte dans le code de l’agresseur mais la victime l’ignore à ce stade. C’est équivalent à un insulter une personne dans une langue étrangère.

     

     Le deuxième but de l’intervenant est aussi de sonder sa victime et évaluer si c’est une cible qui comporte des risques.

     

     Enfin, le dernier objectif est de tester la soumission de la victime. Si celle-ci donne une cigarette de manière soumise, l’agresseur peut aller plus loin et lui demander de l’argent, un objet de valeur ou des faveurs sexuelles. Selon sa disposition du jour, l’agresseur peut aussi se contenter de la cigarette et les choses s’arrêtent là. Mais la victime est repérée et sera régulièrement « taxée » jusqu’au jour où on lui demandera plus encore.

     

     Le refus

     

     Dans le monde du psychopathe, les autres ne sont vus que comme des moyens de satisfaire des besoins ou des obstacles à ces mêmes besoins. Toute personne qui ne reconnait pas le royaume du psychopathe et ne se plie pas à ses intimidations, est vue comme un obstacle à détruire.

     

     Ici, le terme psychopathe est utilisé dans le sens clinique. C’est-à-dire que le sujet est médicalement psychopathe si on se réfère aux critères de liste PCL-R du docteur Robert Hare. Cette liste est utilisée comme un outil de diagnostic clinque de la psychopathie surtout chez le sujet male délinquant.

     

    Le refus de la cigarette est vécu comme une rébellion d’un sujet qui – dans le monde du psychopathe – doit se soumettre totalement. La victime est donc insultée et – selon l’opportunité – agressée physiquement.

     

     Ceci permet au psychopathe d’affirmer son autorité. Il aura la réputation de massacrer à mains nues toute personne qui lui refuse quelque chose d’aussi insignifiant qu’une cigarette.

     

     Voici un exemple: Il a été agressé à Nice. Il porte 2 cicatrices sur le visage. Une de 4 cm et l’autre de 10 cm. Ils attaquent au rasoir parce qu’il est réputé laisser des blessures moches qui guérissent en cicatrisant de manière visible. Le visage pour que la personne se souvienne jusqu’à sa mort qu’elle leur a un jour refusé une cigarette. Et comme il le dit si bien maintenant : pas facile de trouver un boulot avec ma gueule. [source]

     

     Le Regard

     

     Le regard est à classer dans la même catégorie que la cigarette. Le psychopathe exige des Français une soumission totale et absolue. Celle-ci doit se traduire dans l’attitude corporelle de dominé : le dos courbé, la voix basse et le regard baissé.

     

     Vous êtes perçus comme du bétail et si vous faites le moindre geste pour contrarier cette vision, vous risquez l’agression.

     

     Adaptation des Lois

     

     Savez-vous en Tanzanie on tue les albinos parce qu’un bras d’albinos peut-être vendu à plus de 2000 dollars ?

     

     Si un pays a quelques immigrés tanzaniens bien intégrés, il n’y a rien de spécial à faire. Les lois génériques qui protègent la vie humaine suffisent. Par contre, si des masses de gens sont importés de Tanzanie et déversés dans des cités, leur intégration est – par définition – impossible. Dans ce cas, il faudrait passer des lois spécifiques pour protéger les albinos des abus et autres crimes.

     

     Pareil en France mais là il ne s’agit pas de problèmes de Tanzaniens. La France a causé un désastre social et humanitaire dont elle est la première victime. Par un filtrage inversé d’une immigration massive – le pire est accueilli – elle a créé des zones  ingérables. Certains commentateurs disent « Marseille c’est Alger ! ». On ne peut plus faux. Si l’immigration avait été aléatoire, Marseille aurait pu être Alger, mais – encore une fois – dans la majorité des cas, c’est les pires qui ont été sélectionnés. Marseille serait plutôt la rue la plus infréquentable d’Alger transformée en ville. C’est-à-dire que les voyous psychopathes ont atteint un volume critique leur permettant de contrôler des villes et les mettre à feu et sang à la moindre contrariété.

