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15 septembre 2018 à Chambéry – Conférence « Préférence nationale, remigration… Des solutions catholiques »
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Révolution patriotique, réaction nationale: la résistance s’organise!
Invité de l’antenne de BFM-TV il y a deux jours, le président du groupe LREM à l’assemblée, Richard Ferrand, a posé l’enjeu des élections européennes et exposé les deux visions diamétralement opposés de l’Europe qui s’affrontent. Il a repris ici l’opposition faite par Emmanuel Macron lui même entre progressistes et nationalistes, entre partisans d’un souverainisme européen appliquant l’idéologie multiculturelle, cosmopolite des idéologues bruxellois d’un côté, et de l’autre les défenseurs des souverainetés, des protections, des identités nationales dans une Europe de la libre coopération, celle là même défendue par le RN et ses alliés européens. « C’est quelque chose de fondamental, parce que le destin des nations d’Europe est lié, et on voit bien que dans un certain nombre de pays c’est un nationalisme et un conservatisme antieuropéen à tout crin qui est en train de se développer », a déclaré M. Ferrand. « Donc au fond, les Françaises et les Français ont le choix entre l’Europe que porte le président Emmanuel Macron et l’Europe d’Orban, Salvini et compagnie (…). La vérité (sic) c’est que tout seul un pays nationaliste finit toujours par couler. » Au rythme auquel cette Europe bâtie contre le peuples est en train justement de couler, d’imploser, les formules caricaturales, manichéennes de M. Ferrand révèlent en creux le désarroi, voire la panique qui gagne le camp euromondialiste.
Matteo Salvini en tout cas rend coup pour coup dans la guerre que lui livre les immigrationnistes. Pour avoir refusé mi-août le débarquement en Italie d’immigrés clandestins recueillis par un navire des gardes-côtes, le ministre de l’Intérieur et dirigeant de la Ligue a subi de nouveau les foudres des bruxellois. Il a également été visé par une enquête de la justice italienne pour séquestration de personnes, arrestations illégales et abus de pouvoir ! En l’espèce constate Bruno Gollnisch, le courageux Salvini est dans la ligne de mire de juges rouges aussi politisés et partiaux que ceux qui entendent en France museler ou entraver la capacité d’action du RN en le privant de sa subvention publique. En toute logique, Marine et les dirigeants nationaux Français ont apporté dans cette affaire leur soutien total à notre camarade Salvini.
Le nouvel obs le déplore sous la plume de sa correspondante et femme de gauche Marcelle Padovani, spécialiste de la politique transalpine, «il est peu probable que la procédure judiciaire aboutisse à une condamnation. » Et si « cette affaire aurait pu être vue comme un semi-échec pour le ministre de l’Intérieur » cela n’a pas été le cas. «Dans la nuit qui suit l’ouverture de l’enquête, le compte Facebook de Salvini a gagné 3 millions d’abonnés supplémentaires, qui le félicitent d’avoir joué les durs et l’assurent de leur solidarité.» Quant au « politologue Ilvo Diamanti », il révèle,« dans la Repubblica (du) 27 août, que pour la majorité des Italiens interrogés par son institut de sondage, l’homme politique le plus projeté vers le futur est Matteo Salvini…»
Ce front du refus de la submersion migratoire, qui bénéficie du soutien et d’une audience croissante des peuples européens, se construit concrètement et prend forme. Il s’est encore matérialisé hier avec la rencontre à Milan entre le Premier ministre hongrois Viktor Orban et le ministre de l’Intérieur italien, son « compagnon de route » dixit M. Orban. La manifestation organisée par l’ensemble des forces de gauche et les associations immigrationnistes pour protester contre ce rendez-vous a péniblement rassemblé environ 2000 personnes.
