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immigration - Page 1480

  • Mélenchon se félicite de la disparition des Français

    Ce riche héritier de bourgeois de gauche, ayant fait leur fortune au Maghreb du temps des colonies, a du mal vivre la révélation de son patrimoine (2,9 millions d’euros) par le Canard Enchaîné il y a quelques semaines. C’est peut-être pour cela qu’il se lâche dans cet entretien ?


    Rappel :
    Ethnomasochisme :
    Ensemble d’attitudes psychologiques, ou idéologie, résultant en la tendance d’un peuple ou d’une ethnie déterminé(e) (ou de personnes appartenant à cette population), à se dénigrer, à dénigrer sa propre histoire, sa culture et ses valeurs par rapport à celles de l’étranger, éventuellement en stigmatisant ses propres fautes historiques réelles ou supposées, et en souhaitant sa propre dissolution, notamment par le biais du métissage et d’une immigration massive.

    http://www.contre-info.com/

  • Après les émeutes ethniques du Trocadéro : J.J. Urvoas vole au secours de Manuel Valls

    PARIS (NOVOpress Breizh) – Suite aux émeutes ethniques consécutives à la victoire du PSG dans le championnat de France de football, qui ont ravagé le centre de Paris dimanche et lundi dernier, Jean-Jacques Urvoas (PS) (photo) s’est félicité de l’action de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur. En service commandé, le député du Finistère a dû monter d’urgence au créneau pour défendre l’hôte de la place Beauvau, à juste titre mis en cause dans une affaire qui illustre la faillite de la politique menée par le gouvernement en matière de sécurité et d’immigration.

    Voitures brûlées, cafés saccagés, arrêt de bus détruits, magasins pillés : selon Le Monde – qui s’est bien gardé de préciser l’origine des émeutiers – « un paysage de désolation régnait lundi soir vers 21 heures, aux abords du Trocadéro, à Paris ». Ces émeutes, qui ont fait une trentaine de blessés, ont coûté, selon Le Figaro (15/05/2013), un million d’euros. Pour mémoire le coût sécuritaire annuel de l’immigration vient d’être estimé, selon une étude d’André Posokhow publiée sur le site Polémia, à 16 milliards d’euros.

    Président de la commission des lois à l’Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas s’est empressé de prendre la défense du ministre de l’Intérieur, responsable à ce titre du maintien de l’ordre. Sur i>Télé, le député du Finistère a estimé que « Manuel Valls a agi avec suffisamment de sang-froid face à ces incidents (sic) ».

    « Nous rentrions effectivement de Lyon, il a été immédiatement informé par son directeur de cabinet et par le préfet de police de Paris de ce qu’il se passait. Il s’en est informé, il a demandé à avoir le plus d’informations possibles », a précisé celui qui est également secrétaire national du PS en charge de la sécurité. (…) Le ministre s’est simplement assuré que les forces de police qui avaient été mobilisées étaient suffisantes. C’était le cas, il y avait sept unités de CRS qui (…) étaient sur place. Quand la situation s’est tendue, bien normalement on a appelé des effectifs supplémentaires et quand nous sommes arrivés à 20h30, la situation était sous contrôle».

    Le député socialiste a conclu en affirmant le plus sérieusement du monde que Manuel Valls est un « homme de devoir » et qu’« on peut plutôt se féliciter » de l’avoir comme ministre de l’Intérieur – la légère restriction (« plutôt ») émise par l’élu finistérien étant à mettre au compte de sa grande déception de ne pas avoir été nommé, lui « monsieur sécurité » du PS, place Beauvau : le rêve de sa vie.

    Ce satisfecit – même nuancé – sera certainement partagé par les bandes ethniques qui viennent de s’illustrer au Trocadéro et qui règnent impunément dans des secteurs de plus en plus importants du territoire national. Pas sûr, par contre, que les opposants à la loi Taubira, violemment réprimés à la moindre occasion – aujourd’hui le simple port d’un tee-shirt de la Manif Pour Tous peut conduire au poste de police – soient du même avis.

    http://fr.novopress.info

  • Marché du halal : connaître les faits pour ne pas subir

    « Etats généraux du respect du consommateur et du bien-être animal ». A Paris, 25 mai 2013

    A quelques jours des « Etats généraux du respect du consommateur et du bien-être animal », qui se tiendront à Paris le 25 mai prochain (renseignements sur le site http://vigilancehallal.com/), les chiffres du marché halal, la stratégie des marques et les perspectives sont analysés par J.H. d’Avirac, expert en marketing.
    Soigneusement écartée par les médias officiels (prétendument laïcs) depuis la présidentielle, la problématique du halal, de la non-information du consommateur, du défaut de traçabilité sur les abattages rituels, de la souffrance animale, demeure et s’amplifie même par le caractère particulièrement juteux de ce segment de marché en très forte croissance.
    Connaître les faits pour ne pas subir.
    J.H. d’Avirac fait le point pour Polémia


    Les chiffres du marché

    Le marché mondial du halal représente 450 milliards d’euros et concerne 1,6 milliard de consommateurs potentiels. Sa croissance annuelle est de 10%.

    La France est le marché le plus porteur en Europe, avec plus de 7 millions de consommateurs potentiels.

    Le marché français du halal est estimé aujourd’hui à 7 milliardsd’euros (soit plus de deux fois le marché des produits bio). Il progressede plus de 10% (sans équivalent dans l’industrie agro-alimentaire).

    49% des musulmans déclarent consommer de plus en plus de produits halal : la dynamique du marché français est donc liée à l’effet conjoint de l’augmentation du nombre d’acheteurs et de la progression de la quantité achetée par acheteur.

    Chaque année, 1,1 milliard d’animaux sont abattus en France. Pour la seule région Ile-de-France, sur 5 abattoirs, un seul (spécialisé dans la viande de porc) n’abat pas les cheptels de façon rituelle. La certification halal génère un coût plus ou moins répercuté au consommateur final de 10 à 15 cts par kilo de viande.

