Après avoir analysé la partie "éducation" du discours d'Emmanuel Macron du 2 Octobre 2020 qui annonçait un projet de loi visant à défendre la laïcité, Barbara Lefebvre revient aujourd'hui sur la question du financement du culte.
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Après avoir analysé la partie "éducation" du discours d'Emmanuel Macron du 2 Octobre 2020 qui annonçait un projet de loi visant à défendre la laïcité, Barbara Lefebvre revient aujourd'hui sur la question du financement du culte.
Budapest/Vienne : L’Autriche et la Hongrie refusent « les quota de réfugiés par porte dérobée » et toute répartition obligatoire de demandeurs d’asile dans les différents pays de l’UE. Voilà le principe que la ministre autrichienne des affaires européennes, Mme Edtstadler (ÖVP) et le ministre hongrois des affaires étrangères Szijjàrto ont affirmé lors d’une rencontre à Budapest au sujet des dernières propositions de la Commission européenne.
Bien qu’il subsiste des questions ouvertes, où les points de vue divergent, il ne sera pas toléré que ces propositions eurocratiques prennent la coopération austro-hongroise « dans ses rets », a souligné Szijjàrto lors de la conférence de presse commune des deux ministres. Les principaux domaines des accords mutuels sont, d’après le ministre, l’élargissement de l’UE vers les Balkans occidentaux et le rejet de tous quotas d’asile obligatoires. Szijjàrto a souligné, une fois de plus, le point de vue du gouvernement hongrois quant au refus de toute nouvelle réforme du droit d’asile dans l’UE, qu’il a qualifiée de « tentative sans espoir ».
Lors de cette conférence de presse, Madame Edtstadler a souligné, de son côté, que la Hongrie était un partenaire fiable de l’Autriche, un « pays ami ». La coopération entre les deux pays était une chose importante qui devait demeurer dans le temps. La ministre autrichienne a dit, à propos du pacte de l’UE sur les migrations, que la répartition obligatoire, imaginée pour gérer l’immigration illégale, ne fonctionnait manifestement pas et que cette option avait échoué.
Jeudi dernier, les quatre Etats du Groupe de Visegrad, la Hongrie, la République Tchèque, la Pologne et la Slovaquie ont rejeté à Bruxelles la proposition de la Commission européenne sur la réforme du droit d’asile. Le chef du gouvernement hongrois Orbàn a reproché à la Commission de « continuer à gérer les migration au lieu de les arrêter ».
Texte paru sur le site https://www.zuerst.de
En région parisienne, le nombre d’interpellations de jeunes migrants délinquants pour des cambriolages et vols est en forte hausse. Les autorités veulent s’attaquer aux donneurs d’ordre qui pilotent ces ados toxicomanes, accros aux médicaments. Enquête.
Depuis début 2020, 6309 mineurs étrangers ont été interpellés dans l’agglomération parisienne (+ 42%)
Anouan, avec ses cheveux peroxydés, affirme avoir 14 ans. Il a été arrêté début septembre, en pleine nuit, dans la boutique d’un fleuriste de Plaisir (Yvelines), avec deux complices de 11 et 12 ans. Mais les tests radiologiques réalisés sur ses os à l’institut médico-légal de Garches (Hauts-de-Seine) lui en donnent 19. C’est ce qui a permis aux juges du tribunal correctionnel de Versailles de le condamner à 18 mois de prison ferme le 8 septembre. « Je vole pour le compte de deux Algériens qui me donnent des médicaments », a assuré le faux mineur devant les juges.
Le budget « Immigration, asile et intégration » du gouvernement va ainsi augmenter de 2% l’année prochaine. Ce même volet du budget de l’État avait déjà grossi de 22% en 2018, de 12% en 2019 et de 8% en 2020, selon le projet de loi de finances (PLF) adopté en Conseil des ministres.
Sur l’enveloppe allouée à l’immigration, 1,85 milliard sera désormais consacré à « la prise en charge des demandeurs d’asile en instance », qui « représente près des deux tiers des crédits de la mission », selon le PLF. Les 2% supplémentaires, soit 37 millions d’euros, serviront à « financer la création de 4 000 nouvelles places d’hébergement des demandeurs d’asile ».
