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Plusieurs eurodéputés de droite ont dénoncé la promotion du port du voile et le financement des ONG islamistes par l’UE qui soutient dans le même temps le mouvement anti-voile qui enflamme l'Iran.
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Plusieurs eurodéputés de droite ont dénoncé la promotion du port du voile et le financement des ONG islamistes par l’UE qui soutient dans le même temps le mouvement anti-voile qui enflamme l'Iran.

Emmanuel Macron, défenseur de la « société ouverte », persiste dans son aveuglement idéologique, source de la dépression française. Le voici qui promeut la « transition démographique », dans une indifférence aux désordres et aux tensions créés par les contre-sociétés importées. Alors que la négation du lien entre immigration extra-européenne et insécurité ne résiste plus aux faits – même le ministre de l’Intérieur le reconnait – le chef de l’Etat s’accroche à sa vision irénique de l’accueil de masse, au prétexte de s’opposer aux « xénophobes ». Dans son discours de lundi, qui veut faire du Conseil national de la refondation un lieu de démocratie participative, le chef de l’Etat a invité les citoyens à participer à des « chantiers nationaux ».
Source Breizh-info cliquez ici
De la tension durant plusieurs heures ce mercredi 5 octobre au matin, sur le marché de Callac, toujours en raison du spectre du Projet Horizon et de l’accueil forcé de plusieurs familles de migrants possiblement à venir dans les prochains mois et les prochaines années, dans cette petite commune de 2200 habitants.
Alors que le collectif « Les Amis de Callac » diffusait une pétition réclamant la tenue d’un référendum sur le projet – pétition que l’on peut retrouver dans de nombreux commerces de la commune – Jean-Yves Rolland s’est présenté avec deux de ses adjoints… et les gendarmes, pour avertir les militants pro référendum qu’il venait de prendre un arrêté municipal… interdisant la diffusion de cette pétition sur le marché de Callac.
Quand on répond, à l'Assemblée nationale, aux fameuses questions au gouvernement, dont le sujet est connu à l'avance, on a tout intérêt à bien peser ses mots. Sonia Backès (photo) ne l'a sans doute pas suffisamment compris quand, le mardi 4 octobre, elle s'est adressée à un député du Rassemblement national qui l'interrogeait sur le projet macronien de repeupler des villages avec des immigrés.

(…) Cnews

Ils sont cinq enfants, âgés de 12 à 2 ans, lorsqu’ils se confient aux enquêteurs à la fin de l’année 2021. Ils sont entendus car leur papa est soupçonné de frapper leur mère. Ce dernier sera condamné à un stage de sensibilisation contre les violences dans le couple. Mais l’affaire ne s’arrêtera pas là. Les petits présentent de nombreuses cicatrices sur le corps. Et ils décrivent des violences quasi-quotidiennes à leur égard, des coups portés avec le câble d’un chargeur de téléphone. L’aînée détaille d’autres sévices. Elle explique que sa maman broie du piment et qu’elle le lui frotte sur le sexe pour la punir. Ses cadets évoquent aussi l’usage du piment sur leurs yeux, leurs bouches en réponse à « leurs grosses bêtises ».

Ils sont cinq enfants, âgés de 12 à 2 ans, lorsqu’ils se confient aux enquêteurs à la fin de l’année 2021. Ils sont entendus car leur papa est soupçonné de frapper leur mère. Ce dernier sera condamné à un stage de sensibilisation contre les violences dans le couple. Mais l’affaire ne s’arrêtera pas là. Les petits présentent de nombreuses cicatrices sur le corps. Et ils décrivent des violences quasi-quotidiennes à leur égard, des coups portés avec le câble d’un chargeur de téléphone. L’aînée détaille d’autres sévices. Elle explique que sa maman broie du piment et qu’elle le lui frotte sur le sexe pour la punir. Ses cadets évoquent aussi l’usage du piment sur leurs yeux, leurs bouches en réponse à « leurs grosses bêtises ».
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Les débarquements en Italie reprennent alors que les enquêtes du FdG mettent au jour 141 migrants bénéficiant indûment d'un revenu d'urgence : une escroquerie de plusieurs milliers d'euros.
L'urgence des migrants dans notre pays continue, qui ne peut et ne doit pas être reléguée uniquement à la question des débarquements, mais aussi à la gestion subséquente, qui a montré depuis des années de grandes failles et des lacunes qui compromettent en fait la sécurité du pays. Cela est démontré par la fréquence des délits et la perception de l'insécurité par les citoyens, mais aussi par les données sur le remplissage des prisons italiennes, où de nombreux occupants sont de nationalité étrangère. Entre-temps, les débarquements dans notre pays ont repris, notamment à Lampedusa, où des centaines de migrants sont arrivés en quelques heures, à tel point que le centre d'accueil de Cala Imbriacola s'est à nouveau rempli après des jours où il n'y avait que quelques dizaines d'étrangers attendant d'être transférés à l'intérieur.
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https://tvl.fr/actus/immigration-en-italie-plus-de-350-clandestins-debarquent-en-24h
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Invité au micro d'Europe 1 chez Sonia Mabrouk, le fondateur du Puy du Fou s'attaque à la politique de répartition des clandestins dans les campagnes du président de la République.
Philippe de Villiers sur Emmanuel Macron : "il fait le grand remplacement, c'est-à-dire que petit à petit (...) on va installer des quartiers dans les campagnes et on va installer une véritable colonisation. Vous avez des gens de l'extérieur qui vont arriver avec leurs mœurs"

D’après un sondage exclusif de l’institut CSA pour CNEWS, publié ce mercredi 5 octobre, 80% des Français interrogés pensent qu’un racisme anti-blanc existe en France, dans certaines communautés.
A en croire le dernier sondage de l’institut CSA pour CNEWS, 8 Français sur 10 sont convaincus que le racisme anti-blanc est une réalité en France. Un sentiment sans doute favorisé par certains faits divers, à l’image de la démission de Boris Venon le 28 septembre dernier. Cet ancien adjoint au maire des Mureaux (Yvelines), avait affirmé avoir été victime d’agressions qu’il qualifie de «racistes».
Pour justifier son départ, l’adjoint a expliqué, lors du conseil municipal du 28 septembre, avoir subi «11 agressions» au cours de son mandat, dont des «menaces de mort» ainsi que des «insultes homophobes et racistes». Boris Venon a notamment assuré qu’un habitant lui aurait dit : «Le blanc, quitte ma ville. On est chez nous ici».