    La stratégie des marques

    Les grandes marques nationales et internationales s’intéressent massivement à ce marché à forte croissance : DUC, FLEURY MICHON, HERTA, KNORR, LABEYRIE, LIEBIG, MAGGI…

    Des marques « dédiées » souvent générées par les grands groupes, qui protègent ainsi leurs marques-phares de toute polémique : DOUNIA, ISLA DELICE, ISLA MONDIAL, MEDINA, SAABA, JUMBO, ZAKIA (Panzani), REGHALAL (LDC), NURDAN (Pierre Martinet)…

    Des marques de distributeurs en progression : WASSILA de Casino (2009), CARREFOUR (2011). AUCHAN et LECLERC réfléchissent à des approches similaires.

    Des investissements publicitaires en grands médias à l’image des grandes marques agro-alimentaires (cf. campagne Isla Delice).

    Depuis le 1er septembre 2010, l’entreprise de fast-food Quick, dont l’Etat est actionnaire majoritaire via la Caisse des dépôts et consignations, a décidé de pérenniser l’offre exclusive de produits à base de viande halal dans 14 restaurants tests.

    Le marché est dynamisé par l’innovation en matière d’offre produits (plats cuisinés, snacking), par la diffusion en GMS (grandes et moyennes surfaces) et par le développement des circuits spécialisés (HAL SHOP, BAKER MARKET, « Au Pays »).

    Les GMS et les marques sont particulièrement attentives à un point-clé : 80% des ventes sont réalisées par de petits bouchers. Le marché de la viande halal est donc un marché à forte croissance « transférable » à moyen terme, grâce notamment à d’importants moyens marketing.

    Perspectives

    Depuis la vache folle, 70% des Français se déclarent sensibilisés ou très sensibilisés aux risques alimentaires et aux questions de traçabilité…

    Deux conséquences :

    • Une majorité de Français souhaite savoir si elle mange halal ou non (72% des Français désapprouvent la dérogation permettant de ne pas étourdir les animaux avant abattage) ;
    • Attente en matière de certification, y compris chez les consommateurs de halal.

    Pour 66% des Français, il revient à l’Etat de veiller à la sécurité et à la traçabilité des produits alimentaires.

    Toutes les études marketing agro-alimentaires recommandent aujourd’hui de profiter de la « manne halal », en recherchant l’harmonisation des certifications et la mise en place d’un mix-marketing adapté, avec notamment de plus fortes dépenses publicitaires.

    Halal Expo, Salon européen annuel dédié, qui se tient à Paris, regroupe 7.100 visiteurs professionnels, mobilisés pour faire croître la catégorie sur tous les marchés et tous les circuits.

    Les récentes études d’opinion publiées en ce début d’année sur les craintes que suscite l’islamisation de la société française chez l’immense majorité de nos concitoyens invitent les industriels à modérer (momentanément ?) leurs ardeurs commerciales.

    Dans ce contexte on ne peut que s’étonner de l’absence totale de bruit sur cette question volontairement congelée depuis le Salon de l’Agriculture de 2012 où les « professionnels », tétanisés par la polémique, avaient promis de clarifier la situation… Il est vrai que le cheval roumain est passé par là et, avant lui, quelques millions d’électeurs-moutons, les beaux fromages de Hollande et ses dindons de la farce. La basse-cour médiatique en oubliera ses convictions laïques, la cruauté du rituel, la taxe religieuse qui est imposée à tous. Il nous faut donc réveiller les « camarades » et leur rappeler les mots de Paracelse : « Ce qui est une nourriture pour l’un est un poison pour l’autre »… tout particulièrement lorsqu’une pratique s’attaque aux fondements mêmes de notre civilisation.
    J.H. d’Avirac http://www.polemia.com

    14/05/2013

     (Sources : Etudes Eurostaf 2011, Ubifrance, Credoc 2011, Halal Expo, IFOP 2010, Le Figaro, Xerfi 2009, Solis 2009).

    Inscription aux Etats généraux : « voir 25 mai Réunion de vigilance halal à Paris »

    Il faut s’inscrire obligatoirement :

  • Du fantasme sportif aux fantasmes politiques

    L’argent, décidément, n’achète pas tout… La preuve, le Qatar n’avait pas pris ses précautions pour assurer la sécurité de l’après-victoire du PSG contre les sauvageons. Certes, les Autorités françaises non plus ! Nous, on a l’habitude, mais les Quataris, eux, ne savaient pas. Au moins, auront-ils appris que la France n’est pas « le leur pays » où ce genre de facéties n’est sans doute même pas imaginable… Là-bas, le premier hooligan qui éternue sans dire « pardon » étant probablement illico bastonné et jeté dans un cul de base fosse.

    Maintenant, ils savent pour la prochaine fois – si prochaine fois, il y a ! – qu’ils devront débourser quelques centaines de milliers d’euros d’investissement supplémentaire pour que la remise de la coupe aux joueurs victorieux se déroule dans la joie et l’allégresse… On sait ce qu’il en a été lundi dernier : vandalisme, pillage, 32 blessés (dont 1 policier et 2 gendarmes)… Tandis que les « ultras » du Club braillaient leur colère d’être interdits de tribunes depuis des mois, les « chances pour la France » déboulaient de leurs ghettos pour venir faire leurs courses… Coût du passage en caisse : autour de deux millions d’euros, estime-t-on.

    « Pourquoi tout a-t-il ainsi dégénéré, alors qu’on s’attendait à ce que les “ultras” manifestent leurs aigreurs… et que l’occasion était trop belle pour que les racailles se privent de s’adonner à la joie d’un “shopping” » entend-on depuis les événements ?

    Mais s’y attendait-on vraiment coté gouvernement ? Toute la question est là, car ses membres sont tellement imbibés jusqu’à l’ivresse de bonne conscience politiquement correcte qu’ils ne pouvaient sans doute imaginer que le sacro-saint football – qui a remplacé dans leur « idéal citoyen » la sacro-sainte patrie de leurs aïeux – soit ainsi bafoué…

    Qui pouvait oser ? « Eux », tout simplement… tout ceux qui ne sacralisent pas ce sport, voire tous ceux qui sont dégoûtés que s’étalent sans cesse à la une des médias les sommes colossales qu’encaissent joueurs, entraîneurs, intermédiaires et autres personnes gravitant autour de la « planète foot ».

