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immigration - Page 801

  • Retour à Maurras : « Ce pays-ci n'est pas un terrain vague ... »

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    1323867147.jpgL’hospitalité

    Il s'agit de savoir si nous sommes chez nous en France ou si nous n'y sommes plus ; si notre sol nous appartient ou si nous allons perdre avec lui notre fer, notre houille et notre pain ; si, avec les champs et la mer, les canaux et les fleuves, nous allons aliéner les habitations de nos pères, depuis le monument où se glorifie la Cité jusqu'aux humbles maisons de nos particuliers.

    Devant un cas de cette taille, il est ridicule de demander si la France renoncera aux traditions hospitalières d'un grand peuple civilisé. Avant d'hospitaliser, il faut être. Avant de rendre hommage aux supériorités littéraires ou scientifiques étrangères, il faut avoir gardé la qualité de nation française. Or il est parfaitement clair que nous n'existerons bientôt plus si nous continuons d'aller de ce train. (…)

    Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie.

    (…) La jeune France d'aujourd'hui est en réaction complète et profonde contre ce double mal. Elle rentre chez elle. Ses pénates intellectuels, ses pénates matériels seront reconquis. Il faut que l'ouvrier français, le savant, l'écrivain français soient privilégiés en France. Il faut que les importations intellectuelles et morales soient mises à leur rang et à leur mérite, non au-dessus de leur mérite et de leur rang. L'étiquette étrangère recommande un produit à la confiance publique : c'est à la défiance du pays que doit correspondre au contraire la vue de tout pavillon non français. Qu'une bonne marque étrangère triomphe par la suite de cette défiance, nous y consentons volontiers, n'ayant aucun intérêt à nous diminuer par l'ignorance ou le refus des avantages de dehors, mais l'intérêt primordial est de développer nos produits en soutenant nos producteurs. Le temps de la badauderie à la gauloise est fini. Nous redevenons des Français conscients d'une histoire incomparable, d'un territoire sans rival, d'un génie littéraire et scientifique dont les merveilles se confondent avec celles du genre humain.     

    Charles Maurras 

    L’Action française, 6 juillet 1912

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • Ensauvagement de la société : Chantal Delsol demande où sont les pères

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    La mort d’un adolescent roué de coups par d’autres mineurs et l’affaire du lycéen braquant un pistolet à bille sur son professeur conduisent à s’interroger sur l’effacement des pères, analyse la philosophe Chantal Delsol dans une tribune publiée par Le Figaro.

    La stupeur domine à voir un garçon de 13 ans tué à coups de barres de fer par des adolescents de son âge aux Lilas (Seine-Saint-Denis). On a le sentiment – le souvenir ? – que «cela n’arrivait pas avant». Les rixes et les règlements de comptes existent dans toutes les zones urbaines, et certaines en sont coutumières. Mais un jeune ado, presque un enfant! Puis, on nous informait que, à Créteil, un lycéen a braqué un pistolet à bille sur son professeur afin d’être marqué présent pendant qu’un de ses camarades filmait la scène et la diffusait sur les réseaux sociaux…

    L’enfant n’est pas le bon sauvage de Rousseau. Il attend son humanisation. Si on ne l’humanise pas d’une manière ou de l’autre il se hâte de demeurer au chaud dans la barbarie primitive. (…)

    https://www.medias-presse.info/ensauvagement-de-la-societe-chantal-delsol-demande-ou-sont-les-peres/99845/

  • Quel avenir pour le militantisme blanc ? par Thierry DUROLLE

     

    Dans la nuit du 2 au 3 octobre 2018, le local du Bastion social clermontois fut à nouveau la cible des nervis du Système. Les militants antifascistes de la CARA (Cellule antifasciste révolutionnaire d’Auvergne) ont vandalisé une seconde fois l’Oppidum, ce local qui secoue malgré lui la vie de la cité arverne, suivi d’une tentative d’incendie dans la nuit du 3 au 4 octobre.

    Une grande campagne fut menée contre l’arrivée des militants en juillet dernier avec l’appui d’Olivier Bianchi, le ventripotent maire de Clermont-Ferrand, qui a visiblement pardonné le casse de sa voiture par les militants de la CARA. Le torchon local, La Montagne, a fait ses choux gras de toutes ses histoires en relatant le moindre fait divers en rapport, de près ou de loin, au Bastion social.

