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immigration - Page 642

  • Grand remplacement en Europe : spirale infernale en Espagne

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    Par Paul Tormenen, juriste ♦ Polémia continue son tour d’Europe du Grand Remplacement. Après avoir étudiél’emblématique cas de la Suèdepuisl’inquiétante submersion démographique de la Belgiquel’espoir d’une réaction politique au Danemarkle désastre multiculturel britanniquele suicide de l’Allemagneles tentatives de résistances de l’Autricheetl’espoir naissant en ItalieC’est au tour de l’Espagne d’être étudiée par Paul Tormenen. Face à l’afflux de migrants, la péninsule ibérique est dans une situation critique.
    Polémia

    Comme l’Italie, l’Espagne a longtemps été un pays d’émigration. A partir des années 1980, l’immigration a commencé à prendre de l’importance dans la péninsule ibérique. Les nouveaux arrivants venaient surtout d’Afrique du nord (Maroc), et dans une moindre mesure d’Europe de l’Est et d’Asie (1).

    Mais c’est surtout durant les années 1990 et 2000 que l’immigration a augmenté considérablement en Espagne, tant en flux qu’en nombre d’étrangers présents dans le pays. Le secteur des services, l’agriculture et dans une moindre mesure l’industrie ont recruté en quantité des travailleurs étrangers (2).

    Ces dernières années, hormis des baisses ponctuelles, les entrées illégales en Espagne d’africains via le Maroc et le détroit de Gibraltar sont en progression continue (3). L’Espagne devient la principale porte d’entrée à l’immigration illégale en Europe.

    La population de l’Espagne s’est transformée rapidement pendant les dernières décennies. Les raisons principales sont une natalité très faible, le départ du pays de nombreux espagnols et une immigration très importante et mal maîtrisée.

    Les entrées sur le territoire espagnol

    En termes de flux, les entrées d’étrangers ont augmenté dans les dernières décennies de façon considérable. Alors que près de 30 000 personnes arrivaient dans le pays en 1996 (4),ils étaient 643 000 à y entrer en 2018 (5). Le solde des entrées et des sorties d’étrangers est excédentaire depuis 2015. Sur la seule période 2015-2018, ce solde aboutit à la présence de 717 000 étrangers supplémentaires en Espagne (6).

    Le nombre d’étrangers présents dans le pays

    La progression du nombre d’étrangers présents dans le pays est impressionnante : alors qu’il était d’un demi-million en 1996, le nombre d’étrangers légalement présents dans le pays est passé à 2,8 millions en 2006. En 2018, l’Espagne comptait 6,3 millions de résidents étrangers (7).

    Les principales nationalités des étrangers sont par ordre d’importance roumaine (1 million), marocaine (786 000) et anglaise (330 000) (8). Dans la période 2009-2018, plus d’un million d’étrangers se sont vu attribuer la nationalité espagnole, dont 245 000 résidents originaires d’Afrique (9).

    Le nombre d’enfants de père ou de mère étranger dans le pays est en hausse constante depuis 2015. Un enfant sur six a au moins un parent étranger (10). En 2018, les bébés nés en Espagne de mères étrangères représentaient 20,6 % du total des naissances (11).Si certains ont pu y voir le succès de l’intégration des nouveaux arrivés, les chiffres n’évaluent pas l’ampleur des mariages « communautaires » avec des conjoints issus du pays d’origine du couple.

    Le nombre de clandestins dans le pays n’est pas clairement identifié. Des régularisations massives ont été organisées par les gouvernements socialistes dans les années 1990 et 2000. L’opération menée en 2005 a à elle seule concerné un demi-million de personnes (12). Les marocains en situation irrégulière en Espagne seraient au nombre de 250 000, ce qui, ajouté aux résidents légaux (786 000), en ferait la première communauté étrangère dans le pays (13).

    La religion musulmane est en progression importante en Espagne. Le nombre de musulmans est estimé à deux millions (sur une population totale de 46,7 millions), un chiffre qui a progressé de 300 000 de 2012 à 2017. Le pays comptait en 2017 1630 institutions et 1 562« communautés » islamiques.

    Les musulmans représentent plus de 10 % de la population dans les provinces de Girone, Lleida, Tarragone, Castellón, Murcia et Almería. La progression de la population musulmane entre 2012 et 2017 est particulièrement marquée à Guipúzcoa (+78 %), Huelva, Lugo et Almería (+35 %) (14).

    Un véritable grand remplacement ?

    L’Espagne a depuis de nombreuses années un nombre très important de chômeurs (3,3 millions en mars 2019) (15) et l’économie « souterraine » y est importante (16). En dépit d’une timide reprise ces dernières années, la crise financière de 2008 fait encore sentir ses effets.

