Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 772

  • Attaque au couteau à Ravensbourg (All.) : un demandeur d’asile afghan poignarde 3 passants, 1 blessé grave, le suspect arrêté (MàJ)

    Un homme armé d’un couteau a poignardé au moins trois personnes à Ravensbourg dans le sud de l’Allemagne, ce vendredi après-midi.

    Il était 16 heures passé lorsqu’un individu muni d’un couteau a attaqué trois personnes sur la Marienplatz, à Ravensbourg. Un suspect a été rapidement arrêté et les trois blessés ont été conduits à l’hôpital.

    L’un des blessés a son pronostic vital engagé selon les médias locaux.

    Des témoins affirment que l’agresseur a crié quelque chose et qu’il s’est subitement jeté sur ses victimes.

    Actu17 / Schwaebische.de

    29/09/18

    L’auteur présumé est un demandeur d’asile âgé de 19 ans en provenance d’Afghanistan

    (…) Welt.de

    Lire la suite

  • Islamo-gauchisme à l’Université de Lorraine

    Capture-d’écran-2018-05-25-à-20.04.02.png

    Faire dialoguer les savoirs, c’est innover. Il faut croire que l’adoption de cette devise moderne par l’université de Lorraine était prémonitoire. La semaine dernière, Le Figaro nous apprenait qu’un enseignant s’est justement permis une innovation : il a tout simplement enseigné le contraire de ce qui était attendu de lui.

    Deux mois après les attentats de Charlie Hebdo, Manuel Valls – qui n’était pas encore candidat à la mairie de Barcelone – avait encouragé les diplômes universitaires portant sur l’enseignement de la laïcité. Regrettant que les imams soient formés à l’étranger, il déclarait : « Il faut des aumôniers et des imams français, francophones, qui apprennent le français, qui aiment la France et qui adhèrent à ses valeurs. »

    Le diplôme universitaire « religions, laïcité et inclusion sociale » de l’Université de Lorraine créé il y a à peine un an devait justement répondre à cet objectif. C’est quelque peu raté puisqu’un professeur de droit de la laïcité en a profité pour prétendre que la loi de 2004 sur l’interdiction du port du voile dans les établissements scolaires était une dérive islamophobe de la loi de 1905.

    Le Figaro nous apprend ainsi que ce professeur affirmait dans son plan de cours que la prétention de cette loi à lutter contre la soumission des filles visait en fait à détourner la laïcité afin de s’en servir pour « humilie[r] les musulmans, et plus largement les ‘racisés’ ». Et il y affirme que l’islamophobie serait « une nouvelle légitimité pour le racisme et le ressentiment anti-arabe » (Qui fait ici l’amalgame entre islam et arabe ?).

    On pourrait plaider la liberté académique si encore son cours avait pour but de d’aborder de manière critique la législation. Mais son enseignement devait justement produire tout sauf un esprit critique. L’objectif affiché par Manuel Valls était bien d’enseigner la laïcité telle qu’elle est, non de la remettre en question en développant le sentiment victimaire chez les imams.

    Depuis la semaine dernière, on parle de dérive. On nous assure que cet enseignant sera remplacé. Malheureusement, je suis certaine que cela se reproduira. Le problème est plus profond qu’une simple dérive individuelle.

    La devise choisie par l’université de Lorraine en est un signe. Certes, elle n’est pas fausse, mais elle illustre bien le dévoiement actuel de l’enseignement qui vante la multidisciplinarité et qui oublie que pour pouvoir faire dialoguer les savoirs, il faut déjà les maîtriser.

    L’université ne répond désormais plus à sa vocation. Elle fait même l’inverse. Alors que l’université de Bologne, plus vieille université d’Europe et première institution à utiliser le terme latin d’universitas, avait pour prétention d’énoncer la norme – elle avait pour devise Petrus ubisque pater legum Bononia mater (Pierre est partout le père des lois, Bologne en est la mère) – les universitaires d’aujourd’hui, adeptes du courant constructiviste, se targuent de déconstruire toutes les normes.