     

     En interdisant la burqua, le législateur français a fait un pas dans le bon sens. Il a compris qu’en important des populations aux problèmes spécifiques, il faut des lois spécifiques. Maintenant, cet élan s’est arrêté là. Pourquoi à Trappes ou ailleurs on réagit si brutalement a cette  loi ? Ce n’est pas tant pour défendre la burqua que pour terroriser le législateur et éviter qu’il n’aille plus loin avec des lois encore plus précises visant les problèmes de la communauté maghrébine en France.

     

     Alors que la burqua si peu répandue a eu sa loi, le phénomène de la hoggra, plus courant encore doit avoir les siennes. La hoggra c’est : je t’agresse gratuitement parce que je peux. C’est l’agression pour humilier. Elle ne sert qu’à donner à l’agresseur une gratification personnelle et un sentiment de supériorité. D’abord, connue sous une forme très marginale dans les sociétés du Maghreb, aujourd’hui elle en est la gangrène. Ces sociétés évoluent avec une religiosité hystérique et expressive de surface, mais le fond est purement matérialiste. Les plus forts écrasent les plus faibles. Au départ pour les spolier de leurs biens et de leurs droits : je te bouscule et je prends ta place dans la file, je construis sur ton terrain et tu n’as pas les moyens de me trainer au tribunal, je dépasse dans un virage et je t’allume les phares pour te pousser de la route : va au platane ! Meurs pour me permettre de rouler comme je veux ; tu veux toucher ta retraite ? Je te prends une partie sinon l’ordinateur est en panne…

     

     La hoggra est souvent utilisée improprement comme une agression dont le but permet l’obtention d’un avantage quantifiable. Mais ce n’est pas sa vocation première : la vraie définition du mot c’est l’agression totalement gratuite.

     

     Avec la structure sociale d’aujourd’hui, les gens qui travaillent et ont une assise familiale équilibrée font – en moyenne – moins d’enfants. En effet, ils ne font que les enfants dont ils peuvent raisonnablement s’occuper et assumer sur tous les plans. On parle ici des plans financiers, affectifs, organisationnels… etc. En même temps, combien d’enfants font des familles pathologiques et totalement déstructurées ? Elles n’ont aucune limite. C’est l’Etat qui prend en charge. Pour l’éducation, les enfants sont jetés à la rue dès le plus bas âge – dès qu’il peut marcher – et y restent jusqu’à tard le soir. D’ailleurs, en France des Préfets se sont rendus compte du phénomène et il y a eu des velléités de couvre-feu pour les ados et les enfants. Mais le fait est que ce sont ces familles dysfonctionnelles qui participent le plus activement à la démographie. Pendant ce temps, les autres familles travaillent et se stérilisent pour financer cette démographie.

     

     La France doit se rendre compte de cette problématique et s’y attaquer en première priorité. Autrement, elle sera condamnée à voir ses enfants tomber sous des couteaux, ou se faire massacrer à mains nues pour des cigarettes, des regards ou même pour rien du tout.

     

     Collectivement, les Français ont aussi une responsabilité importante. Ils ont pendant plus de 40 ans voté pour des partis qui supportent clairement ce type d’immigration. Ces partis minimisent ces crimes et prennent même des dispositions pour relâcher les agresseurs au plus vite. 

    Que dire ? La prochaine fois qu’on vous demande une cigarette, donnez-la et quittez la ville.

    Aldo Sterone

     

    Source: Operation Tea for Two

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Les affiches anti-immigration du FPÖ affectent les capacités intellectuelles des immigrés

    Les affiches anti-immigration du FPÖ affectent les capacités intellectuelles des immigrés

    LINZ (NOVOpress via Lionel Baland)En Autriche, une étude du Professeur associé à l’Université Johannes-Kepler à Linz, Markus Appel, conclut que lorsque des étudiants issus de l’immigration voient des affiches avec des images ou des écrits considérés comme hostiles aux étrangers, leurs capacités intellectuelles diminuent.