    Paradoxe apparent : alors que les immigrés sont de plus en plus nombreux dans le pays, des espagnols quittent l’Espagne contraints de chercher un emploi à l’étranger. Ce phénomène est si important qu’en dépit d’une immigration plus que conséquente, le nombre de départs du pays a été pendant quelques années plus important que le nombre d’entrées. Cela a contribué, avec la chute de la natalité, à une baisse ponctuelle de la population (17).

    Le nombre de citoyens espagnols qui partent d’Espagne est dans la période récente (sauf en 2018) toujours supérieur au nombre de ceux qui reviennent au pays De 2010 à 2017, le solde migratoire des citoyens espagnols (entrées moins sorties) est négatif de 214 280 personnes. (18).

    Véritable phénomène de société par son ampleur, on a parlé d’une « génération sacrifiée » pour évoquer ces jeunes, souvent diplômés, sans perspectives d’emploi dans leur pays (19). Si les emplois moins qualifiés sont occupés de façon croissante par des immigrés, les emplois plus qualifiés sont rares.

    Cela a poussé, en particulier au début des années 2010, de nombreux espagnols à émigrer. Le recours à la main d’œuvre immigrée apparaît comme un moyen commode pour ne pas rendre attractives aux nationaux certaines professions, en augmentant les rémunérations et améliorant les conditions de travail.

    Face à une natalité en berne, l’immigration présentée comme une solution

    Le nombre de naissances ne fait que baisser en Espagne. L’indice de fécondité y est parmi le plus bas d’Europe (1,25). Le pays a ainsi connu en 2018 une baisse de sa population (20). Une partie de la classe politique et des milieux économiques estime que l’immigration est nécessaire pour assurer le développement du pays.

    La secrétaire d’Etat à l’immigration (socialiste) estimait en 2018 que l’arrivée de 270 000 immigrés par an jusqu’en 2050 était nécessaire pour satisfaire les besoins du marché du travail (21). Une position en conformité avec celle du Fond Monétaire International selon lequel l’Espagne a besoin de 5,5 millions d’immigrés d’ici 2050 (22). Un journal espagnol, El Pais, présentait en 2017 l’arrivée de migrants marocains comme « cruciale » pour « sauver » les région désertes en Espagne (23).

    Pourtant, de nombreux signaux attestent que l’immigration massive pour faire face à la baisse de la natalité et aux besoins du marché du travail n’est un choix ni rationnel, ni maîtrisé, ni altruiste.

    L’immigration illégale arrivant en Espagne est en pleine expansion

    Les autorités espagnoles peinent à assurer l’intégrité de leur territoire. Sur la seule année 2018, près de 64 000 clandestins – recensés – sont arrivés en Espagne (24). Un chiffre qui ne fait qu’augmenter et qui place l’Espagne au rang de premier pays d’arrivée des clandestins en Europe. Les assauts à la frontière à Ceuta, au nord du Maroc, sont parfois l’occasion de violences extrêmes contre les douaniers (jets d’acide, etc.), ce qui illustre la détermination de certains « migrants » (25).

    Le nombre de mineurs étrangers arrivant dans le pays explose littéralement : il a augmenté de 160% entre 2017 et 2018 et s’établit à 13 000 (26). Sur le territoire espagnol de Ceuta, le nombre de migrants mineurs, essentiellement marocains, a augmenté de… 448 % en 2018 par rapport à l’année précédente (27).

    Selon des sources policières citées par un journal espagnol, près de 50 000 personnes originaires d’Afrique sub-saharienne attendraient au Maroc le moment opportun pour franchir illégalement le détroit de Gibraltar (28).

    L’honneur sauvé de l’Europe ?

    Un journal français estimait récemment que « l’Espagne sauvait l’honneur de l’Europe » en laissant accoster les bateaux des O.N.G. chargés de clandestins (29). Cette vision idyllique fait l’impasse sur certaines réalités:

    • L’Espagne refuse 3 demandes d’asile sur 4, un taux de refus parmi les plus élevés d’Europe (30).
    • Les moyens administratifs pour traiter des demandes d‘asile de plus en plus nombreuses sont au bord de l’asphyxie. Plus de 102 000 demandeurs d’asile sont en attente d’une décision (31).
    • Les délais de traitement des demandes d’asile sont longs, les crédits insuffisants et les obstacles à l’accès à l’asile nombreux, selon la Commission espagnole d’aide aux réfugiés (32).

    Il en résulte que c’est vers les pays plus au nord, en France en particulier, que de nombreux clandestins se dirigent une fois arrivés en Espagne. Ils sont parfois selon certains journaux fortement incités à le faire, voire accompagnés par les autorités (33) ou encouragés par des « associatifs » (34).

    Dans la ville frontalière d’Irun, de nombreux migrants attendent le moment opportun pour passer la frontière clandestinement (35). Côté français, dans la seule ville de Bayonne, près d’une centaine de clandestins arriveraient chaque jour en provenance d’Espagne (36).

