Les positions militantes noires et anti-françaises, obsédées par la division « raciale » entre les populations, sont en retard : celles de LFI, Obono par exemple, du minuscule groupuscule Ligue de défense noire africaine, faisant un peu de bruit sur les réseaux sociaux grâce aux médias bienveillants, ou des associations d’« afro-descendants » persuadés d’avoir des esclaves comme ancêtres. Pourtant, aucun Noir vivant en France ne peut affirmer avec certitude descendre d’esclaves, sauf à avoir mené un travail généalogique probant. La lecture de livres historiques sérieux, tels ceux, mondialement reconnus, d’Olivier Pétré-Grenouilleau, Les Traites négrières (Gallimard, 2004), devrait suffire à le comprendre. Il est donc étonnant que les militants noirs de France, nombreux à penser que l’Afrique est un « pays », ne soient pas mieux informés des avancées remarquables de leurs « compatriotes » noirs africains, en matière de remigration.
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Indigénistes et antiracistes appellent à décoloniser la France… CHICHE !
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Qui sont les responsables de la tragédie qui s’annonce ?
Le 3 octobre 2018, quittant ses fonctions de ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb faisait cet aveu inquiétant à bien des égards « Aujourd'hui, on vit côte à côte. Mais je le dis toujours, je crains que demain on vive face à face. »
En 2020, les ingrédients sont désormais en place pour que le pire intervienne. Qui en porte la responsabilité ?
Le patronat ouvre la porte
Dans les années 1960, au cœur des «trente glorieuses» au lieu de faire le choix stratégique d'investir massivement dans la robotisation (secteur automobile et pour faire pression à la baisse sur les salaires des ouvriers français qui veulent goûter eux aussi aux fruits de la croissance une partie du patronat (notamment dans le bâtiment, les travaux publics, la métallurgie) souhaite pouvoir avoir recours à l'immigration. Elle trouve un écho favorable auprès du Premier ministre de De Gaulle, Georges Pompidou. Les portes s'ouvrent à une immigration de travail. Les recruteurs de chez Renault, Citroën, Bouygues arpentent les douars, notamment au Maroc afin de sélectionner la main d'œuvre (y compris analphabète). Mal rémunérés, plus dociles (non syndiqués), ces dizaines de milliers de volontaires qui ne sont pas destinés à rester en métropole viennent seuls, envoient une partie de leur salaire à leur famille restée au bled qu'ils ne voient qu'une fois par an pendant leurs congés d'été) et souhaitent réunir assez d'argent ou assez de droits pour revenir au pays et y vivre dignement. À la fin de la décennie, ils sont 200 000 et déjà, on observe un véritable transfert de charges des entreprises vers la collectivité publique chargée d'accueillir de loger et de soigner ces travailleurs. En 1973, le gouvernement de Pierre Messmer annonce officiellement le gel de l'immigration. Cette dernière se ralentit mais ne s'arrête pas pour autant...
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Islam : la lâcheté de ceux qui s’aveuglent, par Ivan Rioufol
L’aveuglement sur l’état de la France est une lâcheté largement partagée. Rien n’est plus commode que de nier, par exemple, la montée de l’insécurité ou de l’islamisation, pour se contenter de brasser de l’air autour de l’ordre sanitaire et de ses principes de précaution. Les hommes politiques qui se prêtent à cette mascarade auront à répondre de leur démission devant l’histoire. Ainsi, mardi, le garde des Sceaux, Eric Dupont-Moretti, s’en est pris aux populistes coupables à ses yeux d’alerter sur l’expansion et la banalisation de la violence.
Pour lui, l’ “ensauvagement” (un mot employé par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin) est un leurre qui n’exprime qu’un “sentiment d’insécurité” “de l’ordre du fantasme”. Ce dénégationnisme balourd va de pair avec celui qui prétend que “l’islam est compatible avec la République” : une formule creuse reprise notamment par Emmanuel Macron. Ce slogan permet de ne pas s’interroger plus avant sur les causes du séparatisme islamique qui s’installe. Reste qu’un sondage Ifop, publié ce mercredi par Charlie Hebdo, vient rappeler l’attrait de la charia (loi islamique) sur la jeune génération de musulmans français.
