Le 26 juillet 2025, à Vienne, près de 600 militants identitaires venus de toute l’Europe se sont rassemblés pour défendre le concept de remigration, appelant au retour des populations extra-européennes vers leurs pays d’origine. Au-delà des slogans et des images, nous avons donné la parole à plusieurs figures clés du mouvement identitaire européen afin de mieux comprendre leurs motivations, leurs combats, et leur vision de l’avenir.
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Paroles de jeunes identitaires depuis la manifestation de la remigration à Vienne [Interview]
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Nicolas Pouvreau-Monti : "Le moteur principal des flux migratoires est économique !"
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À Béziers, Robert Ménard choisit la manière forte face aux rodéos urbains
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Arrêtez de prendre la province pour une poubelle à migrants !
On savait que certains parisiens – qui ne connaissent de la capitale que les bonnes adresses où se goinfrer et les boutiques où dépenser leurs millions, et un peu moins son Histoire et ses Arts véritables – étaient chatouilleux à l’endroit des magasins d’alimentation un peu trop « peuple » en bas de chez eux. Ainsi, un Carrefour City dans Boboland a récemment donné des sueurs froides aux habitants d’un quartier chic qui craignaient pour leur tranquillité et leur sécurité : « C’est très protégé ici, et c’est normal. La police vient dès qu’on l’appelle. Quand on est à plus de 20 000 € le mètre carré, on n’a pas envie d’avoir de la racaille en bas de chez soi ! » expliquait un habitant effrayé par le Carrefour City en question. Autrement dit, la racaille c’est bon pour les prolos de Français !
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« Des Algériens [Sous OQTF] peuvent sortir un couteau dans le métro, dans la rue, n’importe où » : L’ex-ministre et ex-membre du Conseil constitutionnel Noëlle Lenoir, accusée de racisme et visée par une plainte de SOS Racisme
L’ancienne ministre Noëlle Lenoir, visée par une plainte de SOS Racisme pour avoir tenu des propos à caractère raciste sur la chaîne de télévision CNews, est partiellement revenue sur ses propos, tout en les justifiant, par voie de communiqué mercredi 13 août.
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Bagnols-sur-Cèze (30) : un homme au casier judiciaire bien rempli enchaîne les délits pour échapper aux policiers, de « peur de retourner en détention ». Un an de prison sous bracelet électronique
Un homme âgé de 29 ans était jugé devant le tribunal correctionnel de Nîmes pour une course folle dans la nuit du 18 juin dernier à Bagnols-sur-Cèze (Gard), lors de laquelle il a multiplié les délits : refus d’obtempérer en fonçant en direction des policiers, défaut d’assurance, conduite sans permis, conduite en sens interdit ou encore prise du nom d’un tiers.
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Un petit air de charia : en Seine-Saint-Denis, le film Barbie censuré
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Les criminels hyperviolents des groupes maffieux, un vivier potentiel pour le terrorisme islamiste
Synthèse nationale
Le dernier rapport de l’Office anti-stupéfiant (Ofast) montre une dégradation continue de la situation sur le front des différents trafics. Non seulement les drogues (cannabis, cocaïne, héroïne, MDMA/ectasy et autres drogues de synthèse) submergent notre pays (Bruno Retailleau, parle d’un véritable « tsunami »), mais elles s’insinuent partout, sur l’ensemble du territoire et dans toutes les couches de la population.
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Italie : blocage administratif de l’avion de surveillance maritime de l’ONG Sea-Watch
L’Italie a décidé de clouer au sol pour 20 jours le Seabird 1, avion de reconnaissance et de patrouille en mer de l’ONG allemande Sea-Watch. La mesure, entrée en vigueur le 8 août, a été prise par l’ENAC (Ente Nazionale per l’Aviazione Civile) à la suite de signalements de la Garde côtière, sur la base du décret Piantedosi, déjà appliqué aux navires humanitaires et désormais étendu aux aéronefs.
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Allongement de la rétention pour étrangers violeurs ou trafiquants : Richard Ferrand aurait pesé pour faire tomber la mesure au Conseil constitutionnel (MàJ)
12/08/25
Selon nos informations, les Sages étaient particulièrement divisés sur la position à tenir. En effet, au départ, quatre voix s’exprimaient en faveur de la censure et quatre autres estimaient la loi conforme à la Constitution. Autrement dit, l’atteinte aux principes constitutionnels n’avait rien d’évident. C’est la voix du président du Conseil, Richard Ferrand, qui a fait la différence du côté de la censure, contre la possibilité d’une rétention à 210 jours en vue de l’expulsion.