    C’est moins par laxisme que par utopie qu’un gouvernement socialiste et une municipalité socialiste n’ont pas vu le « coup venir ».

    Et c’est tout autant par fantasme politique que le premier s’est montré aussi brutal dans la répression lors des récents rassemblements de la « Manif pour tous » dans lesquels il appréhendait ni plus ni moins qu’un nouveau « 6 Février 34 », une menace de « putsch fasciste », voire une résurgence d’on-ne-sait quelle conspiration cagoularde…

    Philippe Randa  www.francephi.com
  • La guerre ethnique qui vient, par Yann Vallerie

    La guerre ethnique qui vient

    Les scènes d’émeutes en marge de la célébration du titre de champion de France de football par le PSG, viennent à nouveau de rappeler, à ceux qui refusent de le voir, que la guerre ethnique a débuté en France. 
Cela fait plusieurs années que des militants, des écrivains, des politiques, le disent, mais les dirigeants et leurs valets journalistiques jouent éternellement la politique de l’autruche. Par peur de l’amalgame, véritable crime contre l’humanité à en croire les tenants de la pensée unique, ils refusent de s’attaquer aux réelles causes de ces problèmes.

    Quel rapport y a-t-il en effet entre les hooligans du psg et les scènes d’émeute vécues hier ? Aucun. Il n’y avait en effet hier soir aucune bande de jeunes blancs « casseurs d’extrême droite » comme aiment à les appeler les journalistes. Le PSG Qatar version 2013, en mode répression et dénonciation à la sauce SOS racisme, c’est surtout un PSG des cités, contrôlé par les princes arabes.

    On a les supporteurs que l’on mérite : des bandes de cités, composées à majorité de jeunes Africains et Arabes, ont à nouveau déferlé sur la capitale parisienne, avides de pillages, d’agressions, de destruction. Ces mêmes bandes qui avaient enflammé la France lors des émeutes de 2005. Ces mêmes bandes qui attaquaient les manifestations lycéennes contre le CPE il y a encore quelques années.

    Faudra-t-il attendre que leur nombre s’accroisse, proportionnellement à la démographie galopante de certains départements français à majorité immigrée ? 
Faudra-t-il attendre de nouveaux lynchages, de nouvelles agressions à l’encontre de touristes, mais aussi à l’encontre des Français de souche, systématiquement visés par ces bandes ethniques ?

    Certaines photos et vidéos prises hier montrent une police dépassée, apeurée même (il suffit de voir certains visages pour le comprendre) face à ces évènements.
Une police qui semblait moins fière, moins vaillante, moins répressive aussi, que lorsque des centaines de milliers de personnes, très majoritairement de souche européenne, ont défilé dans le calme, dans toute la France, pour défendre la famille.

    Une police qui semblait faire moins de zèle et de politique de l’interpellation, par rapport aux nombreuses arrestations, aux multiples coups de matraque, aux éternelles procédures judiciaires dont ont fait l’objet les opposants au mariage pour tous et de façon plus générale, à la dictature socialiste en place actuellement.

    Que l’on pense aux 67 veilleurs mis en garde à vue pour avoir occupé l’esplanade des invalides, qui risquent jusque un an de prison, et comparez avec la vingtaine d’interpellés hier soir, pour des faits autrement plus graves.

    Oui, il s’agit bien là d’une dictature socialiste qui se met en place depuis plus d’un an, bien aidée en cela par une droite peureuse, terrifiée à l’idée de s’élever contre l’idéologie bien-pensante, humaniste et libérale, de crainte de se voir qualifier de raciste, homophobe, réactionnaire… En ne remettant jamais en question le travail de destruction culturel, social, économique, ethnique prôné par les socialistes depuis 60 ans, la droite fait le lit des violences qui ont eu lieu hier soir.

    Car cette dictature socialiste, répressive à l’égard des défenseurs de la famille, mais aussi de ses traditionnels opposants, semble bien tolérante à l’égard de toute « la misère du monde » qui déferle des banlieues françaises avec une soif de revanche, une soif de vol et de pillages, soif nourrie au quotidien par les sociologues, chercheurs au CNRS, journalistes, people et politiques qui deviennent au fil des années de véritables « chercheurs d’excuses professionnels ».

    Une majorité de jeunes noirs et Arabes saccagent un bus de touristes devant la tour Eiffel et pillent des boutiques ? 
« Construisons-leur une huitième MJC dans leur quartier, les sept autres ayant brûlées », « Offrons-leur des vacances dans les rares régions de France préservée de ces bandes ethniques, histoire qu’ils leur apprennent le vivre ensemble façon “9-3”
Ces jeunes se comportent de façon barbare et incontrôlable, agressant passants et policiers ? 
“C’est le racisme de la société française blanche, mais aussi la traite des Noirs ou encore la mémoire des exactions de Charles Martel qui les pousse à vouloir se venger, ils ont donc raison”

    Oui, il s’agit bien d’une dictature qui s’instaure petit à petit, dans un climat proche d’une guerre civile et ethnique. Une dictature qui joue le Lumpenprolétariat (les racailles, les bandes ethniques) contre son propre peuple.
Une dictature qui chercher à restreindre le dernier espace de liberté d’expression qu’est aujourd’hui Internet.

    Une dictature qui asphyxie le contribuable français, sous des charges, des taxes toujours plus élevées, et une répression féroce pour tous les contrevenants (automobilistes en tête). Mais une dictature si permissive avec “ceux qui sont majoritaires dans les prisons, mais qu’on ne peut pas nommer”, parce qu’effrayée par la violence dont font preuve les nouvelles “classes populaires” dès lors qu’on ne les “respecte pas”.
Une dictature qui accepte sans broncher que des pans entiers du territoire soient rachetés par des pays (et notamment le Qatar) qui ont une soif de conquête et de revanche sur les Européens dont nous voyons aujourd’hui à peine les prémices.
Une dictature qui préfère envoyer la police gazer des enfants et des manifestants dont elle connaît le peu d’agressivité et le peu de sentiment belliqueux, plutôt que de l’envoyer mettre fin définitivement aux exactions des bandes ethniques dans les cités et désormais en plein cœur de la capitale.

