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Lors d’un récent discours, le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orbán a attaqué l’idée que la migration de remplacement ne doit pas être utilisée pour résoudre les problèmes démographiques auquel de nombreux pays occidentaux sont confrontés.
Le discours d’Orbán a été prononcé au 3e Sommet démographique de Budapest, qui a eu lieu les 5 et 6 septembre dernier. Pendant le discours, Viktor Orbán a souligné que le problème le plus important auquel fait face actuellement l’ Europe est son déclin démographique, selon le média online hongrois 888.
« Pourquoi est-ce le cas? Certainement pas à cause d’une maladie de la civilisation chrétienne – après tout, le nombre de chrétiens augmente dans le monde entier. C’est une maladie de l’Europe en général » , a déclaré Orbán.
Pour le premier ministre hongrois, l’immigration ne doit jamais être considérée comme une solution aux problèmes démographiques.
« Nous ne devons jamais accepter l’échange de population », a déclaré Orbán.
Orbán a également noté que son gouvernement travaille actuellement à une forte politique qui accorde la priorité à la famille et à leur inciter d’avoir plus d’enfants.
Sans les familles et les enfants, la communauté nationale disparaîtra, a-t-il expliqué, « et si une nation disparaît, quelque chose d’irremplaçable disparaîtra du monde », rapporte le journal Hungary Today .
« Nous ne gagnerons que si nous pouvons construire un système où ceux qui portent des enfants vivent beaucoup mieux que s’ils n’avaient pas fondé de famille », a poursuivi Orbán.
C’est la façon dont le gouvernement hongrois poursuit sa politique familiale.
« Nous ne gagnerons que si nous pouvons construire un système où ceux qui portent des enfants vivent beaucoup mieux que s’ils n’avaient pas fondé de famille », a poursuivi Orbán.
C’est la façon dont le gouvernement hongrois poursuit sa politique familiale.
À quelques jours du débat à l’Assemblée nationale sur la politique migratoire, Emmanuel Macron appelle les parlementaires de sa majorité à « regarder en face » le sujet de l’immigration.Durcissement de ton dû à une réelle prise de conscience du pouvoir politique ? Réaction de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard Voltaire
Pendant le pot de rentrée des parlementaires de la majorité, Emmanuel Macron a assuré vouloir regarder en face le sujet de l’immigration. Est-ce une bonne nouvelle ? C’est surtout de l’enfumage. En même temps qu’il dit cela, il explique que la France est un pays d’immigration. C’est faux ! En tout cas, s’il y a eu des immigrés, c’était des immigrés d’origine européenne et non pas des gens d’Afrique noire, du Maghreb ou d’ailleurs. C’est une première erreur. Ensuite, il parle d’asile. Le droit d’asile est tout à fait détourné. Indépendamment de cela, il y a 260 000 entrées légales chaque année. C’est déjà un problème. Le terme immigration est aujourd’hui dépassé. Nous assistons plutôt à un phénomène d’invasion. Si on ne change pas radicalement de politique, le risque est de voir les Européens et les Français de souche devenir très rapidement minoritaires dans leur propre pays. Ce n’est évidemment pas Macron qui va changer radicalement de politique. Il est là dans une opération d’enfumage comme il a su le faire jusqu’ici. Dans les pas de Gérard Collomb, Emmanuel Macron a reconnu que la lutte contre les communautarismes était une priorité. Il a même parlé de sécession à l’égard de la République dans certains quartiers. C’est une avancée même si on a l’impression qu’ils mettent toujours un quart de siècle avant de se saisir du problème. Il n’y a rien de nouveau là-dedans. Mais il n’y a surtout aucune volonté de régler le problème. La première chose à faire serait de libérer la parole et de supprimer les lois liberticides. Or, monsieur Macron veut en rajouter. D’ailleurs, il en rajoute déjà une chaque année et on va bientôt avoir la loi Avia. Il faudrait ensuite supprimer les subventions aux organismes communautaristes. Or, tout ce petit monde vit de subventions publiques, de l’Union européenne, de l’État, des régions, des départements et des communes. Si on ne fait pas cela, on ne fait rien ! C’est un leurre. On va probablement focaliser le débat sur des questions périphériques et anecdotiques de façon à divertir l’opinion et à lui faire croire qu’on fait quelque chose. Il ne peut y avoir de changement dans ce domaine qu’un changement radical de politique, avec un arrêt total de l’immigration, des