    Avant ce nouveau saccage, des militants furent mis en cause dans une rixe suite à une énième provocation. Ces derniers, au nombre de trois, ont été mis en prison en préventive suite à un séjour en Alsace pour deux d’entre-eux. Le troisième qui, d’après nos informations, n’a pas porté de coups fut lui aussi embastillé. Soulignons pour une fois l’efficacité, dans un effort commun, de la police et de la justice française… Des peines de sursis et de prison ferme ont été prononcées à l’encontre des deux militants et du troisième comparse. Finalement, la section clermontoise du Bastion s’est dissoute le 16 octobre dernier.

    À l’instar de l’« affaire Méric », la réaction du Système est sans aucune pitié envers ses ennemis. Les militants du Bastion social le savaient. Quoiqu’il en soit, nous nous devons de saluer une initiative courageuse qui, comme a pu faire le MAS, a pour but d’agir dans le réel et pour le pays réel. Cela est aussi le cas pour les actions de la Dissidence Française et de Génération Identitaire.

    L’encrage du Bastion social et des mouvements militants en général se situe en ville, grande ou moyenne. Points névralgiques de la société liquide actuelle, ces endroits sont devenus des tumeurs cancéreuses. Il fut un temps où les villes drainaient les campagnes de leurs habitants pour les transformer en ouvriers. Maintenant les villes regroupent d’un côté les adhérents à la mondialisation, les bobos, les hipsters, les cadres dynamiques et l’homo festivus en général; de l’autre, elles concentrent les travailleurs précaires, les chômeurs, les SDF, les clandestins et les pauvres de toutes sortes. Elles offrent sur un plateau d’argent le fameux « jouir sans entraves » de mai 68 aux moutons producteurs-consommateurs. Ces Megalopolis peuvent se résumer de nos jours au triptyque UberTinderBurger.

    Bastion GUD

    Lorsque nous observons les photographies postées par des militants de droite radicale, nous constatons que ceux-ci sont de parfaits urbains. Sauf exception, ils n’ont rien à envier à leurs congénères hipsters. Le portrait type du jeune militant est celui d’un Homo festivus dans l’âme, consommateur de vêtements de marque aux prix exorbitants, parfois aussi de junkfood, et surtout d’alcool – quand ce n’est pas tout simplement de la drogue. L’alcoolisation des masses est un fléau, particulièrement dans notre mouvance. Promouvoir un mode de vie sain dans un monde en déréliction totale, voilà un projet subversif et révolutionnaire : boire modérément (et de l’alcool de qualité, pas de la bière pour lycéens) ou pas du tout, manger bio et de façon équilibrée, avoir une ou plusieurs activités physiques, arrêter la cigarette, etc., nous semblent être le b.a – ba. Face aux laxistes soyons ortho-rexistes !

    Se croyant révolutionnaire, le militant de la droite radicale fait figure d’adolescent bourgeois face à certains militants d’extrême gauche réellement révolutionnaires dans l’âme et en actes. Il est temps pour les militants soucieux de préserver le meilleur des Albo-Européens de déserter les villes et d’adopter un mode de vie différent.

    Il fut un temps où l’idée de « retour à la terre » était en vogue. Le terrain fut déblayé par les contestataires de 68 partis s’installer dans le Larzac, en Lozère ou en Ardèche. Ces expériences furent pour la plupart des échecs puisque beaucoup de ces bourgeois étaient en réalité des incapables. Pourtant ces expériences inspirèrent de futures générations de gauchistes qui se débrouillèrent par la suite mieux que leurs aînés.

    Notre idée du « retour à la terre » s’inspire plutôt du courant Völkisch et de son Heimatschutz, de certains mouvements de jeunesse allemands comme le Bünd des Artamanen, de l’idéologie Blut und Boden du Reichsbauernführer Walther Darré. N’oublions pas notre beau pays avec ses écrivains enracinés : Mistral, Giono, Vincenot et aussi Henri Pourrat. Ce dernier magnifia la paysannerie de son terroir du Livradois-Forez dans des ouvrages comme L’Homme à la bêche ou Le paysan français. Robert Dun demeure une source d’inspiration de premier plan du fait de son écologisme, de son racialisme et de son paganisme dionysiaque. Enfin, sur un plan plus politique, remémorons-nous le discours de Barrès sur la terre et les morts ou encore le mouvement paysan des « Chemises vertes » d’Henry Dorgères. Voilà des sources d’inspiration pour un « retour à la terre » bien de chez nous. Mais est-ce suffisant ?

