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immigration - Page 644

  • Il faut soutenir le soldat Salvini

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    Le billet de Patrick Parment

    Une fois de plus on constate l’assourdissant silence de l’Europe au sujet des migrants illégaux qui pénètrent sur nos terres notamment via ces nouveaux terroristes que sont les ONG en général et maritimes en particulier. C’est, entre autres, l’île de Lampedusa en Italie qui en est souvent la cible et la raison pour laquelle le ministre de l’Intérieur et l’homme fort du régime italien, Matteo Salvini, a pris un décret interdisant à ces navires d’accoster dans les ports italiens et de déverser leurs flots de migrants au nom d’un humanisme de pacotille. De fait, ces actes illicites relèvent plus de la pure provocation que d’un humanisme bien tempéré et plutôt mal placé.

    Car, à bien des égards, permettre à des migrants de pénétrer en Europe est un acte criminel. A plusieurs titres. Le premier est que ces migrants ne trouveront pas de travail et qu’ils seront condamnés à la mendicité et à venir grossir le flot d’un lumpenprolétariat qui ne profite qu’aux esclavagistes du travail au noir. Deux, que ces migrants pèsent sur les finances publiques en matière de santé et d’aides sociales diverses et variées. Trois, que ces migrants viennent enrichir les chiffres, déjà alarmants, de la délinquance comme peuvent en témoigner tous les pays de l’ex-Europe occidentale. Tiens, comme c’est bizarre ! Quatre, parce qu’il est criminel de la part de ces ONG d’aider des familles entières qui n’hésitent pas à mettre en danger la vie de leurs propres enfants au nom d’un avenir qui ne sera pas meilleur que celui des bidonvilles dont ils sont issus.

    Matteo Salvini est d’autant plus un symbole de résistance qu’il a le peuple italien derrière lui. Contre lui, toute la camarilla bien-pensante de la démocratie chrétienne chapeautée par un jésuite déguisé en pape. Autrement dit, un faux-cul sud-américain qui n’en a rien à foutre de l’Europe. Et qui ne cesse de le prouver par ses propos délirants.

    Inutile de préciser que Matteo Salvini se bat également contre le lobby franc-maçon bien implanté à Bruxelles, à l’humanisme frelaté mais au libéralisme bien ancré. Sans compter aussi sur le lobby des instances juives qui ne veulent surtout pas qu’une Europe indépendante et forte, maîtresse de son destin, viennent contrarier les intérêts de sa seconde patrie, l’Amérique. C’est d’ailleurs, sur le fond, tout le combat qui se déroule actuellement entre les tenants d’un libéralisme mondialisé et suicidaire et les antilibéraux qui veulent un retour aux politiques de proximité. Une fois de plus, nous constatons toutes les limites que nous impose la démocratie dans l’oubli du politique.

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  • Demandeurs d’asile logés à la Côte d’Azur, nourris, blanchis, avec 300 euros d’argent de poche… Beaucoup de Français dans la misère aimeraient la même assistance…

    Cette courte séquence réalisée par FR3 en dit long sur la politique de préférence étrangère. Combien de Français vivant dans la misère, dans des taudis (sans même parler de ceux qui vivent à la rue), échangeraient volontiers leur situation contre celle offerte aux demandeurs d’asile dont il est question dans ce reportage, logés gratuitement dans des studios remis à neuf, dans un joli petit village de la Côte d’Azur, eau et électricité également gratuites, avec une enveloppe mensuelle de 300 euros et un chauffeur pour vous conduire au supermarché…

    Rappelons que cela se passe à Châteaudouble, village de moins de 500 habitants qui accueille 72 demandeurs d’asile, tous des jeunes hommes,… Et comme le montre l’affiche ci-dessous, le village est déjà invité à se diluer dans le multiculturalisme.

    https://www.medias-presse.info/demandeurs-dasile-loges-a-la-cote-dazur-nourris-blanchis-avec-300-euros-dargent-de-poche-beaucoup-de-francais-dans-la-misere-aimeraient-la-meme-assistance/111459/