subventions aux associations immigrationnistes et le rétablissement de la liberté de parole sur ces questions-là. Dans son allocution, Emmanuel Macron a très clairement dit que le seul opposant sur le terrain était le Rassemblement national. Il faut confirmer cette opposition, car ce sont les Français qui l’ont choisi. Ces propos sont assez peu croyables dans la mesure où c’est Emmanuel Macron qui avait organisé cette confrontation unilatérale entre Nathalie Loiseau et Jordan Bardella. Comme si finalement, hors du Rassemblement national, il ne tolérait aucune autre forme d’opposition… Je ne sais pas si c’est ce que cela veut dire. De plus, Marine Le Pen n’est pas aussi claire qu’elle devrait l’être sur la question de l’immigration. On est aujourd’hui passé à un autre stade. La vraie question est celle du grand remplacement. On doit réellement nommer le problème. Accepte-t-on ou non le grand remplacement ? Accepte-t-on ou non d’être remplacé par d’autres gens venus d’autres territoires et d’autres civilisations ? Toutes les autres questions et les débats sur le communautarisme sont complètement dépassés. Le communautarisme résulte tout simplement du fait que des gens qui viennent de civilisations étrangères et d’autres religions continuent de les pratiquer chez nous. Sous les pommiers on trouve des pommes, les Africains africanisent et les musulmans islamisent. C’est la réalité de la question. Parler du communautarisme revient à prendre les conséquences au lieu de s’attaquer aux causes. Jean-Yves Le Gallou
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Emmanuel Macron a lancé le débat sur l’immigration par une affirmation mensongère. Selon lui : « la France [aurait] toujours été une terre d’immigration ». Comme si la présence de quelques pour cents d’immigrés européens en France à la fin du XIX e siècle étaient comparable avec le Grand Remplacement actuel. Aujourd’hui près de 20% de la population résidente en France est d’origine non européenne. Tout comme le tiers des naissances. Dans le texte technique qui suit Jean-Yves Le Gallou décrypte les chiffres de l’INSEE et de l’INED. Par-delà cet exercice difficile, en raison de l’omerta statistique et des failles des recensements, un fait saillant apparaît : sans arrêt rapide de toute immigration nouvelle en provenance du Maghreb, d’Afrique et d’Asie, les Français de souche européenne deviendront minoritaires sur la terre de leurs ancêtres. Il est temps de changer radicalement de politique et de paradigme. Il faut réaffirmer le droit des Français à la souveraineté, à l’identité et à la continuité historique. Pas sûr que l’offre politique soit encore à la hauteur des enjeux. Polemia
Immigration : comment décrypter les chiffres de l’Insee ?
Régulièrement les médias mainstream s’appuient sur les chiffres de l’INSEE ou de l’INED pour essayer de démentir ceux qui partagent l’opinion que la France et l’Europe font l’objet d’un Grand Remplacement démographique et civilisationnel.
L’argument d’autorité le plus couramment utilisé est le suivant : l’INSEE et l’INED seraient des « organismes scientifiques ». La réalité est un peu différente : il s’agit de services statistiques dirigés par des hommes nommés par le pouvoir politique et prenant en compte la pression médiatique. Des services statistiques qui, de surcroît, ne font aucun effort pour faciliter l’accès des citoyens aux données brutes. Approcher la réalité relève du jeu de piste face au « camouflage statistique ».
Il est particulièrement difficile d’apprécier la réalité sociologique telle qu’elle est perçue par les Français : des minorités « visibles « (Africaines, Indo-Pakistanaises, Asiatiques) ou se rendant visibles (musulmanes) de plus en plus nombreuses. Car pour mesurer ce phénomène, il faudrait des statistiques raciales ou religieuses, interdites en France.
L’INSEE et l’INED approchent – de manière très imparfaite la question – en s’intéressant à la nationalité (donnée juridique) et au lieu de naissance (donnée géographique). Des données utiles mais ne permettant pas de répondre directement à la question de la capacité d’assimilation des personnes concernées.
Sur ces données là (nombre d’étrangers, d’immigrés, de descendants d’immigrés), les chiffres eux-mêmes sont sujets à question : il n’y a plus de recensement général de la population en France depuis… 1999 ! « Un crime contre la nation » selon le démographe Philippe Bourcier de Carbon. D’autant plus que la fiabilité des recensements annuels partiels est sujette à caution.
