Mercredi 18 mai a lieu une « marche citoyenne » en soutien aux forces de l’ordre organisée par les quatre principales organisations syndicales de l’institution : Alliance, Unité SGP, Unsa et SCSI. Cette mobilisation initiée suite à la mort du brigadier Eric Masson à Avignon au cours d’une opération anti-drogue, suscite beaucoup de curiosité dans la sphère politico-médiatique.
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Soutien aux forces de l’ordre : le bal des faux-culs, non merci !, par Jean-Frédéric Poisson.
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Les temps modernes de la pègre :
Fini les Corso-Marseillais. Autres temps, autres moeurs. En pire.
Il y avait Marcel Nacer Bennacer dit « Nénesse », Foued Allia alias Michel le Libanais, Abbes dit « le Petit Abbes « ou « Abbes le Nomade », « le parrain de la Goutte-d’Or » jusqu’à la fin des années 1970, et bien d’autres encore. Tous flanqués de patronymes dont se régaleraient les auteurs de polars ou les scénaristes des films noirs des années 1950-1960. Ils ont commencé dans la carrière en faisant les julots dans les hôtels borgnes – les « maisons d’abattage » comme on les appelait jusqu’au début des années 1980 – autour de Barbès, dans le 18e arrondissement de Paris.
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Élections régionales : la montée en puissance des listes communautaires, par Marie d'Armagnac.
En Île-de-France, en Bretagne, dans les Hauts-de-France, en Auvergne-Rhône-Alpes et dans le Grand Est, l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) présente des candidats aux élections régionales et départementales.
Pour les municipales de 2020, les listes de l’UDMF étaient considérées par les préfets comme des listes communautaires, terme que le fondateur récuse totalement.
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Allemagne : perquisition au domicile du président de l’AfD pour un post facebook “stigmatisant” les migrants
Le domicile du président de l’AfD de Thuringe, Björn Höcke, a été perquisitionné. Cela a été confirmé samedi par un porte-parole du procureur responsable de Mühlhausen. […]
Höcke est accusé d’avoir posté une photo de Rackete avec la phrase: “J’ai importé de la torture, des violences sexuelles, du trafic d’êtres humains et des meurtres”. Le parquet soupçonnait qu’il aurait pu stigmatiser un certain groupe de personnes – les réfugiés – comme des criminels. […]
Le porte-parole de l’État de l’AfD, Stefan Möller, a annoncé samedi soir: «La perquisition à domicile du président de la faction d’opposition la plus forte du parlement de l’État de Thuringe en raison d’une publication sur Facebook qui est manifestement couverte par le droit fondamental à la liberté d’expression est un autre point bas de la abus du pouvoir judiciaire contre des opinions politiques prétendument insoumises. ” […]
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Immigration : l’échec et les mensonges de la politique d’Emmanuel Macron révélés
Youssoupha commence à vous faire tousser ? Pas de souci, Emmanuel Macron s’occupe de vous. Dès vendredi, en sortant d’une rencontre avec des rappeurs, il avait lâché cette phrase sur les droits et les devoirs des migrants qu’on aime bien entendre et plagié Michel Rocard : « Nous sommes un pays généreux, mais on doit respecter les règles, on ne peut pas donner des papiers à tout le monde. On prend notre part, mais on ne peut pas accueillir tout le monde. »
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Ceuta, Grèce, Mayotte : l’immigration extra-européenne comme arme géopolitique
Lundi 17 mai, près de 6 000 clandestins venus du Maroc ont gagné l’enclave espagnole de Ceuta, située au nord de l’Afrique. Cet afflux massif, qui présente toutes les caractéristiques d’une invasion, est une nouvelle illustration de l’utilisation par certains gouvernements de l’immigration clandestine comme moyen de pression géopolitique. Dans le cas présent, les autorités marocaines ont, en laissant des milliers de migrants passer la frontière, souhaité protester contre l’accueil par l’Espagne d’un leader du Front Polisario pour s’y voir prodiguer des soins médicaux.
Découvrez cette analyse de Paul Tormenen. -
Nouvelle-Zélande : le gouvernement (socialiste) veut réduire drastiquement l’immigration et s’appuyer davantage sur la main d’œuvre néo-zélandaise
Le lundi 17 mai, le gouvernement travailliste (de gauche) néo-zélandais a annoncé qu’il resserrerait l’accès à ceux qui espèrent émigrer ou travailler dans le pays, en particulier ceux qu’il qualifie de travailleurs « peu qualifiés » et à bas salaires. Il a annoncé simultanément de nouvelles mesures pour attirer les investisseurs riches.
« Lorsque nos frontières rouvriront, nous ne pourrons pas nous permettre de simplement ouvrir le robinet de l’immigration en utilisant les critères précédents », a déclaré le ministre du Tourisme, Stuart Nash, dans un discours lundi soir.
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L’Espagne a réussi, pourquoi la France n’y parviendrait-elle pas ?
Depuis lundi 17 mai, l’Espagne subit le déferlement de hordes migrantes, en provenance bien sûr du Maroc mais aussi de plusieurs pays d’Afrique sub-saharienne, dans son enclave de Ceuta. Ces barbares s’introduisent par voie terrestre mais aussi et surtout par voie maritime à partir du territoire marocain, à la nage ou en rafiots. Ils étaient hier, jeudi, plus de huit mille a s’être introduits dans l’enclave espagnole.
Mais les soldats du roi Felipe VI n’ont pas fléchi et, comme à leur habitude, ils les ont rattrapés et aussitôt renvoyés là d’où ils venaient ! Quel que soit leur âge, qu’ils s’agissent d’hommes ou de femmes, plus de 6 000 ont à ce jour été expulsés manu militari et contraints de rebrousser chemin.
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Des clandestins devant être reconduits dans leur pays refusent d’être testés au Covid. Leur expulsion est bloquée
Le bon plan semble circuler allègrement au centre de rétention administrative (CRA) de Lesquin. Ces derniers jours, au moins trois étrangers sans papiers sur le point d’être reconduits dans leur pays ont réussi, pour l’instant, à échapper à l’expulsion. La recette ? Surfer sur le principe de précaution provoqué par la pandémie de Covid-19. Avant d’embarquer dans un avion, tout passager doit désormais produire un test PCR négatif récent.
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L’entrisme de l’islam en entreprise s’est considérablement accru, en 2020, par Marie Delarue.
De septembre à fin décembre 2020, l’Institut Montaigne a réalisé une grande enquête sur le fait religieux dans l’entreprise, via un « questionnaire en ligne auprès d’un échantillon représentatif d’environ 25.000 cadres et managers exerçant leur activité en France, complété par des enquêtes de terrain ».