
Un réseau de vols de câbles télécoms, qui opérait en Loire-Atlantique et dans le Maine-et-Loire, a été récemment démantelé par la brigade de recherche de Nantes, a appris BFMTV auprès de la gendarmerie nationale.
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Un réseau de vols de câbles télécoms, qui opérait en Loire-Atlantique et dans le Maine-et-Loire, a été récemment démantelé par la brigade de recherche de Nantes, a appris BFMTV auprès de la gendarmerie nationale.
Quelques jours après des violences urbaines survenues dans sa ville, Émile Roger Lombertie, (la photo) maire de Limoges, avait comparé les habitants d’un quartier à « des bêtes », les qualifiant de « musulmans salafistes intégristes ». La préfète du Rhône, Fabienne Buccio, face aux chiffres de la délinquance en hausse dans son département, déplore « un sentiment d’impunité » chez les délinquants étrangers, qui représentent 60 % des mis en cause avec notamment des Algériens. Si le premier dit ce qu’il veut en partant de ses propres constats, la seconde est fonctionnaire et ne dit que ce qu’on lui permet de dire évidemment, à plus forte raison sur ce genre d’annonce qui pourrait apparaître controversés mais qui est le reflet de ce que le quidam peut voir au quotidien, tant c’est devenu visible. Lombertie fait face à une fronde de la part de quelques militants qui trouvent que son propos « stigmatise », le mot est toujours employé quand il s’agit d’essayer de nier la réalité. Le problème est que non seulement ce n’est pas nouveau mais qu’en plus, cela été largement officialisé. Quand le recteur de la mosquée de Paris est venu demander à Macron que la France paie des aumôniers musulmans pour les prisons, il a parlé de 80 % de détenus musulmans. Et plusieurs études ont déjà montré les lien étroits entre le radicalisme islamique et le milieu carcéral. Egalement, les mineurs étrangers non accompagnés avaient été mis évidence dans de précédentes statistiques sur des villes comme Toulouse ou Perpignan. Ces deux responsables publics ne font donc que raconter des choses connues et parfaitement explicables.
Le 19 juillet dernier, six drapeaux français brûlés ont été retrouvés dans des toilettes publiques à Gap, dans les Hautes-Alpes.
L’histoire remonte au 19 juillet dernier, la ville de Gap préparait alors une commémoration aux victimes des crimes racistes et antisémites de l’État français le lendemain, rapporte Le Dauphiné Libéré.
Récemment, une horreur s’est produite dans une piscine publique en Hesse, en Allemagne. Une horreur que les médias mainstream ont d’abord tenté de minimiser, avant que l’ampleur des faits ne force l’information à éclater : au total, neuf enfants et adolescentes, âgées de 11 à 17 ans, ont été victimes d’agressions sexuelles dans un espace censé être sûr, public, surveillé. Le détail glaçant de l’affaire est désormais connu. Les auteurs présumés, tous de nationalité syrienne, ont profité de l’affluence estivale pour cibler des jeunes filles dans l’eau. La police allemande a rapidement interpellé quatre suspects, âgés de 18 à 28 ans. Un cinquième est parvenu à s’enfuir. Selon les forces de l’ordre, deux des suspects seraient frères. Les agresseurs n’étaient pas en groupe : leur mode opératoire semble avoir été plus insidieux, plus inquiétant encore – coordonné sans être visible, opportuniste mais structuré.
Drogue, alcool et heurts rythment désormais le quotidien nocturne du square Saint-Amour, situé à cheval entre les bars et les boîtes de la commune dont les 120 000 habitants étaient jusque-là épargnés par les incivilités et violences urbaines qui prennent d’assaut bon nombre de villes moyennes. Tout autour, des jeunes gens se donnent également rendez-vous pour transformer l’asphalte en circuit de course. Une situation « invivable » pour les riverains qui demandent à la municipalité d’agir.
Depuis plus de quinze jours, plusieurs manifestations anti-immigration ont eu lieu dans le pays. Elles ont commencé après la mise en examen début juillet de migrants éthiopiens hébergés à Epping, dans la banlieue de Londres, accusés d’agressions sexuelles sur des adolescentes.
Selon ladepeche.fr , un Tunisien de 18 ans a été condamné le vendredi 25 juillet 2025 par le tribunal de Cahors à 12 mois de prison ferme, assortis d’un mandat de dépôt, pour avoir agressé un veilleur de nuit de l’association Lot pour Toits, qui œuvre au logement des migrants.
Selon France Bleu Belfort-Montbéliard, Christophe Froppier, adjoint au commerce à la mairie de Montbéliard, a été agressé en pleine rue, ce mercredi 30 juillet 2025 vers 16h30, rue Febvre. Selon les premiers éléments, l’agresseur serait un homme d’origine afghane, inconnu des services de police, et ne parlant pas français. Il a été immédiatement interpellé et placé en garde à vue, mais son audition est reportée dans l’attente d’un traducteur.