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immigration - Page 1427

  • Consigny : «Si rien n’est fait, nous aurons la guerre civile, ce qui est déjà un peu le cas»

     

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    Selon Charles Consigny, la gauche fait comme si le pays n’avait pas de problème, disqualifiant ainsi sa parole en ces temps de violence extrême. Il estime même que «la gauche sombre dans le négationnisme»

    Quand quelque chose ne correspond pas à sa grille de lecture du monde, la gauche affirme que ça n’existe pas et lapide en place publique quiconque oserait dissiper le rideau de fumée qu’elle s’époumone à dresser.

    Nous avons été contraints d’apprendre qu’il y avait bien eu, contrairement à ce qu’avaient affirmé toutes nos autorités publiques, des «vols» et des «caillassages» après le déraillement du Paris-Limoges à Brétigny. Lors des faits, quand certains sites internet avaient relayé ces informations, j’ai d’abord été horrifié, mais pas surpris, et finalement rassuré en entendant les voix officielles démentir ce que j’ai alors pris pour des rumeurs venues de l’extrême droite. J’ai pensé que, tout de même, on n’en était pas là.


    Si les médias font leur travail, nous sommes au début d’un gigantesque scandale. Bien sûr, et malheureusement, mais depuis longtemps, la population est habituée à ce que ses gouvernants lui mentent. […]

    Les barbares sont non pas à nos portes, mais dans la cité (si j’ose dire) depuis une trentaine d’années.

    Or, si rien n’est fait, les oracles vilipendés par des Inrocks aveugles auront raison, et nous aurons la guerre civile, ce qui est déjà un peu le cas. Comme dit Finkielkraut avec drôlerie, il ne s’agit pas d’annoncer toujours l’imminence de la catastrophe, car elle a déjà eu lieu.

    Vous allez voir que le gouvernement ne réagira pas au scandale. Il éludera. Sa parole est désormais totalement disqualifiée. Elle n’avait pas grand intérêt avant, elle est maintenant inaudible. Les pouvoirs publics sont tenus par des fous.

    Le Point  via Fdesouche.com

  • Laïcité sélective

    « Je suis toujours un peu surpris du double standard de nos élus laïcs. Voila des gens qui s'interdisent de souhaiter un 'Bon N oël' (remplacé par un très générique 'Bonnes Fêtes de Fin d'Année'), qui ignorent Pâques, et qui organisent ensuite une Nuit du Ramadan. À dire vrai je n'ai guère besoin d'eux pour fêter Noel, Pâques, et la Trinité (qui n'est pas qu'une station de métro), et je ne sais pas quel sens auraient leurs vœux.
    Et si j'étais musulman ? Si j'étais musulman je me méfierais de cette danse du ventre à laquelle on assiste depuis une demi-génération. On voit des politiques, des hauts fonctionnaires et des éditorialistes qui édictent que l'Islam est une religion de ceci ou de cela, qui fixent de leur propre autorité que « le véritable islam » ne demanderait pas telle ou telle chose. Ce discours constitue tout à la fois la carotte et le bâton : en échange du soutien parapublic à cet islam «véritable» (ou «républicain», ou « de France », ou «citoyen», ou comme on voudra), les musulmans sont priés de correspondre dans leurs pratiques à l'image attendue d'eux.
    Mais puisque je suis catholique, c'est autre chose qui me surprend : c'est la géométrie très variable de la notion même de laïcité chez ces élus. Voyez comme ils se fâchent quand les évêques et leurs prêtres, s'intéressent aux affaires de la Cité ; entendez leurs voix indignées (exemple récent) de ce que l'Eglise se prononce sur l'ouverture du mariage civil aux couples homos. Bien. En bonne logique ils devraient d'emblée rejeter par principe toute position papale sur l'immigration – par exemple quand il dit à Lampedusa : « nous regardons le frère à demi mort sur le bord de la route, peut-être pensons-nous 'le pauvre', et continuons notre route ». Mais... que nenni, que nenni! Ces élus laïcs applaudissent alors des deux mains.
    (...maintenant, évidemment, on peut réécrire mon texte « en miroir », aux dépens de certains catholiques conservateurs...)