Ainsi, selon les estimations publiées par l’INSEE, la Seine-Saint-Denis compterait 1,6 millions d’habitants au 1er janvier 2018. Parmi ces derniers, on dénombre plusieurs centaines de milliers de personnes de nationalité étrangère en situation régulière (en 2014, 420 000).
Mais, selon une commission d’évaluation de l’Assemblée nationale présidée par MM.Cornut-Gentille (LR) et Rodrigue Kokouendo (LREM), « la seule certitude est l’incertitude dans laquelle l’État est plongé concernant le chiffre d’étrangers en situation irrégulière en Seine-Saint-Denis ». Selon les estimations des interlocuteurs rencontrés par les rapporteurs, ces clandestins seraient entre 150 000, 250 000, voire 400 000 personnes.
Voilà qui jette un froid sur la confiance qu’on peut accorder aux chiffres de l’INSEE.
Examinons néanmoins avec la prudence de rigueur les chiffres publiés sans beaucoup de précautions méthodologiques par l’INSEE.
1- Immigrés extra-européens : personnes nées à l’étranger et de nationalité étrangère à leur naissance (source recensement, chiffres 2016)
Afrique : 2 834 000
Asie : 900 000
Amérique/Océanie : 356 000
Total immigrés extra-européens : 4 090 000
Observations : il peut y avoir des Européens d’origine parmi les immigrés d’Amérique. A contrario un certain nombre d’immigrés européens d’origine balkanique (au nombre de plus de 200 000 mais non comptés ici) peuvent appartenir aux communautés musulmanes ou Roms dont la capacité d’assimilation de beaucoup de leurs membres est problématique.
A noter aussi, l’augmentation rapide du nombre des immigrés originaires d’Afrique recensés :
2 834 000 en 2016 à comparer à 2 410 000 en 2011, soit plus de 85 000 par an.
Au total, d’après l’INSEE, la population immigrée non européenne a progressé de 113 000 personnes par an de 2011 à 2016.
Des chiffres certainement inférieurs à la réalité compte-tenu de la perte de contrôle d’une partie du territoire par les autorités administratives françaises.
2- Descendants d’immigrés extra-européens
Il s’agit là de personnes nées en France mais dont un ou 2 ascendants sont nés étrangers à l’étranger.
Afrique : 3 305 000
Asie : 722 000
Amérique, Océanie : 310 000
Total descendants d’immigrés non Européens : 4 337 000
Observations : là aussi, grandes incertitudes statistiques quant à la réalité de chiffres portant sur des populations vivant pour beaucoup dans « les territoires perdus de la République » et les « zones de non droit ».
3- Ensemble immigrés et descendants d’immigrés extra-européens
On atteint par totalisation 8 427 000 personnes, soit 13 % de la population résidente en France.
C’est évidemment un chiffre par (double) défaut compte-tenu des imperfections de recensement mentionnées plus haut.
Total Ensemble immigrés et descendants d’immigrés non européens : 8 427 000
4- Le chiffre noir : les descendants d’immigrés à la deuxième et troisième génération
Aucune statistique n’est disponible sur ce sujet. Michèle Tribalat a néanmoins produit plusieurs estimations très précises, reprises dans la vidéo de Sunrise : Grand Remplacement : une réalité.
Par ailleurs, les marqueurs d’un retour vers la communauté d’origine sont en forte expansion. Dans L’Archipel français, Jérôme Fourquet cite la proportion de prénoms noms d’origine arabo-musulmane donnés aux nouveau-nés garçons : partant de 0 % des déclarations de naissance dans les années 1900/1950, ils montent à 2 % en 1964, atteignent 7 % en 1983/84, régressent légèrement puis remontent à 8 % en 1997 et approchent les 20 % aujourd’hui.
Il est donc légitime de poser la question de la troisième génération.
En l’absence de sources officielles et accessibles sur ce sujet, nous formulons l’hypothèse de 3 millions d’immigrés extra-européens à la troisième génération. Des contributions sont en cours pour permettre de documenter ce chiffre.
Cela permet d’estimer les immigrés non européens (toutes générations confondues) à 11,5 millions, soit 17, 5 % de la population.
On observera que le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) considère ce chiffre comme inférieur à la réalité puisqu’il reproche aux chaines de télévision de ne faire apparaître que 17 % de « représentants de la diversité » dans leurs programmes. Mais il est vrai que le CSA, dans la logique raciale qui est la sienne doit aussi prendre en compte les Français d’Outre-mer qu’on peut estimer entre 2 et 3 %.