    À commencer par la langue. La plaquette du diplôme universitaire en question est, par exemple, rédigée en langage inclusif. On apprend, par exemple, que la formation s’adresse à « tout.e citoyen.ne intéressé.e« . Bref, de quoi aider les imams étrangers à apprendre le français.

    Alors qu’à la suite de Bologne, toutes les universités auront la prétention d’être des Alma Mater (mère nourricière), l’on vente désormais les séminaires de type anglo-saxon où, à l’opposé des cours magistraux, c’est l’étudiant qui fait le cours par des exposés, des travaux de groupes, des échanges…

    Au niveau européen, on appelle processus de Bologne une initiative des gouvernements européens conduisant depuis une vingtaine d’année à harmoniser les systèmes universitaires. Une des conséquences de ce processus consiste justement dans l’abandon de la transmission de savoirs pour le développement de compétences.

    Ce processus de Bologne a vu le jour à la suite notamment de la déclaration de la Sorbonne, université elle aussi très ancienne. Dans Soumission, œuvre de fiction de Michel Houellebecq, c’est en 2022 que les islamistes prennent le contrôle de ce même lieu. En 2018, en remettant en cause la laïcité dans un cours visant justement à la promouvoir auprès d’imams, on aura déjà fait un grand pas dans l’irréel.

    Dominique Bilde

    http://www.bvoltaire.fr/islamo-gauchisme-a-luniversite-de-lorraine/

  • La conférence d'Alain Escada sur la préférence nationale dite à Chambéry

    12 JNI A ESCADA.jpg

     
     
  • I-Média n°217 : Y-a-t-il un racisme anti-blanc ?

    Nick Conrad, Y’a-t-il un racisme anti blanc ?

    « Je rentre dans les crèches, je tue les bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents », ce sont les paroles du rappeur Nick Conrad dans sa chanson PLB. Les journalistes tombent des nues, le racisme anti blanc existe.

    Le Zapping d’I-Média

    Frédéric Taddeï est arrivé sur RT France jeudi 27 pour son émission quotidienne Interdit d’interdire. Sur France Inter, au micro de Sonia Deviller, l’ancien journaliste de France télévision souligne l’absence de débat à la télévision française. Pour exercer ce qu’il a fait pendant dix ans, Frédéric Taddeï est donc obligé de s’exiler sur une chaine Russe.

    Mariage homo, PMA homo, En marche, en avant !

    Le conseil national d’éthique rend son rapport et se déclare favorable à la PMA pour les couples homosexuels. Enfin ça bouge ! se réjouie libération. Une fois de plus, le débat est truqué, biaisé par les accusations d’homophobie.

    Les tweets de la semaine

    La parodie dans le viseur de plusieurs députés LREM. Le « Journal de L’Élysée », un compte ouvertement parodique est dans le collimateur de plusieurs députés. Ils réclament la suppression du compte twitter et accusent le compte de propager des fakenews. Mais dans cette histoire, il est à se demander si les députés ne parodient pas la démocratie.

    Ornellas, Bastié, Consigny, Moix, la semaine de Clash et bad buzz,

    Une semaine de clash et de bad buzz dans les médias, des pseudo « dérapages » qui fixent bien la ligne rouge à respecter pour exister dans la sphère médiatique.

    https://www.tvlibertes.com/2018/09/28/25986/i-media-n217-y-a-t-racisme-anti-blanc

  • Patries. Un film choc de Cheyenne Carron sur le racisme anti-blanc et la remigration

     

