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immigration - Page 775

  • La fermeture de ses ports par l’Italie et sa coopération avec le gouvernement de Tripoli sauve des vies en Méditerranée

    6a00d83451619c69e2022ad3842af1200d-250wi.jpgD'Olivier Bault dans Présent :

    "Les chiffres de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) ne laissent aucun doute : la fermeture de ses ports par l’Italie et sa coopération avec le gouvernement de Tripoli sauve des vies en Méditerranée. Selon les chiffres de l’OIM, entre le 1er janvier et le 22 juillet 2018, il y a eu 17 981 arrivées d’immigrants illégaux et 1 109 noyades. Durant la même période de 2017, il y avait eu 93 419 arrivées et 2 222 noyades. Si l’Europe voulait vraiment mettre fin aux noyades en Méditerranée, elle prendrait les mêmes mesures que l’Australie. Depuis 2013, l’Australie interne systématiquement les immigrants clandestins repêchés en mer ou interceptés à leur arrivée sur les côtes australiennes dans des centres de détention gérés sur d’autres îles avec lesquelles l’Australie a signé des accords. Sous le gouvernement travailliste aux commandes de 2007 à 2010, l’immigration illégale par la mer avait totalisé environ 50 000 personnes et fait 1 200 morts par noyade. Depuis 2013, il n’y a plus eu aucune noyade puisque le flot d’embarcations transportant des immigrants clandestins s’est subitement arrêté. On nous dit que les immigrants clandestins sont maltraités en Libye, mais le jour où tous seront systématiquement refoulés, ils ne se rendront tout simplement plus en Libye, ce qui épargnera aussi des vies dans le désert.

    Le chef de la Ligue désormais aux commandes du ministère italien de l’Intérieur ne cache pas que son but ultime est d’arrêter toute immigration clandestine et non pas de répartir les arrivées dans toute l’Europe comme l’exige aujourd’hui l’Italie. Matteo Salvini se félicitait d’ailleurs dimanche d’une opération de sauvetage menée par les garde-côtes italiens à la suite de laquelle les quarante immigrants clandestins récupérés en mer avaient été ramenés à bon port en Libye. Mais pour mettre fin à ce que le ministre italien de l’Intérieur appelle « le sale business de l’immigration clandestine », il faudra sans doute encore attendre une victoire des droites populistes ou au moins de leurs idées en France et en Allemagne.

    Face à la proposition de la Commission européenne de verser 6 000 euros par immigrant illégal accueilli, Salvini a répondu que « l’Italie n’a pas besoin de l’aumône de l’UE », car chacun de ces immigrants lui coûte entre 50 000 et 60 000 euros. Le journal Il Tempo a fait le calcul pour les huit dernières années : pour l’accueil des clandestins, les Italiens ont déboursé 19,9 milliards d’euros ! C’est pourquoi Salvini a déjà annoncé une réduction des subventions versées pour l’accueil de ces « migrants », en promettant d’allouer l’argent à la hausse des salaires des policiers italiens et des minima sociaux.

    Face au chef de la Ligue qui, un chapelet et une bible à la main, avait juré pendant la campagne électorale d’être fidèle au peuple italien et de respecter les enseignements contenus dans la Constitution italienne et dans l’Evangile, certains prêtres et évêques catholiques méconnaissent l’éthique de la responsabilité à laquelle est tenu tout dirigeant chrétien et se donnent bonne conscience en appelant les Italiens à désobéir à l’« antéchrist » Salvini (père Alex Zanotelli lors d’une messe dans la crypte de la basilique Saint-Pierre du Vatican dimanche dernier) ou en se déclarant prêts à transformer toutes les églises en mosquées si cela peut sauver les « migrants » (Mgr Raffaele Nogaro, ancien évêque de Caserta)."