    Les Français doivent désormais savoir que dans les années de troubles qui viennent, troubles sociaux, économiques ou ethniques, ils ne pourront plus compter sur leurs gouvernants, ses politiciens et tout ce microcosme médiatico-politique.

    Ils ne doivent de toute façon plus compter sur des gens qui ne partagent ni leurs intérêts ni leurs préoccupations.
À nous militants politiques, associatifs, syndicaux, de savoir construire et activer les réseaux nécessaires à la mise en place d’une société qui sache s’opposer avec force et revendication à tous ceux qui souhaitent la destruction de nos peuples.

    « quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir ».

    Yann Vallerie http://www.reseau-identites.org

  • Avec l’Europe de Bruxelles, les allocs pour tous… les immigrés polygames

    Pour la première fois depuis seize ans,  un président français, dans la conjoncture de récession que l’on sait,  était entendu hier par  la Commission européenne au grand complet à Bruxelles. Avouant que « la situation économique est grave » et  qu’ »il est probable (certain)  que la croissance soit nulle en 2013″, François Hollande, fidèle à sa méthode Coué,  a assuré que « nous avons passé le moment le plus difficile ». Il a promis de poursuivre les réformes exigées par les instances européistes. En échange du délai de grâce de deux ans pour ramener le déficit public en dessous de la barre des  3 %, il s’est engagé à obéir au président de la Commission,  José Manuel Barroso,  qui lui a intimé l’ordre  d’  »enrayer (la) perte de compétitivité » de la France (qui ne le souhaite pas?), de  » (mettre) à profit (ces deux années)  pour accélérer les réformes structurelles. »

      Bruxelles presse notamment  la France de mettre urgemment  en oeuvre  la réforme des retraites -suggérant un départ à l’âge de 67 ans!-  que le gouvernement  Fillon avait lancé. Nous n’oublions pas   que la gauche dans son ensemble, M. Hollande en  tête,  s’était levée comme un seul homme contre cette « réforme sarkozy-Fillon »…

     Le  gouvernement Ayrault  a d’ailleurs  envoyé  le 30 avril dernier  à la Commission européenne son « Programme national de réforme« . Si un proverbe arabe affirme qu’ »il faut toujours enrober la flèche de la vérité dans du miel« , le jugement sur ce calendrier de mesures   n’avait pas été tendre. Le Commissaire européen aux  affaires économiques et monétaires, Olli Rehn,  avait fait ce commentaire dédaigneux  et désobligeant, utilisant  a minima le langage diplomatique:  « C’est un bon résumé de ce qui a été fait depuis un an, mais cela reste un peu faible sur le plan prospectif ».

     Si la France s’enfonce dans le gouffre de la crise économique sociale mais aussi identitaire, le respect des oukases bruxelloises par les gouvernements français  viennent trop souvent aggraver une situation dont sont coresponsables au premier  chef, ne l’oublions jamais, la lâcheté, l’aveuglement  et/ou  le dogmatisme idéologique des   partis qui se partagent le pouvoir dans notre pays.

    le 14 mai, Eric Branca sur le site de Valeurs actuelles, rapportait une information qui est restée « confidentielle » en France « mais pas en Algérie ». Il évoque ainsi  une décision  rendue le 7 avril dernier par la Cour de Cassation réunie en assemblée plénière. celle-ci s’est appuyée sur la jurisprudence européenne, « qui  interdit (…)  aux Etats de réserver à leurs seuls nationaux le bénéfice de prestations démographiques spécifiques« . Mais aussi  sur « l’accord euro-méditerranéen UE-Algérie du 19 décembre 2001″, « dont les termes sont directement transposables aux ressortissants du Maroc et de la Tunisie ayant signé les mêmes accords avec l’Union européenne. Et sans doute demain, à tous les Etats extra-européens avec laquelle la France a signé des traités analogues. »

    Ainsi,   »désormais, tout parent algérien installé en France pourra toucher des allocations familiales au titre de ses enfants, nés en Algérie, qui décideraient de le rejoindre. Et même (…) , si les enfants en question ont pénétré en France en dehors de toute procédure de regroupement familial. Ce qui s’applique naturellement, d’abord, aux enfants de pères polygames, puisque les autres peuvent, depuis l’institution du système, en 1976, bénéficier dudit regroupement ! Résultat : les hommes ayant  épousé  plusieurs femmes dans leurs pays vont pouvoir, sans contourner la loi française comme ils le faisaient jusqu’à maintenant (en faisant passer, par exemple, leurs compagnes pour des « mères isolées »), financer légalement le séjour en France de leur descendance. »

     En 2010 est-il encore rappelé les services du ministère de l’Intérieur avaient recensé, hypothèse basse,   80.000 pères de famille dans la situation du célèbre franco-algérien   Lies  Hebbadj,  à la tête d’un foyer « composé de quatre femmes et de douze enfants » -voir l’article publié sur notre blog sur cette affaire. 

    Bref,  » à quoi bon menacer de poursuites les fraudeurs aux allocations familiales si la fraude elle-même n’existe plus ? La loi peut bien réserver le bénéfice de ces prestations aux enfants d’une seule épouse, tout se passera désormais comme si elle était abrogée… »

    « A l’heure où le gouvernement s’apprête à revoir à la baisse les aides versées aux classes moyennes au titre de la politique familiale souligne M .Branca,  on imagine l’effet d’aubaine pour des dizaines de milliers de candidats à l’immigration !« 

    Effet d’aubaine que les Français, eux, attendent toujours de cette Europe bruxelloise à laquelle notre classe politicienne a fait allégeance note Bruno Gollnisch  et  pour laquelle ils sont contributeurs net. Europe bruxelloise  qui a pourtant  contribué,   à la fermeture de nos industries,   à la baisse de la compétitivité de nos entreprises,   à la baisse de  notre  niveau de vie, de  notre  pouvoir d’achat,  à nous  dépouiller de notre  souveraineté et même,  on le voit aujourd’hui,  de  notre  identité.