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L’Afrique prête pour la remigration ?
Par Paul Vermeulen
Les positions militantes noires et anti-françaises, obsédées par la division « raciale » entre les populations, sont en retard : celles de LFI, Obono par exemple, du minuscule groupuscule Ligue de défense noire africaine, faisant un peu de bruit sur les réseaux sociaux grâce aux médias bienveillants, ou des associations d’« afro-descendants » persuadés d’avoir des esclaves comme ancêtres. Pourtant, aucun Noir vivant en France ne peut affirmer avec certitude descendre d’esclaves, sauf à avoir mené un travail généalogique probant.
La lecture de livres historiques sérieux, tels ceux, mondialement reconnus, d’Olivier Pétré-Grenouilleau, Les Traites négrières (Gallimard, 2004), devrait suffire à le comprendre. Il est donc étonnant que les militants noirs de France, nombreux à penser que l’Afrique est un « pays », ne soient pas mieux informés des avancées remarquables de leurs « compatriotes » noirs africains, en matière de remigration.
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Attentats islamistes de janvier 2015 – Ouverture d’un procès hors normes
Pas moins de 171 tonnes de procédure, quelque 200 parties civiles, 144 témoins cités, 94 avocats, 5 juges professionnels et près de 50 jours d’audience prévus : 5 ans et 8 mois après les carnages perpétrés au nom d’Allah par les frères Kouachi et Amédy Coulibaly dans les locaux de Charlie Hebdo, à Montrouge et à l’Hyper Casher de la porte de Vincennes (17 morts au total), le procès hors normes de leurs 14 complices s’est enfin ouvert mercredi devant la cour d’assises spéciale de Paris. Un procès qui, contrairement à ce qu’affirment certains médias avec une volonté évidente de minimiser leur responsabilité, est loin de ne concerner que « de petites mains », et dont les Français attendent d’abord qu’il débouche sur des peines exemplaires.
Tous complices à des degrés divers
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« L’affaire » Valeurs actuelles : une victoire médiatique de l’indigénisme ?
Si Martin Luther King a pu dire « I have a dream » par désir justifié d’égalité raciale dans les États-Unis ségrégationnistes de 1963, le directeur de la rédaction de Valeurs actuelles, Geoffroy Lejeune, peut dire « Je fais un cauchemar », devant l’indignation politico-médiatique qu’a provoqué, la semaine dernière, son ultime « roman de l’été » : Obono l’Africaine !
Voici donc Danièle entrée dans la cour des grands diffamés de l’Histoire par le biais du scandale causé par son voyage imaginaire dans les « couloirs du temps ». Tout cela par le détournement d’une illustration de Pascal Garnier réalisée pour cette dystopie écrite sous pseudonyme.
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Me Gilles-William Goldnadel : « Que cela plaise ou non, l’immigration incontrôlée et l’islamisme sont des obsessions légitimes pour les Français »
Durant l’été, en France, on a assisté à de nombreux faits divers témoignant d’une insécurité galopante en France, un véritable ensauvagement. Dans les colonnes de Boulevard Voltaire, Me Gilles-William Goldnadel dénonce « l’occultation des faits » de la plupart des médias.
Depuis le début de l’été, on parle d’ensauvagement et de multiplication des faits divers. Gérald Darmanin avait de son côté promis que les dealers arrêteraient de dormir. Nous avons vu des photos de dealers protégés par des miliciens armés de fusils à pompe. Que pouvez-vous dire de cette période ?
Il faut prendre les problèmes un par un. Cet été, nous avons assisté à un triomphe extrêmement platonique de la réalité sur le virtuel ou du réel sur l’idéologie. Pendant des années, on vous a expliqué que la sécurité ou l’insécurité étaient une sorte de fantasme et d’obsession qui reposait sur un ressenti, mais sur rien de réel. De temps en temps, cette interdiction de ne pas respecter l’idéologie était provisoirement arrêtée par la venue du réel. En général, l’idéologie retrouve assez vite ses droits lorsque le réel s’estompe et que les morts dorment dans la terre redevenue froide.