     http://ab2t.blogspot.fr/

  • « Pour en finir avec l'idéologie antiraciste » de Paul François Paoli

    Le 10 septembre 2012 à Aix-en-Provence, lors de l'inauguration du Mémorial du camp des Milles, seul grand camp d'internement et de déportation sous commandement français encore intact (et ayant abrité ensuite des collaborateurs ou supposés tels à la Libération), le premier ministre annonçait que « la lutte contre le racisme et l'antisémitisme étant une priorité de [s]on gouvernement » et qu’il convoquerait en urgence un « comité interministériel sur ce sujet », sujet d’une actualité brûlante, on en conviendra, en ces temps de crise. Le 12 septembre, Harlem Désir, cofondateur et ancien président de SOS-Racisme, était désigné à la tête du Parti socialiste et, le lendemain, on apprenait le départ – en fait, la démission forcée – de Richard Millet, pourfendeur d’un multiculturalisme fossoyeur, selon lui, de notre civilisation comme de notre nation, du comité de lecture des éditions Gallimard, dont plusieurs vedettes exigeaient depuis un mois l'éviction (1). Comment illustrer plus clairement la dictature de l’antiracisme ?
    CL

    C’est dire si tombe à pic le dernier livre de Paul-François Paoli, Pour en finir avec l’idéologie antiraciste, « idéologie totalitaire […], manichéenne et dualiste, je dirai même simpliste » puisqu’elle « divise le monde en bons et méchants, en amis et ennemis » et « ignore la complexité du réel, ses ambivalences, car cette complexité la détruirait ».

    Du communisme à l’antiracisme via le tiers-mondisme

    Au milieu des années 1980, alors que les partis communistes français et italien, naguère si puissants, connaissaient leur crépuscule, l’auteur de ces lignes avait démontré comment, après le rapport Khrouchtchev sur les crimes de Staline et la sauvage intervention de l’Armée rouge en Hongrie, les militants marxistes-léninistes et trotskistes s’étaient recyclés dans le tiers-mondisme. Puis, la décolonisation s’étant soldée par de sanglants échecs, des guerres tribales, la ruine économique et l’exode vers l’Europe des populations enfin libérées, les anciens hérauts des Mao, Nkrumah, Sékou Touré, Ché Guevara et autres Boumedienne se trouvèrent un nouveau cheval de bataille, une nouvelle raison d’être : l’antiracisme, qui, issu du marxisme le plus extrémiste et le plus dogmatique, ne pouvait être que totalitaire, même si, comme le souligne P.-F. Paoli, cet antiracisme se drape dans les oripeaux de l’humanisme, excipe des « principes de la République » et s’appuie sur le messianisme des « valeurs universelles » dont la France serait le dépositaire de droit divin, valeurs d’autant plus commodes qu’elles sont floues – et, d’ailleurs, fort peu universelles, plusieurs grandes nations continuant à les ignorer.

    Refus du réel et nouvelle religion d’Etat

    Mais peu importe à l’idéologue, espèce qui se caractérise par sa « capacité de déréalisation de l’expérience vécue » et sa « volonté de cécité fondée sur une certaine ignorance » de tout ce qui n’entre pas dans le schéma fixé. D’où la détermination de l’idéologue (et de ses valets de presse) à se refuser ne serait-ce qu’à accepter de regarder en face certains aspects gênants de l’immigration telles la montée de l’islamisme et la dilution concomitante du sentiment national, la délinquance, la baisse continue du niveau de l’instruction publique, la crise du logement, etc., tous inconvénients que seuls peuvent mettre en exergue des racistes invétérés. Et inutile d’opposer à l’irénisme de cette religion d’Etat qu’est devenu l’antiracisme les constatations désenchantées de l’anthropologue Claude Lévi-Strauss, les protestations de la démographe Michèle Tribalat contre les toujours optimistes statistiques officielles, l’avertissement de l’Américain Christopher Caldwell, auteur du terrifiant Une révolution sous nos yeux/ Comment l’islam va transformer la France et l’Europe (2), ou les cris d’alarme de certains édiles comme Xavier Lemoine, maire de Montfermeil dans la Seine-Saint-Denis. Ce département comptant « un million d’habitants dont le premier tiers est constitué d’étrangers (ayant une carte de séjour), le second de Français sans aucune ascendance française (naturalisations et droit du sol), le dernier tiers ayant des ascendances françaises mais qui vieillissent et qui déménagent » quand « les deux premiers tiers ont une natalité deux fois supérieure au dernier », M. Lemoine se dit avec angoisse « aux avant-postes de l’Histoire de France, témoin d’une bascule géographique sans précédent dans l’histoire du pays ».

