
Voici un vrai débat de fond au sujet de l’immigration sur RT France. Jean-Yves Le Gallou y fait face à l’experte immigrationniste Catherine Whitol de Wenden, directrice de recherche au CNRS, et l’avocate de clandestins Danielle Babin.
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Voici un vrai débat de fond au sujet de l’immigration sur RT France. Jean-Yves Le Gallou y fait face à l’experte immigrationniste Catherine Whitol de Wenden, directrice de recherche au CNRS, et l’avocate de clandestins Danielle Babin.
Les Italiens vont très rapidement regretter Matteo Salvini, qui reviendra inévitablement au pouvoir :
La nouvelle ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese, a présenté lundi 17 février ses propositions de modification des “décrets sécurité” sur l’accueil des migrants (…)
Concrètement, les bateaux des ONG ne pourront plus être bloqués à quai. Les amendes potentielles pour sauvetage de migrants vont être considérablement réduites. Les réfugiés vont bénéficier d’une meilleure protection sociale, avec des moyens accrus dans les préfectures. Les dossiers des personnes de santé fragile ou des parents de mineurs seront examinés prioritairement. Un simple permis de séjour permettra d’accéder aux services sociaux ou d’ouvrir un compte en banque. La durée maximale du processus administratif pour obtenir la citoyenneté italienne sera réduite de quatre ans à deux ans.
https://www.lesalonbeige.fr/litalie-ouvre-a-nouveau-grande-ses-portes-a-limmigration-invasion/
« On est dans des zones de non-droit. […] Les lois de la République ne s’appliquent pas. […] Plus de 100 mosquées radicales ont été recensées et seulement 7 ont été fermées. Qu’ont-ils fait des 93 autres ?! »
Nicolas Bay (député européen RN) sur CNews
Le changement sémantique voulu par Emmanuel Macron démontre que les dirigeants français errent complètement, alors que monte la menace islamiste sur notre sol. L’analyse de Céline Pina.
Face aux attentats, violences et tensions qui traversent notre société, le Président de la république n’a pas été avare de plans. On nous a d’abord vendu en fanfare des plans contre la radicalisation, on les a même relancés. Sans succès. On nous a dit alors qu’on allait voir ce qu’on allait voir et que le gouvernement allait lancer un plan contre le communautarisme. On n’a rien vu. Aujourd’hui, tout le monde attend avec impatience le nouveau nouveau plan. Contre le séparatisme cette fois-ci. Le problème c’est que pour l’instant toutes ces annonces n’impulsent aucune dynamique et n’obtiennent pas de résultats. Au moins l’analyse du bilan n’est-elle pas épuisante : ces plans sont en général des coquilles vides qui ne servent qu’à mettre en scène une volonté politique, celle-ci tenant lieu d’action concrète et permettant de faire durer l’immobilisme comme de faire patienter le peuple jusqu’au prochain attentat, au prochain meurtre, au prochain scandale, à la prochaine adolescente chassée de son lycée par une meute fanatisée…
Un errement sémantique qui en dit beaucoup
En visite à Mulhouse pour ouvrir la séquence de lutte contre le « séparatisme », le président a surtout tenté de convaincre des bienfaits de la reconquête républicaine.
« Monsieur le Président, vous venez parler de communautarisme dans notre ville, mais nous, les jeunes, n’avons même pas été consultés ! » En déplacement à Mulhouse, ce mardi 18 février, c’est finalement par un bain de foule qu’Emmanuel Macron a décidé d’ouvrir la tant attendue séquence de lutte contre le communautarisme, ou plus exactement, contre le « séparatisme », selon sa nouvelle expression.
Voici un extrait tiré de l’émission “19H Ruth Elkrief” (BFMTV) du 11 février 2020.
Dans un débat intitulé “La France est-elle menacée par le séparatisme ?”, Jordan Bardella y déclare notamment : “Le CCIF est le cheval de troie de l’islamisme en France”.
Selon ce que rapporte le quotidien allemand Der Spiegel, seulement 60 migrants ont obtenu de Budapest le permis de rester sur le sol hongrois en 2019 contre 1200 en 2017 et 327 en 2018. La politique anti-immigration de Viktor Orban porte ses fruits : non seulement les flux ont diminué, mais les demandes d’asile ont chuté parallèlement à des refus en augmentation.
La Hongrie a rendu la possibilité de rentrer sur son sol et d’y rester plus difficile et a ainsi mis un terme à l’appel d’air que constitue un droit d’asile sans aucune limite : depuis l’année 2019, la gestion du système migratoire a été confiée exclusivement à la police et les demandes d’asile ne peuvent plus être présentées que dans deux check-point proches de la frontière serbe. Ces deux éléments ont influé sur les demandes effectivement déposées.
Thomas Joly, président du Parti de la France, et Jean-Marie Le Pen lors des Journées Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale en octobre dernier à Rungis.