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immigration - Page 648

  • Allemagne : les villes de Rhénanie-du-Nord-Westphalie déplorent un déficit de 750 millions d’euros à cause des réfugiés

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    Düsseldorf – Selon leurs propres calculs, les villes et communes de Rhénanie-du-Nord-Westphalie supportent au moins 750 millions d’euros de frais d’accueil de réfugiés chaque année. Mardi, elles ont demandé au gouvernement du Land de rembourser enfin intégralement les frais de subsistance des réfugiés.

    Le montant forfaitaire en vigueur depuis 2016 est loin d’être suffisant

    « Actuellement, les villes de Rhénanie-du-Nord-Westphalie reçoivent en moyenne moins de 30% des frais nécessaires pour assurer les moyens de subsistance des réfugiés » a critiqué dans un communiqué le président de l’Association des villes, Thomas Hunsteger-Petermann (CDU), le maire de Hamm.

    Son adjoint, le maire de Bielefeld, Pit Clausen (SPD), a soulevé un autre problème : « Les réfugiés tolérés n’ont pas été suffisamment pris en compte par le Land. » Le nombre de réfugiés ne cesse d’augmenter, mais l’État n’en assume les coûts que durant trois mois.

    Selon les chiffres de l’Association des villes allemandes, il y avait plus de 58’000 personnes tolérées en Rhénanie-du-Nord-Westphalie en juillet 2019 – 15’000 de plus qu’à la fin de l’année 2015.

    (Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

    Rp-online.de

    https://www.alterinfo.ch/2019/11/26/allemagne-les-villes-de-rhenanie-du-nord-westphalie-deplorent-un-deficit-de-750-millions-deuros-a-cause-des-refugies/

  • Pourquoi Jean-Paul Delevoye a tort

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    Le billet de Patrick Parment

    Alors médiateur de la République (2004-2011), Jean-Paul Delevoye avait commis en 2009 un rapport qui dressait un constat lucide de la société française. Il en dénonçait déjà les fractures anticipant en cela le mouvement des Gilets jaunes. Les politiques d’alors avaient fait la sourde oreille tout en louant la qualité du travail.

    Issu des rangs du RPR, ce directeur de sociétés agroalimentaires, va basculer en politique, s’inscrivant dans ce que certains appellent le gaullisme social. Maire de Bapaume (Pas-de-Calais), il va effectuer le cursus obligé du parfait élu : conseiller général, maire, député, président de l’Association des maires de France, sénateur et enfin ministre de Jacques Chirac qui a largement contribué à son ascension. En 2004 son destin va basculer en devenant médiateur de la République, se libérant de ses attaches UMP pour rejoindre Emmanuel Macron. Il faut bien dire que la droite qui se réclame de De Gaule, se barre en sucette sur fond de massacres organisés. C’est la Saint-Barthélémy tous les jours rue de Vaugirard avec au programme Copé, Sarko, Fillon pour finir en Wauquiez, j’en passe et des meilleurs. Delevoye va faire son trou chez Macron qui nomme ce spécialiste du social à la tête de la réforme des retraites.

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  • Grèce, Italie : migrants et ONG pro-migrants continuent de débarquer…

    Breizh Info – Les arrivées de migrants ne connaissent pas de répit en Italie comme en Grèce. Tour d’horizon de la situation.

    Grèce : des îles toujours prises d’assaut

    En Grèce tout d’abord, ce sont 643 migrants qui ont débarqué sur les îles de Lesbos et Samos en l’espace de 24 heures le week-end dernier. Un nombre auquel il faut ajouter 60 autres personnes secourues en mer par les gardes-côtes grecs dans la même zone.

    Avec plus de 700 migrants en moins de deux jours, le flux des arrivées sur les îles grecques se maintient à un niveau élevé depuis plusieurs semaines. À titre d’exemple, dans un article publié le 7 novembre, nous évoquions le triste record battu en Grèce entre le 29 et le 30 octobre derniers : en l’espace de 48 heures, 795 migrants avaient réussi à gagner les côtes grecques en provenance de Turquie. Il fallait alors remonter à mars 2016, soit avant l’entrée en vigueur de l’accord UE-Turquie, pour retrouver trace d’un tel afflux.