Devant la presse, Matteo Salvini s’est félicité d’un accord « à portée de mains avec l’Allemagne sur les migrants dits secondaires, ceux déjà enregistrés dans un autre pays de l’Union européenne, comme l’Italie. Nous sommes prêts à reprendre dans notre pays des migrants secondaires, à condition que le même nombre de migrants soit éloigné de notre pays. »
M Orban, dont le parti a triomphé lors des législatives d’avril dernier - sept hongrois sur dix cont voté pour les nationaux conservateurs de son parti Fidesz et pour les nationalistes de Jobbik - a été comme à son habitude très direct dans ses propos. L’Afp l’a rapporté, le Premier ministre hongrois a clairement désigné l’adversaire: «Il y a actuellement deux camps en Europe et l’un est dirigé par Emmanuel Macron (qui) est à la tête des forces politiques soutenant l’immigration. (…) Et nous, nous voulons arrêter l’immigration illégale ». Un constat bien évidemment partagé par le ministre de l’Intérieur italien qui a dit « (espérer) que cette rencontre sera la première d’une longue série pour changer le destin de l’Italie, de la Hongrie et de la totalité du continent européen»,
Oui, le déclin n’est pas inéluctable! Aide-toi, le ciel t’aidera: par une action politique vigoureuse, il est loisible d’espérer que les fossiles intellectuels et autres partisans du vieux monde bruxellois, hors-sol, sans frontiériste, ouvert à tous les flux, seront enfin balayés par la révolution patriotique, la réaction nationale qui se lève un peu partout en Europe. Les élections de mai 2019 devront en effet être une étape importante de cette reconstruction, de cette renaissance de l’idée européenne, fidèle à son génie, à ses valeurs, respectueuse de l’âme des peuples et des nations de notre continent. Il s’agit bien d’un enjeu de civilisation. Le RN, les nationaux entendent bien y prendre toute leur part.
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Après un nouveau crime commis par des migrants, Angela Merkel dénonce la chasse aux immigrés
Alors que la population allemande est confrontée, quotidiennement, à la délinquance des migrants importés par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel, et notamment à des agressions sexuelles et des meurtres commis par ceux-ci, un nouveau drame survenu à Chemnitz, en Saxe, le dimanche 26 août 2018 à 3 h 15 du matin, qui a coûté la vie à un Allemand de 35 ans et envoyé deux autres Allemands, âgés respectivement de 33 et 28 ans, lourdement blessés, à l’hôpital, a conduit, le même jour en fin de journée, des citoyens à descendre dans la rue et à se rassembler afin de s’élever contre ces actes.
Les forces de l’ordre ont arrêté les auteurs supposés des faits : un Syrien âgé de 23 ans et un Irakien de 22 ans. Selon des informations non confirmées par la police, cet événement aurait pour origine le fait qu’une femme aurait été harcelée par plusieurs hommes, les Allemands blessés et celui décédé – à la suite de 25 coups de couteau ! – étant venus à son secours.
Comme souvent, les médias subventionnés ont présenté les manifestants, qui sont visiblement de simples citoyens, comme des « extrémistes de droite » et ont mis en avant le fait que l’un ou l’autre étranger se trouvant dans la rue aurait été poursuivi et frappé par des manifestants alors que ces derniers criaient « Les étrangers dehors ! », « Ceci est notre ville ! » et « Nous sommes le peuple ! » (un slogan utilisé en 1989 lors des manifestations qui ont conduit à la chute du régime communiste).
Cette presse avait été mise en cause lorsque la chaîne de télévision publique ARD n’avait pas évoqué, dans son journal télévisé, le meurtre au couteau, à la mi-août 2018, d’un médecin – son assistante étant lourdement blessée lors de l’attaque – à Offenbourg, au Bade-Wurtemberg, par un demandeur d’asile somalien. Le rédacteur en chef avait alors répondu que cet événement n’avait pas une portée nationale mais seulement régionale.
Lors des attaques sexuelles de masse perpétrées à Cologne et à Hambourg le 1er janvier 2016 par des migrants nord-africains ou de type arabe, la presse du système avait également été accusée de ne pas avoir abordé immédiatement le sujet alors que celui-ci était largement diffusé sur les réseaux sociaux et les sites allemands de réinformation.
Ce lundi 27 août 2018, le porte-parole d’Angela Merkel a dénoncé des « chasses collectives »contre les immigrés qui « n’ont pas leur place dans notre État de droit », oubliant que le président de la CSU – son allié social-chrétien bavarois – et actuel ministre de l’Intérieur, de l’Urbanisme et de la Patrie, Horst Seehofer, avait qualifié, en février 2016, la politique des frontières ouvertes de cette chancelière, permettant à de nombreux migrants d’entrer illégalement dans le pays, de « règne du non-droit ».
Une nouvelle manifestation a eu lieu à Chemnitz, autrefois appelée Karl-Marx-Stadt, lundi en fin de journée, et a rassemblé plusieurs centaines de personnes.