  • Face à la hausse des arrivées de migrants, la Grèce tire la sonnette d'alarme

    migrants.jpgCe lundi 12 août, le gouvernement grec s'est dit “profondément inquiet” de la hausse des arrivées de migrants sur les îles égéennes.
    Ce lundi 12 août, le gouvernement du pays s'est déclaré « profondément inquiet » de l'augmentation des arrivées de migrants sur les îles égéennes, ces dernières semaines.
    Pour les autorités, la nouvelle Commission européenne doit procéder à « un partage plus juste du fardeau », rapporte Le Figaro.
    « Depuis le 7 juillet, il n'y a pas eu un seul jour sans arrivée », a fait savoir Georges Koumoutsakos, le ministre adjoint chargé de la Protection du citoyen, dans une interview au quotidien Kathimerini. Et d'ajouter que le nombre de migrants arrivés sur les cinq îles égéennes « a dépassé les 20.000, ce qui constitue une augmentation de 17% en quelques semaines ».
    [...]
    En savoir plus sur valeursactuelles.com

    https://www.peupledefrance.com/2019/08/hausse-arrivees-migrants-grece.html

  • Immigration : comment nos politiques se sont lié les mains

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    La question de l’accueil des migrants de Méditerranée resurgit violemment avec la reprise de l’activité par les deux navires de sauvetage Open Arms et Ocean Viking. Et la tension entre les pays européens grimpe de nouveau, nous rappelant que le problème reste entier et devant nous si nous continuons à ne rien faire pour le régler. Mais comment nos politiques se sont-ils lié les mains et ont organisé, amplifié l’appel d’air immigrationniste que nous connaissons ?

    Quand on pense à la protection internationale des réfugiés, on pense immédiatement à la Convention de Genève de 1951, qui demeure l’instrument privilégié en ce domaine et concerne les personnes persécutées du fait de leur race, leur religion, leur nationalité, leur appartenance à un certain groupe social ou leurs opinions politiques. Toutefois, la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales (CEDH), signée par les États membres du Conseil de l’Europe en 1950, vient s’intercaler dans le dispositif en ce qu’elle vise aussi à protéger quiconque, et donc les « migrants », de la torture, des peines et traitements inhumains et à ne pas les expulser vers un pays où ils courent le risque d’être victime d’un tel traitement. Cette Convention proclame aussi le droit au respect de la vie privée et familiale, ce qui recouvre le regroupement familial (art. 8).

    Pour sa part, le traité sur l’Union européenne, dans sa version consolidée après le traité de Lisbonne de 2009, dispose à son article 6 que l’Union adhère à la CEDH et que celle-ci fait partie du droit et des principes généraux de l’Union. En décembre 2011, l’Union européenne va plus loin et adopte la directive 2011/95/UE, qui fait elle-même référence à la Convention de Genève et qui consacre une « protection subsidiaire » à côté de celle du statut de réfugié traditionnel. Celle-ci est attribuée à l’étranger qui ne remplit pas les conditions d’obtention du statut de réfugié et qui prouve qu’il est exposé, dans son pays, à la peine de mort, la torture, les traitements inhumains ou dégradants, mais aussi – et c’est là que le bât blesse – à une « menace grave et individuelle contre sa vie ou sa personne en raison d’une violence qui peut s’étendre à des personnes sans considération de leur situation personnelle et résultant d’une situation de conflit armé interne ou international ». C’est évidemment la porte ouverte à l’immigration massive incontrôlée, compte tenu du nombre de conflits dans le monde. On voit donc bien comment l’étau s’est petit à petit resserré et a fini par nous étrangler. Notons que les deux tiers des migrants recueillis sur les deux navires susnommés sont d’origine soudanaise ou d’Afrique de l’Ouest, principalement du Sénégal mais aussi de Côte d’Ivoire, deux pays qui ne sont nullement en guerre.