    En fait, le concept de « retour à la terre » ne nous convient guère. Nous lui préférons celui d’enracinement ou plutôt de ré-enracinement. Les campagnes françaises se désertifient. Lorsque le géographe Christophe Guilluy évoque une France périphérique, il n’exagère pas. Alors, plutôt que de remplir nos terroirs par des clandestins, pourquoi ne pas les remplir avec d’affreux « suprémacistes blancs » ? Contrairement à ce que pense Arthur Kemp, pas besoin de partir en Russie pour bâtir un foyer blanc ! À ce titre, un exode des Français albo-européens à l’Est engendrerait inévitablement, sur les futures générations, un métissage avec les peuples autochtones. Métissage biologique et culturel : devons-nous rappeler que les colons européens irlandais ou allemands partis en Amérique ne sont plus des Européens d’esprit ?Abandonner la terre de nos pères pour une terre « étrangère » représenterait une terrible défaite et ne doit être envisager uniquement comme ultime recours.

    Néanmoins, tout le monde n’est pas apte à aller au bout d’une telle démarche, surtout si elle s’accompagne d’un changement de mode de vie radical. Mais, à l’évidence, nos paroles doivent être authentifiées par des actes comme le rappelait Dominique Venner. Notre ennemi est le Système ? Alors nous devons nous glisser dans ses fissures pour retrouver des espaces de liberté.

    Nous avons conscience du parti pris de nos propositions. Cet voie ne plaira pas à tout le monde. Beaucoup préféreront « militer » au chaud au bistrot. Pour les véritables révolutionnaires, le combat continue mais loin des villes. Ce qui fut autrefois symbole de Haute-Culture a été retourné pour devenir un agent dissolvant des peuples blancs. Pour autant, ne nous méprenons pas sur l’état de la ruralité : elle est bien mal en point. Il ne faut pas l’idéaliser mais envisager sa potentialité dans le combat qui est le nôtre. Un chef français prononça un jour ces mots. « La terre, elle, ne ment pas. Elle demeure votre recours. Elle est la patrie elle-même. Un champ qui tombe en friche, c’est une portion de France qui meurt. Une jachère de nouveau emblavée, c’est une portion de France qui renaît. »

    Oui, la terre ne ment pas… pour autant qu’on la traite avec respect ! Cette glèbe nourrie du sang de nos ancêtres doit être réinvestie sérieusement par la Droite radicale. Le ré-enracinement des hommes différenciés de notre camp relève de l’obligation.

    Thierry Durolle

    http://www.europemaxima.com/quel-avenir-pour-le-militantisme-blanc-par-thierry-durolle/

  • La Ligue de Matteo Salvini empêche la transformation d’une chapelle en mosquée

    La Ligue de Matteo Salvini empêche la transformation d’une chapelle en mosquée

    Lu ici :

    “La Ligue de Matteo Salvini, co-vice-président du gouvernement italien, est intervenue pour bloquer le projet de transformation d’une chapelle en mosquée à Bergame, dans le nord du pays.

    Une association musulmane a formulé la semaine passée la meilleure offre lors de la vente aux enchères de cette chapelle sise dans un hôpital de Bergame, dépassant la proposition de l’Eglise orthodoxe roumaine qui l’utilisait pour ses offices. Mais le conseil régional de Lombardie, où se trouve Bergame, dirigé par la Ligue, s’est opposé à la vente en application d’une loi de 2004 qui permet d’intervenir pour sauvegarder des sites culturels.