    Accueillir et intégrer ?

    L’immigration illégale devient une charge de plus en plus importante pour le budget de l’Etat espagnol. Le rétablissement en 2018 par le gouvernement socialiste de la couverture maladie des clandestins s’est traduit par une affiliation de 350 0000 personnes en une année (37).

    Le budget de l’Etat pour l’immigration est en augmentation continue et atteint 382 millions d’euros en 2019 (38). L’immigration illégale coûterait à elle seule 20 millions d’euros, un budget utilisé pour l’accueil des mineurs, les expulsions et les rétentions (39).

    En dépit des préconisations d’accueil fixées par le gouvernement et les institutions internationales (FMI, Commission européenne), les immigrés sont nombreux à ne pas avoir un emploi dans le pays et sont une charge nette pour le système social. L’Espagne compte ainsi près de 542 000 demandeurs d’emploi de nationalité étrangère (40).

    Les étrangers sont également sur-représentés dans la population carcérale en Espagne. Alors qu’ils représentent 9,8 % de la population du pays en 2017, 28 % de la population carcérale est composée d’étrangers. Les Marocains, les Colombiens et les Roumains figurent parmi les nationalités étrangères les plus représentées en prison (41).

    L’Espagne est confrontée depuis quelques années à une montée de l’islamisme radical. Les mosquées salafistes, ce courant rigoriste de l’islam qui prône la sécession du reste de la société, sont de plus en plus nombreuses (42). La Catalogne serait particulièrement concernée, avec un nombre de mosquées salafistes qui aurait doublé en dix ans pour atteindre 79 (43).

    A l’extrême de la radicalisation, une étude réalisée par un think tank espagnol, l’institut Elcano, aboutit au constat que l’Espagne s’est ces dernières années imposée comme un terreau de radicalisation djihadiste (44).

    Un début de sursaut ?

    Si l’Espagne n’a pour le moment, suite aux dernières élections en avril 2019, qu’un gouvernement de transition, les quelques timides mesures prises par le gouvernement précédent (socialiste) pour contenir l’immigration ne font pas illusion et ne cachent pas une volonté délibérée d’ouvrir largement les frontières.

    On peut mentionner parmi les mesures affichées l’élévation de la hauteur des clôtures frontalières à Ceuta (45), le versement de 26 millions au gouvernement marocain pour contrôler ses frontières à Ceuta et Melilla (46) et la lutte contre les départs illégaux dans les pays africains (47).

    Les prochaines semaines nous montreront l’orientation politique du gouvernement issu des élections législatives organisées en avril dernier. L’irruption du mouvement Vox dans la vie politique espagnole, qui affiche clairement des positions en faveur de la natalité des espagnols, du renvoi des clandestins et de la limitation drastique de l’immigration, marque la fin d’un pseudo consensus dans le pays.

    Un consensus qui est train de s’écrouler face à la réalité de la société. En Espagne comme ailleurs, les discours hors sol des institutions supranationales et d’une classe politique auto proclamée « progressiste », qui négligent les populations locales et leurs cultures, ont de plus en plus de mal à être acceptés.

    Paul Tormenen 18/08/2019

    Merci à Pier Noël

    (1) « L’immigration en Espagne (1996-2006) : logique de marché et « institutionnalisation ». Travail et Emploi. L. Cachon. Septembre 2008.

    (2)« L’immigration étrangère en Espagne ». R. CrespoUbero. Migrance 21. 2012.

    (3) « Immigration illégale vers l’UE : les faits donnent encore raison au V4 en 2018, mais tous ne veulent pas l’admettre ». Visegrad Post. 25 avril 2019.

    (4) « Spain : frome migration to immigration ». Banco de España. 2015.

    (5) « Flujo migratorio en España de 2010 a 2018 ». Es statistica.

    (6) « Saldo migratorio de extranjeros en España de 2010 a 2018 ». Es statistica.

    (7) « Inmigración en España: una nueva fase de llegadas ». Real Instituto Elcano. 5 mars 2019.

    (8) « Extranjeros registrados en España a 31 de diciembre 2018 ». Ministerio de trabajo, migraciones y seguridad social. Février 2019.

    (9) « Concesiones de nacionalidad española por residencia. Principales series ». 12 avril 2019.

    (10) « España se mezcla ». Publico. 6 avril 2019.

    (11) « Espagne : chute de 40% des naissances depuis 2008 ». Le Figaro. 19 juin 2019.

    (12) « Les immigrés sans-papiers, peut-on briser le cercle de l’irrégularité ? ». Population Europe.

    (13) « Un quart de millions de marocains en situation irrégulière ». Le Desk. 16 juin 2018.

    (14) « El Islam sigue creciendo entre los españoles: la población musulmana, en seis gráficos ». El Confidencial. 21 août 2018.

    (15) « Espagne: très légère hausse du nombre de chômeurs en février ». Le Figaro. 4 avril 2019.