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  • Les Populistes, les Racistes et la Gauche

    antifas

    Les gauchistes ont une (in)capacité unique : Ils font le contraire de ce qu’ils cherchent faire. Prenons, par exemple, la pauvreté et la faim sur le continent africain. Depuis les années ’80 je me souviens de la Gauche en train de promouvoir, suivant le système américain des Témoins de Jéhovah et des Mormons, un système éprouvée avec succès, les campagnes de l’UNICEF pour les enfants de l’Ethiopie, Bob Geldof et «we are the world», et les publicités de petits africains la bouche couverte avec du porridge.

    Pourtant, trente ans plus tard, les petits Africains restent affames, et ce qu’ont réussi les gauchistes, est de faire de Geldof un homme riche et heureux de manger sa brioche, comme tous ceux qui se sont occupés de la famine africaine, y comprises les organisations qui allaient  nourrir les africains, des organisations comme celles qui les envoient maintenant en Europe  pour les nourrir, cette Europe diabolique du colonialisme d’antan.

    De même avec les programmes pour les chômeurs, dont les Gauchistes ont fait leur bandiera rossa. Ces programmes  ont ouvert des jobs pour des bureaucrates vachement bien payes, y compris les hommes politiques de Gauche, à des organisations et des concordats capitalistes telle l’Union Européenne. Ce qu’ils ont réussi est l’institutionnalisation des sans-  Tiers-Monde en Europe,  resserrent autour d’eux le cercle pour dépérir tout réflexe créatif.

    Nous pouvons donc conclure de ce qui précède et bien plus, que nous avons toutes les raisons de croire que la lutte de la Gauche « contre le racisme et la xénophobie », aura des non-résultats pareils. Déjà, les journalistes gauchistes, des juges autoproclamés de la volonté des peuples Européens, comparent les dirigeants politiques des pays européens comme Kurz, Orban, Kaczynski et Salvini, avec Mussolini et les fascistes, en raison de leur grande popularité grâce aux positions pro-européennes qu’ils proclament.

    Quelle honte pour Soros et Bruxelles que les peuples ont donné l’ordre à ces personnes  de mettre une fin aux « frontières ouvertes » !  Quelle honte de voir le Nationalisme surmonter la Mondialisation qu’ils renforcent  par tout moyen possible! Un, deux, trois, beaucoup de Mussolinis, et encore plus de fascistes, grâce à ce groupement  politique mixte des capitalistes et des bolcheviks.

    En effet, comme l’a démontré le sondage de la société de recherche Pew, la montée des « populistes » n’est pas constaté en raison de la crise économique, seulement, comme les analystes disent, exprimant le vœu pieux de leurs patrons. En Allemagne, par exemple, 77% de ceux en faveur de l’Afd (Alternative pour l’Allemagne) disent que leur opinion sur l’économie du pays est bonne. L’étude Pew, qui examine l’espace politique dans huit pays de l’Europe occidentale (l’Europe centrale et la Grèce n’y sont pas inclus), a eu lieu du 30 Octobre au 20 Décembre 2017, aux pays : Danemark, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, L’Espagne, la Suède et le Royaume-Uni, des pays représentant 70% de la population européenne et 75% de l’économie de l’Union Européenne.

    Les conclusions de la recherche ?

    • Les « populistes » sont la plus grande force politique en Europe
    • Le facteur idéologique reste puissant pour déterminer la façon dont les Européens sont confrontés à des questions de politique clés.
    • La nostalgie de l’Europe « à eux» est importante dans la sélection des partis. Six Français sur dix qui ont une opinion positive du Front National disent que la vie en France est pire qu’elle ne l’était il y a 50 ans.
    • L’Ethnocentrisme, et la conviction que leur culture Européenne est supérieure, jouent un rôle décisif dans leurs choix politiques (61% des sympathisants Afd, 56% du parti Le Pen, et 47% du Parti pour la Liberté (PVV) aux Pays-Bas).
    • L’islam ne convient pas à l’Europe (75% des sympathisants allemands Afd, 66% des partisans de PVV et 63% du FN, disent que l’islam est fondamentalement incompatible avec leur culture et leurs valeurs).

