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immigration - Page 768

  • Immigration et trafic d'êtres humains : le nouvel esclavagisme

    Un vaste réseau d'esclavagisme moderne vient de tomber entre l'Espagne et la France : plus de 350 immigrés clandestins, en provenance d'Afrique de l'Ouest, ont été acheminés principalement en France ces derniers mois par l'intermédiaire d'une filière qui vient d'être démantelée par la police espagnole. Les enquêteurs ont ainsi fait tomber un réseau particulièrement bien organisé qui revendait ces migrants à d'autres organisations criminelles.

    Les trafiquants promettaient l'eldorado français à des hommes du Mali, du Sénégal, de Côte d'Ivoire ou de Guinée mais très vite, le piège se refermait sur les candidats au départ. Les trafiquants leur fournissaient de faux papiers, organisaient leur transfert jusqu'en Espagne par de petits bateaux, mais au moment d'arriver enfin en France, les clandestins étaient revendus à d'autres réseaux.

    Ensuite, des gens en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, vont acheter quatre, cinq, sept personnes africaines et ils les envoient devant les portes des églises, des supermarchés pour mendier ou bien ils les font travailler dans des écuries.

    Evidemment, les immigrationnistes, qu'ils soient politiciens, associations, clercs, se rendent complices de ces trafics d'être humains en appelant à l'accueil systématique de ces immigrés.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Effet Trump : le nombre de réfugiés baisse aux Etats-Unis

    Trump nombre réfugiés baisse Etats UnisMoins de 2.000 réfugiés sont entrés aux Etats-Unis au mois de juillet, portant le nombre total de personnes accueillies à ce titre au cours des dix premiers mois de l’année fiscale 2017-2018 à 18.214. Ce sont très exactement 1.984 réfugiés qui ont été enregistrés le mois dernier, marquant la persistance d’une baisse du nombre des entrées qui accompagne la mise en œuvre des nouvelles politiques migratoires de Donald Trump et de ses discours musclés.
    Si le rythme se maintient d’ici à la fin de l’année fiscale, au 30 septembre, le nombre total de réfugiés dont l’entrée aux Etats-Unis aura été approuvée ne dépassera pas les 23.000 : ce serait le chiffre le plus bas en un peu plus de trois décennies, au titre d’un droit créé par le Refugee Act de 1980 adopté sous la présidence de Jimmy Carter.

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  • La Démocratie et tout de suite !

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    Bernard Plouvier

    Il n’est pas de semaine, en France, sans qu’un immigré d’origine extra-européenne se croit autorisé à poignarder un « souchien », pas de jour où une Française de race européenne soit violentée par de merveilleux envahisseurs exotiques.

    Cela, c’est la réalité, d’ailleurs épicée presque chaque mois de manifestations djihadistes : profanations d’églises et de cimetières ; attentats meurtriers. Quant aux manifestations verbales de racisme antiblanc, elles sont pluriquotidiennes, pratiquement non-comptabilisables du fait de leur fréquence.

    Or, les statistiques ethniques sont interdites en France ! On ne peut savoir le nombre des citoyens d’origine extra-européenne, ni même celui des résidents étrangers. On ne peut être renseigné sur les composantes ethniques de la population carcérale. Le fait même de parler d’une évidence : la race, devient un délit s’il faut en croire les débats surréalistes de nos brillants députés. 

    Soit, l’on crie : Au fou ! Et l’on enferme en asile psychiatrique la quasi-totalité de nos excellences et autres élus de moindre importance. Soit, l’on se lance dans une véritable démarche citoyenne et l’on exige protection et information.

    Payer impôts et taxes à la consommation n’a de sens que si, en contrepartie, la sécurité des personnes et des biens est assurée. Ce n’est plus le cas en Macronie, où l’on assassine du Français de souche européenne avec une fréquence qui dépasse tout ce que l’on avait connu.