    Le 21 octobre 2015 est sorti le nouveau film de la cinéaste indépendante Cheyenne Marie Carron , intitulé « Patries ». Un film particulièrement attendu car controversé avant même sa sortie, un film que nous avons pu visionner en exclusivité et en avant-première.
    Cinéaste engagée, Cheyenne Marie Carron fait des films depuis 2001 sans bénéficier de la promotion et de l’aide dont bénéficient beaucoup de films qui ne font pourtant pas honneur au cinéma français. Sorti en 2014, son film L’Apôtre avait même suscité de violentes critiques et menaces parce qu’il évoquait l’histoire d’un jeune musulman désireux de se convertir au catholicisme. On se souvient même qu’une salle, à Nantes, avait déprogrammé le film après les attentats de janvier, de peur de représailles de la part d’islamistes.
    N’ayant pas vu L’Apôtre, mon regard a donc pu se porter en toute objectivité sur le film Patries, film présenté comme traitant du racisme anti-blanc, dont j’avais vu la bande annonce au mois de mars dernier et lu le synopsis : « Sébastien et ses parents viennent d’emménager en banlieue parisienne. À son arrivée, il essaie de se faire accepter par un groupe de jeunes issus de l’immigration africaine. Malgré le rejet qu’il subit, une amitié complexe se noue avec Pierre, un jeune Camerounais en quête d’identité » 
    Quelle agréable surprise. Ou plutôt, quelle violente surprise. Car Patries est un film long-métrage coup de poing, une gifle en pleine figure, réalisé avec un budget équivalent à celui d’un clip publicitaire de 3 minutes effectués par des professionnels de la communication.
    Un film intégralement tourné en noir et blanc et qui se divise en deux parties ; on suit d’abord principalement Sébastien (et le jeune acteur Augustin Raguenet) , jeune de la France périphérique obligé de suivre ses parents (dont son père aveugle) en banlieue parisienne, sa mère ayant trouvé un emploi à Paris. Très vite, il fait la connaissance de Pierre, un Camerounais qui le prends sous son aile et tente d’intégrer Sébastien à « sa bande », sans succès. Car Sébastien – éduqué par des parents ayant porté le « vivre ensemble » au statut de quasi-religion – va vite se rendre compte qu’il n’est pas le bienvenue dans cette banlieue, lui, le blanc, le babtou, la face de craie. La réalité des métropoles françaises et notamment de ses banlieues lui explose alors en plein visage sans que ses parents n’y comprennent rien et il deviendra rapidement une sorte de bouc émissaire pour deux « racailles » africaines ayant dès la première rencontre refusé de lui serrer la main en raison de sa couleur de peau. Seule solution pour lui ? Fuir, retourner dans la France périphérique, ou bien faire face, physiquement, et « s’intégrer » dans son propre pays.
    La deuxième partie est centrée sur le personnage de Pierre, incarné par le brillant Jacky Toto, jeune Camerounais qui prend Sébastien sous son aile mais qui, suite à un mensonge non avoué de sa part, rompra de fait leur amitié et leur confiance naissante. Pierre – qui ne trouve pas de travail malgré sa volonté manifeste de réussir – est victime de DRH sans scrupules et d’une administration française qui ne pense qu’à l’aider, à l’assister, là où il voudrait réussir par lui même. Dans le même temps, il est en pleine crise identitaire, lui le Camerounais arrivé à 5 ans en France, jamais retourné au pays, mais n’ayant jamais su creuser sa place dans un pays qui n’est pas le sien. Doit-il partir et monter une entreprise au Cameroun, afin de réussir sa vie et d’aider son peuple , sur la terre de ses ancêtres ? Doit-il rester aux côtés de cette mère qui a tout sacrifié pour lui permettre une vie meilleure en France, et aux côtés de sa soeur, qui par le jeu d’une union mixte avec un bobo parisien français de souche, se sent beaucoup plus intégrée que lui ?
    Le résultat est un film abouti, dont la scène finale ne pourra surprendre que ceux qui, habitant la France périphérique, ne connaissent pas ou n’ont pas connu la vie en banlieue, la vie d’un jeune blanc devenu étranger dans son propre pays. Durant ce film, qui, non sans un clin d’œil appuyé à La Haine de Kassovitz , provoque un retour très violent au réel pour le spectateur, on se dit que du côté des enfants d’immigrés comme du côté des jeunes Français de souche, la cohabitation pacifique sera tout simplement impossible dans le futur, si ce n’est à la marge. Seuls les nantis ou les « vieux » comme dirait Julien Langella, et non pas les « anciens » , refusent de voir cette réalité, de l’admettre, alors même qu’elle est aujourd’hui communément admise par toute la jeunesse, quelle que soit sa couleur de peau ou son identité.
    Patries est un film dur, violent psychologiquement, porté par une superbe bande-son particulièrement adaptée qui dévoile tantôt la foi chrétienne profonde de la réalisatrice, tantôt le ressenti de la rue, avec quelques morceaux de rap bien trouvés. C’est un film qui lève le voile sur une réalité jamais évoquée jusqu’ici par le cinéma français, trop souvent englué ces dernières années dans le politiquement correct et la médiocrité. Un film qui mériterait lui aussi d’être projeté dans toutes les salles obscures de France et d’être montré à la jeunesse de France, dans les collèges et les lycées. Car la réalité de la France des villes d’aujourd’hui, c’est plus Patries que L’Esquive, film médiocre sur des « jeunes de banlieue » qui avait, politiquement correct oblige, remporté 4 Césars alors même que la critique spectateurs ne lui accorde aujourd’hui que 2,6 sur 5 (2 962 notes) sur Allo Ciné.
    Cheyenne Marie Carron est une cinéaste courageuse, au caractère bien trempé. C’est pourquoi elle a réussi avec brio ce film qui, au delà de ce qu’il montre, est techniquement réussi, surtout quand on connait le faible budget alloué. C’est pourquoi aussi, une certaine presse pourrait lui tomber rapidement dessus, ne pouvant admettre qu’une réalité certaine soit portée sur les écrans. Patries est en cette année 2015 au cinéma Français ce que « Catch Me Daddy » fut au cinéma anglais en 2014. Une révélation, une claque, à voir absolument à partir du mois d’octobre.