    En pleine campagne présidentielle l’année dernière le commissaire Européen Olli Rehn cité plus haut,  donnait le sentiment de la caste européiste en expliquant que « l’union économique et monétaire devra être complétée par une intégration (politique et économique) plus profonde ou nous aurons à accepter une désintégration progressive de plus d’un demi-siècle d’intégration européenne »

    Il semble bien  au contraire  constate encore Bruno Gollnisch, que c’est cette Europe là qui est directement  responsable  de la désintégration progressive de la prospérité, de  l’identité européenne et de notre Europe des patries libres.

    http://www.gollnisch.com

  • 84 milliards : coût budgétaire de l’immigration selon le rapport Posokhow

    La Seine-Saint-Denis est l’un des départements où il y a le plus d’immatriculations de véhicule de grosse cylindrée. C’est aussi le département métropolitain qui coûte le plus cher au budget de l’Etat. Mais c’est « les yeux grands fermés » (Michèle Tribalat) que les médias observent l’immigration. Il s’est même trouvé un universitaire lillois pour affirmer que l’immigration rapportait plus qu’elle ne coûtait : sans doute, pour M. Chojnicki, le moyen le plus facile de se faire connaître, à défaut d’être bien… sérieux. Toutes les autres études concluent au contraire à un surcoût budgétaire dû à l’immigration : de 17 milliards dans la dernière étude de Jean-Paul Gourévitch (2012) ; de 42 milliards chez Pierre Milloz (1997) dont l’étude ancienne continue de faire référence par sa rigueur méthodologique, de 73 milliards chez Yves-Marie Laulan (2012). Jean-Yves Le Gallou a, lui, évalué à 18 milliards le seul coût d’entrée et d’accueil des 200.000 immigrés supplémentaires annuels (coût en infrastructure notamment).

    Omerta statistique et différences de périmètre d’étude

    Ces écarts de chiffres peuvent légitimement surprendre mais ils s’expliquent de trois façons :

    - d’abord, par l’omerta statistique qui rend l’accès aux données difficile et qui implique de poser des hypothèses ;
    - ensuite, par les définitions retenues pour les populations étudiées ;
    - enfin, par le périmètre des dépenses et des recettes analysé.

    Polémia présente ici le rapport d’André Posokhow, auditeur, consultant, diplômé d’expertise comptable.

    André Posokhow aboutit au chiffre de 84 milliards : l’équivalent du déficit public.
    Ce chiffre, plus élevé que celui d’autres études, s’explique par le caractère global de l’étude :
    André Posokhow prend en compte les secteurs où il y a clairement des surcoûts dus à l’immigration : la police et la justice, par exemple.

    Mais il ne néglige pas pour autant, contrairement à d’autres études moins complètes, les autres secteurs tels que l’éducation ou le logement où il y a, là aussi, des surcoûts mais aussi des coûts tout courts qui doivent être pris en considération. André Posokhow prend en compte l’ensemble des recettes fiscales et sociales dues à l’immigration ; par souci de cohérence, il réimpute aussi à l’immigration un coût moyen des services publics auxquels les immigrés et descendants d’immigrés accèdent proportionnellement aux autres résidents. Le rapport prend aussi en compte, en dépenses comme en recettes, les collectivités territoriales. Au final, le rapport Posokhow fait apparaître un solde recettes/dépenses négatif de 63 milliards.

    Enfin, André Posohow n’oublie pas que sur les trente dernières années l’immigration a contribué au déficit public. Ce déficit public a lui-même coûté au budget de l’Etat en intérêts versés ; intérêts versés qui ont eux-mêmes nourri l’endettement. Au final, André Posokhow estime à 21 milliards les intérêts annuels de la dette en 2013 qui ont pour origine ce déficit.

    C’est ainsi qu’on arrive à un total de 84 milliards : un gisement d’économies considérable dans la perspective du redressement des finances publiques.

    Polémia livre ci-dessous à ses lecteurs la présentation de son étude par André Posokhow, ainsi que le texte intégral de l’étude en PDF. Polémia invite ses lecteurs à faire part de leurs observations. D’autres études suivront : une monographie sur la Seine-Saint-Denis et des analyses plus fines du coût des différentes immigrations selon leur provenance géo-civilisationnelle.
    Polémia

    Présentation par son auteur de l’étude sur le coût net de l’immigration pour les finances publiques de la France

    En novembre 2012, Contribuables associés a publié sa monographie n° 27 sur « L’’immigration en France. Dépenses, recettes, investissements, rentabilité ». Cette étude a été établie par Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines, spécialiste de l’Afrique et des migrations. Elle présente un déficit de la balance dépenses/recettes de 8,760Mds€ auquel il est ajouté un montant relevant de l’Aide publique au développement de 3,277Mds€ et des investissements au titre de la politique d’intégration de 5,375Mds€ pour aboutir à un coût net de l’immigration de 17,412Mds€. Or, le même expert affirmait en conclusion de la monographie n° 23 de mars 2010 que « chaque année, l’immigration représente pour les pouvoirs publics un surcroît de dépenses de 30,4 milliards d’euros », soit à peu près le double du déficit de la monographie n° 27 plus récente.

    A peu près au même moment, une équipe universitaire dirigée par Xavier Chojnicki a publié le résultat de recherches sur cette problématique dans un livre L’immigration coûte cher à la France. Qu’en pensent les économistes ?. On peut distinguer deux directions de travail : l’affichage d’un impact budgétaire positif de la population immigrée en 2005, que les auteurs estiment à 3,9Mds€, et l’évaluation des bénéfices prévisionnels de cette immigration grâce aux techniques de la « comptabilité générationnelle ».

    Les yeux grands fermés

    Devant des résultats aussi divergents entre les auteurs et, pour le même auteur, entre deux études publiées à deux ans d’intervalle, la Fondation Polémia a souhaité faire un point objectif du coût annuel pour les finances publiques françaises de l’immigration en France en rappelant l’existence d’études anciennes élaborées par Jacques Bichot et Pierre Milloz il y a plus de dix ans. La difficulté d’un tel travail est qu’il repose sur des hypothèses et des choix par nature souvent discutables. Il n’existe pas dans ce domaine de vérité certaine et des chiffres exacts. En effet, les données chiffrées de l’immigration sont faussées en France par l’insuffisance des instruments statistiques, comme le souligne Madame Tribalat dans son livre Les yeux grands fermés (Denoël, 2010).