    Les tests pratiqués par le professeur ont consisté à faire faire des exercices mentaux difficiles à des élèves d’origine étrangère. Des affiches (photo) du FPÖ (1) contenant les slogans : « État social plutôt qu’immigration », « À la maison plutôt qu’islam » et « Allemand plutôt que “Pas comprendre” » leur ont ensuite été montrées. Des tests mentaux difficiles sont alors soumis à ces élèves qui ont beaucoup plus de difficultés à les résoudre alors que si on leur soumet les mêmes tests sans qu’ils aient vu les affiches, ils ne rencontrent pas de difficultés supplémentaires par rapport aux premiers tests.

    Des élèves d’origine autrichienne ont été placés dans des conditions semblables et n’ont pas vu leurs résultats modifiés après avoir regardé les slogans des affiches du FPÖ. Les capacités de réflexion des étrangers soumis à ces affiches du FPÖ baissent de 6 %.

    (1) Les thèmes forts du  FPÖ sont la résistance au grand remplacement de population par l’immigration extra-européenne et une politique pour promouvoir et renforcer la famille et la natalité européenne. Lors des  dernières élections présidentielles il s’est classé en deuxième position.

    http://fr.novopress.info/141137/les-affiches-anti-immigration-du-fpo-affectent-les-capacites-intellectuelles-des-immigres/#more-141137

  • Armes de destruction massive des populations d’Europe (arch 2005)

     

    « Même en incluant l’immigration, la population de l’Europe des Douze va diminuer de 7,5 millions sur les 45 prochaines années, selon les calculs de l’Onu. Depuis l’époque de l’épidémie de "mort noire" au XIVe siècle, l’Europe n’a jamais connu un déclin aussi large de sa population », écrit l’historien britannique Niall Ferguson, cité par Pavel Kohout.

    Selon les projections de l’Onu, la Lettonie va perdre 44 % de sa population en 2050. La population va se réduire de 52 % en Estonie, de 36 % en Bulgarie, de 35 % en Ukraine, de 30 % en Russie, de 22 % en Italie, où le taux de fécondité est tombé à 1,2 enfant par femme.

    Le Daily Telegraph écrit : « Il est virtuellement impossible de gagner sa vie. Prenez simplement Rome. Vivre avec un minimum de dignité humaine (un petit appartement loué, un souper à l’occasion au restaurant) exige une paie mensuelle de 13 000 euros avant impôt, ce qui revient à 1 800 euros après celui-ci. 70 % des Italiens de 25 à 29 ans vivent chez leurs parents, où ils bénéficient d’un logement subventionné et où leur pauvre revenu devient un confortable argent de poche. »

    Lorsqu’un jeune Européen doit choisir entre fonder sa propre famille et vivre confortablement sans enfant, il va très probablement choisir la deuxième option - à moins qu’il n’appartienne à une classe sociale qui considère avant tout les enfants comme une source de bénéfices sociaux. Un haut niveau de taxation, combiné à des marchés du travail et du logement déficients, forme un mélange vraiment génocidaire.

    Le modèle traditionnel, qui exista notamment en Espagne et en Italie, mais également en Europe centrale et orientale, souligne les étapes successives de la fondation d’une famille. Premièrement, un jeune homme est diplômé d’une université ou d’une école spécialisée ; il assure ensuite son niveau de vie, qui est suivi par un mariage et seulement ensuite des enfants viennent au monde. Cette succession n’est pas seulement conforme aux conventions sociales, mais elle est également basée sur une vraie logique économique : il est simplement insensé de commencer à avoir des enfants sans gagner sa vie. Le tabou du sexe dans les cultures occidentales a des raisons économiques profondes.

    Les difficultés commencent lorsque l’un des maillons de la chaîne est rompu.