  • Marine Le Pen refuse de pleurer sur le sort des migrants de l’Aquarius… et elle a raison !

    3765547_1353_salvini_le_pen_cena_400_euro_a_testa-845x475.jpg

    Jeudi matin, face à Marine Le Pen, on a vu Jean-Jacques Bourdin prendre, une fois de plus, parti pour ses amis de la gauche bien-pensante, s’offusquant, dans un premier temps, de voir la haine transpirer des propos de Moix, Campion et Zemmour. Ah ! Zemmour qu’il aimerait voir interdit d’antenne à jamais, lui, le journaliste à qui-tout-est-permis-sauf. Mais ce n’était pas tout. Pour s’émouvoir du sort des « réfugiés » de l’Aquarius, il a absolument tenu à faire dire à Marine Le Pen combien, elle aussi, compatissait au sort de ces malheureux rescapés des flots. Et de citer le cas de cette pauvre femme ayant fui avec ses cinq enfants âgés de 9 à 22 ans parce que son mari avait été enlevé et qui pensait trouver refuge sur cet accueillant sol européen.

    Eh bien, non ! Marine Le Pen ne s’est pas mise à pleurer. Elle a rappelé sa position sur ces navires allant à la pêche aux migrants. « Ce sont les complices des passeurs. Ils font de la traite d’êtres humains. Ils vont chercher les migrants à vingt kilomètres des rives de la Libye pour des raisons d’idéologie politique et font appeler les ONG par les passeurs pour qu’ils viennent les prendre à leur bord. »

    Jean-Jacques Bourdin insiste. Mais cette femme, Malaka, voulait sauver ses enfants, menacés par les ravisseurs de leur père, rappelle-t-il. Et Marine Le Pen de lui répliquer sans frémir que « l’agence de communication Aquarius a dû sélectionner des personnes qui puissent faire pleurer dans les chaumières ». Avec une conclusion évidente : pourquoi cette famille n’a-t-elle pas sollicité un visa dans un consulat à Tripoli ou Benghazi ? Un visa qui, au vu de ses explications, lui aurait certainement été accordé rapidement et lui aurait évité de mettre en péril sa vie et celle de ses enfants, en payant le prix fort. Enfin, si péril il y avait car les passeurs savaient, bien sûr, que l’Aquarius rôdait dans les parages…