    Pour aggraver la situation, la loi française n° 2012-1560 du 31 décembre 2012 poussa le raisonnement jusqu’au bout en supprimant le délit de séjour irrégulier sur notre territoire suite à plusieurs arrêts de la Cour de justice de l’Union européenne allant dans le sens de ce qui précède.

    Alors, comment sortir de cet étau ? La loi 2018 « pour une immigration maîtrisée, un droit d’asile effectif et une intégration réussie » n’est qu’une adaptation à cette situation et a vocation à essayer vainement de réduire les délais d’attente et davantage reconduire à la frontière. Autant de vœux régulièrement formulés depuis vingt ans par les gouvernements successifs. Ce n’est pas un cap de fermeté contre l’immigration massive comme annoncé par Emmanuel Macron. Pour couronner le tout, le pacte de Marrakech de 2018, pacte mondial « pour des migrations sûres, ordonnées et régulières », vise in fine, petit à petit, à imposer une coopération en matière de migrations internationales et vient encore obscurcir l’émergence de solutions alternatives.

    En dehors d’une sortie ou d’une révision des dispositions de la CEDH en matière d’asile et d’une réécriture plus stricte de la notion de protection subsidiaire, on ne mettra pas fin à cet appel d’air permanent. En attendant, gageons que l’Union européenne va, une fois de plus, accueillir les 500 migrants de l’Open Arms et de l’Ocean Viking.

    Philippe Franceschi

    https://www.bvoltaire.fr/immigration-comment-nos-politiques-se-sont-lie-les-mains/

  • Pas de vacances pour les Bien-Pensants !

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    Par Anne-Sophie Chazaud

     Cette semaine a permis d’assister au spectacle drolatique des Belles Ames, lesquelles ne savent plus trop quoi faire pour occuper leur temps libre.

    L’acteur Richard Gere tout d’abord, devenu comique malgré lui, est venu faire le show en Méditerranée avec des migrants dont il demande au petit peuple européen d’assurer l’accueil, se gardant naturellement bien de les emmener sous son bras généreux dans sa villa cossue. Il faut dire, le monde hollywoodien semble être en proie à quelque redoutable bacille toxique, en pleine décompensation anti-Trump, ne sachant plus trop quoi produire comme preuve de sa bien-pensance malsaine contre laquelle des décennies de psychanalyse caricaturale et onéreuse ou de méditation guidée auront été manifestement inefficaces. Ainsi, Rosanna Arquette, la malheureuse possédée, s’est déclarée dans la même semaine «honteuse et dégoûtée d’être née blanche et privilégiée» (même si cela présente toutefois l’avantage de pouvoir recourir abondamment à la chirurgie esthétique laquelle n’est, comme chacun sait, pas accessible au tout venant). Bref, ces pauvres gens vont mal et il semble urgent de s’en prémunir par quelque prophylaxie de circonstance, bien que le rire demeure la première des médecines.

     Richard Gere, Rosanna Arquette et le Pape

    Le Pape, ensuite, semble désormais clairement faire partie des croix et des épreuves que les Chrétiens doivent porter pour gagner leur chemin au Paradis. Coutumier des déclarations-bouillies, François a cette fois-ci décidé de s’essayer à la philosophie politique (demain ce sera peut-être le macramé, qui sait ?), fustigeant tout à trac le méchant «souverainisme». Jusqu’à présent, on avait le célèbre mantra «le nationalisme c’est la guerre». Désormais, c’est carrément le souverainisme issu lui-même du méchant «populisme» qui nous conduit tout droit à Hitler en personne.