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Samedi 1er septembre : colloque en mémoire des morts de Breslan
Contre la barbarie et la terreur qu'ils cherchent à nous imposer: Union de toutes celles, et de tous ceux, qui sont attachés à nos libertés, et à notre civilisation :Mémoires et Vérités rend hommage aux victimes du terrorisme. Beslan (1er septembre 2004) Paris (13 novembre 2015) et Nice (14 juillet 2016).
Le samedi 1er septembre 2018, au Centre Cultuel et Culturel de Russie (1, quai Branly 75007 Paris).
16 heures :
Cérémonie religieuse Cathédrale de la Sainte-Trinité (1, quai Branly à Paris). Chœurs de la Cathédrale dirigée par Alexis Tcherkov.
17 heures :
Cérémonie civile et Colloque Mémoires et Vérités sur le thème Beslan, Paris, Nice, victimes d'un même terrorisme islamiste. Au Grand Amphithéâtre du Centre Culturel russe de Paris.
Henri-Paul Falavigna : Vérité pour l’attentat de Beslan, terroristes seuls responsables (vidéos)
Jean-Claude Hubler, vice-President de l'Association des victimes de l’attentat terroriste de Nice : face au terrorisme. Solidarité entre toutes les victime.
Georges Fenech, ancien magistrat : bilan de l'arsenal judiciaire contre l’islamisme.
Xavier Raufer, criminologue : autopsie de l'islamisme.
Emmanuel Leroy, Président d’une association de soutiens aux jeunes victimes du terrorisme : l’étiologie du terrorisme : une stratégie de propagande et de contrôle des populations.
Capitaine (er) Pierre L. Plas (TAP. URH. DRM.) : la terreur est-elle devenue une arme géostratégique de niveau planétaire.Solidarité enfants de Beslan association humanitaire et d'amitiés France Ossétie-Alania Fédération de Russie.
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CONTRE LE CONCERT DE MÉDINE AU BATACLAN : MOBILISATION GÉNÉRALE !
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Allemagne (vidéos) : colère populaire dans la ville de Chemnitz après un meurtre raciste contre un Allemand
Près de 2 000 personnes se sont rassemblées. Cette manifestation intervient au lendemain d’une « chasse collective » aux immigrés dans la ville de Chemnitz.
Des milliers de sympathisants d’extrême droite se sont rassemblés lundi 27 août, dans la soirée, à Chemnitz sous haute tension. Cette manifestation intervient au lendemain d’une « chasse collective » aux immigrés dans cette ville de l’ex-RDA, dénoncée avec véhémence par Angela Merkel.
« Merkel doit partir », scandaient certains manifestants, arborant des drapeaux allemands, du parti d’extrême droite AfD, et des pancartes telles que : « Arrêter le flot de demandeurs d’asile » ou « Défendre l’Europe ! ».
Mot d’ordre de ce rassemblement organisé par le mouvement Pegida : exiger que le gouvernement allemand garantisse « la sécurité de ses citoyens » après le meurtre d’un Allemand de 35 ans vraisemblablement commis par deux jeunes étrangers, un Syrien et un Irakien.
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L’immigration de peuplement conduit à une catastrophe civilisationnelle
Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle
Article initialement paru le 25 juin dernier. L’oligarchie ne cesse de nous vanter les avantages de l’immigration et les mérites des immigrés. M. Macron n’a-t-il pas souligné leurs « qualifications remarquables » et la nécessité d’en accueillir davantage ? Chacun sait pourtant que la réalité est tout autre. Car l’immigration est massive, elle ne s’assimile pas, elle provoque un éclatement territorial et culturel et mène à l’islamisation de notre pays. Bref, elle change la France et conduit les Français à ne plus se sentir chez eux dans leur propre pays. L’immigration de peuplement est peut-être une chance pour les immigrés, mais c’est une catastrophe pour la France et pour l’Europe.