    Lynchage et persécution judiciaire

    C’est cette même bascule qui est enclenchée dans certains départements du nord et du sud de la France mais le nouvel ordre moral antiraciste nie et surtout interdit de la faire connaître sous peine de lynchage médiatique, de persécutions policières et judiciaires dignes de la haute époque soviétique (chassez le naturel, il revient au galop…). « Ce ne sont plus les mauvaises mœurs qui sont traquées, écrit P.-F. Paoli, c’est tout un chacun, à tout moment, qui peut être incriminé pour ses mauvais propos, ses vilaines pensées, ses attitudes suspectes. Chaque mois qui passe apporte une nouvelle illustration de ce phénomène étrange : le brandissement glorieux du raciste que l’on a traqué, figure du mal absolu qui a pourtant presque disparu de notre monde. » Ce qui n’empêche pas les dirigeants des innombrables « organisations représentatives » dûment homologuées de mener la grande vie grâce aux extravagantes (et combien scandaleuses en ces temps de rigueur) subventions versées par l’Etat à ces lobbies pour mener leur chasse à un ennemi phantasmatique.

    P.-F. Paoli est d’ailleurs conscient des représailles auxquelles il s’expose avec la publication de son essai, d’où de fâcheuses concessions à la police de la pensée (« l’insupportable police juive de la pensée », avait même écrit la très regrettée Annie Kriegel dans Le Figaro du 3 avril 1990 à propos de la future loi Gayssot). Ainsi soutient-il en préambule que « l’antiracisme tel qu’il s’est conçu après la Seconde Guerre mondiale et notamment après les procès de Nuremberg doit être porté au titre des acquis de l’humanité » ! De même rend-il des hommages répétés aux musulmans et réfute-t-il « toute volonté de minimiser la richesse de l’islam et de diminuer son attrait ». Le journaliste espère-t-il s’éviter ainsi la marginalisation imposée à Eric Zemmour, à Robert Ménard et maintenant à Richard Millet ?

    Reste que la récente multiplication de livres critiques sur l’immigration et surtout sur ceux qui défendent et encouragent le déferlement perinde ac cadaver – voir aussi le pamphlet de Luc Gaffié contre les fanatiques du « sanspapiérisme » (3) – prouve que ce tsunami préoccupe de plus en plus nos compatriotes, surtout en ces temps de naufrage économique et de paupérisation galopante de tant d’entre eux. Le réel aura-t-il finalement raison du délire idéologique ?

    Claude Lorne http://www.polemia.com
    15/09/2012

    Notes :

    (1) Richard Millet sera le mercredi 19 septembre entre 18 et 21 heures l’invité d’Emmanuel Ratier sur Radio Courtoisie. Sur l’auteur lui-même et ses déboires éditoriaux, nous renvoyons nos adhérents aux tout récents articles de :
    – Françoise Monestier, «
    Richard Millet nouvelle victime des bien-pensants»
    – et de Bruno Chaouat : «
    L'Amérique, véritable ennemi de Richard Millet ».
    (2) Christopher Caldwell,
    Une révolution sous nos yeux, préface de Michèle Tribalat, édition du Toucan, collection Adultes, 600 pages. Voir l’article de René Schleiter mis en ligne en décembre dernier.
    (3) Luc Gaffié,
    Le Sanspapiérisme : où sont les papiers des sans-papiers ? Anatomie d’une manipulation, Editions Xenia, collection Franchises, mars 2012.

    Paul François Paoli, Pour en finir avec l’idéologie antiraciste, Bourin Editeur, Collection Politique, janvier 2012, 175 pages.

  • Catastrophe de Brétigny : vers un second mensonge d’État ?

    La confiance que l’on peut avoir vis-à-vis d’un conjoint ou d’un État, c’est un peu comme une allumette ou une cigarette : ça ne sert qu’une fois. Ainsi, à défaut d’accuser l’État français de nous avoir menti, au moins pouvons-nous, a minima, lui reprocher de ne pas nous avoir dit toute la vérité à propos des détrousseurs de blessés et de cadavres de la catastrophe de Brétigny-sur-Orge.