    Je n’aurais jamais mis une église en vente et je suis stupéfait que la direction de l’hôpital n’ait pas compris à quel point cette question était sensible“, a déclaré le président de la région, Attilio Fontana, sur Twitter. “Nous allons cependant exercer notre droit de préemption et il n’y aura pas de place pour un appel“, a-t-il ajouté. C’est le conseil régional qui va donc faire l’acquisition de la chapelle.”

    https://www.lesalonbeige.fr/la-ligue-de-matteo-salvini-empeche-la-transformation-dune-chapelle-en-mosquee/

  • La France connaît la plus forte proportion d’immigrés de toute son histoire contemporaine

    La France connaît la plus forte proportion d’immigrés de toute son histoire contemporaine

    capture-du2019ecran-2018-10-09-a-17-28-22-150x230.pngCe n’est pas Eric Zemmour qui le dit mais Didier Leschi, préfet et directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII). Il vient de publier une note intitulée “Migrations: la France singulière” où il évoque les chiffres de l’immigration :

    “Notre pays connaît aujourd’hui la plus forte proportion d’immigrés de toute son histoire contemporaine : aux alentours de 11% de la population résidente est immigrée au sens de l’Insee, c’est-à-dire composée de personnes nées étrangères à l’étranger, ce qui donc inclut ceux qui obtiennent la nationalité française. C’est un niveau que l’on retrouve dans beaucoup de pays européens et qui est même dépassé dans certains cas, comme en Suède, où la part de la population née à l’étranger est passée de 7% en 1975 à près de 20% aujourd’hui.

    Mais la spécificité de la France en Europe ne tient pas tant à la proportion actuelle d’immigrés au sein de la population française qu’aux effets du processus migratoire sur la longue durée.

    En effet, nous sommes le pays d’Europe qui présente la proportion la plus élevée de personnes de « seconde génération » issues de l’immigration, c’est-à-dire résidant en France et dont au moins un parent est immigré. Si l’on ajoute les enfants d’immigrés nés sur le territoire français, c’est près du quart de la population française qui a un lien direct avec l’immigration. Ce niveau est comparable aux États-Unis (26%), souvent pris en exemple sur les questions d’immigration.

    Ces évolutions démographiques dues à l’immigration ont un autre effet concret : en 2017, plus de 17% des jeunes de moins de 24 ans en France métropolitaine étaient d’origine extra-européenne, contre moins de 3% en 1968. La jeunesse d’origine africaine, hors Maghreb, quasiment inexistante en 1968, représente aujourd’hui 20% de la jeunesse d’origine étrangère (…)

    En comparaison, entre 1955 et 1964, la France a reçu chaque année (à population égale, bien entendu) plus de migrants que les États-Unis. C’est notamment le moment où ont fortement progressé les immigrations marocaine, espagnole, portugaise et la très ancienne immigration algérienne. Toujours en France, du fait du tarissement de l’immigration ibérique à partir de la fin des années 1970, la part de la migration venant du Maghreb et du reste de l’Afrique a fortement augmenté, passant de 20% à près de 50% au début des années 2000. Alors que, jusqu’au début des années 1990, un immigré sur deux venait d’Europe (52%), à présent un sur deux vient d’Afrique. Et si la part des Maghrébins reste stable, représentant 30% de cette immigration, le fait notable est l’arrivée massive de Subsahariens (…)”

    Au regard des spécificités françaises, le Grand remplacement s’explique assez facilement :

    La France est actuellement le pays où les demandes d’asile augmentent très fortement, alors même que la plupart des États de l’Union européenne connaissent sur ce plan une forte baisse. En 2017, la France a été le deuxième pays d’Europe à accorder le bénéfice de la protection au titre de l’asile, derrière l’Allemagne, soulignant une fois encore le caractère singulier de la France en matière de migrations.”
     

    “Même dans des pays longtemps perçus comme accueillants, des restrictions ont été mises en place (…) Cette évolution des législations européennes amène la France à être l’un des rares pays où la réunification familiale peut se faire pour les réfugiés,

    comme pour les bénéficiaires de la protection subsidiaire, sans délai de séjour, sans condition de ressources ou de logement et à tout moment. La loi du 10 septembre 2018 sur le droit d’asile et l’immigration [pourtant critiquée par la gauche, NDPC] a même élargi ce droit à la réunification familiale aux collatéraux des mineurs bénéficiant d’une protection à l’ensemble de la fratrie, et non plus à leurs seuls parents.”
     
