
En plus de cette activité criminelle, les membres de ce réseau créaient des comptes de livraison Uber Eats à partir de faux documents, revendus entre 1 000 et 1 500 euros. Un Algérien de 35 ans, considéré comme la tête de réseau, aurait utilisé une soixantaine de comptes créés à l’aide de documents d’identité et bancaires faux ou volés. Ces comptes servaient aussi à recevoir les paiements des courses et à effectuer des virements frauduleux.