    Du coup, tout ce que cet État continue de nous dire sur l’affaire se trouve fort logiquement sujet à caution. Les causes réelles de l’accident, par exemple. Avant même que l’enquête n’ait commencé, la piste criminelle ou de la malveillance fut écartée d’office… Étrange : les conclusions, on les a normalement à la fin et non point au début de l’enquête en question ! [...]

    Nicolas Gauthier - La suite sur Boulevard Voltaire

  • Lutte des classes

    Il suffit de partir du 12e arrondissement pour se rendre dans le 7e avant de rejoindre le 18e pour constater les conséquences des inégalités sociales sur la beauté féminine. Il y a bien évidemment le facteur platement pragmatique de l'attirance féminine pour les ors et dorures et le goût des hommes riches pour les jolis objets, mais ceci ne joue finalement qu'un rôle d'appoint et est bien trop banal pour qu'on y revienne . Plus profonde est la façon dont la modestie sociale et la plus ou moins grande précarité économique abîment l'esthétique et le charme féminins. Mauvaise nourriture, maquillage bas de gamme, vêtement grossiers, métiers éprouvants, manque de soins dentaires... dans les HLM et les deux-pièces cuisine, les années comptent triple ou quadruple...

    Et quand vient l'été, alors que les coquettes des rues bourgeoises affichent la rayonnante fraîcheur de leurs élégantes et suggestives tenues estivales, les filles à Bts et Cap se transforment en cagoles directement sorties des Marseillais à Cancun, toutes débordantes de leurs mini shorts fushia et exhibant des ongles de pieds peinturlurés agrippés à leurs tongs à paillettes.

    Les nouvelles Fantines ne vendent plus leurs cheveux, elles les brûlent avec des colorations bon marché, elles ne négocient plus leurs dents mais les gâtent à coups de soda, d'alcool et de tabac (toutes choses vendues comme « libératrices », bien entendu). A défaut de bijoux et de parures, elles se couvrent le corps de tatouages qui affichent leur condition plus sûrement qu'un CV ou un prénom tiré d'une série américaine. Ce sont doublement des victimes, puisque, au lieu de se défendre et se consolider dans la simplicité, la pudeur et le naturel qui firent longtemps la dignité et la beauté des pauvres, elles se soumettent servilement, et même avec enthousiasme, à une propagande cosmético-vestimentaro-publicitaire qu'elles n'ont pas les moyens de suivre et dont elles ne peuvent incarner qu'une version caricaturale et grotesque les transformant peu à peu en mauvaises et piteuses copies des coruscants et clinquants épouvantails qu'on leur agite cyniquement sous le nez à longueurs de pages et d'écrans. Non contente de les maintenir dans la siccité économique, l'hyper-classe sa plaît à les humilier... On imagine sans difficulté la réunion des connards cokés en costumes Smalto ricanant à l'idée de la prochaine ridiculité qu'il vont parvenir à faire acheter en masse aux péquenaudes des bas quartiers... Ils ont déjà réussi à leur faire se mettre des os dans le nez, la porte de tous les possibles est donc largement ouverte.

    On ne croise finalement pas moins de jolies filles dans les quartiers populaires mais ce sont des types de beauté dégradées, altérées, éreintées par une existence « low-cost », par les milles petites blessures et salissures qui constituent les journées des gens qui n'ont pas les moyens de ne s'occuper que d'eux-mêmes et pas le courage, ou les armes, pour rompre avec les modèles imposés par ceux qui l'ont.

    Source: A moy que chault

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Valls a de l’affection pour l’islam, malgré les émeutes de Trappes

    Le 18 juillet dernier, Valls rompt le jeûne à la mosquée de Lyon

    La période du ramadan pour la plupart des hommes politiques français est un grand moment d’islamophilie. C’est à qui manifestera le plus, par les mots et par les actes, son amour pour cette religion, en ne perdant, naturellement, jamais de vue que les musulmans français sont aussi des électeurs et que les municipales se dérouleront dans quelques mois.

     

    Manuel Carlos Valls, né le 13 août 1962 à Barcelone (Espagne), naturalisé Français en 1982. Donc, Français depuis seulement 31 ans, ce « petit monsieur » a la prétention de transformer la France, son Histoire,   sa culture, ses Traditions. Au temps d’une juridiction plus saine, cela lui aurait valu la déchéance de nationalité et le bannissement. Et il ne serait pas le seul : aujourd’hui, accompagné de ses acolytes, cela ferait un peu de monde sur les routes. Une vraie transhumance !...