L’immigration a changé brutalement la France
L’immigration de peuplement a commencé dans les années soixante-dix lorsque le grand patronat a fait pression sur le gouvernement pour autoriser le regroupement familial afin d’obtenir une main-d’œuvre abondante et peu exigeante. Mais, en ouvrant ainsi les portes à l’immigration de peuplement, le Système n’a pas rendu la France plus prospère, plus forte ou plus jeune, il a seulement changé la France. Changé ses mœurs, changé sa physionomie, changé sa population et changé sa religion. Il suffit de parcourir les rues de nos villes ou de regarder des photographies des années soixante-dix pour s’en rendre compte. Et seuls ceux qui n’aiment pas la France, ceux qui la réduisent à une idéologie politique ou à une ligne de compte, peuvent s’en réjouir. Pour les autres, il s’agit d’un bouleversement traumatisant et d’une grande brutalité, car c’est en moins de trente ans que la France a changé, un phénomène sans précédent dans l’histoire moderne.
L’importance de la présence immigrée est occultée ou minimisée
Or, le phénomène se poursuit à un rythme extrêmement élevé. Aujourd’hui, la pression migratoire est si forte qu’on ne sait pas exactement combien d’immigrants ont fait souche en France et combien y séjournent actuellement. Selon l’Insee, 25% des bébés nés en 2016 dans notre pays avaient au moins un parent né à l’étranger.
Mais les chiffres officiels sont faussés, d’abord en raison de l’interdiction des statistiques ethniques, ensuite à cause de l’immigration irrégulière, laquelle a connu une progression spectaculaire depuis 2015 avec ce que l’on nomme la « crise des migrants ». Les données sur l’immigration sont également truquées par l’effet du droit du sol et des naturalisations massives qui ont ainsi fabriqué des Français de papier à la chaîne, lesquels n’ont aucun lien réel avec notre pays, sinon leur présence sur notre territoire.
La manipulation est d’ailleurs poussée si loin que les membres de l’oligarchie et leurs soutiens osent prétendre sans rire que l’immigration n’augmente pas. Il est vrai qu’ils n’utilisent pas les transports urbains, qu’ils ne vivent pas en banlieue et ne mettent pas leurs enfants dans les écoles publiques ! Pour autant, ils ne peuvent ignorer les faits et, s’ils se livrent à un tel déni de réalité, c’est pour minimiser leur propre responsabilité dans la catastrophe.L’assimilation est impossible, le Vivre ensemble une fiction
En dépit de l’occultation des chiffres, force est en effet de constater qu’en raison de sa masse, l’immigration de peuplement a empêché toute assimilation. De fait, les immigrants sont trop nombreux pour pouvoir se diluer dans la population, et cela d’autant plus qu’ils se concentrent dans les zones urbaines. Les technologies modernes de communication leur permettent par ailleurs d’entretenir des liens étroits avec leur pays d’origine, ce qui les aident à conserver leur identité et donc à ignorer celle du pays qui les accueille. L’immigration de masse a dès lors débouché sur le communautarisme, un phénomène que l’on retrouve pour les mêmes raisons dans tous les pays occidentaux.
Face à cette situation, l’oligarchie a inventé le concept du « Vivre ensemble » et en vante assidument les vertus. Mais ce mot d’ordre ne correspond à aucune réalité concrète : les autochtones refusent de vivre avec les migrants selon un phénomène déjà connu dans les pays anglo-saxons sous le nom de white flight. Quant aux migrants, ils veulent seulement vivre en France comme ils vivent chez eux, c’est-à-dire selon leur culture africaine ou leur religion musulmane. Certains « jeunes » des banlieues de l’immigration ont même repris à leur compte le slogan identitaire « on est chez nous », pour bien montrer qu’ils entendent se constituer en société différente de celle de la France, une France que certains font d’ailleurs profession de vouloir « niquer » au son du rap.L’immigration provoque un éclatement territorial et culturel
Dès lors, ce sont des territoires entiers qui sortent de l’orbite nationale pour abriter des populations, une culture et des normes qui n’ont plus rien de français. On recenserait officiellement dans notre pays mille trois cents « quartiers sensibles », plus de six cents « zones de non-droit » et près d’une centaine de Molenbeek (par référence à la banlieue bruxelloise pépinière de terroristes islamistes). L’actualité a en outre montré qu’il fallait y ajouter les « no-go zones » de certaines villes, où les femmes non voilées risquent le harcèlement. Autant de territoires où, contrairement à l’expression trompeuse de « zones de non-droit », s’impose en réalité un droit clanique, mafieux et religieux, en tout cas une autre civilisation que celle des Français.