    Quel dommage que certains d’ entre nous ne s’ennuient pas de penser! Que pour nous régurgiter ce que nous servent les racistes anti-blancs et anti-européens qui se propagent avec profit aux lieux universitaires, aux gouvernements et aux « organisations non gouvernementales » contre les Blancs, les Européens, les Grecs, n’est pas notre « tasse de thé », comme diraient les Anglo-Saxons.

    Quel bon travail font ces antiracistes, en mettant en évidence le racisme comme option Physio-logique, c’est-à-dire dictée par la Nature et la Logique, par leurs décisions politiques,  la seule alternative pratique pour les peuples d’Europe. L

    Les leaders d’opinion, les bénéficiaires de Soros et les orphelins de Staline, sont attristés par le fait que les élections sont quand-même encore menés, et que les partis avec des points de vue différents sont acceptés avec enthousiasme par les peuples de l’Europe. Car en Autriche ou en Hongrie,  le gagnant est celui qui mène la nation, et se prononce sur les lois! Quel horreur ! Comment traiter ce fait ? Les esprits progressistes des fans de la guillotine et du Goulag n’y arrivent pas. Comment se rendre compte que pour les hommes libres, pas les  cerveaux rincés des enfants du tube des partis, il est tout à fait normal que les Européens ne veulent pas avoir comme voisins des gens qu’ils n’ ont pas invités dans leur pays, leur ville et leur quartier, non moins parce que qu’ importe ce qu’ils fassent, ils ont l’indemnité, car quiconque dénonce quelqu’un d’ entre eux, il  commet un « crime de haine »?

    Par conséquent, vous serez à tort, Gauchistes. Continuez de jouer ce jeu évidement profitable pour vous. Vous jouez avec le dos des capitalistes du type  Soros (vous connaissez le truque du temps de Parvus, de Lénine et du train allemand fermé). La révolution de Prague et la Timisoara, n’a rien enseigné au prolétariat des imbéciles utiles.  Les peuples d’Europe, renaissent des cendres des deux grandes guerres du 20ème siècle et parmi la cupidité des rongeurs mondiaux, en sortiront les gagnants. Jusqu’à la Victoire, et au-delà.

    IRENE DIMOPOULOU

    Directrice de l’hebdomadaire Grec, EMPROS

    https://voxnr.com/49603/les-populistes-les-racistes-et-la-gauche

  • Migrants : l’Italie largue l’Union européenne Devant l'attentisme de l'Europe, des pays prennent leur destin en main

    Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur d'Italie, juin 2018. SIPA

    Analyse par Henri Temple

    Publiée hier [26.07] dans Causeur, cette intéressante analyse apporte d'utiles informations sur le tournant de fermeté européenne en matière migratoire, que l'Italie, avec l'Autriche et les pays de Visegrad, a quasiment imposé à à ses partenaires européens. Son nouveau gouvernement, en tout cas, mène sa propre politique migratoire indépendamment de Bruxelles qui, bon gré mal gré, est contrainte de s'en accommoder. Une voie pour la France ? Sans-doute.  LFAR    

    Cela passe inaperçu en France mais l’Italie est « sortie » de l’Union européenne en matière de migrations : son nouveau gouvernement met en œuvre sa propre politique migratoire, déconnectée de Bruxelles.

    Mieux, elle est implicitement approuvée par le patron de Frontex, l’agence européenne garde-frontières et de garde-côtes, qui se félicite de « la fin de la naïveté » des Européens sur la situation migratoire : son directeur, Fabrice Leggeri a déclaré, début juillet sur CNews, que l’Europe n’avait pas une « obligation unilatérale » en matière de sauvetage en mer et que le difficile compromis sur les migrations, lors du sommet européen des 28 et 29 juin, marquait « un tournant de fermeté européenne […] par rapport à la gestion des migrants » et à « l’exploitation par des groupes criminels de la détresse humaine » qui « d’une certaine manière, prennent en otage moralement l’Europe ». Les 28 ont, eux aussi, appelé les ONG à « ne pas entraver les opérations des garde-côtes libyens ».