    (16) « L’économie souterraine représente 12% du PIB français ». La Tribune. 27 février 2019.

    (17) « España pasa de la inmigración a la emigración en cincoaños de crisis ». El salmon contra corriente. 22 avril 2015.

    (18)« Saldo migratorio de españoles de 2010 a 2018 ». Es statistica.

    (19)« Jeunes, diplômés, la “génération perdue” d’une Espagne en crise ». L’Express. 28 mai 2013.

    (20) « Espagne: pourquoi la fécondité est au plus bas depuis vingt ans ». Le Figaro. 20 juin 2019.

    (21) « Quién es el inmigrante en España? Una radiografía del “otro” ». El Pais. 27 mars 2019.

    (22) « La Seguridad Social necesita más de cincomillones de inmigrantes ». El Mundo. 13 août 2018.

    (23) « Inmigrantes para salvar la España que se muere ». El Pais. 3 avril 2017.

    (24) « Le gouvernement espagnol durcit sa position sur l’immigration clandestine ». Le Monde. 26 avril 2019.

    (25) « Frontière forcée à Ceuta : des violences en mode light dans les médias français ». OJIM. 31 août 2018.

    (26) « Plus de 13 000 jeunes migrants non accompagnés enregistrés en Espagne ». Euronews. 2 août 2019.

    (27) « À Sebta, le nombre de migrants mineurs a explosé de 446 % en 2018 ». Telquel. 21 janvier 2019.

    (28) « Alarma por los más de 50.000 subsaharianos que esperan en Marruecos para cruzar a España ». El Mundo. 27 juillet 2018.

    (29) « Accueil des migrants : intox et infox , sur « l’Espagne qui a sauvé l’honneur de l’Europe ». OJIM. 29 janvier 2019.

    (30) « España rechazatres de cada cuatro solicitudes de asilo ». El Pais. 13 février 2019.

    (31) « La Oficina de Asilo acumula más de 100.000 solicitudes por resolver ». El Pais. 18 juin 2019.

    (32) « España recibió solo el 1% de las solicitudes de asilo de la UE en 2016 ».El Diario es.16 juin 2017.

    (33) « Bus ins Glück ». Welt. 30 janvier 2019.

    (34) « La France face à une nouvelle crise migratoire ». Le Figaro. 22 octobre 2018.

    (35) « Espagne : les migrants affluent à Irun, point d’entrée en France ». Le Point. 10 août 2018.

    (36) « Bayonne : près de 100 migrants arrivent chaque jour d’Espagne ! ». La République des pyrénées. 24 octobre 2018.

    (37) « 350.000 extranjeros sin residencia en España se beneficiaron de la ‘sanidad universal’ en solamente un año ». El Toro. 1er août 2019.

    (38) « La Secretaría de Estado de Migraciones contará con un presupuesto de 481,24 millones de euros ». Communiqué du Ministère du travail, des migrations et de la sécurité sociale. 17 janvier 2019.

    (39) « La inmigración ilegal le cuesta a España más de 20 millones de euros al año ». ABC Espana. 26 juin 2018.

    (40) « Demandantes de empleo. Extranjeros ». Ministère du travail, des migrations et de la sécurité sociale

    (41) « Inmigraciónmasiva y delincuencia en España: esto es lo que dicen las estadísticasoficiales ». Contandoestralas. 13 novembre 2018.

    (42) « Les anti-islam Pegida s’exportent en Espagne ». Le Figaro. 14 janvier 2015.

    (43) « Le laxisme coupable des gouvernements catalans et espagnols ». Observatoire de l’islamisation. 22 août 2017.

    (44) «Yihadismo et yihadistas en España ». El Instituto Cano. 2018.

    (45) « Migration : l’Espagne va augmenter la hauteur des clôtures frontalières à Ceuta ». RTBF. 23 février 2019.

    (46) « L’Espagne va verser 26 millions d’euros au Maroc pour renforcer le contrôle des frontières ». Yabiladi. 4 juillet 2019.

    (47) « Policías españoles frenan la entrada de inmigrantes por la ruta de Agadez ». El Mundo. 12 août 2019.

    https://www.alterinfo.ch/2019/08/20/grand-remplacement-en-europe-spirale-infernale-en-espagne/

  • Macron – Poutine : vers une réconciliation franco-russe ?

     

    Macron – Poutine : vers une réconciliation franco-russe ?

    Vladimir Poutine au fort de Brégançon. A quelques jours du G7 de Biarritz auquel la Russie n’est pas invitée, Emmanuel Macron reçoit son homologue dans sa demeure de vacances. Une rencontre synonyme de nombreux défis à relever pour le président français dont l’influence à l’international se réduit à peau de chagrin.