    La presse aux ordres poursuit sa noble tâche de désinformation, mais les réseaux sociaux sont là pour témoigner de l’insécurité grandissante en presque toutes les villes de France. Paris aussi bien que Nantes (entre bien d’autres exemples possibles) sont devenues des cités à la fois insalubres dans certains quartiers et infréquentables, non seulement la nuit, mais aussi de jour. Les déclarations d’autosatisfaction de leurs mairesses « de gauche » amusent peut-être les badauds, mais le quotidien est moins drôle : on est poignardé à Paris pour un oui pour un non, et à Nantes, les incendies criminels des voyous de l’immigration ont servi de féérie urbaine estivale.

    Si le « Pouvoir » est incapable d’assurer la protection des citoyens, que Génial Président Macron fasse appel à des Milices citoyennes, il sera exaucé. L’on comprend bien que le nettoyage de 2 000 cités de non-droit sera une affaire d’assez longue durée, mais nous ne manquons ni de chômeurs ni de retraités encore verts qui ne demandent qu’à être utiles à la Nation, en aidant une police surmenée à force de garder les immeubles des beaux quartiers et de verbaliser les automobilistes.

    Surtout, il est un point sur lequel l’on doit obtenir satisfaction immédiate : l’information exacte sur l’invasion migratoire qui est une évidence d’observation à qui circule dans n’importe quelle ville de France. Aucune restriction à l’information véridique ne peut être tolérée dans une Démocratie. Si Grand Président Macron l’ignore, qu’il relise ses manuels de Droit constitutionnel.

    Évidemment, il est plus simple de se pavaner au milieu de foules sélectionnées d’admirateurs, de sourire et de distribuer des baisers à de petits enfants dont la sécurité immédiate n’est pas plus assurée que l’avenir professionnel.

    Il serait bon pour notre Grand Timonier de se remuer, avant que la situation ne devienne explosive.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le « non » de la Tunisie aux centre d’accueil pour migrants

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    La crise migratoire n’affecte pas que l’Europe. Certains pays méditerranéens africains se trouvent eux-aussi confrontés à une vague d’immigration sub-saharienne sans précédent bien qu’ils ne soient qu’une étape de transit pour des ‘migrants’ décidés à rejoindre le Vieux Continent. Il existe en revanche une différence de taille entre eux et elle concerne la gestion des clandestins. Les pays du Nord de l’Afrique ne font pas dans le sentiment : de ‘migrants’ à demeure chez eux ils ne veulent pas !

    La Tunisie et les autres pays de l’Afrique du Nord disent « Non » à l’idée européenne d’implanter les centres d’enregistrement pour ‘migrants’ au-delà des frontières de l’Europe, soit précisément en Afrique méditerranéenne.

    Ainsi la semaine dernière, après avoir recueilli le bateau Sarost 5 avec à son bord une quarantaine d’immigrés, leur avoir fourni de la nourriture et des soins, le ministre des Affaires étrangères tunisien Jhinaoui a insisté sur le fait que cette action humanitaire ne devait pas être perçue comme la voie libre pour ouvrir des centres d’accueil pour ‘migrants’ comme le demande l’Europe :

    « Nous ne voulons pas être un centre d’accueil pour migrants venant de l’Afrique sub-saharienne. »

    « La Tunisie protège ses propres frontières et s’acquitte de ses devoirs de la meilleure façon qui soit. »

    Et si l’Europe prenait, sur cette question de la gestion migratoire, exemple sur la Tunisie…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/le-non-de-la-tunisie-aux-centre-daccueil-pour-migrants/96265/

  • La restauration veut embaucher des migrants ? Le macroniste Aurélien Taché trouve ça formidable !

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    La restauration manque de bras. Il y aurait de 100.000 à 130.000 places non pourvues à tous les niveaux, de la plonge au service en salle. Les raisons de ce désintérêt sont simples : des salaires peu stimulants qui stagnent au niveau du SMIC et des horaires difficiles, qui sont souvent incompatibles avec une vie de famille normale. Pour remédier à cette pénurie de main-d’œuvre, les syndicats de la restauration et un député LREM, Aurélien Taché, proposent de faire appel aux migrants. Ceux qui sont réfugiés politiques peuvent travailler immédiatement sans aucune formalité. Ceux qui sont demandeurs d’asile et qui n’ont pas encore reçu de réponse à leur demande de régularisation ont le droit, en principe, de travailler après neuf mois de présence sur le sol français, mais uniquement dans un secteur manquant de main-d’œuvre, ce qui est le cas de la restauration. Enfin, la catégorie la plus nombreuse, les déboutés du droit d’asile qui devraient avoir quitté la France, n’ont en principe pas le droit d’être embauchés. Cependant, certains le sont quand même et obtiennent des papiers dans la foulée.