    Et c’est bien là le drame de cette migration maritime, qu’encouragent nos dirigeants, et notre « champion de la Terre » en premier. Le jour où passeurs et ONG seront considérés à égalité sans possibilité d’opérer leur sinistre besogne pour les premiers et leur fausse compassion pour les seconds, quel migrant aurait l’audace d’affronter une traversée de la Méditerranée problématique ?

    Les consulats sont omniprésents sur le continent africain. Passer outre leur fonction, c’est entrer dans l’illégalité, la clandestinité, parfois et trop souvent, la mort anonyme par noyade ou déshydratation. Alors, oui, Marine Le Pen, entre autres, a raison de souligner qu’encourager ces navires complices de traite humaine, c’est donner l’illusion que l’Europe continuera à accueillir toute la misère du monde. Et à subir une invasion, en majorité musulmane, d’hommes à 95 %, à qui l’Europe ne pourra pas offrir un toit ou un travail sans léser ses propres citoyens.

    Floris de Bonneville

    http://www.bvoltaire.fr/marine-le-pen-refuse-de-pleurer-sur-le-sort-des-migrants-de-laquarius-et-elle-a-raison/

  • Chronique de la France Orange mécanique

    Chronique de la France Orange mécanique

    Hyperviolence :

    Un jeune homme de 17 ans a été violemment passé à tabac par un groupe muni de barres de fer. Il souffre d’un traumatisme crânien. La scène a été filmée par des riverains. La scène se déroule mercredi soir dans le quartier de la Muette à Garges-lès-Gonesse, dans le Val-d’Oise.

    Le jeune homme souffre d’un traumatisme crânien, son pronostic vital a été réservé pendant 48 heures. Hospitalisé dans un établissement parisien, il se trouve actuellement dans un état grave, et ne peut être entendu par les policiers. 30 jours d’ITT (incapacité totale de travail) lui ont été délivrés.

    En marge de ce lynchage, des coups de feu ont été entendus. Deux jeunes hommes, âgés de 16 et 18 ans, se sont présentés dans la soirée de mercredi. Ils ont été blessés par des plombs tirés à l’aide d’un fusil de chasse, leur pronostic vital n’est pas engagé. Dans le même temps, l’enquête confiée à la sûreté départementale du Val-d’Oise a rapidement permis l’interpellation de trois individus mercredi soir vers 20 heures, à quelques minutes des lieux de l’agression. Placés en garde à vue, les suspects, âgés de 14, 16 et 20 ans, nient les faits. Une information judiciaire a été ouverte pour “tentative d’homicide”, “violences volontaires aggravées” et “participation à un attroupement armé”.

    Le motif de ce déferlement de violence reste inconnu. D’après une source policière, il pourrait s’agir d’une expédition punitive sans raison particulière d’une bande issus du quartier de la commune de Paris. Le quartier de la Muette, où se sont déroulés les faits, est régulièrement le théâtre de tensions ces dernières semaines.

    https://www.lesalonbeige.fr/chronique-de-la-france-orange-mecanique/

  • Heureusement que le racisme anti-blanc n’existe pas, par Caroline Parmentier

    ratonnade_anti_blanc_sipa_0-600x420.jpg

    « Pendez les Blancs », exhorte le rappeur Nick Conrad dans un clip de 9 minutes : « Je rentre dans des crèches je tue des bébés blancs. Attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tout âge, petits et grands. Fouettez-les fort, faites-le franchement. Que ça pue la mort que ça pisse le sang. »

    La vidéo, tournée à Noisy-le-Grand en Seine-Saint-Denis, s’ouvre sur une scène où le rappeur allume un cigare, décontracté. Derrière lui un Blanc pendu se balance au bout d’une corde. Puis démarre le morceau : « Pendez les Blancs ». Dans un des plans suivants, Nick Conrad enfonce un revolver dans la bouche d’un Blanc séquestré dans un coffre de voiture, avant de lui tirer dessus.