    L’Italie aide la Libye

    Toujours pour le patron de Frontex, si les plateformes de regroupement des migrants sont créées, hors Europe, cela signifiera que « des navires de Frontex ou des navires privés qui sont appelés au secours par les centres de coordination pourront débarquer les personnes sauvées dans le port sûr le plus proche et […] cela peut être des ports non européens ». « Il faudra voir certes concrètement qui met en œuvre ces plateformes et avec quels pays […] mais cela cassera l’automatisme […] consistant à se déclarer en détresse poupeler des navires qui ramèneront les migrants en Europe. C’est un message fort vis-à-vis des criminels ». 

    Fabrice Leggeri a notamment indiqué qu’à l’été 2017 Frontex avait « parfois » observé que « des secours en mer étaient organisés par des ONG de façon spontanée, autonome, et pas coordonnée par les autorités publiques ». Ce qui « mettait en danger parfois la sûreté, la vie humaine en mer ».

    Par ailleurs, en toute indépendance de Bruxelles, le gouvernement italien a décidé, le 4 juillet, d’offrir 12 vedettes aux garde-côtes libyens pour les aider à mieux lutter contre les tentatives des migrants de rejoindre l’Italie au départ des côtes libyennes. Adoptée sous forme de décret-loi lors d’un Conseil des ministres cette mesure vise, selon un communiqué officiel, «  à renforcer la capacité opérationnelle des autorités côtières libyennes afin de garantir la gestion correcte des dynamiques des phénomènes migratoires », à «  lutter contre le trafic d’êtres humains, sauvegarder la vie humaine en mer et contenir la pression migratoire ». Le gouvernement italien s’occupera également de l’entretien de ces 12 vedettes pendant l’année en cours ainsi que de l’entraînement et de la formation des forces libyennes. Selon le ministère italien des Transports et des Infrastructures, dont dépendent les garde-côtes italiens, le coût total de cette aide est d’environ 2,5 millions d’euros.

    Le nouveau gouvernement italien est disposé à mettre en place à la fois un contrôle hermétique sur ces frontières maritimes (avec sévère répression des passeurs), et des plateformes et couloirs humanitaires dans les pays de départ où les migrants seront regroupés, aidés, et leurs dossiers étudiés.

    A ce jour, l’Égypte, la Tunisie et le Maroc ont refusé. Pire, le 23 juillet, la Tunisie ne voulait pas même recevoir le bateau d’une ONG maltaise, chargé d’une quarantaine de migrants africains à bord, bloqués depuis une semaine au large de ses côtes. Toutefois la Libye ou l’Éthiopie commencent à coopérer avec l’Italie. L’Italie appuie les expériences de couloirs humanitaires, fruit d’une collaboration œcuménique entre catholiques et protestants, notamment dans les zones frontalières de la Syrie, de l’Érythrée, du Soudan.

    Bruxelles laisse couler

    Quant à Bruxelles, elle s’est contentée, en enfreignant sa feuille de route fixée le 28 juin qui lui intimait de trouver des bases de regroupement hors d’Europe, de proposer la création de manière permanente de centres contrôlés en Europe proposés également par le Conseil européen. Mais la France, comme d’ailleurs tous les autres pays, refuse d’accueillir de tels centres, et propose plutôt des centres fermés sur le sol italien, pour éviter les mouvements secondaires de migrants entre différents pays de l’Union.

    Quant aux plates-formes imaginées hors-UE, elles devraient être gérées par le Haut-Commissariat aux réfugiés de l’ONU (HCR) et l’Organisme des Nations unies chargé des migrations (OIM).