    Forcément, que les peuples soient souverains, c’est dangereux. Celui que le destin vengeur nous a imposé comme Pape concède tout de même qu’il est normal que les peuples détiennent leur souveraineté (Comment, du coup? Par l’opération du Saint-Esprit? Nul ne saura, c’est un épais mystère jésuitique…), mais à la condition au fond de ne pas l’exercer et d’être privé des moyens pour cela. Il est du reste bien connu qu’avant l’avènement funeste du rouleau compresseur institutionnel de l’Union européenne, les peuples européens vivaient repliés sur eux-mêmes à la manière des bigorneaux, n’avaient jamais de contacts entre eux… La culture européenne d’ailleurs n’existait pas, les artistes, les intellectuels, les artisans n’échangeaient pas, le commerce non plus et chacun vivait d’ailleurs tapi dans une grotte, comme Paco Rabanne à l’approche de l’an 2000.

    Il est toujours bon de rire mais…

    Notons enfin que ce biais de la question migratoire semble être le dernier moyen qu’ait trouvé le Pape pour se mêler des affaires séculières… Ce qui constitue une très sérieuse entorse à la laïcité, ce dont personne ne semble se soucier pour une fois!

    Ce n’est pourtant pas, semble-t-il, aux prélats de s’occuper des affaires politiques, ou alors, tant qu’à faire, on aimerait l’entendre un peu plus au secours de ceux qui, en Europe, souhaitent justement protéger la civilisation issue du judéo-christianisme… grâce à laquelle il a son travail. Tout comme on aimerait voir François un peu plus concerné par le sort des Chrétiens d’Orient massacrés ou persécutés.

    Il est toujours bon de rire. Mais que ce soit le Pape (qui n’a donc nul besoin de l’avion et de l’ivresse des cimes pour dire des fadaises), ou les bouffons en provenance d’Hollywood, si les Belles Âmes pouvaient se contenter de faire leur show dans le cercle familial le temps du mois d’août, cela nous ferait des vacances!

    Source : La lettre de Causeur 13/08/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Union européenne : hausse de 10 % des demandes d’asile au premier semestre

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    Le nombre des demandeurs d’asile a de nouveau augmenté cette année dans l’UE. 
    Selon les chiffres de l’Agence de l’UE pour l’asile (EASO) […], environ 305 000 migrants ont déposé au premier semestre une demande initiale d’asile, soit un dixième de plus que de janvier à fin juin 2018.
    Les demandes initiales d’asile sont un bon indicateur pour estimer l’ampleur de l’immigration illégale. Il y a certes aussi des personnes rentrant sans autorisation qui ne déposent pas de demande d’asile. […] La moitié environ de ceux qu’on appelle mineurs non accompagnés (MNA) n’a pas non plus déposé de demande d’asile. Mais d’un autre côté, une partie des demandeurs d’asile rentrent légalement avec des visas touristiques ou de travail et déposent une demande d’asile à l’expiration de leur visa, au lieu de repartir. […]
    Les pourcentages d’acceptation des demandes faites par les demandeurs d’asile dans toute l’Europe ainsi qu’en Allemagne se situaient et se situent toujours le plus souvent entre 30 et 50 pour cent. Il ne s’agit donc majoritairement pas de réfugiés, selon les procédures d’examen des autorités nationales de l’immigration. […]
    (Traduction Fdesouche)

    Source: Die Welt

    https://www.peupledefrance.com/2019/08/union-europeenne-hausse-demandes-dasile-premier-semestre.html#more

  • L’Europe prête à céder au chantage de la Turquie ?

    Publié par Manuel Gomez le 11 août 2019

    Le plus grand tort des dirigeants de l’Union Européenne est de ne pas avoir lu les romans de Mary Higgins Clark, car ils auraient appris qu’avec les « maîtres-chanteurs » il n’y a pas 36 solutions : il n’y a que la bonne et la mauvaise.

    Quand on commence à payer, et à accepter le chantage, cela ne cesse jamais. Il faudra toujours continuer à payer et toujours accepter les conditions imposées par le maître-chanteur. L’une des bonnes solutions est de refuser tout chantage dès le début, ce qui n’a pas été fait, hélas !