    Salvini garde le cap

    Matteo Salvini accapare toute l’attention en Italie. Après être devenu le champion de la lutte contre l’immigration grâce à un décret condamnant les ONG complices des passeurs, le chef de file de la Ligue a profité d’un désaccord avec ses alliés du Mouvement 5 étoiles pour demander des élections anticipées.

    A la découverte de l’Aster, petit bijou du patrimoine fluvial

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/macron-poutine-vers-une-reconciliation-franco-russe

  • Bêtises sans frontières

    Par Jarente de Senac

    37177832.jpgDeux ministres, Jacqueline Gourault (photo) – Cohésion des territoires – et Didier Guillaume – Agriculture – ont assisté à une corrida goyesque en Arles quand les associations de défense des animaux leur sont tombées sur le râble. Dont la fondation Brigitte Bardot. On aime bien Brigitte, mais son combat devient dérisoire quand elle se trompe de cible. A en croire tous ces sicaires, il faudrait arrêter de bouffer de la viande pour cause de maltraitance et autres niaiseries du même ordre. Faut-il rappeler que l’homme est carnivore et que vaches, cochons, poulets, ect., sont voués par nature à la casserole. Que l’on s’insurge contre l’abattement rituel est compréhensible.  Mais ce n’est pas pour autant que l’on rendra l’homme herbivore. Tout ce qui est excessif est vain à l’image de ces barjots adeptes du véganisme. On se marre d’autant plus qu’après avoir bouffé du sanglier comme notre père à tous, Obélix, l’homme finit par bouffer les pissenlits par la racine !

    1421359200.jpgLa presse britannique ne manque jamais de se rappeler au bon souvenir de la bêtise. Elle vient de s’en prendre au prince Harry et à sa négresse de meuf pour avoir eu recours à des avions privés pour partir en vacances. Mais ce couple, aussi « bling bling » que princier, objet de toutes les filatures malsaines des médias britanniques aurait bien du mal à n’emprunter que les transports démocratiques. Quand Harry défend la planète, il est comme son père, Charles, dans son rôle. On voit mal en quoi cela l’empêcherait de prendre l’avion comme nombre de ses sujets. Qu’il veuille préserver sa vie privée et sa tranquillité, quoi de plus légitime. A moins de vouloir l’obliger à se déplacer en patinette ou en patin à roulettes ! Cela vaut, évidemment, pour toute la famille !

    3987982230.jpgToute la presse s’est extasiée sur le cas de Greta Thunberg, une handicapée de 16 ans, atteinte d’un trouble de l’attention, qui a interpellé la terre entière sur le réchauffement climatique. Cause pour laquelle il y aurait beaucoup à dire en termes d’arnaque. Mais magnifique opération de marketing – sa mère est chanteuse d’opéra, son père acteur. Or, il se trouve que la belle, qui a été trimballé de tribune en tribune – du Parlement anglais au Palais Bourbon entre autres -, est promise à une nouvelle destination, l’ONU à New York, qu’elle doit rallier depuis l’Angleterre sur un voilier. Tout ce Barnum étant sponsorisé par Monaco, BMW et une banque suisse qui a des accointances dans les paradis fiscaux. Le rafiot est skippé par Pierre Casighari, le fils cadet de Caroline de Monaco. Si c’est pas marketing, tout ça… Or, rappelle les esprits malveillants, un billet d’avion eut été nettement moins polluant que les nuisances engendrées par ledit rafiot. Notamment les cinq personnes chargées de le rapatrier en Europe. Et qui, eux, ont gagné New York en avion. On n’arrête pas de se marrer, je vous dis.

    3988171547.jpgEnfin, on ne saurait passer sous silence l’arnaque que représentent les navires affrétés par les ONG pour aller recueillir leur maigre butin de migrants au large de la Libye, eu égard à l’ampleur des phénomènes migratoires. Et,  comme par hasard, d’aller déverser tous ces bougres sur l’île italienne de Lampedusa. Sauver des migrants sur des barcasses de fortune n’a aucun sens et relève tout à la fois d’une opération politique et d’un crime contre l’humanité. Car aider des gens à se déraciner et à se déculturer est un crime. Ces bateaux devraient être arraisonnés ou détruits et les ONG en question interdites. On a pour preuve de nos dires, la centaine de migrants recueillis récemment par l’ONG espagnole Proactiva (non ce n’est pas un yaourt !) qui mouille au large de Lampedusa et qui vient de refuser l’offre du gouvernement espagnol de les accueillir au port l’Algésiras (sud de l’Espagne).

    Certes me direz-vous, combattre la bêtise relève de l’utopie… mais ça fait du bien, de temps en temps, de se lâcher afin de montrer qu’on n’est pas dupe.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/20/betises-sans-frontieres-6170892.html

  • Organiser l'Islam en France (II/III) : la "réponse" d'Outre-Tombe du Père de Foucauld aux nuées de Macron...