    La situation sera critique si les Européens ne parviennent pas à s’accorder rapidement, après l’ultimatum de Rome pour redéfinir le mandat de Sophia, l’opération navale européenne de sauvetage en Méditerranée, sous commandement italien, prolongée jusqu’en décembre. Plusieurs milliers de migrants ont été rapatriés de Libye vers leur pays durant les six premiers mois de 2018, dans le cadre d’un programme de «retour volontaire» mené par l’OIM. A quel prix humain et financier ? Le gouvernement australien, lui,  a organisé une grande politique d’information en direction des pays où on abuse de fantasmes les populations pauvres. Que fait l’Union européenne ?  

    Henri Temple

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Romain Espino (GI) : « Le harcèlement des pro-migrants a payé : je suis désormais sans travail ! »

  • Les euros de la Coupe du monde pour construire une mosquée

    Minaret_de_Sidi_Boumedienne-845x475.jpg

    Nul n’ignore plus que l’équipe de France a remporté la Coupe du monde de football, le 15 juillet dernier… une équipe jeune et facétieuse ! Ces vingt-trois-là, nous explique-t-on, portent haut la fierté du maillot et l’amour de la France. Ce serait l’anti-modèle de l’équipe précédente, celle des grèves, des menaces et des insultes. Désormais, l’équipe de France multiculturelle aurait laissé place à l’équipe multicolore et patriote. À l’heure de l’offensive contre les nations, de l’abolition des frontières et de la tentation mondialiste, nous ne boudons pas notre plaisir. La ferveur et l’ampleur de l’événement sont la vraie réponse aux européistes déconstructeurs de Bruxelles et la confirmation, s’il en était besoin, qu’à ceux qui n’ont plus rien, la patrie reste le seul bien. La liesse s’est emparée des rues. Des plus grandes villes de France aux confins des plus petits villages, tout le monde est fier d’appartenir à un pays qui a gagné. Mai 68 ayant érigé la posture adolescente en modèle de comportement, nous ne nous formaliserons pas outre mesure des hurlements des uns et des trépignements des autres, même s’ils ne manifestent pas la plus fine des élégances. Nous nous joignons de bon gré à cette joie, disciples de l’apôtre du chemin de Damas qui préconisait, en son temps, aux Romains : « Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent ; pleurez avec ceux qui pleurent. »

    Et si, l’euphorie étant retombée, nous découvrons l’usage que les joueurs envisagent de faire de leur prime de victoire, il en est un qui retient l’attention des plus enracinés. Ousmane Dembélé, champion du monde numéro 11, a décidé d’offrir ses 350.000 euros de joueur victorieux afin de participer à la construction d’une mosquée dans le village natal de sa mère en Mauritanie. Dans un pays musulman, cela ne semble pas complètement incohérent. Nous ne pourrions le lui reprocher. On ne renie pas ses racines. Nous craignons, cependant, qu’Ousmane ignore que la charia est rigoureusement appliquée en Mauritanie et que blasphème et sacrilège y sont punis de mort. Le 27 avril dernier, une nouvelle loi vient même de supprimer la possibilité de repentir pour certaines infractions liées à l’apostasie. Selon les dispositions du nouveau texte, « chaque musulman, homme ou femme, qui se moque ou outrage Allah ou Son Messager (Mohammed), Paix et Salut sur Lui, ses anges, ses livres ou l’un de ses Prophètes est passible de la peine de mort, sans être appelé à se repentir. Il encourt la peine capitale même en cas de repentir. »

    Quant à nous, nous aurions préféré qu’il consacre ses fonds à une œuvre d’éducation de son pays d’adoption la France, peut-être même à une église de sa commune natale de Vernon.

    On peut toujours rêver. Sait-on jamais, si la Mauritanie remporte un jour la Coupe du monde …

    Loup Mautin

    http://www.bvoltaire.fr/les-euros-de-la-coupe-du-monde-pour-construire-une-mosquee/

  • Tentative de mariage forcé avec un Algérien pour une élue LREM

    6a00d83451619c69e2022ad3a3d919200b-200wi.jpgMounia Haddad, 29 ans, conseillère départementale de La République en Marche en Indre-et-Loire, a été séquestrée par sa famille qui refusait son mariage et souhaitait lui imposer un époux en Algérie.