    Dès lors l’issue est inévitable : si vous arrêtez les paiements, il met en pratique ses menaces et vous êtes foutu. L’autre bonne solution est de l’abattre sans pitié, d’une manière ou d’une autre, c’est-à-dire physiquement ou économiquement.  Cette dernière solution n’étant pas la plus rapide, ni la meilleure !
    Qui est le maître-chanteur qui fait « banquer » l’Union Européenne depuis 2016 ? « Mais bien sûr » (comme s’écriait Raymond Souplex), Recep Tayyip Erdogan, bien évidemment, ce dictateur sanguinaire qui domine la Turquie.
    Quel a été le marché des dupes, en mars 2016 ? 
    La Turquie bloquait sur son territoire un peu plus de 3,5 millions de migrants, principalement des Syriens, des Irakiens et des Afghans qui tous choisiraient de rejoindre l’Europe centrale et d’échapper aux Turcs le plus vite possible.
    De son côté, l’Union Européenne s’engageait à verser 6 milliards d’euros par an à Erdogan et d’exonérer de visa, pour traverser l’Europe, les 85 millions d’habitants de la Turquie et, enfin, de relancer les négociations en vue de l’adhésion de la Turquie à l’Union Européenne.
    Les négociations ont été interrompues lors du coup d’état manqué contre Erdogan, le 15 juillet 2016, et que plus de 100.000 citoyens avaient été emprisonnés et environ 160.000 fonctionnaires, policiers, journaliste et soldats étaient licenciés ou suspendus.
    Face à cette épuration de masse, spécialité turque comme on le sait, le parlement européen avait appelé, en date du 13 mars 2019, à suspendre les négociations d’adhésion de la Turquie.
    Et c’est cette décision qui provoque la colère d’Erdogan et de la Turquie et ses menaces « même pas voilées ».
    Tout d’abord celles du ministre des Affaires Etrangères : « Ou vous mettez en pratique notre accord, permettre aux citoyens turcs de traverser l’espace Schengen sans visa et, bien sûr, vous continuez à nous verser les indemnités que vous nous devez, ou nous ouvrons les vannes de l’immigration et aucun gouvernement européen ne pourra survivre plus de six mois. »
    Et ensuite, celles du ministre de l’intérieur, Suleyman Soylu, plus précises puisqu’elles accusent l’Union Européenne : « Nous n’allons pas patienter plus longtemps à la porte de l’Union Européenne. Nous sommes confrontés à la plus grande vague d’immigration de l’histoire et vous laissez notre pays isolé face à cette migration qui menace l’Europe. Nous vous conseillons de ne pas tester notre patience et de ne pas la mettre à l’épreuve. »
    Examinons, à présent, les conséquences plus que néfastes de ce chantage.
    Si la Turquie entrait dans l’Europe, elle serait l’Etat le plus important au niveau de la population, devant l’Allemagne.
    Donc le principal état serait un état musulman et cela entraînerait le risque fatal d’une islamisation de l’Europe, ce qui est d’ailleurs l’objectif recherché, ou alors d’une implosion de l’UE ?
    Or, il est une évidence : la Turquie n’est pas en Europe.
    Le président actuel, Emmanuel Macron, en est conscient et il l’a affirmé, prudemment certes, mais affirmé tout de même, quant à Nicolas Sarkozy, il en avait fait le constat en 2016 : « La Turquie est en Asie mineure, c’est un pont entre l’Asie et l’Europe, mais si un jour on explique aux écoliers que la Turquie est en Europe, il faudra également leur faire comprendre que la frontière européenne est en Syrie. 
    Il y a une rive du Bosphore en Europe mais la Turquie n’est, en aucun cas, un pays européen, ou alors ce sera la mort de l’Europe ! » »
    Il nous faut examiner avec lucidité ce problème qui devient un risque majeur, même mortel, pour l’Union Européenne.
    La Turquie d’Erdogan a les cartes en mains pour provoquer un chaos inextricable en Europe. D’autant plus que, en plus des 3,5 millions de migrants actuellement « stationnés » en Turquie, ce pays compte plus de 10 millions de turcs en-dessous du seuil de pauvreté.
    Dix millions qui ne rêvent que de s’installer en Europe.
    Egalement le grave problème qui oppose les Turcs aux Kurdes depuis des décennies. 
    Ces derniers tenteront d’échapper aux persécutions et aux massacres d’Erdogan en rejoignant l’Europe centrale, ce qui déplacerait ce conflit interne de la Turquie vers l’Europe.
    Voilà donc le chantage auquel l’Europe est confrontée et il est impossible d’imaginer quel en sera l’issue, comment se jouera le final, car, si l’Union Européenne refuse l’adhésion de la Turquie, la suppression des visas pour les turcs et le versement des milliards, ce sera inévitablement l’invasion migratoire du côté des frontières turques et, de l’autre, la reprise intensive de la migration de centaines de milliers de migrants d’Afrique.
    En conclusion : Nous sommes « foutus », l’Europe « est foutue », car la Turquie sera européenne et cela malgré notre ferme volonté et notre farouche opposition : Il ne peut en être autrement ! 
    Je ne vois pas une autre alternative ?
    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.http://by-jipp.blogspot.com/2019/08/leurope-prete-ceder-au-chantage-de-la.html#more