    La procédure «étranger malade» n’est pas une voie de régularisation mais un motif à part entière d’admission au séjour pour les
    étrangers résidant habituellement en France, qu’ils soient en situation régulière ou irrégulière, et ce même si elle est de plus en plus introduite par des personnes ayant été déboutées de leur demande d’asile (…) Le législateur français a donc institué un droit au séjour pour raisons de santé particulièrement favorable et organisé une procédure d’instruction des demandes protectrices du secret médical. La France est, dans ce domaine, le pays dont la législation est la plus bienveillante.”
  • Les journalistes découvrent l’islamisation des banlieues

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    Par l’Observatoire du journalisme ♦ Le 17 octobre 2018, sortait un livre écrit par des étudiants en journalisme, traitant de l’islamisation d’une partie des habitants du département de Seine-Saint-Denis. Si les constats réalisés sur le terrain par les apprentis journalistes sont intéressants et argumentés, ils ne viennent que confirmer de nombreuses investigations réalisées ces dernières années. Illustration.

    « No go zones »

    En 2015, la chaine américaine Fox News consacrait un reportage aux « no go-zones » à Paris. Ce reportage était en de nombreux points caricatural et s’appuyait sur des données inexactes. Cela a amené nombre de médias français à écarter le sujet d’un revers de main dédaigneux. Il aura cependant eu au moins un mérite : celui de s’interroger sur l’existence de parties du territoire français sous l’emprise de l’islamisme, ces « endroits où l’on ne va pas », traduction littérale de « no go zones ».

    D’autres travaux d’investigation de terrain plus rigoureux ont été réalisés depuis plusieurs années. Nous en présentons quelques uns.

    En 2002 parait chez Pluriel l’ouvrage collectif « Les territoires perdus de la République ». A partir de l’exercice quotidien de leur métier, des professeurs de l’enseignement secondaire de la région parisienne dressent le constat d’une décrépitude des valeurs républicaines et d’une offensive islamiste dans certains quartiers.

    En 2016, Géraldine Smith publie chez Stock le livre « Rue Jean Pierre Timbaudune vie de famille entre bobos et barbus ». Son auteur, une journaliste, a selon Marianne enquêté « sur l’islamisation du quartier où elle a habité, celui de la rue Jean-Pierre-Timbaud, dans le XIe arrondissement de Paris ». Un récit au quotidien tout en nuance sur la confrontation d’idéaux libéraux-libertaires à la réalité d’un quartier en pleine transformation. Le livre se termine par un constat d’échec et le départ de la famille du quartier.

    Trappes, Saint-Denis, Sevran

    En 2017 aux éditions du Toucan, le journaliste Alexandre Mendel publie une enquête intitulée « Partition », un livre accréditant « l’émergence de frontières invisibles qui divisent le territoire, géographiquement et culturellement ». Il écrit notamment : « À Trappes, Saint-Denis, ou encore Sevran, la mixité n’est plus la règle, elle est l’exceptionOn enferme ses enfants dans des écoles coraniques, où on leur apprend, à coups de hadiths, à haïr l’Occident et à ne vénérer que l’islam des ancêtres. On ne se marie plus que religieusement, on vit sa polygamie, on répudie les femmes, dans le dos de la République. La présentation de ce livre lors de sa sortie n’a pas dépassé le cercle des médias dits de droite, à l’image du sort réservé à « La France interdite », véritablement ostracisé par les médias mainstream malgré des ventes déjà conséquentes.

    La même année parait chez Albin Michel, un ouvrage collectif intitulé « Une France soumise ». Alors que « Les Territoires perdus de la République » pointait le communautarisme dans des écoles de banlieue, les auteurs du livre font le constat que ce sont maintenant de véritables territoires qui vivent en circuit fermé. « Cette enquête révèle le fossé existant entre une partie des élites médiatiques et la masse du peuple français, classes moyennes et populaires confondues. Le discours formaté des élites apparait de moins en moins audible » affirme un de ses auteurs.

    Le Monde comme Le Figaro

    En février 2018, deux journalistes du Monde, Ariane Chemin et Raphaëlle Bacqué, font selon L’Express, dans le livre « La communauté » (Albin Michel), « un récit implacable de la manière dont la commune de Trappes (Yvelines) est passée en un demi-siècle des “cocos” aux “barbus” ».