    Ce n'est évidemment pas d'aujourd'hui que date le problème de l'Islam en France, et ce n'est pas aujourd'hui que lafautearousseau le découvre : lisez ce que nous écrivions ici-même, le 6 mai 2010 :

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2010/05/04/x.html

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/06/organiser-l-islam-en-france-ii-ii-la-reponse-d-outre-tombe-d-6167555.html

  • Le gouvernement allemand songe à retirer le statut de réfugié aux Syriens qui passent leurs vacances en Syrie

    Les Syriens qui se rendent dans leur pays d’origine pour y passer des vacances pourraient être privés de leur statut de réfugié en Allemagne, selon le ministre allemand de l’Intérieur, Horst Seehofer.

    Le ministre allemand de l’Intérieur Horst Seehofer a fait savoir que les Syriens qui passaient leurs vacances dans leur pays d’origine pourraient être privés du statut de réfugié.

    «Si un réfugié syrien passe régulièrement ses vacances en Syrie, il ne peut pas affirmer sérieusement qu’il est persécuté en Syrie. Nous devons annuler son statut de réfugié», a-t-il déclaré dans un entretien au Bild am Sonntag.

    Il a ajouté que l’office des migrations devait suivre les déplacements des réfugiés, précisant que «nous allons procéder au renvoi quand la situation [en Syrie, ndlr] le permettra».

    Sputnik / DW.com

    http://www.fdesouche.com/1249709-le-gouvernement-allemand-songe-a-retirer-le-statut-de-refugie-aux-syriens-qui-passent-leurs-vacances-en-syrie

  • Open Arms, une ONG humanitaire ? La bonne blague (pas bonne du tout, en fait...)

    En refusant l'offre d'accueil de l'Espagne, les militants d'Open Arms démontrent qu'ils ne sont pas dans une démarche humanitaire mais politique.
    En affrontant Matteo Salvini l'objectif est de faire plier celui qui refuse l'immigration imposée.

    Tiens bon, Mattéo !

    Forza, Salvini !

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Organiser l'Islam en France (I/III) : attention, danger ! Comment Macron veut procéder...

    Comment Macron feint d'ignorer le danger des Frères musulmans, et comment il s'imagine qu'il pourra - là où Sarkozy a échoué - organiser l'Islam chez nous, le prenant, comme dit Zemmour, comme une sorte de christianisme des arabes : ce en quoi il se trompe lourdement, évidemment

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/05/attention-danger-comment-macron-entend-organiser-l-islam-en-6167554.html

  • Après avoir milité pour les migrants, Richard Gere profite de la vie sur un yacht de luxe, entouré de jolies filles et de coupes de champagne

    La star hollywoodienne a été photographiée sur un bateau de luxe à Giglio (Toscane). Richard Gere passe du bateau de l’ONG Open Arms au yacht de luxe. Internet le lynche.

    L’engagement par intermittence des personnalités du star system ne convainc plus personne.

    La venue de l’ancien sex-symbole hollywoodien sur le navire de l’ONG au large de Lampedusa avait déjà suscité controverses et critiques ainsi qu’un échange indirect de blagues à distance entre Richard Gere et le ministre de l’intérieur, Matteo Salvini. L’acteur avait critiqué le décret Sicurezza bis qui, selon lui, mettait en danger la vie des migrants alors que le ministre de l’intérieur l’avait invité à faire venir tous les migrants aux Etats-Unis avec son avion personnel.

    « Je n’arrive pas à croire que mes amis italiens puissent sortir une telle chose », a déclaré l’acteur dès qu’il est monté à bord du navire espagnole. La réponse de Salvini fuse : « Puisque le généreux millionnaire claironne son inquiétude pour le sort des immigrants de l’Open Arms, nous le remercions : il pourra emmener toutes les personnes à bord à Hollywood avec son avion privé, et les garder dans ses villas. Merci Richard », a écrit le leader sur les réseaux sociaux.

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    Les images de Richard Gere à bord du yacht de luxe, entouré non plus de migrants mais de belles et très jeunes filles, et par-dessus tout la désinvolture avec laquelle il est passé sans problème de l’appel aux migrants et de la distribution des repas à un Riva [NDLR : bateau de prestige et de luxe] rempli de modèles en bikini et de verres de champagne semble donner raison à ceux qui le critiquent.

    Le protagoniste de Pretty woman est apparu dans le petit port de Isola del Giglio, en Toscane, en fin d’après-midi à la mi-août. Chemise bleue impeccable malgré la chaleur, casquette de baseball et lunettes de soleil […].