    Les yeux grands ouverts

    L’objectif du travail présenté ci-dessous est d’examiner et d’apprécier sur une année, comme le fait la monographie n° 27, la différence qui apparaît entre les recettes et les dépenses annuelles provenant du « stock » des immigrés en France comme peut le souhaiter tout citoyen et contribuable français qui dirait : Je veux et je suis en droit de savoir ce que me coûtera cette année cette immigration intensive qui me perturbe ; quant au très long terme, c’est probablement intéressant mais d’ici 2050 il peut se passer beaucoup de choses et des prévisions élaborées aujourd’hui peuvent être complètement démenties. C’est la raison pour laquelle l’approche est celle d’un pur constat statique des dépenses et des recettes annuelles de l’immigration, y compris, le cas échéant, de celles que J.-P. Gourévitch considère comme des investissements. Il convient, dans la mesure du possible, de tenir compte de tous les coûts et de toutes les recettes budgétaires annuels affectés par l’immigration, comme le logement et l’éducation, et non d’éventuels « surcoûts » marginaux. Enfin, cette étude se place bien au plan des recettes et dépenses budgétaires et non pas du point de vue macroéconomique de la contribution positive ou négative au PIB qui constitue une problématique différente.

    L’étude de Polémia procède tout d’abord à une analyse sommaire de l’écart entre les déficits significatifs des monographies n° 27 et n° 23. Il semble que la raison principale en soit une sous-estimation des recettes de l’immigration en 2010 d’environ 34Mds€.

    Pour comprendre la méthode de l’étude il est précisé que celle-ci suit la démarche de la monographie de 2012 de J.-P. Gourévitch pratiquement point par point et fait l’objet de commentaires et éventuellement d’appréciations différentes pour évaluer le différentiel entre les dépenses et les recettes de l’immigration.

    Concernant les coûts l’étude a procédé à quatre types de travaux :

    • -écarter la notion de « surcoût » et retenir le coût total réel comme dans le cas du domaine carcéral pour lequel la monographie n’a retenu que le coût de son extension par la construction de nouvelles places de prison à hauteur de 0,040Mds€ alors que le montant du programme carcéral du ministère de la Justice a été de 2,821Mds€ en 2011. Autrement dit, l’immigration ne représenterait que 1,4% du montant du programme carcéral français !
    • -réévaluer en fonction d’informations récentes la base de certaines évaluations qui ont semblé relativement faibles. C’est le cas de la fraude aux prestations sociales et de la fraude fiscale ;
    • -tenir compte de secteurs importants de la dépense publique qui n’ont pas été pris en compte ou, si cela a été fait, d’une manière marginale. C’est le cas principalement du financement de la construction, de l’éducation, des transports qui sont considérés comme affectés par l’immigration. Ce n’est pas le cas de dépenses régaliennes comme la défense ou la diplomatie ou des dépenses de recherche ;
    • -recalculer les coûts, notamment sociaux, en fonction de nouveaux paramètres mais selon des principes semblables à ceux de la monographie.

    En revanche, il n’a pas été tenu compte de l’Aide publique au développement, contrairement à ce qu’a fait la monographie.

    L’étude des coûts débouche sur une augmentation de ceux-ci d’environ 75Mds€.

    D’un autre côté, la prise en compte des recettes fiscales de l’Etat et des collectivités territoriales et des cotisations sociales, recalculées, elles aussi, sur des principes identiques à ceux de la monographie mais en fonction de paramètres sensiblement différents, aboutit à une augmentation du total des recettes d’environ 20Mds€

    Au total, l’excédent des dépenses liées à l’immigration sur les recettes de même nature s’établit pour les finances publiques à environ 63Mds€. A ce montant il apparaît nécessaire de prendre en compte et d’ajouter les intérêts de la dette qui ont pour origine ce déficit qui pèse sur les finances publiques et donc sur la dette, soit 21Mds€, pour aboutir à un déficit final de plus de 84Mds€.

    Il convient de rappeler que dans plusieurs cas de l’étude qui pourraient engager des montants plus significatifs que ceux retenus, ce sont des évaluations modérées qui ont été retenues. Par ailleurs, il n’a été tenu compte que partiellement des dépenses des collectivités locales. L’établissement d’une fourchette haute pourrait aboutir à un déficit pour les finances publiques de près de 100Mds€.

    André Posokhow
    Consultant pour Polémia
    13/05/2013 http://fr.novopress.info

    On lira l’étude d’André Posokhow dans son intégralité en cliquant ici

    Voir aussi :
    16 milliards d’euros : coût sécuritaire de l’immigration pour le budget français
    Coût de l’immigration : le débat continue

    Le coût de l’immigration annuelle supplémentaire : 18 milliards d’euros

    SourcePolémia – 14/05/2013

  • La France en récession finance son grand remplacement

    Allocations familiales : l’incroyable décision

    Exclusif. Quand l’Europe impose à la France d’étendre le bénéfice de sa politique familiale à tous les enfants d’immigrés. Même nés à l’étranger.

    En France, la nouvelle est restée confidentielle. Mais pas en Algérie (voir notamment Le Matin DZ) : désormais, tout parent algérien installé en France pourra toucher des allocations familiales au titre de ses enfants, nés en Algérie, qui décideraient de le rejoindre. Et même, précise la Cour de Cassation réunie le 7 avril dernier en assemblée plénière, si les enfants en question ont pénétré en France en dehors de toute procédure de regroupement familial. Ce qui s’applique naturellement, d’abord, aux enfants de pères polygames, puisque les autres peuvent, depuis l’institution du système, en 1976, bénéficier dudit regroupement ! Résultat : les hommes ayant « épousé » plusieurs femmes dans leurs pays vont pouvoir, sans contourner la loi française comme ils le faisaient jusqu’à maintenant (en faisant passer, par exemple, leurs compagnes pour des « mères isolées »), financer légalement le séjour en France de leur descendance.