L’immigration de peuplement a ainsi multiplié la création d‘enclaves étrangères qui viennent miter le territoire national avec une logique de sécession de fait. Un processus que la « politique de la ville », la coûteuse panacée du Système, n’a pas été capable d’enrayer.L’immigration a entraîné l’islamisation qui a apporté l’islamisme
Les conséquences dramatiques de cette immigration de peuplement ne se limitent cependant pas à cet éclatement territorial et culturel, car, comme le rappelle la démographe Michèle Tribalat, l’immigration de peuplement a entrainé l’islamisation. Et l’islamisation a apporté l’islamisme et sa haine de l’Occident. La catastrophe migratoire est donc d’ampleur géométrique.
Avant les vagues d’immigration de la fin du XXe siècle, l’islam restait confidentiel en France comme en Europe (à l’exception des Balkans) et ne posait aucun problème particulier. Aujourd’hui, il serait en passe de devenir la seconde religion dans notre pays et, en raison de sa forte natalité, l’importance de la population musulmane ne cesse de croître indépendamment même de l’immigration. Aujourd’hui, en Seine-Saint-Denis, la majorité des habitants est ainsi de religion musulmane.
Or, l’islam n’est pas une religion comme les autres. Non seulement elle est étrangère à notre culture, mais elle impose un mode vie bien particulier. La pression pour que la société française se conforme aux commandements de l’islam ne cesse donc d’augmenter et de modifier en conséquence la physionomie de notre pays ainsi confronté à un antagonisme civilisationnel de grande ampleur.Les Français de plus en plus indésirables en France
Comment dès lors s’étonner que nos concitoyens soient de plus en plus nombreux à exprimer leur inquiétude de ne plus se sentir chez eux ? Les sondages en témoignent mais les oligarques méprisent ce sentiment et y voient la marque infâmante du « racisme ». Il s’agit pourtant des conséquences fatales de la catastrophe migratoire qu’ils ont délibérément provoquée. Un désastre dont ils semblent se satisfaire puisque, loin de chercher à l’enrayer, ils consacrent tous leurs efforts à le faire accepter de gré ou de force par les Français.
En tout cas, tel est le sens des campagnes incessantes qu’ils lancent pour une meilleure représentation des « minorités » ethniques et pour la réduction symétrique de la place réservée aux personnes « perçues comme blanches » ( pour reprendre la terminologie officielle). Tel est aussi l’objet de la mise en place d’une discrimination prétendument « positive » au seul profit des personnes issues de l’immigration. À cela s’ajoute le fait que les familles immigrées, ayant plus d’enfants et présentant un taux d’activité inférieur au reste de la population, se trouvent de facto prioritaires dans l’octroi des prestations sociales. Autant de réalités qui renforcent les Français d’origine dans la conviction qu’ils ne sont plus les bienvenus dans leur propre pays et qu’ils pourraient bien être « remplacés » par d’autres.
Une catastrophe civilisationnelle qu’il est encore possible d’empêcher mais plus pour longtemps.Ligne droite 25/08/2018
Source : Ligne droite
Crédit photo : Alastair Rae via wikimedia cc
https://www.polemia.com/immigration-peuplement-catastrophe-civilisationnelle-rediff/
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Mélenchon veut accueillir les migrants « au nom de la Révolution de 89 » !
Ce dernier week-end d’août, les troupes de Jean-Luc Mélenchon étaient rassemblées à Marseille pour les « AMFiS d’été » de La France insoumise.
Mélenchon, donc. Sans son costume de garde-chasse, mais en chemise bleu ciel infroissable au mistral. Mélenchon-le-teigneux, Mélenchon hargneux, Mélenchon-les-postillons… bref, le Mélenchon comme l’aime la grande presse.
Les médias et Mélenchon, c’est en fait un numéro de duettistes bien rodé. Chacun dans son rôle, les victimes et leur bourreau. « Vas-y, Jean-Luc, fais-moi mal ! Et surtout fais-lui mal : dézingue-le, ce Macron, venge-nous de sa morgue ! »
Il a fait parfaitement le job, Mélenchon, surtout ce samedi. Parfait sur toute la ligne, postillons et vociférations ad libitum. Alors, la presse a respecté le contrat, elle aussi, louant unanimement le seul opposant véritable à la politique du gouvernement, martelant que le patron de La France insoumise avait « appelé à faire des élections européennes un véritable référendum anti-Macron ».