    Selon Richard Gere, sa visite sur le navire de l’ONG avait pour but d’attirer l’attention sur la condition des migrants, mais l’opinion publique est divisée. Beaucoup l’ont accusé de vouloir attirer l’attention, mais seulement sur lui-même, car au fil des années, son image de star s’est définitivement ternie. Pas étonnant que le changement soudain de décor de Richard Gere ait provoqué la colère du Web. […]

    Ilgiornale.it / Leggo.it

    http://www.fdesouche.com/1249513-apres-avoir-milite-pour-les-migrants-richard-gere-profite-de-la-vie-sur-un-yacht-de-luxe-entoure-de-jolis-filles-et-de-coupes-de-champagne

  • De quelles poches sortent ces milliards d'euros ? Qui paie pour les mineurs africains ?

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    Et nous ne sommes pas arrivés encore « jusqu’au bout de la nuit » car l’invasion est loin de devoir s’arrêter.

    Au cours du premier semestre 2019, selon les chiffres officiels fournis par l’EASO (Union Européenne pour l’Asile), les demandes d’asile sont en hausse de  plus de 10%, sur le premier semestre 2018.

    Un peu plus de 305.000 migrants ont déposé une demande d’asile, depuis début 2019.

    A ces chiffres, il nous faut ajouter que 50% des mineurs non accompagnés ne déposent pas de demandes d’asile et restent donc des clandestins.

    D’un autre côté, des milliers d’individus rentrent légalement avec des visas touristiques ou de travail puis refusent de partir, à l’expiration de leurs visas et réclament à leur tour des demandes d’asile.

    Le pourcentage d’acceptation de ces demandes d’asile se situe entre 30 et 50% en Europe, avec le pourcentage le plus élevé pour l’Allemagne.

    Bien entendu, il ne s’agit pas majoritairement de réfugiés fuyant des pays en guerre, selon les procédures d’examen des autorités nationales de l’immigration.

    Ainsi, par exemple, le commerce a repris en Méditerranée.

    Le navire de l’ONG « Océan Viking » a recueilli ces derniers jours 356 migrants, dont 103 mineurs non accompagnés, à moins de 40 milles des côtes libyennes. La dernière opération de (sauvetage) a eu lieu ce lundi 12 août.

    Et pendant ce temps le navire de l’ONG espagnole « Open Arms » est bloqué au large de Lampedusa, avec ses 151 migrants.

    Le chantage humanitaire se poursuit et il rapporte gros pour que les ONG y tiennent tant !

    Ils n’espèrent qu’une chose, l’ouverture des ports d’Espagne (l’Open Arms vient de l’obtenir grâce au socialiste Pedro Sanchez), de France et même de Norvège et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne s’agit pas, en ce qui concerne ce dernier pays, de ports les plus prés des côtes méditerranéennes.

    Il est vrai que les ports les plus proches sont ceux du Maghreb, mais inutile d’en parler puisque les Arabes ne veulent pas de ces migrants et que ces migrants ne veulent pas aller dans ces pays arabes.

    Donc, je le répète, l’invasion se poursuivra et avec comme conséquence première la recrudescence de l’insécurité, en Espagne, en France et dans tous les pays côtiers, et même très éloignés.

    Que ce soit en Espagne ou en France, les services de police dénoncent cette forte recrudescence de la délinquance, dont la cause principale réside par l’arrivée d’une très forte proportion de mineurs isolés clandestins.

    Dans l’Oise, deux de ces mineurs viennent d’être appréhendés après des vols commis dans des maisons à Chantilly, avenue Maréchal Joffre (mineurs d’origine marocaine).

    Trois autres mineurs à Orry-la-Ville, après avoir dérobé la caisse d’un magasin.

    Ils sont d’ailleurs aussitôt relâchés car ils n’ont pas de papier d’identité et c’est ainsi que ces trois mineurs ont été arrêtés quatre jours plus tard, à Luzarches, toujours dans le Val d’Oise, également pour des vols.

    A Montpellier (Hérault), ce sont 11 mineurs isolés qui ont été appréhendés en quelques heures pour des vols avec violence. Et dans ce département les services de police signalent la progression très inquiétante de cette délinquance des mineurs clandestins en situation irrégulière sur notre sol.

    Inutile de rappeler l’insécurité quotidienne que font régner ces mineurs isolés dans les arrondissements du nord de Paris où il est conseillé, aux personnes âgées ou handicapées, d’éviter le plus possible de sortir dès la nuit tombée.

    Et ce n’est pas l’arrivée prochaine de centaines de nouveaux mineurs isolés et clandestins qui rendra la sécurité dans nos villes !

    L’Espagne, à cause de sa politique irresponsable, se trouve aux premières loges et la justice italienne, qui vient de désavouer son ministre de l’Intérieur, Mattéo Salvini, et a autorisé les navires des ONG à pénétrer dans les eaux territoriales, ne donnent certes pas le bon exemple. (Attendons et espérons la réaction de Salvini !).

    Et toujours la même question qui se pose, et nous la posons depuis des années, mais la réponse ne nous parvient toujours pas et, apparemment, elle n’est réclamée que par nous ? Qui paie le passage de ces mineurs isolés, qui ne travaillaient pas dans leurs pays et n’avaient certainement pas les moyens financiers de payer les 2000 à 5000 euros, prix de leur passage ?