    Le deal paraît donc simple et la solution miraculeuse, mais tout cela n’est, en fait, que de la propagande pro-migrant de la part de M. Taché. Ce député se rend bien compte que l’hostilité, en France, envers les réfugiés n’est pas motivée par le racisme mais par le fait que nous introduisons, chaque année, 200.000 personnes qui vivent de charité publique. Les vraies victimes de l’immigration sauvage sont les pauvres de notre pays à qui on demande de se priver pour subvenir aux besoins d’autres personnes qui ne sont pas nées en France. M. Murray, dans son livre sur le suicide de l’Europe, estime à 184 milliards d’euros en dix ans le prix de l’immigration en Grande-Bretagne. Le montant doit être comparable de ce côté de la Manche. Au minimum, il est de 16 milliards chaque année. Si nous n’avions admis sur notre sol que les seuls réfugiés politiques et renvoyé chez eux les réfugiés économiques, nous aurions pu, en 2018, augmenter le RSA de 130 € par mois, en sachant que son montant ne dépasse pas 660 € pour un couple ! Aussi les bien-pensants essayent-ils de faire croire que les immigrés sont indispensables à l’économie française, ce qui est une fumisterie.

    En Allemagne, aux Pays Bas, où les statistiques ethniques existent et où on ne censure aucune étude sous prétexte qu’elle va à l’encontre de la doxa « progressiste », des enquêtes estiment que 90 % des immigrés sont encore au chômage au bout d’un an de présence, et que ce pourcentage décroît en moyenne de 15 % par an jusqu’à atteindre un minimum incompressible de 33 %. Un immigré sur trois sera éternellement au chômage et vivra de l’aide sociale ! Cela tient au manque de maîtrise de la langue du pays d’accueil, à l’absence de formation initiale et de diplômes. Le mythe de médecins et d’ingénieurs se ruant vers l’Occident s’est effondré depuis longtemps. Pour revenir à la restauration, ces postes n’intéressant pas les Français n’auront pas plus de succès chez les immigrés. Croire le contraire reviendrait à mépriser les réfugiés et les prendre pour une main-d’œuvre taillable et corvéable à merci, à les prendre en quelque sorte pour des « sous-Français », ce qui est inadmissible. Mais quoi qu’il en soit, le salut économique ne viendra pas des immigrés.

    http://www.bvoltaire.fr/la-restauration-veut-embaucher-des-migrants-le-macroniste-aurelien-tache-trouve-ca-formidable/

  • Une journaliste danoise : «Je vois des femmes en Hijab tous les jours et elles me regardent comme si j’étais une prostituée. Je ne veux pas de ça dans mon pays !»

    La journaliste danoise Ingrid Carlqvist approuve l’interdiction de la Burqa entrée en vigueur fin juillet au Danemark et qui vient de voir une première amende prononcée : « Cette question est très importante parce qu’au début quand nous avons commencé à voir des femmes en Hijab, nous nous sommes dits “Elles ne sont pas si nombreuses, c’est pas un problème”. Je veux dire, je vois ces femmes tous les jours et elles me regardent comme si j’étais une prostituée. Je n’aime vraiment pas ça. Je n’aime pas quand dans mon propre pays, on me regarde comme si j’étais une prostituée. Et ensuite, on a eu ce problème avec le Niqab, la Burqa, et si nous nous disons qu’elles ne sont pas si nombreuses et que cela ne pose aucun problème, je ne suis pas d’accord. Je pense que c’est un problème si nous voulons garder nos pays occidentaux dans l’état dans lequel ils sont. Nous sommes un pays scandinave, nous avons toujours eu l’égalité entre les femmes et les hommes, même depuis les Vikings. Je ne veux pas de ça dans mon pays! »
    – RT France, 7 août 2018, 17h11

    http://www.fdesouche.com/1054631-une-journaliste-danoise-je-vois-des-femmes-en-hijab-tous-les-jours-et-elles-me-regardent-comme-si-jetais-une-prostituee-je-ne-veux-pas-de-ca-dans-mon-pays

  • Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien

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    Mercredi 8 août, une marche blanche pour Adrien Perez est prévue, organisée par ses amis place de Verdun, pour dénoncer son meurtre et l’insécurité de plus en plus présente dans l’agglomération grenobloise et en France.

    Pourquoi pas, plutôt, une manifestation de colère devant la mairie ? Car Grenoble, aujourd’hui, c’est le Chicago des années 30 : dans la nuit de samedi à dimanche, un adolescent âgé de 16 ans s’est involontairement brûlé en tentant d’incendier une voiture. France Bleu ajoutait naïvement dans son article : « La faute sans doute au liquide inflammable qui s’est répandu sur lui. » Non, messieurs de la radio d’État : la faute à lui-même. Cette radio indiquait que, la même nuit, un jeune homme de 27 ans avait été retrouvé gravement blessé à l’arme blanche dans le parc Mistral. Son pronostic vital était engagé. Un suspect s’est rendu à la police, il est actuellement en garde à vue, cela, juste une semaine après la mort d’Adrien.

    Disons-le, la dégradation progressive de la qualité de vie à Grenoble est patente. Comme l’expliquaient des Grenoblois sur un site de collectif citoyen :

    « La place Condorcet est devenue, depuis quelque temps déjà, le lieu de réunion favori d’un groupe de jeunes peu sympathiques qui, sous prétexte de ne rien avoir à faire et de s’ennuyer, empêchent tout le monde de dormir : scooter, musique, cris… jusque très tard dans la nuit. Les menaces sont courantes, on vous demande de descendre vous battre, on vous dit qu’on voit où vous habitez et que vous allez le payer. Les habitants terrorisés se plaignent à la police mais rien ne change. »

    « De même les façades et garages sont tagués, les vitrines des commerces ont été cassées, le quartier est jonché de détritus et, dans certains coins, les déchets et encombrants abandonnés s’entassent pendant des semaines. »

    Toujours sur le même site, on peut lire :

    « Place des Géants, excédé par le bruit la nuit, un habitant a répandu de l’huile partout où on pouvait s’asseoir, y compris sur les jeux d’enfants. Piscine Jean-Bron, les familles ont dû abandonner les bassins parce qu’une rixe avait éclaté entre une vingtaine de personnes. Quartier Hoche, un restaurateur a été dans l’obligation de fermer, ne pouvant plus faire face aux menaces. Rue de Strasbourg, un commerçant a donné sa caisse à un homme armé. Rue Dr-Mazet, pendant des semaines, une bande pénétrait dans les magasins pour voler de la marchandise. Grenoble bat des records de délinquance. Déjà, en 2014, le niveau était supérieur de 63 % à la moyenne nationale. »

    Le père d’Adrien Perez ne disait pas autre chose :

    « Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. »

    Mais que fait alors la mairie ?

    Elle s’oppose… à la pose de caméras de vidéoprotection et refuse d’augmenter les effectifs policiers (103 agents pour 160.000 habitants) et de les armer. Même Jean-Yves Coquillat, le procureur de la République, a publiquement déclaré qu’il n’avait « jamais vu une ville aussi pourrie et gangrenée ». Par contre, « Piolle Pot », comme on appelle le maire ici, est prêt à accueillir tous les migrants et les « étrangers » du monde. Entre 2006 et 2014, il y a eu 2.243 Français de plus à Grenoble, contre 2.429 étrangers (aujourd’hui, c’est certainement plus d’étrangers).