    Dans l’Europe contemporaine, le problème principal réside dans le deuxième maillon : gagner sa vie. Le chômage parmi les jeunes diplômés tend à être bien plus élevé que pour la moyenne des actifs. Dans des pays tels que la France, l’Espagne, la Finlande, la Grèce ou l’Italie, 20 % à 30 % des jeunes sont sans emploi. Quel taux de fécondité peut-on attendre si un cinquième ou même un tiers des jeunes adultes sont incapables de gagner leur vie en raison d’un marché du travail déformé ?

    Mais il existe un autre problème. L’impôt sur le revenu et les contributions à la Sécurité sociale augmentent, alors que les investissements dans le patrimoine bénéficient de réductions d’impôts. Le soutien étatique aux familles existantes implique des charges plus élevées pour les jeunes gens qui n’ont pas encore fondé de famille.

    La prétendue "aide aux familles" empêche ainsi la création de nouvelles familles, et réduit efficacement le taux de fécondité. Si un jeune adulte célibataire n’a plus que de l’argent de poche après avoir payé l’impôt sur le revenu, il sera difficilement capable d’économiser suffisamment pour fonder un foyer.

    Les politiciens de la plupart des pays européens pensent qu’il n y a au fond rien de mal à avoir un faible taux de naissances sur une planète surpeuplée.

    Certes, nul ne peut établir le "bon" volume de population pour un pays ou un continent par des moyens scientifiques. Ce que l’on sait, en revanche, c’est quelle pyramide des âges est favorable, et laquelle est désastreuse. Dans quelques décennies, une grande partie de l’Europe sera dominée par une pyramide des âges très défavorable, avec une énorme augmentation du nombre de personnes âgées.

    Les systèmes de retraites actuels vont inévitablement subir une crise longue et sévère.

    Le scénario le plus probable suggère que l’âge de la retraite doit progressivement être élevé, d’abord à 65 ans, puis à 67 ans au début des années 2030, et ainsi de suite. En d’autres termes, un système de pensions peut fonctionner quelques décennies, avant d’être graduellement marginalisé par l’élévation de l’âge de la retraite jusqu’à revenir au système en vigueur en 1880, lorsque dans l’Allemagne de Bismarck l’âge de la retraite était fixé à70 ans - avec une espérance de vie moyenne inférieure à 50 ans. Si en 2050 l’âge de la retraite est par exemple fixé à 90 ans, avec une espérance de vie moyenne oscillant autour de 80 ans, alors le système de pensions peut être viable à long terme. Mais la retraite à 60 ans sera complètement exclue pour les enfants d’aujourd’hui. Pour maintenir, en effet, l’âge de la retraite à 65 ans il faudrait porter les impôts à 70 % ou 75 % des salaires bruts.

    Ce qui conduirait les plus jeunes et les mieux instruits à émigrer vers des pays aux impôts moins élevés, d’où une aggravation du déficit démographique.

    Si la fécondité chute si brutalement en Europe continentale c’est déjà en raison du système de retraite.

    Par le passé les enfants étaient considérés comme des investissements qui assuraient à leurs parents les moyens de subsister à la retraite alors que le système anonyme d’aujourd’hui amène tous les actifs à payer les pensions de tous les retraités d’une manière totalement dépersonnalisée et permet à un grand nombre de parasites de recevoir plus que ce qui correspondrait à leur contribution globale dans leur vie active.

    Ceux qui ont des revenus largement au-dessus de la moyenne, au contraire, sont pénalisés, parce que le système leur donne moins d’argent que le montant de leur contribution.

    Ce "principe de solidarité" décourage les bas revenus autant que les hauts revenus. Les seconds pensent qu’ils n’auront pas besoin d’enfants dans leurs vieux jours. Les premiers savent ne pas pouvoir se permettre d’en avoir.

    Tout système étatisé de retraite réduit l’incitation économique naturelle à avoir des enfants. En même temps, l’Etat-providence, luxe ruineux, doit être financé par des impôts qui réduisent la capacité financière des gens en âge d’avoir des enfants et renforcent l’effet négatif sur le taux de fécondit ».