    En mars 2018, un reporter du Figaro, Manon Quérouil-Bruneel, raconte dans « La Part du ghetto » (Fayard) le quotidien d’une cité de Seine Saint Denis. Religion, drogue, prostitution, petits trafics et grand banditisme, immigration continue, les aspects les plus sombres de la banlieue sont passés en revue. Au tournant des années 1990, « le mythe du bon immigré a fait long feu. La religion est progressivement devenue un étendard, une cuirasse identitaire qui a fait voler en éclats le « vivre-ensemble ».

    En juillet 2018, un rapport sénatorial pointe le développement du salafisme en France. Le nombre d’adeptes de ce courant rigoriste de l’islam – 40 à 60 000 – ne ferait qu’augmenter. Des sénateurs relèvent l’existence de « zones ghettoïsées», nous apprend RT France.

    En septembre 2018, un rapport de 617 pages de l’Institut Montaigne dresse le constat de l’expansion de l’islamisme en France. L’auteur du rapport publié par le think tank libéral estime que « la séparation devient viable ». « C’est toute la vie quotidienne qui est peut être « halalisée », et qui connaît une progressive codification : des normes religieuses sont appliquées à l’alimentation, aux vêtements et à toutes les pratiques sociales, qui ont pour objectif une coupure nette avec le reste du monde ».

    La grande frayeur de Gérard Davet : « Donner raison à Zemmour »

    Le 17 octobre 2018 paraît chez Fayard le livre « Inch’allah, l’islamisation à visage découvert », écrit par 5 étudiants au Centre de Formation du Journalisme et « coordonné » par Gérard Davet et Fabrice Lhomme. Le 15 octobre, les reporters du Monde viennent présenter sur France Inter leur livre sur « l’islamisation de la banlieue ».

    Interrogé par Nicolas Demorand et Léa Salamé, Fabrice Lhomme affirme : « il y a une volonté dans une petite partie des musulmans (…) pour que l’islam en Seine Saint Denis et ailleurs, devienne la norme sociale dans la vie publique ».

    En réaction à un auditeur en ligne qui affirme : « J’ai l’impression d’entendre Zemmour », Gérard Davet estime que « c’est effectivement le danger, nous on amène des faits, rien que des faits ». Léa Salamé commente : « des faits qui ressemblent aussi à ceux que relate Eric Zemmour quand on lit le suicide français ». Gérard Davet perd pied et botte rapidement en touche en indiquant que « le livre fourmille de révélations, de chiffres importants qui montrent que quelque chose se passe ».

    Une préoccupation des deux coordonnateurs de l’enquête constitue le sous-titre de l’émission sur le site de France Inter : « il ne faut pas laisser ces questions [de l’islamisation] aux extrêmes ».

    Gérard Davet ajoute : « Le sujet est complétement pollué par les batailles idéologiques. Vous avez des gens qui parlent de ça sans arrêt (…). Ils se saisissent de ce sujet Ils vous balancent des choses avec des clichés incroyables. Ils ne connaissent pas le terrain ».

    Si effectivement, « quelque chose se passe », nos deux reporters n’en oublient pas pour autant de décerner des labels d’honorabilité. Il y aurait d’une part les enquêteurs de terrain, dotés d’une légitimité que leur conférerait leur statut, et de l’autre les politiciens « des extrêmes », qui n’auraient aucune légitimité à parler de ce phénomène en pleine expansion, et encore moins à vouloir le traiter.

    Pourtant, l’abondante production éditoriale à ce sujet ne semble en rien freiner l’expansion du radicalisme islamique et du séparatisme religieux. Ce qui rappelle humblement que les journalistes sont là avant tout pour rapporter la réalité comme l’a fait Laurent Obertone dans son ouvrage La France Interdite (Ring), largement boycotté par les médias.