5- Le nombre d’enfants nés de mères nées à l’étranger (source INSEE)
Maghreb
Autres pays d’Afrique
Autres pays
total
1996
5,5%
2,6%
3,1%
11,2%
2016
8,5%
5,3%
4,8%
18,6%
On observera l’augmentation de 55 % en 20 ans des naissances issues de mères nées au Maghreb et le quasi doublement des naissances issues de mères nées en Afrique subsaharienne (ou au Machreck).
Aujourd’hui, près d’une naissance sur cinq provient d’une mère née hors d’Europe. Un chiffre qui ne prend évidemment pas en compte les naissances de mères d’origine non européenne à la troisième ou quatrième génération.
Ces chiffres peuvent être considérés comme assez « robustes », sous la réserve de possibles fraudes à l’identité de déclarants se faisant passer indûment pour nés en France.
6- Le nombre d’enfants nés de mères nées en France d’ascendants nés à l’étranger
L’examen de statistiques plus anciennes permet d’estimer ces naissances aux alentours de 10 %.
En effet, dans les années 1980/1990, les naissances issues de mères nées à l’étranger hors d’Europe se situaient autour de 10 % (11 % en 1996 ; 8 % en 1985). Les retours au pays d’origine d’enfants d’étrangers nés en France étant très rares, 20 à 40 ans plus tard les femmes issues de ces cohortes sont en âge de procréer en France. Or le taux de fécondité des femmes d’origine africaine et magrébine, même installées en France depuis longtemps, reste encore supérieur au taux français moyen.
Dans ces conditions, on peut donc estimer ces naissances à la troisième génération à plus de 11 %.
Les naissances à la quatrième génération sont plus difficiles à chiffrer, étant toutefois observé que dans les années 1950/1960 le regroupement familial n’avait pas eu lieu et que le nombre d’étrangères non européennes présentes sur le territoire était faible.
7- Total des naissances issues de l’immigration non européennes : plus de 30 %
Si l’on totalise les naissances d’enfants nés de mères nées à l’étranger et nés de mères nés en France de mères nés à l’étranger, on parvient à 30 %. Chiffre qu’on peut estimer par défaut.
8- Le dépistage des nouveaux-nés à la drépanocytose : 38 %
La drépanocytose est une maladie génétique rare touchant les populations issues d’Afrique, du Moyen Orient, d’Asie du sud, des Caraïbes et pour partie des Amériques et de la petite pointe sud de l’Europe.
La France a mis en place un dépistage à la naissance. Depuis 1994 en Île-de-France et depuis 2001 sur l’ensemble de la France.
Les chiffres de nouveaux nés dépistés sont les suivants :
2001 (France métropolitaine) : 20%
2017 (France métropolitaine) : 38 %, soit un quasi doublement en moins de 20 ans.
2017 (Île-de-France) : 70 %.
Ces chiffres montrent l’ampleur de la progression migratoire.
Certains experts les contestent, estimant qu’il peut y avoir du sur diagnostic (dans les quartiers à fort dépistage on dépisterait tout le monde) mais ce point de vue est peu documenté.
En revanche, il est exact que ce dépistage concerne aussi les Français issus des collectivités d’outre-mer présents en métropole tout comme certains Européens du sud (Italie du sud, Balkans).
Même en introduisant ces correctifs on garde une estimation supérieure à 35 %.
Conclusion
Ce qui est en jeu c’est bien le Grand Remplacement de la population français : si rien ne change les Français de souche européenne deviendront inévitablement minoritaires sur la terre de leurs ancêtres.
Olivier Quenault avait 47 ans et menait une existence des plus paisibles. Cuisinier de profession et amateur de fléchettes à ses heures, cet homme très apprécié de son entourage n’avait jamais fait parler de lui ni au commissariat ni au palais de justice. Jusqu’à ce que, dans la nuit du 9 au 10 septembre dernier, son chemin croise celui de « jeunes » d’origine ivoirienne, qui l’ont battu à mort sans mobile apparent et ont abandonné son corps après l’avoir affreusement mutilé dans le jardin de l’Hôtel-de-Ville de Rouen. Un crime d’une barbarie effroyable, dont les grands médias nationaux se sont évidemment bien gardés de parler. Parce qu’il est emblématique à plus d’un titre de l’ensauvagement croissant de notre pays sous les effets conjugués de l’immigration massive et du laxisme judiciaire.
