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Ce groupe, où se trouvaient probablement des mineurs, a tenté de faire démarrer le bus sans y parvenir car il faut actionner plusieurs boutons. La porte avant du véhicule était également ouverte ce qui empêche le bus de circuler. Les voleurs se sont alors transformés en casseurs en s’en prenant à l’intégrité du véhicule. Ils ont détérioré le valideur, brisé plusieurs vitres, dégradé le portillon situé côté conducteur ainsi que les caméras des rétroviseurs.
Plus de 2 500 migrants ont traversé la Manche en onze jours depuis l’entrée en vigueur du nouvel accord franco-britannique dit « un pour un » : un renvoi vers la France en échange d’un demandeur d’asile autorisé à rester au Royaume-Uni. Le ministère de l’Intérieur britannique l’a confirmé, et la BBC a consolidé ces données le 17 août. Dans le même temps, un bateau de plus de 100 clandestins a encore été aperçu cette semaine dans la Manche.
Marion Maréchal et son mari Vincenzo Sofo ont frôlé la mort, sur les routes de Calabre, en Italie. Ils ont été percutés de face par un véhicule qui a fait un écart pour éviter un animal. Malgré la violence du choc, ils sont pratiquement indemnes et tout le monde ne pourra que s’en réjouir.
L’État islamique a lancé un nouvel appel à ses partisans en Afrique à « mener le djihad » jusqu’aux côtes européennes. Dans un message relayé par le quotidien espagnol La Razón le 14 août dernier, l’organisation terroriste ordonne à ses combattants : « Ô chevaliers de l’Islam en Afrique, […] que Dieu protège vos chemins, préserve votre combat […] jusqu’aux côtes de l’Europe, en l’envahissant, en dissipant sa sécurité et en transformant ses rues et ses capitales en nouveaux “Ituri” et “Cabo Delgado” ». C’est-à-dire en zones de chaos semblables à ces provinces du Congo et du Mozambique ravagées par l’insurrection djihadiste. Cette injonction s’inscrit dans une stratégie plus large déjà observée par Sahel Intel (plateforme spécialisée dans l’analyse des menaces djihadistes en Afrique) : les combats au Congo et au Mozambique ne sont « qu’un prélude » à ce que Daech « entend mener en Europe », expliquait déjà La Razón le 8 août.
Le vendredi 1er août 2025, à Brest, le premier Jeudi du Port de l’été vient de se terminer. Avec des amis, un jeune homme de 17 ans quitte le Parc-à-Chaînes à Brest et remonte le cours Dajot, quand il est abordé par cinq jeunes. Soudain, l’un d’eux lui tape dans le dos et lui arrache la chaîne en or qu’il porte autour du cou, avant de s’enfuir en courant.
Trois portraits saisissants, dans des contextes distincts et à des époques différentes, abondent le proverbe « chassez le naturel, il revient au galop » dont la paternité revient au poète romain Horace.
Huda, la gravure de mode, une belle fleur vénéneuse
De son vrai nom Huda Kattani, 41 ans, est une américano-irakienne née en Oklahoma au temps d’avant Trump, quand les services de l’immigration laissaient passer sans méfiance tous les mahométans. Après tout, l’Arabie ne se disait-elle pas la grande amie des USA ?
Trois hommes encagoulés ont fait irruption chez une femme de 92 ans, vendredi 15 août, vers 23 h, au Pays Fouesnantais (Finistère). Ils lui ont arraché sa chaîne en or, volé 20 euros , tenté de lui prendre son alliance et retourné sa maison. Une enquête est ouverte.
On voit dans cette vidéo du Youtubeur Théo Malini des images étonnantes de dizaines de manifestations ouvertement anti-migrants qui se déroulent en Grande-Bretagne, dans une dizaine de villes dont Londres, Manchester et Newcastle. Les mots d’ordre sont clairs : « Protégez nos enfants », « Nos rues » et surtout « Renvoyez-les ! ».
Nevers : samedi 18 août : 5 heures du matin. Des sirènes de police retentissent, celles de deux véhicules de Police lancés à la poursuite de fêtards roulant à vivre allure dans une petite citadine. Ils grillent un « Cédez le passage », négocient mal leur virage et s’encastrent dans le trottoir à quelques dizaines de centimètres du mur d’une résidence, réveillant ainsi les occupants qui se mettent à leurs fenêtres. Il s’agit d’un refus d’obtempérer et les policiers n’y vont pas avec des pincettes. Débarquement des occupants, ils sont trois, un Français de papier, un étranger tout juste francophone et une jeune femme, pas trop identifiable. Vous avez bu ? Réponse évasive. « Vous êtes en refus d’obtempérer ». Fouille au corps, menottage, résistance vite jugulée de la part des intéressés et hop, embarquement immédiat, deux d’un côté, un de l’autre. Leur voiture, si c’est bien la leur, reste sur place ouverte, à moitié au milieu de la route, jusqu’à ce qu’un dépanneur vienne la chercher vers six heures du matin. Ceci sans parler de l’éventuelle conduite sans permis et sans assurance et des suites qui seront données à ce flagrant délit. Souvent la clémence des peines impressionne.