    Le plus monstrueux est que notre Khmer vert, deux mois avant l’assassinat d’Adrien (qu’il n’a à notre connaissance, d’ailleurs, officiellement pas condamné, comme le montre son compte twitter qui ne parle que de pic de pollution et d’éco-mobilité…), remettait, contre l’avis du préfet, la médaille de la ville à Cédric Herrou, jugé pour passage illégal de migrants dans la vallée de la Roya : Tout un symbole !

    http://www.bvoltaire.fr/eric-piolle-le-maire-rouge-vert-de-grenoble-na-pas-eu-un-mot-pour-adrien/

  • Migrants, l’Allemagne insiste pour tous les renvoyer… en Italie ou en Grèce !

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    Le ministre allemand de l’Intérieur Seehofer se bat pour rejoindre un accord sur les renvois vers l’Italie et la Grèce mais les discussions sont au ralenti.

    Horst Sehofer et Matteo Salvini, le ministre italien de l’Intérieur, ne sont pas très éloignés l’un de l’autre politiquement : les deux contraires à l’immigration, les deux décidés à prendre des mesures.

    Dommage cependant qu’ils gouvernent deux pays différents et que sur le thème des migrants leurs intérêts respectifs s’affrontent. Car si ni l’Italie ni l’Allemagne ne veulent accueillir plus de clandestins, l’affrontement est inévitable puisque ceux-ci arrivent quand même en Europe : qui va les récupérer ?

    Au dernier Conseil de l’UE sur les migrations, l’Italie et de l’Allemagne se sont opposées sur la questions des renvois des migrants qui ont franchi la frontière allemande après avoir été enregistrés en Italie ou en Grèce. Selon le règlement du Traité de Dublin, Rome et Athènes devraient les reprendre en charge et c’est ce que désire Seehofer. C’est ce que conteste l’Italie qui demande plus d’aide et de solidarité de la part des autres pays européens, les clandestins étant des étrangers autant sur son sol que sur celui des autres pays européens. Le ministre allemand a annoncé que si un accord n’est pas trouvé avant fin août sur la question des renvois, il mettra en place son propre plan d’expulsion.

    Le fait est que son homologue italien, Salvini, ne veut en aucune manière reprendre les clandestins qui ont quitté l’Italie. Cette dernière en a déjà pris suffisamment estime-t-il. Ce qu’il demande est donc qu’ils soient redistribués et non d’être contraint de leur ouvrir les portes une deuxième fois. Intelligemment, il a également montré la solution au problème :

    « Si les Allemands et les Autrichiens au lieu de ne penser qu’à nous renvoyer les migrants nous aidaient à fermer frontières extérieures nous ferions vraiment un pas en avant », a-t-il déclaré.

    Cependant aujourd’hui le ministre allemand Seehofer est revenu à la charge en annonçant que son pays n’accueillera pas d’autres clandestins :

    « Nous ne pouvons l’accepter. Les Allemands ne comprendraient pas si nous nous mettions à accueillir plus de réfugiés que nous en renvoyons. »

    L’ennui est que les Italiens ne comprennent pas pourquoi ce sont eux qui devraient recueillir tous ces « migrants » uniquement parce que ceux-ci ont décidé de débarquer sur leurs côtes qui sont les plus proches de l’Afrique.

    Le meilleur moyen de respecter les aspirations de ces deux peuples européens, aspirations partagée d’ailleurs par d’autres en Europe, reste donc la solution de Salvini : fermer les frontières extérieures du Vieux Continent ! Mais cette décision qui serait réellement efficace pour combatte l’invasion migratoire actuelle est si contraire aux intérêts des mondialistes et des financiers qui dirigent l’UE que le ministre allemand, tout opposé à l’immigration qu’il soit, n’ose pas encore l’adopter…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/migrants-lallemagne-insiste-pour-tous-les-renvoyer-en-italie-ou-en-grece/96150/

  • Stéphane Ravier : « Calanques investies par les bandes des cités : il n’y a pas que Sormiou ! Et les Marseillais n’en peuvent plus ! »

    Stéphane Ravier, sénateur RN des Bouches-du-Rhône, explique les dessous de la guerre des bandes dans la calanque de Sormiou et déplore l’inaction et le déni des élus LR sur ce dossier.