     

    La gauche pourrait être un peu moins dévote de l’islam puisque 90% des musulmans ont voté Hollande ; elle ne devrait donc point être trop inquiète.
    Le PS se borne à redouter, dans les banlieues, des listes communautaristes musulmanes qui, au premier tour, le priveraient de quelques voix.

     

    Manuel Valls, ministre de l’Intérieur et des cultes est le plus islamophile. Il va, vis-à-vis de cette communauté, bien au-delà de ce que réclament les devoirs de sa charge.

     

    Mercredi dernier, à la Mosquée de Lyon, il a voulu « adresser des regards d’affection aux musulmans de notre pays ». Il n’a évidemment pas à témoigner de l’affection pour une communauté religieuse ! Ou alors qu’il la manifeste pour tous. Mais jamais nous n’avons entendu ce « frère » dire son affection pour les Catholiques ; il a eu aussi des paroles louangeuses pour les Protestants, mais rien, non jamais rien pour les Catholiques. Il est vrai que c’est contre nature pour un franc-maçon d’aimer l’Église catholique.

     

     
    Un peu plus tôt, le recteur de la Mosquée de Paris avait été reçu par le président de la République, toujours pour célébrer l’ouverture du ramadan. Jamais, le chef de l’État n’a invité en son palais le président de la Conférence épiscopale au début du Carême. Le chef de l’État en a profité pour stigmatiser, une nouvelle fois, une islamophobie qui serait galopante.
    La vérité est qu’il y a plus d’églises et de cimetières chrétiens profanés que de mosquées ou de carrés musulmans, mais des premiers on ne parle jamais ! De même, la religion la plus persécutée dans le monde, aujourd’hui, comme elle l’était hier, c’est le catholicisme et plus particulièrement dans les pays musulmans.

     

     

    Mercredi soir, Manuel Valls a néanmoins renchéri en assurant « Le ramadan, comme les autres grandes fêtes religieuses, fait partie de notre calendrier commun. » Cela annonce-t-il que, comme nos fêtes catholiques (établies depuis des siècles, elles !) celles de l’islam seront fériées et chômées ? Car si elles font partie de « notre calendrier », ce serait logique, n’est-ce pas ? Ce que ne vont pas manquer de réclamer une nouvelle fois les dévots de Mahomet. Et d’ajouter : « C'est ma responsabilité de veiller à ce que les musulmans de France puissent vivre dans la sérénité ce grand moment de l'année. Islam et République peuvent et doivent avancer ensemble » ; d’ailleurs «s’attaquer à un musulman, c’est s’attaquer à la République.»

     

     

    Et les musulmans qui attaquent la République en la personne de ceux qui sont là pour faire respecter ses lois ? Qu’en dit Manuel Valls ?

     

     

    La nuit de vendredi à samedi dernier a été marquée par des manifestations violentes à Trappes dans les Yvelines. Entre 200 et 400 musulmans se sont rassemblées devant le commissariat. Ils « exigeaient » la libération d’un de leurs « frères » qui s’était opposé au contrôle d’identité de sa femme entièrement voilée ; l’homme avait tenté d’étrangler un des policiers. Pendant la nuit, les manifestants ont mis le feu à des poubelles et ont détruit des abribus.

     

     

    Sofiane, interviewé sur Itélé : « On ne peut pas accepter qu’un frère soit en garde-à-vue pour rien, surtout le mois du ramadan. C’est un petit avertissement. » En attendant un plus grand ?

     

     

    Ce qu’ils veulent, c’est que la loi islamique remplace celle de la République. Réaction de Manuel Valls qui s’est rendu sur place : « Il faut trouver des emplois pour ces jeunes désoeuvrés.»