    La nature ayant horreur du vide, ce déficit est comblé par l’immigration.

    Dans les années 60, on comptait 350 000 musulmans nord-africains en France, pour environ 1,25 million de Français vivant en Afrique du Nord. Depuis lors, la notion de "colonialisme" a été entièrement renversée. Il n’y a presque aucun Français en Afrique du Nord, mais le nombre de musulmans originaires d’Afrique ou du Moyen-orient en France approche les 10 millions. Le nombre exact n’est pas plus précis, parce que les statisticiens français ne sont pas autorisés à collecter des informations sur les structures ethniques et religieuses de la population.

    Cependant, certaines estimations suggèrent qu’une naissance sur trois en France se produit dans une famille musulmane. Ceci expliquerait en partie pourquoi la France a un taux de fécondité - environ 1,7 enfant par femme - plus élevé que l’Espagne ou l’Italie. Sans cette influence, le taux français se situerait aux alentours de 1,2 enfant par femme, soit un chiffre similaire à ceux constatés en Europe méridionale et orientale.

    A cet égard, le journaliste israélo-russe Shlomo Groman écrit : « Dans n’importe quelle garderie (de Vienne) les clients sont avant tout des Arabes, Iraniens, Pakistanais, Turcs, Japonais, Coréens et Africains. Les femmes Viennoises n’enfantent pas - elles chérissent plutôt leur apparence et leur carrière. Le système de pensions d’Europe Occidentale a rendu l’éducation d’enfants moins avantageuse que l’ascension sociale et la maximisation des revenus. »

    La culture semble jouer un rôle encore plus crucial que les impôts ou les retraites. Les pays de l’ancienne Union Soviétique forment à ce sujet un intéressant "laboratoire démographique". Nous avons déjà mentionné l’Ukraine, les pays Baltes et la Russie. La situation dans les républiques islamiques - l’Azerbaïdjan, le Tadjikistan, l’Ouzbékistan et le Turkménistan - est complètement différente : toutes ou presque vivent une explosion démographique. Le niveau de vie de ces pays est proche de celui de la Géorgie et de l’Arménie, c’est-à-dire pauvre. Mais la Géorgie et l’Arménie souffrent de la même commotion démographique que, par exemple, les pays Baltes.

    La différence réside dans le caractère traditionnellement chrétien de ces nations.

    L’Arménie va perdre un quart de sa population d’ici 2050, alors que la population de l’Azerbaïdjan voisin va augmenter d’un tiers.

    En 2050, le Yémen sera davantage peuplé, par exemple, que l’Allemagne.

    La pression migratoire sur l’Europe sera immense. Compte tenu des lois sur le "regroupement familial", l’exode du Proche-Orient et d’Afrique du Nord aura d’énormes dimensions.

    Au lieu de l’intégration d’immigrés dans une société majoritairement européenne, l’inverse se produira : les immigrés vont intégrer la culture européenne existante dans leur propre civilisation. Après quelque temps, ce sera leur propre civilisation qui deviendra dominante. Nul besoin d’être un supporter de Jean-Marie Le Pen pour être inquiet à ce sujet.

  • L'effet de serre contre les nations (arch 2009)