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  • La Légion des Maliens de France

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    Lundi 25 novembre. 13 militaires français de l’opération Barkhane trouvent la mort au cours d’une mission aux confins du Mali.

    Dès le lendemain, une figure emblématique de la communauté malienne de Paris – jeune universitaire très actif dans une ONG de la diversité – interpelle vigoureusement ses concitoyens. En quelques jours, une conscience commune s’est émue, un élan s’est formé et des centaines, puis des milliers de jeunes hommes, âgés de 18 à 35 ans, se sont présentés, soit spontanément, soit poussés par leur famille, à des centres de recensement installés à la va-vite dans le quartier de La Chapelle, répondant au mot d’ordre « Malien de France, avec Barkhane et tes frères, viens combattre pour ta patrie ! » Une noria aérienne est organisée vers Bamako, où ces volontaires sont équipés, formés puis intégrés dans les unités du G5 Sahel…

    Fin de la fiction. Voilà ce qui serait juste, normal et digne.

    Or, comment ne pas être révolté devant ce scandaleux paradoxe : de jeunes Français combattent et meurent pour le Mali – État failli incapable de restaurer la paix dans ses frontières – tandis que des milliers de jeunes Maliens en âge de combattre errent dans nos banlieues, en mal de reconnaissance, d’identité et d’avenir.

    Aurions-nous imaginé, en 1914, qu’une diaspora française, jeune et nombreuse, reste oisive au-delà des mers tandis que le pays était en guerre ?

    L’auteur de ces lignes, dont l’un des fils, officier, rentre à peine d’une mission au sein de Barkhane, ne trouve pas tolérable que nous entretenions chez nous une population étrangère dont le pays en guerre est défendu par nos propres soldats.

    Jacques Coudrais

    https://www.bvoltaire.fr/la-legion-des-maliens-de-france/

  • Colloque à Paris le 30 novembre "La France et l'islam: état des lieux"

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  • Pour une réémigration rapide et totale (avec Scipion de Salm)

  • Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non

    Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non

    A propos du film Les Misérables, sur la violence des bandes à Montfermeil, le maire de cette ville, Xavier Lemoine, écrit dans Le Figaro, en évoquant les émeutes de 2005 :

    […] En trois mots il s’agit de faire connaître, respecter et aimer la France. C’est cette politique que devrait porter la nation tout entière. Mais à regarder la complaisance pour tout ce qui dénigre et culpabilise la France, on mesure l’écart abyssal qu’il y a. «Tout royaume divisé contre lui-même périra.» Rien de moins.

    Pour aller plus loin dans la compréhension et la recherche de solutions je ne peux que redire ce qu’en 2005, convoqué après les émeutes par l’Intérieur, Matignon puis l’Élysée, j’ai dit: «Le seul document qui vaille la peine d’être lu pour nous éclairer sur les événements en cours est la lettre de Charles de Foucaud à René Bazin du 29 juillet 1916». À nul endroit mes interlocuteurs n’en ont ri. Tous l’ont lue. Par trois fois la réponse fut: «M. le maire c’est vous qui avez raison, (un silence) mais comment le dire?». Il est maintenant minuit moins cinq.

    Voici un extrait de cette lettre :

    Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s’y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l’un, celui du Mehdi, il n’y en a pas ; tout musulman, (je ne parle pas des libre-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu’à l’approche du jugement dernier le Mehdi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l’islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non-musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve ; « l’oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s ‘il se tient tranquille, il se retrouve intact le jour de la libération », disent-ils ; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu’aux Allemands, parce qu’ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger ; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d’honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècle : mais d’une façon générale, sauf exception, tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Mehdi, en lequel ils soumettront la France.

    https://www.lesalonbeige.fr/des-musulmans-peuvent-ils-etre-vraiment-francais-exceptionnellement-oui-dune-maniere-generale-non/