    Il faut bien que ces milliards d’Euros sortent de quelques poches, non ?

    Une toute récente information vient contrarier mes affirmations : il est fort possible que, finalement, ces centaines de milliers de migrants clandestins soit des « chances pour la France » car, et cela vient d’être confirmé par la Mairie de Paris, ils permettent la réduction du chômage dans notre pays. Comment ? Le processus est tout simple : ils dégueulassent les places, les rues et les trottoirs de nos villes, en y jetant leurs détritus, leurs ordures, à un point tel que, pour que nos villes tentent de rester un peu plus propre, elles se voient devant l’obligation de « recruter » des centaines d’éboueurs, plus de 550 entre les mois de juin et d’octobre uniquement à Paris, avec des salaires de début d’environ 1600 euros et jusqu’à 2200 euros en fin de carrière.

    Ainsi les migrants clandestins, en situation irrégulière, donnent du travail aux migrants ex clandestins qui se sont vus accorder une demande d’asile.

    Un circuit qui a beaucoup d’avenir car il n’est pas près de cesser.

    Ces déchets, ces détritus, devant ensuite être entassés dans des containers pour être expédiés vers la Malaisie, ou ailleurs.

    Je parle des déchets bien sûr ! Pas des migrants, je préfère le préciser !

    http://magoturf.over-blog.com/2019/08/de-quelles-poches-sortent-ces-milliards-d-euros-qui-paie-pour-les-mineurs-africains.html

  • Et Angela Merkel continue de défendre sa politique migratoire…

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    Lors d’une discussion avec des citoyens, Angela Merkel a une nouvelle fois défendu sa politique migratoire, alors que des crimes en tous genres commis par des migrants ont lieu un peu partout en Allemagne.

    De retour de vacances d’été, la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel s’est rendue, ce mardi 13 août 2019, au sein de sa circonscription électorale, située dans le nord-est de l’Allemagne, sur la mer Baltique, et y a visité une école à Greifswald, puis a pris part à une rencontre à Stralsund avec 200 lecteurs du quotidien Ostsee Zeitung.

    Elle a, à cette occasion, défendu sa politique migratoire, tout en déclarant devoir vivre avec la controverse qui porte sur celle-ci, avant d’ajouter que ce choix, en 2015, d’ouvrir les frontières a aidé lors d’une crise humanitaire exceptionnelle et urgente.

    Selon Angela Merkel, l’Allemagne ne peut pas seulement prendre soin de sa propre prospérité, mais doit assumer sa part du monde : « Nous ne pouvons pas penser seulement à nous. » Elle a qualifié les « sauvetages » en mer Méditerranée de « devoir humanitaire », tout en critiquant les contrebandiers et passeurs.

    Accusée par un élu local patriote, présent parmi les intervenants, de diviser, par sa politique migratoire, la société allemande, la chancelière a nié ce fait. Pourtant, il est évident qu’une partie du peuple vit très mal l’arrivée massive de gens venus d’autres continents et la criminalité engendrée par ceux-ci. Les sondages en vue des élections pour les Parlements de trois États allemands de l’Est prévues le 1er septembre – Saxe et Brandebourg – et le 27 octobre – Thuringe – donnent de très bons scores au parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD).

    Alors qu’Angela Merkel chante les louanges de sa propre politique d’accueil de migrants, quotidiennement, divers faits sordides se déroulent à travers le pays.

    Ainsi, le dimanche 11 août, à 5 heures du matin, à Neuötting, en Bavière, une dame de 52 ans a été suivie, agressée en rue, tirée dans un pré et violée par deux hommes au teint sombre.

    La même nuit, à 0 h 45, à Hanovre, en Basse-Saxe, une dame de 38 ans a été harcelée sexuellement en rue par deux hommes ayant un « physique du Sud », puis poussée contre un grillage et violée par un des deux individus.

    Toujours le 11, cette fois vers 22 h 50, à Leipzig, en Saxe, une jeune femme de 21 ans a été victime en rue de propos sexistes d’un « homme du Sud », puis frappée par celui-ci avant de tomber au sol.

    Les plus jeunes représentantes de la gent féminine ne sont pas épargnées. Le vendredi 9 au soir, à Straubing, en Bavière, deux adolescentes de 15 et 16 ans ont été harcelées et poursuivies par un homme « du Sud » parlant un allemand saccadé, alors que le jeudi 8 août, à Altenbeken, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un homme à la peau foncée a abordé, sur une plaine de jeux, deux filles de 11 ans, en a embrassé une et a touché l’autre aux parties intimes.

    Lionel Baland

    https://www.bvoltaire.fr/et-angela-merkel-continue-de-defendre-sa-politique-migratoire/