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L’accueil des clandestins, toujours insuffisant pour les médias de grand chemin
Il y a deux ans, nous soulignions dans un article que de nombreux médias de grand chemin avaient repris à leur compte la thèse des immigrationnistes selon laquelle il n’y a pas de crise des migrants en France, mais une crise de l’accueil des migrants. En dépit d’un effort budgétaire considérable, la situation s’est-elle améliorée en particulier dans la capitale française ? Nous avons tenté de le savoir dans les médias de grand chemin.
Un effort budgétaire et matériel considérable
En juillet 2017, la maire de Paris Anne Hidalgo s’exprimait dans les colonnes de Ouest-France. Elle proposait une loi « clef en main » sur l’accueil des « migrants ». Celle-ci prévoyait notamment une forte augmentation du nombre de places en centres d’accueil des demandeurs d’asile et une répartition administrée des migrants sur tout le territoire.
Le gouvernement Philippe semble avoir été plus qu’attentif aux propositions de la maire de Paris. A l’occasion du débat sur la loi asile et immigration, Le Figaro reprenait le 7 octobre 2019 les déclarations du délégué général LREM et député Stanislas Guérini :
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Djihadisme. Six attentats déjoués et plus de 8 000 fichés pour « radicalisation à caractère terroriste » en France
Breizh Info – La menace terroriste est toujours bien présente dans l’Hexagone. En l’espace de quelques mois, plusieurs attentats auraient ainsi été déjoués dans le pays tandis que les libérations de détenus islamistes inquiètent.
(…) Entre la rentrée masquée pour cause de Covid-19 et les turbulences médiatiques de ces derniers jours dans le sillage de l’affaire Danièle Obono, on en oublierait presque la menace terroriste pesant sur la France. Une menace, élevée, que s’est chargé de rappeler le procureur de la République antiterroriste Jean-François Ricard, à la tête du Parquet national antiterroriste (Pnat), au micro de franceinfo le 31 août.
L’homme a indiqué que « plusieurs attentats ont été déjoués, une demi-douzaine au moins » en France au cours des derniers mois. Et avance notamment une explication : « Nous savons, sans pouvoir vous donner plus de détails, qu’un certain nombre de ressortissants français sont, d’abord, libres, encore en Syrie et peuvent agir, soit ont passé la frontière entre la Syrie et la Turquie ».
(…) Dans ce contexte anxiogène quant au risque terroriste, un autre chiffre a été communiqué le 31 août, cette fois par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin lors d’un déplacement au siège de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) : 8 132 individus sont inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT).
Lire l’article complet sur Breizh Info
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Selon un sondage, « l’islam est incompatible avec les valeurs de la société française »
Selon un sondage IFOP, 74% des musulmans de moins de 25 ans font passer leurs convictions religieuses avant la République. Mais ce n’est pas ce qui est choquant dans ce sondage. En effet, tous les catholiques devraient faire passer leurs convictions religieuses avant tout pouvoir. Comme Thomas More face à Henry VIII, Stauffenberg face à Hitler. Ou aujourd’hui face à l’avortement…
Ce sondage IFOP, réalisé à l’occasion de l’ouverture du procès des attentats de janvier 2015, révèle surtout, et c’est là qu’il convient de s’indigner, que :
- 10% des musulmans « condamnent [les frères Kouachi] mais partagent certaines de leurs motivations » et 5% déclarent qu’ils « ne les condamnent pas ».
- Un quart des jeunes musulmans (26%) de moins de 25 ans ne condamnent pas explicitement les auteurs des attentats du 7 janvier 2015 et 12% les condamnent tout en admettant partager certaines de leurs motivations
- l’idée selon laquelle « l’islam est incompatible avec les valeurs de la société française » est loin d’être approuvé que par la population non-musulmane : 61% des Français partageant cette idée d’après un récent sondage de l’Ifop pour le JDD (octobre 2019). Si l’enquête montre que ce sentiment recueille l’approbation de 29% des musulmans, il est aussi partagé par près d’un jeune musulman sur deux (45%).