Le corps sans vie d’Olivier avait été découvert par un employé municipal au matin du 10 septembre. Il gisait dans son sang, entièrement nu, couvert d’hématomes, et portait d’affreuses mutilations, notamment au visage. Selon l’autopsie, Olivier est mort de « très nombreux coups consécutifs », ayant causé de multiples fractures au niveau du visage et du corps. Bref, la victime avait été littéralement massacrée. Avant d’être mutilée, comme lors d’un meurtre tribal…
Dès le lendemain, les policiers du SRPJ de Rouen interpellaient un mineur âgé de 17 ans, mis en examen et écroué depuis pour « homicide volontaire aggravé ». Puis deux autres mineurs le week-end dernier : l’un âgé de 15 ans et le second de 17 ans. Trois jeunes d’origine ivoirienne, tous bien connus de la police et de la justice, notamment pour des faits de violences. Des informations que les grands médias, soucieux de cacher à nos compatriotes le lien flagrant existant entre immigration et criminalité, ont presque tous passées sous silence.
Mais il y a pire : outre le fait que l’un des suspects faisait l’objet d’un placement en foyer et n’avait donc rien à faire en liberté ce soir-là, il est apparu au cours de l’enquête que les trois individus avaient déjà été interpellés en flagrant délit par les policiers de la BAC dans la nuit du 21 au 22 juin dernier, alors qu’ils étaient en train de passer à tabac un couple de Rouennais. Une agression au cours de laquelle l’homme avait eu le nez fracturé, et sa compagne avait été blessée à la main. Malgré tout, et notamment le fait, selon la police, que d’autres violences commises cette même nuit avec un mode opératoire similaire « pourraient aussi être imputées à ces trois jeunes gens », le parquet avait alors ordonné… un classement sans suite de l’affaire et la remise en liberté des trois suspects ! Une décision totalement irresponsable et criminelle qui a bien du mal à passer du côté du commissariat, où certains policiers, sous couvert de l’anonymat, pointent du doigt l’incroyable laxisme de la justice qui a ici encore, comme dans tant d’autres affaires, coûté la vie à un innocent.
Franck Deletraz
Article paru dans Présent daté du 17 septembre 2019
Devant les parlementaires de sa majorité réunis pour l'occasion lundi soir, Emmanuel Macron a fait part de son intention de s'emparer des sujets régaliens, et en premier lieu, de celui de l'immigration, formulant au passage l'aveu que, contrairement à ce qu'affirment en boucles médias et sondeurs, la pression migratoire est bien pour les Français une préoccupation majeure.
Terrorisé à l'idée d'une possible tempête sociale qui verrait s'opérer la jonction des revendications catégorielles, l'opposition syndicale au projet de réforme des retraites et l'expression de la colère populaire telle qu'elle s'est exprimée dans le mouvement des Gilets jaunes, Emmanuel Macron tente ainsi de renouer avec les Français en se plaçant en réceptacle de leurs angoisses légitimes.
"Quand la chose n'y est pas" écrivait Montherlant dans La reine morte, "il faut y mettre le mot"... Comme Sarkozy autrefois, avec son ministère de l'identité nationale et son discours de Grenoble, Macron, dont le mépris pour le peuple français est infini, parlera donc dans les mois qui viennent de droit d'asile (+ 21,8 % de demandes l'année dernière et une hausse nouvelle au premier semestre 2019 qui place la France désormais au même niveau de dossiers présentés que l'Allemagne), de quotas (cette illusion, ce subterfuge), de réforme de l'Aide médicale d'Etat dont bénéficient les clandestins et qui coûte près d'un milliard chaque année au contribuable ("réformer l'AME pour mieux la contrôler" a dit Macron devant ses ministres et ses élus, autrement dit, la conserver), et de répartition des migrants au niveau européen ("opération portes ouvertes" mais en camouflage communautaire...).
Seuls les gogos se laisseront bien sûr prendre à cette supercherie à trois bandes et trois objectifs : égarer les Français, séduire les électeurs de droite et les candidats LR macroncompatibles, faire baisser (un peu, mais pas trop), le Rassemblement national. Macron, choisi, sélectionné et poussé par le Système en 2017 pour pérenniser et relancer un régime asphyxié reste ce qu'il est: l'homme du mondialisme absolu, de la finance planétariste et de la globalisation.