    Pour appuyer sa décision, la Cour de cassation évoque le principe de « non-discrimination » inhérent à la jurisprudence européenne – laquelle interdit depuis les années 1980 aux Etats de réserver à leurs seuls nationaux le bénéfice de prestations démographiques spécifiques – mais aussi l’accord euro-méditerranéen UE-Algérie du 19 décembre 2001. Dont les termes sont directement transposables aux ressortissants du Maroc et de la Tunisie ayant signé les mêmes accords avec l’Union européenne. Et sans doute demain, à tous les Etats extra-européens avec laquelle la France a signé des traités analogues ! [...]

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net

  • UMPS: moins de sécurité, plus d’immigration

    Trente blessés, des magasins vandalisés, des voitures incendiées,  du mobilier urbain détruit, des touristes agressés par des racailles du type de celles qui sifflent la Marseillaise, une cérémonie très rapidement écourtée : le rassemblement « festif » pour célébrer la victoire du PSG en coupe de France hier au Trocadéro a vite dégénéré. Le préfet de police de Paris, Bernard Boucault, a expliqué que des milliers de casseurs étaient présents sur place. Bandes de jeunes qui ont démontré une nouvelle fois  l’amateurisme de Manuel Valls qui, à l’instar d’un Bertrand Delanoë, a été bien incapable d’estimer à sa juste valeur l’ampleur et surtout les dangers d’une telle manifestation. Même la candidate bis des  bobo à Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet,  de retour de Londres où elle a été obligée d’écouter son maire Boris Johnson lui expliquer que  l’UE ne renouera pas avec la croissance « tant qu’elle gardera l’euro », y a été de sa critique vaguement  sécuritaire…c’est dire !

     Chacun a pu remarquer que les consignes données aux forces de l’ordre  par l’Etat PS contre les opposants au mariage pour tous  dans les manifestations se traduisent par  une répression souvent très dure et disproportionnée  à leur endroit après la dispersion des cortèges. Or   CRS et policiers  en sous-effectif et sans ordres clairs n’ont procédé  hier aux abords du Trocadéro qu’à  21 interpellations…

     Comme à son  habitude et comme  ses prédécesseurs, M. Valls a promis d’identifier les casseurs, comme il avait promis de surveiller le militant  algérien d’Al-Qaïda  Saïd Arif qui s’est fait la belle en Haute-Loire, comme il avait promis de juguler l’insécurité et l’immigration avec  l’insuccès dramatique que l’on sait.

     En matière de flux migratoires justement,  Manuel Valls multiplie les démonstrations de laxisme derrière les poses de matamore, comme le rappelait Bruno Gollnisch dans un communiqué hier.

     Au nombre des flux officiels composant le torrent migratoire -avec les vrais ou faux étudiants non Européens qui ne rentrent pas chez eux après leurs études, les détenteurs de visas de tourisme qui restent chez eux chez nous et  le rapatriement sur notre sol  des femmes et enfants restés dans le  pays d’origine au nom du regroupement familial-, nous trouvons aussi les demandeurs d’asile.

     Le ministre de l’Intérieur, pour répondre à une promesse électorale du candidat Hollande,  vient ainsi d’annoncer une réforme  pour   « améliorer l’accueil des demandeurs d’asile »,avec notamment la création de 9.000 places d’hébergement.

      Surtout, M. Valls précise  que « toutes les démarches seront simplifiées, de la domiciliation jusqu’à l’accueil en préfecture ».Dans les faits le délai de réponse  de l’administration  au demandeur d’asile  serait  réduit de  seize à neuf mois…ce qui laisse le temps de faire un enfant rendant le demandeur inexpulsable…Sera également mis en place  « une procédure d’appel pour les candidats déboutés. »

     D’ores et déjà la France,  connue pour la qualité de son accueil et la gratuité de  ses prestations sociales et médicales,  a  gagné une place…puisqu’elle est désormais   le deuxième pays européen le plus sollicité par les réfugiés politiques, le plus souvent en  réalité des réfugiés économiques fuyant la misère dans leur pays d’origine.  Depuis 2007 les demandes d’asile politique ont augmenté de 70% dans notre pays!

     Dans les faits sur les 62.000 demandes d’asiles annuelles, seulement  environ 10.000 d’entre elles satisfont aux critères légaux. Mais  les déboutés ont droit de résider en France, reçoivent une aide pécuniaire et leurs enfants sont scolarisés.

     Quant aux  52.000 candidats qui dans notre Etat en faillite et ses 8 millions de pauvres,  sont déboutés après de longs mois d’attente constate Bruno Gollnisch,  ils ne sont bien  sûr  jamais expulsés. Ils restent  dans l’attente d’une prochaine régularisation, d’un futur mariage  ou d’une future grossesse qui leur ouvriront tous les droits….

      La démographe spécialiste de l’immigration,  Michèle Tribalat , le rappelait plus largement sur la site Atlantico en avril dernier,  contrairement à  ce qu’affirme un récent rapport du ministère de l’Intérieur,  «il est faux de dire qu’il y a eu une stabilisation de la proportion d’immigrés en France depuis 1975 », «  que la France  n’est plus à proprement parler aujourd’hui un très grand pays d’immigration »..