    Mounia Haddad, 29 ans, conseillère départementale (LaREM) de Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire), cadre administratif au CHU de Tours, a été retrouvée, jeudi dernier, dans une chambre du domicile parental. Jeudi 2 août, son père, deux oncles ainsi que son frère comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Tours. Ils sont poursuivis des chefs d'«enlèvement et séquestration de moins de sept jours» pour les trois premiers, et de «menace de mort écrite» pour le dernier.

    Quand, au printemps, son compagnon a demandé la main de Mounia, les parents n'ont pas accepté. La jeune femme est emmenée de force en Algérie, où on lui présente un parti jugé plus convenable. Elle fait mine d'accepter et revient début mai, «régler les préparatifs» en France. Le 18 juillet, la jeune femme affirme avoir été enlevée par son père et ses deux oncles, alors qu'elle se trouvait avec celui qu'elle aime dans les Alpes Maritimes. Son fiancé signale sa disparition à la police, qui géolocalise son portable au domicile parental de Saint-Pierre-des-Corps. 

    Michel Janva

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  • Lettre ouverte aux racailles et de l'urgence de les éradiquer !

  • Entretien d’été 2018 « La coupe du monde remportée par la France ou par l’Afrique ? »

  • Les habitants de Kaufbeuren en Bavière mettent en échec un projet de mosquée turque appuyé par la municipalité

    Kaufbeuren-mosquee-turque-Baviere-e1532525750657.jpg 
    La Bavière est aux avant-postes de la résistance à l’islamisation. Après l’obligation décrétée par le gouvernement de l’Etat libre d’apposer des crucifix dans tous les bâtiments publics, « signe des racines culturelles du Land », voici que les citoyens de Kaufbeuren viennent de rejeter par un référendum d’initiative populaire le projet de construction d’une mosquée sur un terrain municipal. Le bâtiment proposé aurait été financé par l’association musulmane turco-allemande Ditib, puissante organisation gouvernementale et islamique turque en Allemagne avec l’aide de la municipalité de droite. C’est elle qui prétend couvrir le pays de mosquées, souvent immenses comme celle d’Essen en Rhénanie-du-Nord-Wesphalie. Kaufbeuren comprend une minorité turque de quelques centaines de personnes.

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  • Crise des migrants : l’éternel retour des années 30

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    Par l’Observatoire du journalisme 

    Connaissez-vous le point Godwin et l’argument « reductio ad hitlerum » ? L’OJIM a présenté cette théorie et ce concept que l’on peut résumer de la façon suivante : très rapidement dans une conversation, votre interlocuteur coupe court au débat, en ramenant les arguments adverses à ceux du nazisme. La discussion est interrompue par une pirouette grossière, sans avoir à poursuivre la moindre véritable argumentation. Il n’y a alors plus de choix possible : il faut éviter la comparaison avec les « heures les plus sombres de l’histoire » et rejeter le mal absolu qui se présenterait à nous.

    Par médias interposés, la deuxième guerre mondiale est souvent convoquée pour nous convaincre que la maîtrise de l’immigration est assimilable aux atrocités commises durant cette période. L’argument massue aboutit à faire comprendre qu’il n’y a pas de débat : il s’agit de choisir le bien et de se détourner du mal. Illustration par les termes utilisés dans les médias.

    Les rafles

    Quand des clandestins sub sahariens sont expulsés d’Algérie, il s’agit pour RFI d’une « nouvelle rafle de migrants ». Au camp de migrants du nord de Paris, Houssam affirme à Libération en 2016 que « depuis le 31 juillet, c’est la 26e rafle, on dénombre 4 000 interpellations et 439 obligation de quitter le territoire français ». En janvier 2018, le gouvernement belge tente d’éviter qu’un parc dans le centre de Bruxelles se transforme en Calais bis. L’Obs nous informe à ce sujet que «  des “rafles” anti-migrants ont lieu ». Faire respecter le principe de nationalité et renvoyer ceux qui sont illégalement sur le territoire constituerait donc une « rafle » de sinistre mémoire. CQFD.