    Un fantasme climatique détourne l'attention de la catastrophe réelle qui frappe l'Europe, le déclin démographique des nations et l'invasion-immigration, dont sont complices les gouvernements soumis à l'idéologie mondialiste
    On s'est trompé d'apocalypse. Ou plutôt, l'on nous trompe. Le cauchemar d'un globe submergé dans un siècle par les mers gonflées par la fonte des pôles masque la submersion, bien réelle, ici et maintenant, de l'Europe par le tiers monde. Ironie, cette manœuvre de diversion qui joue sur un fantasme alarmiste se présente comme un acte de courage lucide fondé sur une analyse scientifique irréfutable.
    Procédons par ordre. Du général au particulier. Il n'est pas question de nier qu'un certain type de développement sans mesure ni responsabilité abîme notre planète et puisse en menacer l'avenir. Si tous les Chinois tiraient leur chasse d'eau comme les Américains, ou gaspillaient de même énergie et matières premières, le monde entier serait un cloaque. Ici l'on doit rendre grâce à la bienheureuse inégalité des civilisations et des développements, qui limite les expériences funestes et maintient vivaces des pensées ou des comportements permettant d'y remédier. La préservation du milieu par l'homme est donc un devoir urgent : mais sur le fait même que l'environnement est une cause juste et bonne, il devient l'objet de manipulations politiques aisées. De même que les escrocs ont opéré sous le pavillon d'une noble association de lutte contre le cancer, de même peut-on faire passer n'importe quelle marchandise sous le pavillon du bien et de la nature.
    Quand on examine les nombreux textes de l'ONU sur le développement durable et l'éthique du développement durable, on s'aperçoit que leur but affiché est l'installation d'un gouvernement mondial et la soumission de toutes les consciences à une pensée unique. D'ores et déjà, le prétexte écologique est utilisé de plus en plus fréquemment pour limiter la souveraineté des États nations.
    Quant à l'effet de serre en particulier, on notera pour commencer quelques contradictions surprenantes. Ceux qui postulent que le réchauffement de l'atmosphère est dû en grande part aux gaz produits par les combustions d'énergies fossiles devraient soutenir à fond le nucléaire, seule source d'énergie permettant, au moins pour une longue période de transition, de tenter de limiter les émissions de gaz tout en maintenant le niveau de vie et d'activité. Or, dans leur immense majorité, les organisations non gouvernementales qui gravitent autour de l'ONU et s'agitent à Kyoto s'opposent au nucléaire. Quelle est leur cohérence ? Quel est leur véritable but ?
    À terme, la réduction des émissions de gaz à effet de serre supposerait une révolution des comportements économiques et probablement des niveaux de vie, surtout si l'on tient compte de la croissance naturelle des pays sous-développés. Ceux qui disent le souhaiter en mesurent-ils les conséquences et sont-ils prêts à l'expliquer aux populations concernées - à commencer par les Européens ? Dans l'immédiat, réduire les émissions de gaz carbonique de quinze pour cent handicaperait les industries, augmenterait les chômage ; or les partisans de cette réduction des émissions sont aussi partisans d'autres mesures qui, elles aussi, favorisent chômage, immigration non contrôlée, 35 heures généralisées, gestion socialiste, libre-échangisme sans frein. Encore une fois, qu’elle est leur cohérence, quel est leur véritable but ?
    Ces contradictions donnent à penser que le véritable but de la campagne médiatique sur l'effet de serre n'est pas de défendre l'environnement mais de manipuler l'opinion occidentale pour la préparer à un nivellement des économies et à un abandon de souveraineté par nos nations.
    Le traitement de l'information sur ce sujet corrobore cette hypothèse. Les médias donnent en effet pour une certitude ce qui n'est qu'une hypothèse. Un chercheur présenté comme une autorité disait lundi matin à 8 heures sur France Inter que les méfaits de l'effet de serre avaient été établis à la conférence de Rio en 1992. C'est faux. Rien n'a été prouvé. Ce qui est certain, c'est que la teneur de l'atmosphère en certains gaz a augmenté depuis cinquante ans. Sur les causes et les conséquences du phénomène, il convient en revanche d'être prudent. Sur la part qu'y prend l'homme également. Lorsqu'on se souvient des manipulations auxquelles ont donné lieu les déchets nucléaires ou les prétendues pluies acides, on examinera avec attention toutes les thèses en matière de climatologie, en se souvenant qu'un nombre très restreint des instituts donnent l'information qui forme l'opinion. Quelques hommes font la pluie et le beau temps en climatologie. Les conclusions qu'en tirent les médias ont un poids tel qu'il est urgent d'attendre pour les juger, et de se méfier de l'utilisation politique qu'on en fait.
    M.P. National Hebdo du 4 au 10 décembre 1997