     

     

    À l’évidence l’émeute n’a pas ôté chez lui un seul gramme d’affection pour l’islam…

     

     

    Le Bulletin d'André Noël http://www.francepresseinfos.com/
  • Bordeaux : Plusieurs responsables du DAL placés en garde à vue

    BORDEAUX (Infos-Bordeaux) – Ce sont nos confrères de Sud-Ouest qui ont donné l’information. Suite à l’occupation organisée par le DAL du domicile d’une personne âgée par des immigrés Rom en situation irrégulière, quatre militants de l’association Droit au Logement, âgés de 39 à 55 ans, membres du bureau du DAL33 et donc responsables légaux, ont été interpellés jeudi matin. Ils ont été placés en garde à vue dans les locaux de l’unité de police administrative de la sûreté départementale.

     

    Les enquêteurs cherchent à faire la lumière sur les circonstances de cette occupation illégale. En clair, ils veulent savoir qui a dégradé et changé la serrure. Les policiers ont également perquisitionné les domiciles des gardés à vue et le local du DAL33 de la rue de la Course à Bordeaux.

    Ordinateurs, téléphones et documents ont été saisis et seront analysés. Les enquêteurs y trouveront peut-être des renseignements précieux sur les méthodes de travail du DAL et la façon dont les militants cherchent et repèrent des logements vacants pour les redistribuer aux familles dans le besoin.

    Dans un communiqué de presse, le syndicat d’extrême gauche SUD, qui héberge dans ses locaux de la rue de la Course le DAL, dénonce “cette politique répressive systématique envers ceux qui luttent pour une justice sociale et dénonce le maintien et l’accroissement de la politique de criminalisation de l’action syndicale et d’inculpation des militants”.

    http://fr.novopress.info

  • Poitiers demain ! de Philippe RANDA : un roman prophétique face au djihad

     « Si le Djihad est le problème, Poitiers demain est la solution ! » Philippe Randa, conscient très jeune des menaces islamiste et immigrationniste, a écrit ce roman d’anticipation voilà près d’un quart de siècle…
    Poitiers demain connut un succès immédiat dans la mouvance nationale française et européenne et plusieurs éditions successives. Cette nouvelle réédition témoigne qu’il n’a rien perdu de son message prophétique et de l’espoir que place l’auteur dans la détermination des Européens à s’opposer aux dangers de l’islamisme radical et d’une immigration-colonisation qui, hélas, n’ont fait qu’empirer depuis quarante ans…

     2032, ils reviennent…

    Au XXIe siècle, la Troisième Guerre mondiale embrase la Terre. Les bombes d’abord, le Sida Foudroyant ensuite, ravagent le Monde en quelques mois.
    En France, de petites communautés survivent, peureuses et désemparées dans un pays dévasté. Elles doivent se défendre contre les pillards, puis contre la menace du cheikh Akim qui veut conquérir l’ensemble du pays, réduisant en esclavage tous les « infidèles » qui lui résistent.
    Un homme va alors rassembler une poignée d’Européens, de ceux qui veulent vivre libres sur leur Terre et s’opposer à la formidable armée des envahisseurs. L’affrontement aura lieu à Poitiers en 2032 ! Bis repetita placent !
     
    Poitiers demain est une épopée de la reconquête. Un hymne à l’Europe des Seigneurs de la Guerre dont le héros emprunte ses traits aux chevaliers de le Table ronde. La Vouivre, mobilisée pour la bonne cause, entame une nouvelle carrière. Thor et Merlin font bon ménage avec les logiciels les plus perfectionnés. Quant aux Barbares, ils n’ont guère changé depuis la mort de Roland.
    Poitiers demain de Philippe Randa est paru aux Éditions Dualpha, collection « Fictions populaires », 304 pages, 23 euros.
    Votre cadeau pour toute commande :
    Le Guide de survie dans une société islamique (Cela peut toujours servir !) : Proposé par la revue Synthèse nationale, ce petit livre est destiné à informer les Français de ce que sera leur vie quotidienne en cas de victoire, un jour, de l’islamisme en Europe.
    En effet, l’implantation massive de populations musulmanes, venues en particulier du continent africain, risque de modifier de façon définitive les coutumes et les traditions sur notre continent. Lorsqu’il s’agit de « définitif », nous pensons qu’il est préférable de prévoir plutôt que de voir.
    Afin d’éviter bien des surprises et, au-delà, des déconvenues à nos compatriotes, nous avons donc décidé de publier ce « Guide de survie dans une société islamique ». Nous vous conseillons, à toutes fins utiles, de conserver précieusement ce document…
  • Immigration : l’Australie expulsera tous ses clandestins

