« C’est la première fois dans toute l’histoire de l’humanité, qu’un peuple nourrit, loge, soigne et éduque les envahisseurs qui cherchent à détruire sa culture, ses valeurs et à le tuer » (Philippe de Villiers).
On ne peut pas mieux résumer la situation déplorable que connaît notre pays !
Vous n’aurez pas ma haine !
Pourtant, beaucoup de français ne semblent pas avoir enregistré cette évidence dans leur disque dur. Comme les parents de cette gendarmette de 25 ans, Mélanie Lemée, tuée par accident volontaire d’une racaille multirécidiviste.
Je cite brièvement leurs propos, sous anesthésie du pape François : « Avec la haine, on n’avance pas. Nous portons les valeurs du vivre ensemble. Je n’ai pas de jugement à porter sur le meurtrier. Ce qui est sûr c’est que sa vie est fichue ».
Il est certain, que si la haine est mauvaise conseillère, elle peut quelquefois se comprendre et se justifier, surtout quand l’opinion en arrive à banaliser le crime, qu’elle l’oublie trop vite et que la Justice ne punit plus.
Il ne reste alors que la haine contre le coupable.
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