
Le Parisien du 7 octobre consacrait un long article à la scandaleuse situation que vivent des petits patrons franciliens dont les usines et les bureaux sont squattés, puis dégradés et vidés par des familles entières de Roms.
Fin 2020, les bureaux d’une société d’Évry-Courcouronnes, laissés vacants, ont été envahis par 250 Roms. Il a fallu huit mois pour les expulser d’un local qu’ils avaient transformé en décharge. Le propriétaire a perdu un demi-million d’euros.