  • Le « vivre ensemble » : un mensonge, doublé d’une absurdité

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    Un récent article de Mediapart« Artistes de la diversité, exemplarité et engagement », profite de la bagarre entre rappeurs, à l’aéroport d’Orly, pour faire la promotion de toutes les personnes issues de la « diversité » qui « ont accompli, par [leurs] gestes positifs, un Jihad, pour le bien-vivre ensemble ». Au-delà de cet énième article dénonçant « l’esprit esclavagiste et colonialiste, et notamment la culture dite de l’assimilation », arrêtons-nous sur ce terme de « vivre ensemble ».

    De nos jours, les grandes déclarations sur les « projets de société » sonnent systématiquement creux. Ces derniers ne désignent que des façons de produire (le « développement durable ») ou des façons de coexister (le « vivre ensemble »). Ils proposent des modèles de société, mais jamais la finalité de cette société. Ils confondent le moyen (le modèle de société) et la fin (ce que la société doit accomplir).

    Car le « vivre ensemble » n’est jamais que la condition minimale d’existence pour une société ; une société du vivre ensemble est une tautologie. Or, cette condition minimale d’existence est devenue – officiellement – la finalité du politique. Même si le « vivre ensemble » n’est, souvent, que le cache-sexe d’une authentique politique révolutionnaire : le Grand Remplacement.

    Or, cette version du projet de société des progressistes – le vivre ensemble — est parfaitement compatible avec les exigences des conservateurs. Pour eux, l’État ne saurait donner aucune orientation à la société. La société civile doit être libre de s’organiser, d’entreprendre et de créer, sans qu’aucune institution étatique ne mobilise les énergies dans une direction particulière. Les conservateurs ne condamnent pas le « vivre ensemble » comme idéal – Renan parlait, lui aussi, de « vivre ensemble » – mais critiquent le projet multiculturaliste qui rend le vivre ensemble impossible.

    Les conservateurs ne cessent de parler de « projet commun », sans jamais lui donner de contenu autre que des valeurs et une culture commune. Or, ni la culture ni les valeurs ne forment de projet véritable. Elles déterminent seulement le cadre moral et spirituel au sein duquel un projet – directionnel – peut émerger. Le conservatisme est intrinsèquement adirectionnel.

    Roger Scruton (conservateur britannique) écrit que « la société existe bel et bien, mais elle se compose d’individus. Et les individus doivent être libres, c’est-à-dire libres de l’insolente prétention de ceux qui souhaitent les reconfigurer. » Comme nombre de conservateurs, Scruton est en fait un libéral, adepte de la théorie du contrat : les individus préexistent à la société, et s’ils font société c’est qu’il en va de leur intérêt (« La société est composée de personnes, qui s’associent librement et forment des communautés d’intérêt… »).

    Il n’y a, là, rien d’étonnant : les conservateurs sont toujours les élèves des progressistes du passé. Pour Enzo Traverso, « dès le départ, les anti-Lumières doivent adapter leurs valeurs antimodernes aux transformations de la modernité ». Même Edmund Burke (pourfendeur de la Révolution française, mais nullement réactionnaire) « recherchait […] une conciliation entre les valeurs conservatrices et la société de marché ».

    Le « projet de société » des conservateurs – bâtir et conserver la société – se mord la queue. Un véritable projet est nécessairement extérieur à la société. Il pourrait, par exemple, viser des conquêtes scientifiques et techniques (comme la course à l’espace), militaires (même si l’époque ne le permet plus), artistique, voire anthropologique (dépasser l’homme). Tout sauf ces faux projets qui ne se projettent, précisément, nulle part.

    Car, comme l’écrit Julien Freund, « une civilisation décadente n’a plus d’autre projet que celui de se conserver ».

    Romain d’Aspremont

    http://www.bvoltaire.fr/le-vivre-ensemble-un-mensonge-double-dune-absurdite/