    Les camps de concentration

    Des centres ont été mis en place en Europe afin de permettre l’instruction des demandes d’asile et de ne pas laisser s’installer des clandestins aux motivations économiques qu’il sera très difficile, voire impossible, de renvoyer dans leur pays. En Libye, de nombreux migrants attendent de rallier clandestinement l’Europe par la méditerranée. Ces freins à la libre circulation déplaisent fortement à des personnes parfois éminentes et des médias qui utilisent le vocable de « camp de concentration ».

    Concernant la situation en Europe, Mediapart faisait état dès août 2013 d’un « révolte dans un camp de concentration pour migrants en Grèce ». En avril 2017, Ouest-France nous informe que « le souverain pontife est revenu sur sa visite l’année dernière d’un camp de migrants installé sur l’île grecque de Lesbos ». « Le pape François fustige les “camps de concentration” pour migrants ».

    Le 5 juillet, Marianne évoque la « prise de tête chez les bureaucrates allemands pour ne pas dire le mot “camp” ». « Alors que l’Allemagne se prépare à introduire des centres de rétention de réfugiés, le pays est renvoyé à son passé. (…) comment parler de ces centres à la frontière sans évoquer le mot “camp”, qui rappelle trop les camps de concentration nazis de la Seconde guerre mondiale ? ».

    Le Monde mentionne le 11 juillet les propositions du ministre de l’intérieur autrichien M. Kickl de regrouper les demandeurs d’asile de “manière concentrée”. « Cette expression plus que malheureuse, rappelant les camps de concentration nazis, lui avait valu un rappel à l’ordre du président de la République, Alexander Van der Bellen ».

    Concernant la situation en Libye, France Info est catégorique et titre un article : « la Libye est devenue une sorte de camp de concentration à ciel ouvert ». La question posée par le journaliste de la radio publique à un « chercheur spécialiste des flux migratoires » semble déjà contenir la réponse : « Pourquoi les pays européens sont-ils responsables de la situation des migrants en Libye ? ». En écho, le site Infomigrants nous informe que « les conditions de vie des migrants (sont) comparables à celles des “camps de concentration” ».

    L’exode des migrants comparable à celui des juifs dans les années 30

    Le site Arrêts sur images s’interroge : « Des milliers de réfugiés sur les routes franchissant les montages pour passer les frontières, refoulés par des nations recroquevillées qui craignent la submersion. Il y a exactement 80 ans, jour pour jour, en juillet 1938 s’ouvrait la conférence d’Evian, qui devait s’achever sur un constat implacable : personne dans le monde ne voulait accueillir les Juifs persécutés par Hitler, ni les opposants politiques anti-nazis. Quelles ressemblances, quelles différences, entre deux époques (1938 et aujourd’hui), entre les deux traitements médiatiques des réfugiés d’hier et des migrants d’aujourd’hui ».

    L’Obs donne le 29 juin la parole à un des spécialistes préférés des médias quand il s’agit d’avoir un avis « autorisé » sur les migrants, François Héran. Le sociologue affirme : « Les derniers arrivés servent toujours de boucs émissaires ». Evoquant l’Aquarius, « je songe aussi au “Saint-Louis”, parti de Hambourg en mai 1939 avec 963 juifs allemands et qui tente vainement d’accoster à Cuba, aux Etats-Unis et au Canada ».

    La déportation

    La Provence reproduit le 9 juillet une déclaration du Président de la République : « Jamais la France n’acceptera les solutions de facilité que d’aucuns aujourd’hui proposent qui consisteraient à organiser des déportations, à travers l’Europe, pour aller mettre dans je ne sais quel camp, à ses frontières ou en son sein ou ailleurs, les étrangers” non admis en France ». Le site Infomigrants donne la parole à une ONG pro-migrants au sujet des morts sur la route de l’Europe. La « déportation » est également mentionnée : « tous ces décès sont le résultat de la militarisation des frontières de l’Union européenne (UE), des lois sur l’asile, et des politiques de détention et de déportation ».

