Dans son projet de loi sur l’immigration, Darmanin veut régulariser les clandestins dans les métiers en tension.
Parle-t-il de cette tension là ?
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Dans son projet de loi sur l’immigration, Darmanin veut régulariser les clandestins dans les métiers en tension.
Parle-t-il de cette tension là ?
Les musulmans oseront-ils protester, en France, contre la barbarie islamiste du Hamas ? Oseront-il se désolidariser de la haine qui se déverse sur les juifs indésirables ? Force est d’observer le phénomène inverse. La rue arabe est même appelée par le Hezbollah, ce mercredi, à participer à un « jour de colère sans précédent », après le bombardement d’un hôpital de Gaza mardi soir (200 morts). Le Hamas a immédiatement désigné Israël comme responsable de ce tir contre des civils, accusation reprise dans la foulée par la l’extrême gauche française dévouée à la cause islamiste et à sa « résistance ».
« S’ils ne vous évitent pas, s’ils ne vous offrent pas leur soumission et ne cessent de vous combattre, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez. » (Coran, sourate 4, verset 91)
Nos confrères de Boulevard Voltaire viennent d’épingler le ci-devant Pierre Plottu, journaleux “chargé de l’extrême droite” à la Pravda wokiste et islamo-gauchiste, autrement dit à Libération, le journal des bien-pensants.
Pourquoi tirer à vue sur ce pauvre Plottu ? Tout simplement parce que sa recension de l’égorgement du professeur d’Arras, Dominique BERNARD, relève de l’aveuglement idéologique le plus abject.
Une foule compacte, des pancartes hostiles à Israël, des appels à « l’Intifada » et, soudain, une prière de rue. Ce 18 octobre, devant le 10 Downing Street, résidence du Premier ministre britannique à Londres, des centaines de manifestants pro-Palestine se sont donné rendez-vous pour protester contre l’action armée d’Israël. Parmi les slogans lancés par la foule, certains vont jusqu’à accuser Israël de « commettre un génocide » contre le peuple palestinien. Au même moment, à Berlin, une manifestation aux couleurs de la Palestine dégénère dans la violence. Des poubelles sont mises en travers de la route, des pierres et des engins pyrotechniques sont jetés en direction des forces de l’ordre… au total, 65 policiers sont blessés. En France, l’interdiction des manifestations en soutien à la Palestine, souvent vues comme des manifestations pro-Hamas, prise par Gérald Darmanin vient d’être retoquée par le Conseil d’État. Désormais, il revient au préfet de se prononcer au cas par cas. Le conflit israélo-palestinien, qui se déroule pourtant à des milliers de kilomètres, rencontre un triste écho sur notre continent. Tags antisémites, apologie du Hamas, menaces contre la communauté juive… sont autant de conséquences d’une immigration qui n’a jamais été intégrée.
Pascale Harel est la maman de Laura, 20 ans, tuée à la gare Saint-Charles en 2017 par un Tunisien radicalisé en situation irrégulière qui n’aurait plus dû se trouver sur le territoire national. Elle réagit aux attentats d’Arras et de Bruxelles, drames qui ravivent sa colère.
Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France :
On dirait qu'il a fallu que le conflit israélo-palestinien s'embrase de nouveau pour que l'oligarchie en place s'aperçoive que la France et toute l'Europe occidentale étaient colonisées par des millions d'afro-musulmans souvent haineux, conquérants et - cerise sur le gâteau - antisémites.