immigration - Page 415
-
TEMOIGNAGE: Vis ma vie de femme à Gare du Nord
-
Eric Zemmour : “8 Français sur 10 estiment que la Justice est trop laxiste. Entre la Police et la Justice, les Français ont choisi leur camp. Pour libérer des places de prison, il faut expulser les étrangers”
Eric Zemmour : “8 Français sur 10 estiment que la Justice est trop laxiste. Entre la Police et la Justice, les Français ont choisi leur camp. Pour libérer des places de prison, il faut expulser les étrangers”.
-
L’envoi massif de migrants, nouveau moyen de gestion des conflits entre États ?
Des milliers de points noirs sur la mer et les plages bondées où s’avancent les chars et la Guardia Civil… C’est à Ceuta, enclave espagnole sur la côte nord du Maroc, où ont débarqué, lundi, près de 8.000 Marocains arrivés à la nage ou bien en longeant à pied les digues qui bordent les plages.
La moitié des adultes ont déjà été renvoyés au Maroc, mais il est impossible d’expulser les 2.000 mineurs. Dans le même temps, plus de 300 ont aussi tenté le passage vers Melilla, l’autre enclave espagnole, à 400 km.
-
Jordan Bardella (RN) : « 75% des mineurs déférés devant le parquet de Paris sont étrangers »
Jordan Bardella, Vice-président du Rassemblement National, député européen et candidat aux Régionales en Ile-de-France est l’invité politique du Grand Matin Sud Radio.
-
Sofiane Hambli, l’un des plus gros trafiquants de drogue français, remis en liberté “contre toute attente” (MàJ : sous contrôle judiciaire, il a disparu)
26/06/21
Poids lourd du trafic de cannabis, Sofiane Hambli a pris la fuite : arrêté en novembre, ce trafiquant de drogue de haut vol avait été libéré sous contrôle judiciaire en mars : il s’est depuis volatilisé
Une notice rouge Interpol vient d’être émise à l’encontre de ce trafiquant de drogue, personnage central de l’affaire dite du scandale des « stups ».
Mais où est donc passé Sophiane Hambli ? Selon nos informations, une notice rouge Interpol vient d’être émise par la France à l’encontre de ce trafiquant de drogue français de grande envergure, assortie de trois photos anthropométriques de l’intéressé. Ces fiches sont destinées à alerter les autorités de police du monde entier sur les fugitifs recherchés à l’échelle internationale.
-
Florian Bachelier (LREM) : “La maîtrise des frontières est ce qui définit une Nation”
Le député d’Ille-et-Vilaine publie une tribune chez nos confrères du JDD dans laquelle il appelle à la mise en place d’un “plan d’action en 9 points” sur la question de l’immigration. Extraits :
La maîtrise des frontières est ce qui définit une Nation. Dire qui l’on souhaite accueillir ou non et à quelles conditions, c’est l’essence même d’un peuple […] Nous ne devons plus nous résigner à laisser aux partis politiques qui en ont fait commerce le monopole des enjeux migratoires. Les forces républicaines de gouvernement doivent assumer la complexité de ces phénomènes et peuvent peu à peu reprendre le contrôle. […]
-
Jean-Paul Gourévitch : « L’immigration coûte beaucoup plus cher que ce qu’elle nous rapporte, mon travail scientifique situe ce déficit entre 20 et 25 milliards
L’universitaire Jean-Paul Gourévitch : « Toutes les enquêtes montrent que 5 ans après, seulement 33% des migrants ont trouvé du travail » « L’immigration coûte beaucoup plus cher que ce qu’elle nous rapporte, mon travail scientifique situe ce déficit entre 20 et 25 milliards »
-
Rod Dreher : « L’idéologie du genre et l’immigration de masse sont en train de détruire beaucoup de pays comme l’Amérique et la France. Il faut résister à ce
Boulevard Voltaire a interviewé Rod Dreher, auteur du Pari bénédictin, à l’occasion de la sortie de son dernier livre Résister au mensonge. Vivre en chrétiens dissidents.
Vous êtes américain, vous publiez Résister au mensonge. Vivre en chrétiens dissidents aux Éditions Artège. C’est votre deuxième livre publié dans cette maison. Il parle de l’effondrement de l’Ancien Monde et l’avènement du progressisme. Un monde où les chrétiens vivent en minorité et doivent se battre contre cette idéologie progressiste. Vous employez le terme « totalitarisme » pour définir cette idéologie. Pourquoi êtes-vous allez jusque-là ?
-
Délinquance des «mineurs isolés» : le sénateur Henri Leroy dénonce une «hémorragie», à Bordeaux 40% des faits de délinquance leur sont imputables, à Paris 75% des mineurs déférés sont des migrants
INTERVIEW – L’ancien gendarme se dit préoccupé par l’insécurité et les coûts engendrés par les mineurs isolés. Une mission d’information au Sénat a été lancée sur le sujet.
Henri Leroy, gendarme de carrière, est sénateur (LR) des Alpes-Maritimes et ancien maire de Mandelieu-la-Napoule. Il siège à l’OFPRA (Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides), est référent sécurité à la commission des Lois du Sénat, et représente le Sénat au Beauvau de la Sécurité.
LE FIGARO.- Qu’est-ce qui vous a amené à créer un groupe de travail sur les mineurs isolés?
Henri LEROY.- Il suffit de voir le panorama de la délinquance. Il y a une hausse inquiétante et qui semble exponentielle. Le nombre de migrants mineurs était de 30.000 en 2015 et 60.000 en 2018, et les problèmes associés augmentent au même rythme. La plupart des grandes villes et communes périurbaines sont concernées, et aujourd’hui, les données mettent en avant deux points noirs, à Paris et Bordeaux. Le parquet de Paris établissait en novembre dernier que 75% des mineurs déférés sont des migrants. À Bordeaux, 40% des faits de délinquance leur sont imputables, et la proportion était de 24% il y a encore deux ans. Le problème grossit et menace de s’infiltrer dans toutes les tranches de la délinquance, des trafics, du banditisme… Il faut stopper cette hémorragie. Pour travailler efficacement, il faut se rendre sur le terrain, notamment à Bordeaux où vient d’être créée une cellule spécifique de lutte contre le phénomène. Mais également à Nantes, Lyon, etc.
-
L’hébergement des sans-abris ne doit pas être une prime à l’immigration.
L’hébergement des sans-abris est un devoir, quelles que soient les circonstances. Mais pas à n’importe quel prix… Ainsi, précipité par l’épidémie de Covid-19, l’effort consenti va se prolonger pour dix mois au moins. Le gouvernement a en effet annoncé, vendredi 21 mai, qu’il garderait les 43 000 places d’hébergement d’urgence, créées depuis le premier confinement, ouvertes jusqu’à fin mars 2022.
« On ne remettra personne à la rue à l’issue de la trêve hivernale », exceptionnellement prolongée cette année jusqu’au 1er juin 2021, a expliqué le ministère du logement, qui a décidé de « pérenniser » les places créées depuis un an « jusqu’à la fin du mois de mars 2022 »…au moins.