
Invasion parce qu’on ne leur a pas demandé de venir et qu’ils forcent nos frontières. Colonisation parce qu’ils imposent leurs moeurs et leur religion. Dixit Eric Zemmour :
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Invasion parce qu’on ne leur a pas demandé de venir et qu’ils forcent nos frontières. Colonisation parce qu’ils imposent leurs moeurs et leur religion. Dixit Eric Zemmour :
La raison pour laquelle l’immunité parlementaire des deux eurodéputés Steeve Briois et Sophie Montel a été levée, sur demande du ministre de la Justice Nicole Belloubet et sur dénonciation de l’association d’extrême gauche Les Maisons des potes (proche de SOS Racisme) est affolante : il n’est pas permis de défendre la priorité des Français chez eux, sans être poursuivi par la justice.
Le Parlement européen a voté la levée d’immunité des eurodéputés Steeve Briois et Sophie Montel, poursuivis pour « provocation à la discrimination » pour avoir signé en 2013 une brochure interne au FN défendant la préférence nationale dans l’accès aux logements sociaux. Steeve Briois avait préfacé ce document à destination des élus municipaux (édité avant les municipales de 2014) en sa qualité de secrétaire général du Front national. Il était également signé par Sophie Montel, alors chargée de la coordination des élus au sein du secrétariat général et qui a quitté depuis le Rassemblement national. La justice française veut convoquer le maire d’Hénin-Beaumont et éventuellement le placer en garde à vue et le condamner parce qu’il a préconisé d’attribuer les logements sociaux en priorité aux Français.
Lors d’un vote à main levée, les députés européens ont approuvé à une large majorité cette sanction. Comme l’a souligné Steeve Briois, « les députés LR ont voté la levée de mon immunité parlementaire : donc pour eux, défendre la priorité nationale, donc les Français, n’est pas acceptable et mérite d’être poursuivi devant les tribunaux. Ouvrez les yeux ! »
Sur dénonciation des Maisons des potes
C’est l’association antiraciste d’extrême gauche Les Maisons des potes, proche de SOS Racisme, qui a dénoncé le « Petit guide pratique de l’élu municipal Front national », estimant qu’il « incitait » les élus FN à « mettre en place la discrimination dans l’accès au logement social en réservant la priorité aux Français ».
Le Front national, désormais Rassemblement national, a toujours défendu la préférence nationale, c’est même l’une des clés de voûte de son programme. C’est donc le parti tout entier qu’il faut désormais interdire.
Steeve Briois dénonce une « persécution d’Etat » : « Cette nouvelle persécution judiciaire est surréaliste tant sur le fond que sur la forme. Demain, il ne sera plus possible à un homme ou mouvement politique de défendre la priorité des Français chez eux, sans être poursuivi par la justice. Une dictature de la pensée s’installe progressivement sans dire son nom et sous couvert d’humanisme : les Français doivent se faire entendre, au-delà de la liberté de leurs représentants politiques, c’est bien la leur qui est visée, et menacée. »
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 25 octobre 2018
Est-ce que le gouvernement découvre vraiment avec cette vidéo de professeur braquée par un grand Black et ce hashtag « Pas de vague » que les professeurs sont confrontés chaque jour à l’intolérable ? Aux menaces, insultes et agressions et qui plus est contraints au silence ?
Sur le modèle de « Meetoo », des professeurs de toute la France ont balancé sur les réseaux sociaux des témoignages anonymes glaçants évoquant des insultes, des étranglements mais aussi des menaces de la part de parents d’élèves. Ces nombreux enseignants se plaignent du manque de soutien de leur hiérarchie lors des conflits et des violences avec « certains élèves » révélant le malaise profond au sein de l’institution scolaire et les tensions entre les enseignants et les chefs d’établissements (surnommés CDE).
Voici quelques-uns de ces témoignages :
« On m’a craché dessus et on m’a menacé de me “castagner à la sortie”. Punition : aucune. Je porte plainte. CDE : “bon j’ai posé 3 jours d’exclusion, mais vous êtes dans le répressif, pas dans l’éducatif…” #pasdevague »
« Un élève de 4e “légèrement” misogyne à une surveillante : “Toi, tu suces ma bite”. Aucune exclusion prononcée, pas de conseil de discipline malgré la demande de l’équipe enseignante. #pasdevague »
« J’aurais aimé être soutenue lorsqu’une élève, il y a quelques années, m’a tapé dessus dans un couloir de mon établissement. Mais le conseil de discipline ne l’a pas même exclue. Et on m’a expliqué qu’il fallait prendre les choses moins à cœur. Voilà la réalité du terrain. #pasdevague »
« Scandalisé », le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer promet ce lundi de « rétablir l’ordre dans les établissements » en instaurant des « mesures en profondeur ». C’est la 243e fois que l’on entend ce genre de promesse. Mais pour que la vérité sorte et que le mouvement suive le même principe que l’énorme campagne contre le harcèlement des femmes, il faut maintenant que les professeurs (et les élèves) aillent jusqu’au bout et balancent les racailles, le profil et l’identité de ceux qui harcèlent et terrorisent les profs. En commençant par le grand Black qui a braqué l’enseignante de Créteil, le Weinstein des profs en colère en quelque sorte. Et en appliquant une première sanction qui doit devenir automatique : couper les allocations familiales et faire rembourser les primes de rentrée scolaire aux familles de ce voyou et de celui qui a filmé la scène.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 23 octobre 2018
https://fr.novopress.info/212403/profs-a-quand-le-balance-ta-racaille/
Ce ne sont pas seulement les islamistes déclarés qui menacent la France, mais tous ceux qui minimisent leur influence dans la société.