    Les crimes de masse

    La Provence interviewe un universitaire au sujet de l’Aquarius. Celui-ci affirme de façon sentencieuse : « Le processus de déshumanisation permet au pire d’arriver ». « Ce type de tragédie alerte car, dans l’Histoire, il est souvent annonciateur de malheur pour tous. On voit bien le chemin qui peut être pris par nos sociétés. L’engrenage qui se nourrit d’extrémisme identitaire conduit à la déshumanisation et – le passé est là pour nous le rappeler – aux pires crimes de masse ».

    Le refus de l’Italie d’accueillir l’Aquarius pourrait donc selon l’universitaire aboutir aux « pires crimes de masse ». Pas un mot par contre sur le « pont migratoire » en méditerranée où les passeurs et les ONG ont chacun un rôle bien défini, avec des embarcations de plus en plus précaires transportant des clandestins et avec les morts qui s’ensuivent.

    Chantage éthique

    À lire les termes employés, on pourrait penser que l’Europe s’est barricadée dans une forteresse. Oubliés les 750 000 migrants accostés sur les côtes italiennes depuis 2010 cités par Le Figaro. Oubliés les 1,6 millions clandestins arrivés depuis 2015 par la mer en Europe cités par Boursorama sur la base de chiffres de l’UNHCR.

    Rafles, camps de concentration, exode, crimes de masse : tous ces mots sont empruntés à la deuxième guerre mondiale, sans qu’il soit nécessaire de l’évoquer. Leur usage converge dans une forme de chantage éthique visant à disqualifier toute opposition aux flux incontrôlés d’immigration. Ces mots clefs sont lancés comme des arguments d’autorité pour venir à bout des réticences. Pour ne citer qu’un exemple, l’Aquarius a croisé à proximité immédiate des côtes de pays africains sans que les médias évoquent la possibilité d’y accoster. Le silence des accusateurs patentés a été éloquent. L’Aquarius comparé au navire le Saint Louis ne pouvait avoir qu’une seule destination : l’Europe. A défaut, la décision de refuser qu’il accoste dans un pays européen aurait relevé du totalitarisme.

    Rares sont les commentateurs qui remettent en cause le bien-fondé de la « grande migration ». Parmi les quelques voix qui détonnent, on peut citer celle de l’historien Pierre Vermeren dans une récente tribune dans le Figaro : «  Il est exceptionnel que les victimes de la faim ou des catastrophes climatiques prennent la route, car la migration est un processus économique coûteux qui doit être financé (par les gouvernements, les familles ou les mafias). La migration concerne des individus plutôt aisés des sociétés en développement ». « Cette politique, qui est à l’œuvre en dépit des réticences de plus en plus marquées des peuples d’Europe, n’améliore vraiment ni le sort de l’Afrique ni celui de l’Europe ». « La mobilité des hommes rebaptisés « migrants » est un des rouages de la grande machine économique mondiale. C’est une explication de la promotion d’un modèle, meurtrier, qui favorise si peu le développement du continent africain ».

    Mais élargir le champ de réflexion aboutit à remettre en cause une lecture unique de la crise migratoire, avec d’un côté les « résistants » favorables à l’ouverture des frontières, et de l’autre les collabos qui prônent le repli sur soi. Un procédé binaire mais efficace. Julien Dray ne justifiait-il pas sur BFM TV l’usage du terme « rafle » pour qualifier les expulsions de clandestins de centres d’hébergement par le fait qu’« en France, on est obligé de faire le “buzz”, d’employer des mots provocateurs pour être entendu ». Efficace pour faire le buzz, peut-être, adéquat, peut-être pas…

    OJIM 25/07/2018

    Source : OJIM.fr

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

    https://www.polemia.com/crise-des-migrants-leternel-retour-des-annees-30/