  • L'hypocrisie des bobos sur l'immigration enfin dévoilée

  • Dhimmitude : tout le monde ne se laisse pas faire

    2307618253.jpgLa chronique de Philippe Randa

    Lors de sa revue de presse le lundi 18 novembre, la journaliste Amandine Begot sur RTL a dû faire sursauter plus d’un sourcilleux garde-chiourme de la Bien-pensance lorsque celle-ci a raconté la monté des incivilités en France… Dans le temps, les incivilités  expliqua-t-elle, c’était surtout les week-ends, de la part de quidams en fort état d’ébriété. Mais aujourd’hui, c’est partout et à tout bout de champs et par forcément sous l’effet de l’alcool. On crie, on menace pour un oui ou pour un non, pour un regard ou un mot mal interprété, ou encore pour… un refus de dhimmitude !

    Amandine Begot relata le témoignage d’un homme qui attendait son tour à une caisse de supermarché. Une « femme voilée » lui demanda de lui céder sa place. Il refusa parce qu’il était pressé d’aller chercher à temps ses enfants à l’école… Hurlements de la femme voilée à qui il refusait d’obéir et qui l’a poursuivi de ses insultes jusqu’à sa voiture, le traitant de… raciste ! Ben voyons…

    Une scène qui vous en rappelle une autre ? Beaucoup d’autres ?

    Ce qui est plus étonnant, c’est que ce triste – et de plus en plus courant – fait-divers ait été relaté à une heure de grande écoute (juste avant Laurent Gerra). Depuis des décennies, les journalistes avaient appris à taire l’origine des voyous ou autres faiseurs de troubles, terrorisés à l’idée d’être accusé par les associations auto-proclamées anti-racistes de « faire le jeu de l’extrême droite. »

    Comment expliquer un tel changement d’attitude ? Une telle libération de la parole ? Un tel retour à une information libre et honnête sur « la première radio de France » comme RTL aime tant à le rappeler ?

    Tout change pour que rien ne change, dit-on habituellement, mais est-ce toujours exact ? Ne devra-t-on pas dire désormais « Tout change parce que ça a trop changé » ? 

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    Ecoutez les émissions cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/29/dhimmitude-tout-le-monde-ne-se-laisse-pas-faire-6194363.html

  • Immigration : et revoilà les quotas

    Alors que la question migratoire demeure une préoccupation pour de nombreux Français, Emmanuel Macron lance son offensive en faveur des quotas d’immigrés professionnels. Une concertation sur ce dossier a même été ouverte jeudi en présence des syndicats.

    L’éternel retour des quotas !

    Jeudi 28 novembre, le ministre du Travail a reçu les principales organisations syndicales pour causer quota ! L’objectif gouvernemental, convaincre les fameux « partenaires sociaux » du bien fondé des quotas migratoires professionnels et chiffrer des objectifs secteur par secteur. 

    Sans surprise les organisations syndicales, CGT en tête, ont fait grise mine, celles-ci n’étant pas franchement enthousiastes à l’idée de à s’attaquer au sujet tabou de l’immigration. Ce qui n’a pas empêché le ministère du travail de se féliciter d’une réunion qui a je cite « permis d’établir une méthode de travail et un calendrier ». Le Rendez-vous est donc pris pour le mois de janvier.

    Un coup de com’ difficilement réalisable

    Mais que sont ces fameuses « méthodes de travail » ? Concrètement, il s’agit en réalité de confier le chiffrage des besoins supposés et des offres envisagées aux services de statistiques du ministère du travail : la Dares et Pôle emploi, ces deux organismes, dont l’efficacité est sujette à caution, vont lister les emplois disponibles, métiers par métiers et régions par régions. Puis, ils vont vérifier qu’aucune personne compétente pour le poste ne se trouve déjà en France – ce qui, dit en passant, devrait déjà être fait -, avant d’établir la compétence de potentiels migrants économiques pour des postes sans travailleurs disponibles.

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