Quand on entend le président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis n’admettre que du bout des lèvres l’existence de « dérives religieuses extrémistes », pour ajouter qu’il y en a des « islamiques » mais d’autres qui ne le sont pas, on comprend tout de suite qu’on a affaire à un relativiste, qui met toutes les religions sur le même plan. Mais ce relativisme, en laissant entendre que le christianisme ou le judaïsme ont aussi leurs intégristes, banalise les manifestations d’un communautarisme spécifique à l’islam.
On peut comprendre qu’un élu de Seine-Saint-Denis déplore qu’on ne parle que des dérives communautaires, du trafic de drogue, de la violence gratuite ou intéressée, en occultant les réussites des quartiers. Il reste que, si l’on n’a pas conscience que l’islam mêle le temporel et le spirituel, le politique et le religieux – ce qui, précisément, le rend perméable à toutes les dérives sectaires –, on devient malgré soi un complice de l’islamisation progressive de la France.
Les témoignages recueillis dans l’ouvrage dirigé par deux journalistes du Monde, « Inch’Allah, l’islamisation à visage découvert », sont sans appel. Pour ne pas faire de vagues, on a laissé se développer dans les cités un processus identitaire qui non seulement va à l’encontre de toute intégration – ne parlons pas d’assimilation ! – mais favorise le développement de ghettos revendiqués : les Blancs s’en vont, les Arabes non musulmans ou bien intégrés font de même. Les islamistes peuvent en toute impunité imposer leur loi et leur culture, faire régner une terreur physique et psychologique. Gérard Collomb, peu avant son départ, avait lancé les « quartiers de reconquête républicaine » : c’est plutôt la République qui se fait conquérir.
Ce président du conseil départemental qui, sur France 24, s’offusque de voir des quartiers de son département stigmatisés est un socialiste, qui cultive des préjugés de gauche. Un mélange d’angélisme, d’idéalisme et d’idéologie, une culture de l’excuse qui trouve toujours des explications sociales ou victimaires aux comportements les plus répréhensibles. Se rendent-elles compte, ces bonnes âmes, que leur relativisme revigore l’extrémisme islamique en en minimisant la portée ? Ce ne sont pas seulement les imams fanatiques qui propagent le communautarisme et la haine : ce sont aussi les politiciens qui, par clientélisme, cèdent aux revendications communautaires.
Notre nouveau ministre de l’Intérieur ne s’est pas débarrassé de ce travers socialiste. Quand il fait un parallèle entre les femmes musulmanes qui portent le voile et le voile que portaient, autrefois, les femmes catholiques pour assister à la messe, se moque-t-il du monde ou se montre-t-il plus stupide qu’il ne l’est ? Il est vrai qu’Alain Juppé, lui aussi, qui n’en rate pas une quand il s’agit d’être dans le vent, avait raconté que sa mère se rendait à la messe avec un foulard et qu’il n’était guère choqué de le voir porté, de nos jours, par les femmes musulmanes.
Autre signe précurseur de l’islamisation : Gérard Collomb aurait manifesté sa crainte de l’élection de maires salafistes aux prochaines élections municipales. Il faut dire qu’il leur a bien préparé le terrain, avec ses amis socialistes et macroniens. Au nom de quoi refuserait-on à des musulmans de se présenter sur des listes communautaristes ? Quand on met le doigt dans l’engrenage, tout le bras risque d’y passer. Il serait temps, pour les pouvoirs publics, de cesser de subir !
Vincent Vauclin, Président de la DF, à la 12e Journée de Synthèse nationale :
Mardi 23 octobre 2018, l’ancien numéro un du groupe jihadiste Sharia4Belgium, le Belgo-Marocain Fouad Belkacem, a été déchu de sa nationalité belge par la justice. Il était un proche du mouvement islamiste Forsane Alizza, dont plusieurs membres avaient projeté d’assassiner Fabrice Robert, le président du Bloc Identitaire en 2012. Le groupe Sharia4Belgium, qui avait annoncé sa dissolution en octobre 2012, est considéré comme le précurseur en Belgique du recrutement de combattants jihadistes pour la Syrie.