Ce mondialisme absolu, cette finance planétariste et cette globalisation qui exigent, par idéologie autant que par cupidité, le développement constant du phénomène migratoire et son déferlement sur l'Europe.
De la com’, encore de la com’ et toujours de la com’. Lundi, devant un auditoire acquis à sa cause, Emmanuel Macron a affirmé vouloir faire de l’immigration une des priorités de l’acte II de son quinquennat. Une offensive de façade avec en arrière plan les prochaines échéances électorales.
Les Jeunes du Rassemblement National mobilisés
Génération Nation repart sur les chapeaux de roue. Alors que Marine Le Pen faisait sa rentrée politique à Fréjus, les jeunes du mouvement se réunissaient également pour préparer les prochaines échéances.
Législatives israélienne : une élection dans un Proche-Orient en pleine ébullition
Jour d’élection en Israël… alors que le Proche-Orient connaît une période particulièrement agitée, l’Etat hébreux doit se doter d’une nouvelle majorité et surtout d’une nouvelle coalition.
[…] La fraude associée à des « faux numéros de sécurité sociale » attribués à des personnes nées à l’étranger représenterait entre 117 et 138,6 millions d’euros, selon une estimation publiée par la commission des Affaires sociales du Sénat, loin des « milliards » qui ont pu être lancés dans le débat public. La fraude à l’immatriculation repose sur une usurpation d’identité et la présentation de faux documents.
Le rapporteur général de la commission des Affaires sociales, Jean-Marie Vanlerenberghe (centriste), qui a publié en juin un rapport sur le sujet, « a obtenu de nouvelles données permettant de mieux en mesurer l’ampleur », a indiqué la commission lundi dans un communiqué. De nouveaux travaux ont ainsi été réalisés conjointement par la direction centrale de la police aux frontières (DCPAF) et le service administratif national d’immatriculation des assurés (Sandia), en charge de l’immatriculation des personnes nées hors de France. […]
En Irlande, le gilet jaune popularisé par le mouvement français est porté, parfois, lors de manifestations. C'était le cas lors d'une marche silencieuse contre l'ouverture d'un centre pour demandeurs d'asile dans la petite ville d'Oughterard.
Comme le rapportent plusieurs quotidiens irlandais, quelque 1 500 citoyens ont participé, ce 14 septembre, à une manifestation pour protester contre l'ouverture à Oughterard (ouest de l'île, comté de Galway) d'un centre pour demandeurs d'asile.
Selon l'Irish Times, un comité créé pour empêcher le ministère de la Justice d’ouvrir ledit centre dans l’ancien hôtel Connemara Gateway, est à l'origine de la marche silencieuse qui s'est déroulée de l’église catholique de la ville jusqu'à l’ancien hôtel désaffecté. «Les organisateurs ont conseillé aux manifestants de porter un gilet de haute visibilité», explique le quotidien – en d'autres termes, un vêtement semblable à celui porté par les Gilets jaunes en France.
Dans une vidéo de la mobilisation diffusée sur les réseaux sociaux, apparaissent de nombreux manifestants revêtant un gilet fluo ; certains d'entre eux portent également des pancartes indiquant : «Oughterard dit non aux centres [d’accueil des demandeurs d'asile] inhumains».
L’Irish Independent explique que les participants ont été invités à signer une pétition contre l'installation du centre d’accueil. «La pétition et la marche ont pour but de [dénoncer] les méthodes inhumaines de logement des demandeurs d'asile [et] de mettre en lumière le fait que [la ville] d'Oughterard n'a pas la capacité de disposer d'un centre d'accueil», a déclaré Rory Clancy, membre du comité organisateur, cité par le quotidien irlandais.
Matteo Salvini, écarté du gouvernement italien à l’occasion d’un spectaculaire changement de coalition, a annoncé que la Ligue allait déclencher une série de référendums pour tenter de faire barrage aux réformes projetées par le nouvel exécutif.
L’ex-ministre de l’Intérieur, qui réunissait ses troupes en Lombardie, a par ailleurs accusé de trahison ses anciens alliés du Mouvement 5 Etoiles (M5S), avec lesquels il a gouverné pendant quatorze mois.
« Nous défierons ces traîtres qui sont retranchés dans leurs bureaux », a-t-il dit à plusieurs milliers de ses partisans rassemblés à Pontida, une petite ville du nord de l’Italie, fief originel de la Ligue. « Dans quelques mois, il y aura un gouvernement du peuple », a même promis Matteo Salvini.