L’époque où la Scandinavie, en particulier la Suède et le Danemark, appliquant le credo social-démocrate du « vivre ensemble » et des « bienfaits » du multiculturalisme, ouvrait ses portes en grand aux migrants, qualifiés de « réfugiés », serait-elle révolue ? Depuis trois ans, le Danemark a mis un tour de vis à sa politique migratoire. Ce pays l’accentue même, soucieux de survie identitaire et de lutte contre la criminalité et la délinquance. Les Danois regardent la réalité en face : les migrations massives sont la source du développement de la violence.
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Le Danemark, avant-poste du refus des migrations massives
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Chronique du délitement : 31 CRS blessés
Et c’est encore la faute à l’immigration ! Dans la nuit de mardi 1er à mercredi 2 juin, 31 CRS ont été blessés lors d’affrontements avec des immigrés après que ces derniers ont tenté de pénétrer illégalement dans le port de Calais. Sept policiers ont fait l’objet d’un transport à l’hôpital.
Dans l’actualité anti-flic, on note aussi à Creil (60) 2 policiers hospitalisés après avoir été renversés par une voiture sur un marché. Le suspect est en fuite.
A Sarcelles, une note interdit aux policiers les courses-poursuites sauf en cas de «crime de sang», grogne des hommes de terrain. Un policier grogne de ne pouvoir faire son métier :
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Le Danemark adopte une loi pour transférer les demandeurs d’asile hors du territoire européen
RT – Connu pour sa ligne politique intransigeante sur les questions migratoires, le Danemark s’est doté d’une loi pour exporter ses demandeurs d’asile sur des territoires tiers, extérieurs à l’UE, le temps que la demande aboutisse.
Un centre d’asile délocalisé au Rwanda ou en Erythrée ? Le Danemark a adopté ce 3 juin une loi qui lui permettra d’ouvrir des centres pour les demandeurs d’asile, qui y seraient envoyés pendant le traitement de leur dossier et même après.
(…) RT
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Sur le renouveau de la folie immigrationniste
Commençons par le commencement : dans notre précédente chronique nous avions souligné que le Haut-Commissaire au plan, nommé en septembre 2020, avait repris, pour le compte de la Macronie une antienne vieille de plus de 50 ans.
Cette affirmation d'une double solution en effet, "avoir" plus d'enfants ou recourir à l'immigration, ne fait que reprendre celle de Michel Debré. Celui-ci de janvier 1959, jusqu'au 14 avril 1962, avait dirigé le premier gouvernement de la cinquième république. Démonétisé par son attitude lors du procès du général Salan, en mai, l'ancien comploteur renégat de l'Algérie française avait été battu en Indre-et-Loire aux élections législatives de novembre, pourtant victorieuses pour le parti gaulliste. Il ne réussit lui-même à retrouver un siège à l'Assemblée nationale qu'à la faveur d'une élection partielle dans l'île de La Réunion en 1963.
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Zemmour : “C’est la démographie qui fait l’Histoire. Nous assistons à un renversement. Un vieux peuple subverti par des vagues migratoires qui lui changent sa civilisation”
Dans Face à l’info, Eric Zemmour évoque la vague migratoire aux Etats-Unis :
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66% des Français veulent voir les étrangers qui ont été condamnés en France exécuter leur peine dans leur pays d’origine, selon un sondage
Sept Français sur dix veulent voir les étrangers qui ont été condamnés en France exécuter leur peine dans leur pays d’origine, selon un sondage de l’Institut CSA pour Cnews.
« Un échantillon de 1.000 personnes majeures représentatif de la population nationale a répondu à cette question via un formulaire en ligne. Résultat, 66% des interrogés ont opté pour le «oui». Ils sont notamment 42% a en être «tout à fait» convaincus, quand les 24% restants se disent plus nuancés. »
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Élections départementales et régionales : un enjeu pour l’immigration
Par Paul Tormenen, juriste et spécialiste des questions migratoires ♦ À quelques semaines de l’élection des conseillers départementaux et régionaux, la campagne électorale telle qu’elle filtre dans les médias est atone. Seules les petites phrases, les sondages et les calculs tactiques semblent nourrir l’actualité. Pendant ce temps, on ne parle pas de l’essentiel.
Bien que la politique d’immigration soit une mission dévolue à l’État, les collectivités territoriales ont certaines attributions et une marge de manœuvre en la matière. Elles utilisent parfois cette dernière avec une certaine liberté, voire avec une liberté certaine. Les décisions qu’elles prennent peuvent contribuer à amplifier ou à restreindre les flux migratoires totalement délirants que nous connaissons.
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Le désastre macronien et l'immigration
Le 30 mai le premier tour de quatre élections législatives partielles s'est déroulé dans un climat d'indifférence impressionnant. Le parti macronien ose encore se dire majoritaire. Or, sur 4 compétitions, une seule, dans la 6e circonscription du Pas-de-Calais, a vu sa candidate arriver en tête. Or, même dans ce cas, Brigitte Bourguignon, bien que ministre, ne recueille que 35 % des suffrages et le taux d'abstention s'établit à plus de 75 %. Autrement dit, dans une région où la prétendue république en marche présente 5 ministres en vue du scrutin du 20 juin, moins de 9 % des électeurs votent pour le gouvernement. Les 3 autres circonscriptions confirment ce désaveu qu'annoncent aussi les actuels sondages en vue du rendez-vous du 20 juin, très largement défavorables à la Macronie, du nord au midi.
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Karim Zeribi : aujourd’hui expert en psychiatrie, demain en ophtalmologie…
Certaines circonstances suscitent certaines vocations. Durant l’année 2020, nombre de commentateurs se sont découvert une compétence innée pour la médecine – les maladies infectieuses en particulier. À les écouter, ces virologues en herbe seraient tombés tôt dans la marmite de la virologie ; en temps de Covid, tous toubibs et moi et moi aussi. D’autres conjonctures suscitant d’autres savoir-faire tout aussi inédits, l’exemple par Karim Zeribi et la psychiatrie.
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Amiens : 2 restaurateurs roués de coups « gratuitement » par deux migrants guinéens en situation irrégulière et déjà connus de la police
Une pluie de coups. Alain Massaad, gérant du « Eat Burger » et son frère Patrick, ont été victimes d’une agression particulièrement violente ce samedi soir vers 22h30, alors qu’ils avaient terminé leur service. Âgés de 46 et 49 ans, ils ont aperçu deux individus qui étaient en train de dégrader la terrasse de leur établissement situé dans la rue de Noyon. Les deux inconnus venaient de faire la même chose sur une terrasse voisine.