  • Des jeunes femmes allemandes témoignent...

    «Nous ne sommes pas des esclaves» ou «des proies faciles» : plusieurs voix s’élèvent actuellement en Allemagne contre les violences émanant des migrants illégaux que subissent les femmes.

    Se considérant comme des victimes de la politique migratoire, dans le cadre du mouvement #120dB les femmes en accusent les autorités européennes.Pas certain que la bien-pensance aime ce genre d'initiative.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/05/x-6168506.html

  • La France, Corée de l’Ouest ?

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    Par Jean-Yves Le Gallou – Article initialement paru le 25 mai 2018. La France prend-elle exemple sur la Corée du Nord dans sa manière de traiter ses dissidents ? Si les camps de travail et les exécutions n’existent évidemment pas chez nous, il est malgré tout très inquiétant de constater une hystérisation du débat public et, plus inquiétant, un durcissement de la répression à l’encontre des dissidents.
    Censure contre les Identitaires, agression de Robert Ménard minimisée, condamnation d’Eric Zemmour pour délit d’opinion, lutte de Kim Jong-Macron contre les « Fake news »… La France est en train de devenir la Corée de l’Ouest.

    Un opposant politique molesté dans l’indifférence générale

    Imaginez un opposant à un dirigeant quelconque, molesté par des élus et sympathisants de partis institutionnels alors qu’il se rendait à une réunion publique. Imaginez que des membres du parti au pouvoir aient relayé l’appel à manifester contre lui et soient présents lors de l’agression.
    Imaginez que cet opposant, élu et personnage médiatique, soit jeté à terre et blessé.
    Imaginez, enfin, que l’ensemble de la classe politico-médiatique du pays rechigne à soutenir cet opposant au pouvoir.
    Si cela c’était passé en Russie, en Hongrie ou en Pologne, par exemple, le tollé en France aurait été général.

    Robert Ménard n’a pas eu cette chance. Il n’a pas eu, non plus, la même chance que Nathalie Kosciusko-Morizet, qui avait eu le droit à un hommage national et à une couverture médiatique totale après une légère altercation sur un marché, présentée comme une agression violente.

    Exemple parfait de ce traitement révoltant démontrant l’existence de la Corée de l’Ouest, cet article du Monde qui évoque un Robert Ménard « chahuté ».

    Malgré plusieurs centaines de victimes d’islamistes, Zemmour condamné pour blasphème sur l’islam

    Autre preuve que la France se transforme peu à peu en Corée de l’Ouest, la condamnation d’Eric Zemmour pour délit de blasphème. Dans la France de 2018, critiquer la religion de paix et d’amour vaut 5 000 €. Donner son avis sur la situation française et sur l’impact de l’immigration musulmane, alors que la France est en guerre contre le terrorisme islamiste, n’est toujours pas permis… à moins qu’on donne dans le « padamalgam » bien entendu !