L’identité de l’auteur de l’attaque près des anciens locaux de Charlie Hebdo commise vendredi 25 septembre est en passe d’être établie. Arrivé en France en 2018 avec ses deux frères, le jeune homme a déclaré à l’administration s’appeler Hassan Ali et être né au Pakistan le 10 août 2002. Reconnu comme « mineur étranger non accompagné », son statut lui permet d’être pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance. Mais les agents du Conseil général du Val-d’Oise le soupçonnent de mentir sur son âge : officiellement âgé de 16 ans, l’homme semble plus âgé.
La justice est saisie, afin de faire passer à Hassan Ali un test osseux destiné à établir son âge. Un test osseux auquel le juge pour enfants de Cergy-Pontoise s’opposera. « Le juge n’a pas souhaité procéder à des examens médicaux, notamment osseux, au motif que ce n’est pas une science exacte, qu’il y a donc une marge d’erreur, et qu’autant que la marge d’erreur profite au demandeur d’asile » explique Guillaume Fard, consultant sécurité sur BFMTV.
Le budget « Immigration, asile et intégration » du gouvernement va progresser de 2 %, en 2021.
Le budget « Immigration, asile et intégration » du gouvernement va progresser de 2 %, en 2021, selon le projet présenté, lundi 28 septembre, avec davantage de moyens, essentiellement alloués à la création de places d’hébergement pour les demandeurs d’asile. Ainsi, 4.000 places supplémentaires vont être créées dans des centres d’accueil, relate Europe 1.
Le budget « Immigration, asile et intégration » porté à 1,85 milliard d’euros
Depuis la crise de 2008-2009, la France, comme d’autres pays, s’inquiète de son niveau d’endettement public. Il a effectivement explosé sous la pression de nos déficits, devenus hors de contrôle, passant de l’étiage de 60 % à plus de 90 %, à la fin de l’ère Sarkozy, chiffre que Hollande n’a pas pu faire baisser par la suite. Le brillant technocrate, qu’une majorité a élu en 2017 avec la promesse d’une réduction de ce fardeau, l’a gaillardement porté à environ 100 %. La pandémie du Covid-19 a refait « péter les compteurs » et va nous emmener aux alentours de 120 % de dette sur PIB. On nous rassure : « Ce n’est pas très grave, cela ne coûte rien puisque les taux d’intérêts sont à 0 %. » Et on va même jusqu’à nous assurer que dès que la crise sera terminée, on s’emploiera à réduire notre dette publique.
Forte de son vécu et de son expérience, Stella Kamnga est venu pousser un coup de gueule sur la gestion hypocrite de certains élus de banlieue qui assignent explicitement les Français d'origine immigrée dans une posture de victime éternelle.
Vendredi 25 septembre, un Pakistanais de « 18 ans » a agressé au couteau deux personnes à proximité du bâtiment où travaillait l’équipe de Charlie hebdo, en plein centre de Paris. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’auteur de l’attentat était en situation irrégulière en France. La revue de presse de la couverture médiatique de cette agression et du phénomène plus général du terrorisme et de la délinquance des étrangers en situation irrégulière aboutit au constat que le 5e pouvoir des médias est trop souvent aux abonnés absents à ce sujet.
Cinquième pouvoir ?
Les médias ont un rôle éminemment important dans la société. On prête au journaliste Ignacio Ramonet la création du terme « cinquième pouvoir ». Le collaborateur du Monde diplomatique désignait avec celui-ci le pouvoir qu’ont les médias, grâce à leur rôle d’aiguillon dans l’opinion publique et la classe politique. Un pouvoir qui leur permet de lancer des débats voire de pousser les pouvoirs publics à prendre des mesures de bon sens. La couverture médiatique de récents attentats et agressions commis par des étrangers en situation irrégulière nous montre que, dans les médias de grand chemin, l’heure est souvent à la résignation et non à susciter la recherche de solutions pour protéger efficacement les citoyens.