    La grande leçon de l’affaire « Pendez les Blancs », c’est que même avec ces paroles, même avec ces images – on se demande ce qu’il faudrait de plus ? –, le racisme anti-blanc n’existe pas. Hors de question de prononcer ce mot au gouvernement : c’est un tabou. Gérard Collomb « condamne sans réserve ces propos abjects et ces attaques ignominieuses » : « Mes services œuvrent au retrait sans délai des contenus diffusés. Il appartiendra à l’autorité judiciaire de donner les suites appropriées à ces odieux appels à la haine. » Le parquet de Paris ouvre une enquête pour « provocation publique à la commission d’un crime ou d’un délit ». Benjamin Griveaux, secrétaire d’Etat et porte-parole du gouvernement, dénonce « avec la plus extrême fermeté les paroles haineuses et écœurantes ». Mais rien de leur côté, sur le racisme caractérisé de ce rappeur noir. Rien sur la provocation à la haine et à la violence raciale. Dans notre doxa, le racisme ne peut provenir que de l’homme blanc et colonialiste, il ne faut pas tout mélanger. Eric Coquerel, député de la France insoumise, s’est chargé de rappeler les règles sur BFM TV. Il a nié l’existence du racisme anti-blanc et condamné le rap raciste car celui-ci donne l’impression que le racisme anti-blanc existe alors qu’il n’existe pas… Avant d’accuser Zemmour de racisme.

    Seule Marine Le Pen a souligné clairement le phénomène-qui-n’existe-pas : «De nombreux compatriotes subissent un racisme anti-blanc dont aucun expert autoproclamé ni média ne parle. »

    C’est d’ailleurs en s’appuyant sur ce déni imposé à tous que Nick Conrad, qui a participé par le passé au Téléthon sur France Télévisions et se décrit comme un « artiste noir, parisien, fier et raffiné », peut affirmer avoir fait une « fable » pour « inverser les rôles de l’homme blanc et de l’homme noir et proposer une perception différente de l’esclavage ». Aucun regret et encore moins de remords chez celui qui peut se payer en plus la gueule du monde en s’étonnant que son « procédé pédagogique » n’ait pas été saisi. Avant d’en appeler à la fameuse immunité de l’art : « Je ne peux pas renier ce que j’ai écrit, ça touche le racisme, c’est la beauté de ce morceau, ça reste de l’art. » « Moi aussi, dans ma vie, il m’a été donné de voir des scènes choquantes », ajoute-t-il, faisant référence à la violence des tableaux de Delacroix au Louvre… On vous a bien dit que c’était un Parisien raffiné.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 27 septembre 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Philippe et Wauquiez : à la croisée des droites ? – Journal du vendredi 28 septembre 2018

    Politique / Philippe et Wauquiez : à la croisée des droites ?
    Le premier ministre Edouard Philippe a fait face au président de son ancien parti, Laurent Wauquiez… une petite passe d’armes qui illustre la confusion qui règne à droite de l’échiquier politique français.

    Sécurité / Grenoble, le Chicago à la française
    Insécurité en milieu alpin ! La ville de Grenoble est devenue la capitale de la délinquance. Alors que la situation est hors-de-contrôle, le ministre de l’intérieur, Gérard Collomb, s’est rendu sur place ce vendredi.

    Santé / Nos régions ont leur addiction
    Dis-moi où tu habites je te dirai ce que tu consommes ! Une étude fait état des différentes addictions selon des critères régionaux… malgré des chiffres en baisse, la France reste l’un des plus gros consommateurs de produits licites et illicites en Europe.

    Économie / Un made in France écolo

    L’actualité en bref

    Lien serveur TVL :

    Lien DailyMotion :