    « On reconnaît un régime totalitaire au fait qu’on ne sait pas si le danger vient d’en haut ou d’en bas »disait Soljenitsyne. Entre les kalachnikovs et les condamnations pour délit d’opinion, la Corée de l’Ouest répond parfaitement à cette définition. Et le sage russe n’avait pas manqué de prévenir : « Aujourd’hui les dissidents sont à l’Est, mais bientôt ils vont passer à l’Ouest. »

    Censure d’Etat contre les patriotes

    Dans la plus pure tradition totalitaire, l’Etat a décidé de jouer un rôle de plus en plus important dans la censure des contenus patriotes et identitaires sur internet. La censure des pages Facebook de Génération Identitaire après leur opération – inattaquable sur le plan juridique – Defend Europe en est un exemple flagrant.

    Un préfet de la République – Frédéric Potier, délégué à la Dilcrah -, a confié à une entreprise privée – Facebook France -, dirigée par un autre préfet – Laurent Solly -, le soin de censurer une page sans procès ni recours.

    De loin, le marché semble limpide, les GAFA, très critiqués en ce moment pour leur irrespect pour la confidentialité des données de leurs utilisateurs, se plient aux exigences des gouvernements afin de montrer leur bonne volonté. Payant très peu de taxes en Europe, ils négocient avec les gouvernements un pacte de troc : censure contre impôt.

    Voilà comment la Corée de l’Ouest s’installe, lentement mais sûrement, par le biais de la plus totalitaire des actions : la censure.

    La lutte contre les « Fake News »

    Dans le même esprit, la Corée de l’Ouest entend indiquer quels sont les médias qu’il faut écouter et ceux qu’il faut mettre de côté. Certes, rien n’est imposé. Mais tout est fortement suggéré.

    La volonté de punir judiciairement les fameuses « fake news », ce que je préfère appeler des « bobards », est d’ailleurs amusante puisque les premiers fournisseurs de bobards sont bien entendu les médias dominants ! Chaque année, la cérémonie des Bobards d’Or est là pour le rappeler !
    Et leurs erreurs (volontaires ou non) sont bien évidemment infiniment plus dommageables que celles (bien rarement) diffusés par des médias alternatifs. D’abord parce que ces derniers n’ont pas les même moyens d’enquête, et encore moins les mêmes budgets. Mais surtout car l’audience des médias dominants est immense comparée à celle des médias alternatifs. Une désinformation de l’AFP est ainsi beaucoup plus grave qu’une approximation de RussiaToday ou de Breizh-Info par exemple.

    Et pourtant, ce sont bien les médias alternatifs qui sont visés.

    Désormais, Facebook propose des liens alternatifs lorsque son algorithme détecte qu’une information pourrait être fausse ou émane d’un média alternatif.
    Et ce fameux algorithme de Facebook ne s’arrête pas là puisque certains contenus émanant de médias alternatifs apparaitront moins dans les fils d’actualité de ceux qui, pourtant, les suivent.

    80 km/h : l’unanimisme des médias

    Une illustration aussi amusante qu’effrayante de la mise en place de la Corée de l’Ouest, c’est l’unanimisme des médias sur des décisions gouvernementales contestables. Exemple avec la future modification de la vitesse maximum autorisée sur les routes départementales. Quasiment toutes les rédactions françaises ont décidé de reprendre les mêmes éléments de langage pour minimiser l’impact de cette mesure.

    On pourrait penser que c’est un sujet anecdotique mais il s’agit en fait d’un signal clair que l’unanimisme médiatique atteint des proportions inquiétantes.

    Orwell en rêvait, la France – bientôt Corée de l’Ouest – est en train de le réaliser !