Et après ? Rien. C’est là, justement, où c’est intéressant : rien du côté de la presse, rien non plus du côté de Mélenchon.
Car le bonhomme, s’il a parlé « du changement climatique » et dénoncé la politique de Macron, a aussi parlé d’immigration. Pour nous culpabiliser et traiter en substance les Français de salauds d’égoïstes, une fois de plus – ce que personne n’a jugé bon de relever.
« Un sujet qui est, paraît-il, délicat pour nous – il ne l’est nullement ! –, c’est celui des vagues d’immigration auxquelles nous assistons », dit Mélenchon pour introduire la chose qui n’intéresse personne.
Habile orateur, comme toujours, il martèle sa phrase choc : « Notre position est la suivante. »L’auditeur est en haleine… mais rien ne vient, sinon la critique du (large) camp d’en face : « Votre attitude est irraisonnable parce qu’elle est irraisonnée. Vous comptez sur la peur parce que vous espérez submerger toute la discussion politique par un sentiment de peur d’une invasion QUI N’EXISTE PAS ! »
Reconnaissons que c’est habile. Critiquer sans jamais se mouiller, c’est tout un art. Mélenchon poursuit : « Oui, il y a des vagues migratoires. Oui, elles peuvent poser de nombreux problèmes aux sociétés d’accueil. Elles posent de nombreux problèmes quand certains s’en servent pour faire du profit sur le dos des malheureux. » Il poursuit, écumant : « Honte à vous, qui nous parlez d’appel d’air. Parce qu’on n’a pas rejeté les gens à la mer, parce qu’on ne les a pas laissés mourir sur place, ce serait un appel d’air ! Bravo, l’Aquarius ! Bravos, SOS Méditerranée ! À bas la cruauté indigne de ceux qui décident, contre le droit de la mer le plus permanent… » Etc.
Enfin arrive un début d’engagement au nom de « la révolution de 89 qui avait dit “cette terre est la terre de la liberté” ». Alors, qu’on se le dise, « il n’y aura pas d’exception pour La France insoumise. Le devoir de soutien à la détresse, la protection de tous ceux qui sont dans la misère et le danger est un devoir pour nous quand les gens ont touché le sol sacré de la terre de la patrie. »
Car tous les migrants, dit Mélenchon, sont nos victimes : « Qui les a fait partir ? L’Europe, les États-Unis, le capitalisme, et je vais vous en donner une preuve immédiate », ajoute-t-il : « On met plus d’argent pour s’occuper de l’opération Barkhane qu’on en met dans l’aide au développement des pays qui se trouvent dans cette zone. »
Faux : chaque année, 40 % de l’aide publique au développement générée par la Commission européenne est destinée à l’Afrique. Dans un rapport de l’OCDE daté de 2015, on lit aussi que s’il y a trois fois plus de chômeurs chez les immigrés, c’est en raison de leur faible niveau d’études et de compétence : cela coûte 0,5 point de PIB à la France. Rien à voir, par exemple, avec un pays comme le Canada « qui pratique une immigration hautement sélective et attire des Asiatiques et des Européens ».
Mais ce sont là des nuances qui n’intéressent pas Mélenchon.
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Le concert de Medine au Bataclan : un nouvel attentat contre le peuple de France
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Richard Ferrand vous demande de choisir : l’Europe de Macron et Merkel ou celle d’Orban et Salvini ?
Richard Ferrand, président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, considère les prochaines élections européennes comme un choix entre deux visions opposées de l’Europe, celle de Macron, Merkel et Sanchez ou celle d’Orban et Salvini.
« Donc au fond, les Françaises et les Français ont le choix entre l’Europe que porte le président Emmanuel Macron et l’Europe d’Orban, Salvini et compagnie. Au fond c’est Macron, Merkel, et Sanchez en Espagne si je résume, c’est-à-dire ceux qui se disent que nous avons un avenir européen, que ce soit la gestion de l’immigration, sur la politique de défense, sur les convergences fiscales et sociales, sur la capacité de recréer une Europe de puissance, sur tous les enjeux d’éducation avec Erasmus, la recherche etc, ou ceux qui disent non, il faut se recroqueviller sur soi parce que tout seul on va y arriver mieux », a-t-il déclaré dimanche.
A résumer ainsi l’enjeu des élections européennes, Richard Ferrand risque bien de se prendre une sérieuse claque électorale.