    CANBERRA (NOVOpress) – L’Australie ne compte pas baisser les bras face à l’immigration de masse. Ce pays-continent a annoncé vendredi la fermeture de ses frontières aux migrants clandestins. Si ces derniers atteignent l’Australie, ils seront désormais expulsés vers la Papouasie-Nouvelle-Guinée, une île de 7 millions d’habitants au nord de l’Australie. « A l’avenir, nos gouvernements ont l’intention de s’assurer que le message soit délivré clairement aux réseaux de passeurs à travers le monde et aux criminels qui les soutiennent en Australie : les espoirs qu’ils vendent à leurs clients sont de faux espoirs », a déclaré Kevin Rudd, le Premier ministre australien.

    Cette décision politique, motivée par une population australienne soucieuse du respect de son identité, fait suite à une mesure récente mettant en place l’internement des immigrants illégaux dans des camps de détention offshore. Chaque année, plus de 15.000 clandestins débarquent en Australie, particulièrement venus d’Iran et d’Indonésie, le plus grand pays musulman au monde (200 millions d’habitants à 90% islamiques). Des milliers d’Indonésiens se dirigent vers Christmas Island (photo), le point du territoire australien le plus proche des côtes indonésiennes.

    http://fr.novopress.info/

  • Lettre ouverte à un député qui a le courage de proposer une réforme du code de la nationalité, par ALCESTE

    Je crois, Monsieur le Député de la Nation, que nous sommes déjà en guerre civile ; d'ailleurs les récents propos de MM. Berger et J.P. Michel montrent que certains s'emploient à l'entretenir par doses homéopathiques, et que sous ces "évènements  spontanés" se dessine le test : jusqu'où les "souchiens "et les "forces de l'ordre" supporteront-ils provocations, insultes, agressions, mensonges, incendies de voitures, caillassages, sabotages ? Attentats ?...
    Vous   proposez, enfin de  changer les règles d'acquisition de la nationalité ? OUI, mais cela commence par supprimer le droit du sol.
    Nationalité par le mérite, OUI.
    Par le sang versé, OUI.
    Par simple occupation des lieux, NON.
    Et puis ce mot de communautarisme ne convient plus désormais : nous avons bien une communauté chinoise, mais retirée, décente, respectueuse de nos lois (pour l'instant, le mauvais exemple est contagieux, les Roms n'étaient pas naguère si revendicatifs...)
    Et encore dans les grandes villes des communautés provençales, auvergnates, gasconnes, un tantinet folkloriques, au souvenir du "petit pays ", mais Françaises avant tout, pro patria.
    L’islam fut  un envahisseur, l'Histoire le prouve : aujourd’hui  nous sommes envahis. Je dis envahis, pas encore "occupés".
    Mais vient le moment où le plus fort impose sa loi, Jean de La Fontaine l'a écrit. C'est un jugement de fait, pas un jugement de valeur.
    Vous ne réussirez probablement pas à obtenir la création d'une Commission d'enquête sur les dérives communautaristes, et encore moins, pour l’instant, un projet de loi pour refondre le code de la nationalité ; je crains même le passage en force, comme pour la loi Taubira, du vote des étrangers.
    Cette mesure de sécurité aurait dû être prise par N.Sarkozy ; il avait assez de culot , si j'ose dire, pour le faire.
    Merci pourtant pour votre initiative. Au moins aurons-nous eu le plaisir de lire cela sous la plume d'un élu de notre pays, nous qui n'avons plus d'estime pour le plus grand nombre, et d'avoir eu le courage de la rendre publique.
    Et je persiste : nous sommes déjà en guerre civile, sentiment généralisé. Insidieuse, mais guerre civile quand même.
    Mais… quelle police, quelle armée nous défendront ? Peau de chagrin déjà  sous les précédents présidents, et par leur indifférence à  notre territoire et à notre identité.
    Ceci est un mot inconvenant, je le sais, mais alors pourquoi avons-nous tous une carte d'identité ?
    Devrons-nous former des milices pour protéger nos vies ? Notre reste d'aviation viendra-t-il nous sortir de nos réduits ? Vous avez trop lu le "Camp des Saints ", me direz-vous ? Mais avec gpa, pma et euthanasie, nous vivons déjà le "Meilleur des mondes".
    Avec mes sentiments les meilleurs, Monsieur le Député.