     « Le Monde avait déjà chanté cette chanson-là dans un article du 4 décembre 2009 dans lequel il annonçait une stabilisation de l’immigration. Il y annonçait que l’évolution de la population immigrée entre 1982 et 2006 reflétait une  stabilisation. C’est évidemment faux. La population immigrée (personnes nées à l’étranger, de nationalité étrangère ou française par acquisition) a augmenté à un rythme voisin de celui de l’ensemble de la population française entre 1975 et 1999. Ce qui revient effectivement à une stabilisation de la proportion d’immigrés sur cette période. Mais la France a, depuis, entamé un nouveau cycle migratoire qui a porté la proportion d’immigrés à son plus haut niveau (8,4 % en 2009). L’accroissement relatif de celle-ci sur la période 1999-2009 est d’intensité voisine à celui connu au cours des Trente Glorieuses »

    Mme Tribalat a bien évidemment raison de le souligner.C’est d’ailleurs de  ce laxisme criminel là dont ne veulent plus non plus les Français qui loin d’être sans cœur, savent aussi qu’ils ne peuvent accueillir toute la misère du monde affirme Bruno Gollnisch .Il faudra bien  un jour que l’UMPS explique franchement aux Français les raisons de la poursuite d’une immigration de peuplement qui ne se justifie en rien.

    http://www.gollnisch.com

  • Après la Corrèze, Hollande mène la France droit dans le mur

    Entre espoirs déçus et crise profonde, les débuts du quinquennat de Hollande ont vu le « président » socialiste confronté aux réalités d'un pays angoissé où les vagues réformes engagées n'ont toujours pas donné de résultats. Après la Corrèze et avec un air de toujours tomber de la lune, c’est maintenant la France qu’il mène droit dans le mur.
    C'est donc un sombre anniversaire qu’a célébré le 6 mai, date du second tour de l'élection présidentielle, un chef de l'État critiqué jusque dans sa majorité au moment où la France vient de battre le record du plus grand nombre de chômeurs jamais enregistré dans le pays.
    Unanimement soutenue en France et en Occident, l'opération armée au Mali n'a constitué qu'une parenthèse d'un début de quinquennat jugé par ailleurs décevant au plan économique et social, au point de faire de François Hollande le président le plus impopulaire de la Ve République. Des abysses qui ont aussi englouti le piètre et peu charismatique Premier ministre, Jean-Marc Ayrault.¢
    PRÈS DE 3,5 MILLIONS DE CHÔMEURS
    Au terme d'une année 2012 marquée par une croissance nulle, François Hollande a dû renoncer à une promesse charnière, le retour à un déficit public à 3%, repoussé d'un an.
    Mais malgré le scepticisme des économistes, il maintient pour la fin de l'année l'objectif d'inverser la courbe du chômage, passé la semaine dernière au niveau record de 3,2 millions de Français n'ayant pas travaillé en mars.
    Pour retrouver la lumière, François Hollande et les 37 ministres de Jean-Marc Ayrault comptent sur la « boîte à outils » qui comprend les emplois d'avenir, le pacte de compétitivité, le contrat de générations et la loi sur la sécurisation du travail passée entre le Medef et une partie des syndicats via un « dialogue social » si cher, paraît-il à l'exécutif.
    Si l'Élysée a promis qu'il n'y aurait pas d'impôts supplémentaires en 2013 et 2014, des hausses de TVA sont d'ores et déjà programmées pour le 1er janvier prochain, faisant craindre pour le pouvoir d'achat.
    Conséquence d'une année de crise, le "changement" promis par le slogan du candidat socialiste est réclamé avec une mauvaise humeur croissante par des Français que François Hollande, adepte de longs bains de foule pendant la campagne électorale, salue désormais plus rarement sur le terrain.
    AFFAIRE CAHUZAC
    Certains engagements du candidat Hollande ont été accouchés dans la douleur, telle la taxe à 75% pour les Français les plus riches, qui sera finalement à charge des entreprises après avoir été censurée par le Conseil constitutionnel.
    Le « mariage pour tous », qui sera sans doute la plus minable réforme du quinquennat, a donné lieu à six mois de vifs débats qui ont profondément divisé une société déjà dépressive, interpellée sur l'un de ses fondements, la Famille.
    Encore moins prévisible que cette levée de boucliers, l'affaire Jérôme Cahuzac, l'ancien ministre du Budget qui a menti sur l'existence de comptes bancaires clandestins à l'étranger, a choqué l'opinion et « blessé » le président.
    En imaginant dans l'urgence un plan de transparence de la vie publique, François Hollande a bousculé des parlementaires réticents à être jetés en pâture en publiant leur patrimoine.
    Les critiques de la majorité se sont faites plus précises ces derniers jours, le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, prenant la parole pour réclamer une « nouvelle phase » du quinquennat centrée sur la vie quotidienne des Français, un coup de barre à gauche et une confrontation directe avec Berlin contre l'austérité.
    DRAME DE FLORANGE
    L'idée d'un remaniement, sans doute limité, fait son chemin pour donner un nouveau souffle à un exécutif qui a déçu, plus que toutes les autres, les couches populaires du pays.
    Symbole de cet échec: l'enterrement, le 24 avril par des syndicalistes d'ArcelorMittal à Florange, des promesses non tenues de François Hollande sur l'avenir de leur usine, comme l'avaient fait quatre ans plus tôt les salariés de Gandrange pour celles de l'ancien président Nicolas Sarkozy.
    Drame pour la gauche et objet de joutes au sein du gouvernement, notamment entre Jean-Marc Ayrault et le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, l'avalanche de plans sociaux a empoisonné cette première année de pouvoir.
    Les Français ont désormais appris à connaître la véritable personnalité Hollande qui a pu donner le change depuis 30 ans par l’absence de vraies responsabilités mais qui se trouve aujourd'hui caricaturé en homme faible et indécis par les émissions satiriques.
    CRISE DE LA ZONE EURO
    Le « chef » de l'État dit tenir au « sérieux budgétaire » indispensable selon lui à la crédibilité de la France en Europe, pour laquelle il prône la croissance sans pour autant apporter de solutions.
    François Hollande se borne à espérer que les « tensions amicales » avec une chancelière Angela Merkel en pleine campagne électorale n'empêcheront pas d'avancer pour relancer l'activité.
    « C'est dans cette tension positive, utile, que nous créons au niveau européen que nous aurons davantage de marges de manœuvre au plan national. Mais si nous n'étions pas crédibles au plan national, si nous n'étions pas sérieux, la voix de la France ne serait pas écoutée », répète-t-on à l'Élysée. Psalmodie digne de la méthode Coué !
    Pendant sa campagne, Hollande avait prédit deux années difficiles suivies d'une embellie. Une fois aux affaires, il s’est vu contraint de reconnaître s’être trompé et avoir sous-estimé la durée de la crise. Mais ce banal président n’en est pas à une erreur près !...