    Jean-Yves Le Gallou 14/08/2019

    Crédit photo : Montage réalisé par Polémia – Sources : Drapeau de la Corée du nord, domaine public / Emmanuel Macron en Russie [CC BY 4.0], via le site du Kremlin / Kim Jong-un [CC BY-SA 2.0], via Wikipédia

    https://www.polemia.com/france-coree-ouest-rediff-2/

  • L’Espagne a peur, suite à la recrudescence de viols par des migrants

    policia.jpgL’Espagne a peur. En moins d’un mois plusieurs viols ont été commis dans différentes provinces.
    En moins d’un mois plusieurs viols ont été commis dans différentes provinces et notamment dans deux villes principales, dirigées par des maires de gauche et d’extrême gauche, très favorables à l’accueil des migrants clandestins, qu’ils soient mineurs ou adultes, et dont certains quartiers ont été transformé en d’authentiques ghettos.
    A Bilbao, une jeune fille de 18 ans a été violée en groupe, dans un parc, par des mineurs clandestins d’origine algérienne.
    Quatre d’entre eux ont été libérés par le tribunal, relâchés après avoir déclaré qu’ils avaient violé une jeune fille de 18 ans, sous la menace d’une arme à feu, et sont sortis en riant, criant et se moquant ouvertement des journalistes présents et des passants.
    Cela a choqué et provoqué la colère d’une partie de la population, qui subit depuis des mois les agressions, les vols et les viols de ces migrants clandestins, mineurs ou adultes, d’origine maghrébine pour la grande majorité.
    Par la voix de son président, Santiago Abascal, le Parti Vox a manifesté publiquement son indignation et sa colère, après cette libération : « Ils devraient êtres chargés de chaines et mis dans un avion pour l’Algérie, afin d’y purger leurs condamnations et ne jamais revenir en Europe, et ils sont de nouveau dans nos rues, en train de rire, et la dictature socialiste ne se préoccupe que de la xénophobie, c’est dégoûtant. »
    Toujours à Bilbao, dimanche dernier, à la sortie du métro, un jeune homme de 22 ans a été agressé et dépouillé de son portefeuille et de son portable, par deux racailles, dont l’une âgé de 27 ans, qui l’ont ensuite entraîné, sous la menace d’un couteau, vers le marché aux poissons, dans la rue Iturribide, à Otxarkoaga, devenu l’un des quartiers les plus sensibles de la ville basque, où ils l’ont obligé à leur pratiquer des fellations, selon le quotidien « El Correo ».
    A Barcelone (Catalogne), c’est encore un maghrébin qui a agressé et volé une femme âgée de 87 ans qui se déplaçait en fauteuil roulant, afin de lui arracher son collier en or et s’est enfui en courant.
    Cela s’est passé vers 18 h 30, dans le quartier « Sant Vicenc del Raval ».
    Deux policiers catalans, « Los Mossos », qui le suivaient depuis un moment l’ont appréhendé quelques dizaines de mètres plus loin.
    Il était déjà connu des autorités pour de nombreux vols.
    Actuellement, selon les services de police, plus de 20 agressions quotidiennes sont enregistrées à Barcelone. Un chiffre jamais atteint auparavant dans cette ville.
    Après Barcelone, c’est Bilbao, actuellement le chemin le plus sûr vers la France, qui est devenue l’une des villes les plus vulnérables d’Espagne, à cause de cette migration clandestine incontrôlée, et acceptée par les socialistes qui gouvernent momentanément.
    Le viol tout récent d’une jeune femme, sur la plage de Cullera, à quelques kilomètres au sud de Valence, par deux mineurs clandestins, a soulevé une émotion considérable également dans cette province qui accueille à bras ouverts les migrants clandestins.
    Les services de police signalent que les provinces les moins menacées par les agressions, vols et viols commis par cette invasion migratoire, sont les provinces andalouses, celles du sud de la péninsule où justement débarquent les migrants et la raison est que tous ces migrants poursuivent leur pénétration vers le nord et que c’est à partir des provinces de Murcia, Alicante et, surtout, Valence, Barcelone et, à présent, la province basque, qui sont les plus menacées.
    © Manuel Gomez pour Dreuz.info.