Son leader Fouad Belkacem, un Anversois d’origine marocaine, a été condamné début 2015 à 12 ans de prison pour avoir dirigé une « organisation terroriste », une peine confirmée en appel un an plus tard. Mardi, la cour d’appel d’Anvers a décidé de le déchoir de sa nationalité belge, conformément au vœu du ministère public. Celui-ci a estimé que Fouad Belkacem (36 ans) avait « gravement manqué à ses obligations de citoyen belge et constituait une menace permanente pour la sécurité publique ».
Les identitaires saluent cette décision et encouragent sa mise en œuvre dans tous les pays européens et en particulier en France. En effet, de nombreux djihadistes francophones disposent de la double nationalité. Cette mesure avait été proposée en premier lieu par les identitaires et avait même été portée par le président Hollande et le Premier ministre Manuel Valls avant d’être abandonnée sous pression de l’aile gauche du Parti socialiste. Les identitaires avaient été une nouvelle fois en première ligne pour la défense de notre peuple, les Français s’étant prononcés massivement en faveur d’une telle disposition : plus de 92 % d’entre eux avaient déclaré y être favorables dans un sondage BVA en 2015 !
Avec le retour incessant de djihadistes depuis des zones de guerres où ils ont pu apprendre le maniement des armes et la confection d’engins explosifs, cette mesure devient de plus en plus urgente et indispensable. Les nôtres doivent être protégés et les islamistes expulsés !
Un communiqué des Identitaires
Jacques Chassaing Riposte laïque cliquez ici
Décidément Roland Hélie, fondateur de Synthèse Nationale, aura fait fort en invitant une nouvelle fois le gratin de la résistance française à la 12e Journée, à Rungis. L’écrivain Emmanuel Albach n’y est pas allé par quatre chemins pour expliquer que les portes de la France sont grandes ouvertes dans le sens de la sortie pour toute une légion d’envahisseurs venue autant qu’appelée piller les caisses de la solidarité nationale et s’approprier le pays. Après la mémorable allocution de Richard Roudier qui fait trembler les plus lucides des cadres et de la maîtrise cliquez ici, voici qu’Emmanuel Albach nous indique de sérieuses pistes pour éviter le pire.
On peut commencer par changer les règles : « publier des décrets. Chirac a signé un décret pour le regroupement familial, il suffit d’en signer un autre pour l’interdire ». Si demain nous interdisons des autorisations de séjour, des passeports, des cartes d’identité, il n’y a pas de raison qu’on ne puisse pas le faire. Et qu’on ne vienne pas nous dire que c’est inapplicable : « nous avons une police performante quand elle a des ordres, des lois, donc une volonté politique ». « Et si des petits gaillards armés de kalachnikovs décidaient de se battre, pour faire la guerre il leur faudrait des munitions donc une logistique et pour que ces petits voyous de banlieue puissent envisager de s’opposer à des troupes françaises et à la police, il leur faudrait une logistique considérable. On a les moyens de gagner, il suffit de volonté ».
« On pourrait aussi révoquer des juges ». Quant à la partition de la France prétendue inévitable, c’est non : « on n’a aucune raison de leur laisser un centimètre carré de notre terre. Nous avons une légitimité historique. Des mouvements de population, des mouvements de remigration , il y en a toujours eu ». Rien de nouveau sous le soleil. Et Emmanuel Albach de multiplier les exemples de l’Histoire passée et actuelle.
Emmanuel Albach : L’exemple politique de l’Arabie saoudite sur la remigration
Discours d’Emmanuel Albach, écrivain, auteur de Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes cliquez ici, à la 12e Journée de Synthèse Nationale :
EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Depuis deux ans, le nombre de victimes de coups de couteau avec des blessures mortelles a augmenté de 34%, selon les chiffres du National Health Service. Les médecins signalent en outre une augmentation de la gravité des agressions, les victimes arrivant de plus en plus souvent à l’hôpital avec de multiples plaies perforantes.
Le Dr Ross Davenport, chirurgien à l’hôpital Royal London de Whitechapel, a déclaré au Guardian, « Auparavant, on voyait une ou deux plaies par victime. Aujourd’hui, nous voyons fréquemment de multiples blessures, cinq ou parfois dix coups de couteau sur un seul patient ».
Sur la période allant de 2017 à 2018, 9 des 11 principaux hôpitaux britanniques ont indiqué avoir traité 2 278 blessures graves au couteau, soit une augmentation de plus d’un tiers par rapport à la période 2015-2016.