    Observatoire du journalisme 26/10/2018

    Source : OJIM.fr

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

    https://www.polemia.com/les-journalistes-decouvrent-lislamisation-des-banlieues/

  • Éric Zemmour face à Patrick Weil (2/2) : Un débat détonnant portant sur des sujets essentiels (suite)

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    Rue en Seine-Saint-Denis

    Nous mettons en ligne aujourd'hui la seconde partie du débat dont nous avons publié la première partie hier. Cette dernière porte notamment sur l'immigration, l'Islam, la théorie du grand remplacement, la guerre de civilisation, des sujets absolument essentiels pour la survie de la France. En tous domaines, l'on mesurera combien la pensée d'Éric Zemmour est pétrie des thèses - parfois même d'expressions - maurrassiennes et bainvilliennes. Zemmour redresse ainsi avec un remarquable courage intellectuel des opinions reçues, manichéennes et simplistes par ignorance ou pure mauvaise foi. Quand on a lu La Cause du peuple de Patrick Buisson, quand on écoute ou qu'on lit Zemmour, on se rend un compte exact de l'influence que les idées d'Action française continuent d'exercer sur l'Intelligence française. En ce sens, l'on ne peut parler ni de leur échec, ni de leur malédiction. Et surtout, l'on constate quels signalés services elles ne cessent de rendre à la France d'aujourd'hui. Regardez, écoutez, donnez vos avis...  ■  Lafautearousseau  (2ème et dernière partie)

    La présentation de BFM

    Éric Zemmour face à Patrick Weil (2/2)

    Le journaliste et essayiste Éric Zemmour, en tête des ventes de livres en septembre avec son ouvrage Destin français (Éd. Albin Michel), a débattu face à l'historien Patrick Weil, directeur de recherche au CNRS, président de « Bibliothèque sans frontières » et auteur du livre Le sens de la République, réédité en collection Folio. - Débat animé par Nathalie Levy, dans News et Compagnie, ce mardi 23 octobre 2018, sur BFMTV.

    En début de soirée, News et compagnie présenté par Nathalie Levy offre une dynamique différente en matière de rendez-vous d'information. Retour durant une heure entière sur les principaux faits d'actualité dans la voix d'une personnalité people, intellectuelle, politique ou encore sportive. Entourée des chroniqueurs Laurent Neumann, éditorialiste politique et Emmanuel Lechypre, éditorialiste économique, Nathalie Levy décrypte l'actualité avec son invité sur un ton décalé placé sous le signe de la bonne humeur.  

    Mise en ligne le 23/10/2018

  • Ouistreham, contre l'immigration clandestine, face aux valets du Système, ils ont sauvé l'honneur de la Normandie

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    Samedi après-midi, le Parti de la France du Calvados appelait à un rassemblement sur la jetée de ce qui fut la paisible station balnéaire de Ouistreham. Rappelons que celle-ci est en passe de devenir une sorte de Calais-bis en raison des liaisons maritimes avec la Grande-Bretagne qui attirent de nombreux immigrés clandestins. Plusieurs dizaines de patriotes normands, dont de nombreux jeunes, ont participé à cette manifestation qui avait le soutien de la Dissidence française, le parti de Vincent Vauclin.

    Face à cette initiative salutaire, la meute des chiens de garde de la finance mondialisée que sont les syndicats et partis de gauche, ainsi que les guignols gauchistes de toutes obédiences, avaient appelé à contremanifester. En tout, une poignée de sexagénaires déchainés, protégés par les forces de police, qui se sont totalement ridiculisés.

    Notons les brillantes interventions de Thomas Joly, Secrétaire général du PDF, et de Vincent Vauclin. La réaction de Bruno Hirout, le dynamique et sympathique responsable local du Parti de la France, est claire  : "Je suis très heureux de notre rassemblement de ce jour à Ouistreham, beaucoup d'énergie positive et un état d'esprit offensif qui a fait plaisir à voir !".

    Les habitants de la ville, abandonnés par les politicards locaux face à la promiscuité peu enviable qui leur est imposée, ont été nombreux à soutenir cette belle manifestation. Pour le PDF du Calvados, le combat pour sauver Ouistreham ne fait que commencer...

    S.N.

    Lire aussi cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les bourgeois de droite comme de gauche ont tort d’avoir le sourire : seuls les très riches échapperont au chaos qui s’installe

    Chronique de Paysan Savoyard (n°211 – octobre 2018) 

    Du cadre supérieur au bobo intermittent, du médecin spécialiste à honoraires libres au patron d’une brasserie chic, du « créatif  » subventionné à l’agent immobilier de luxe, du « communicant » à l’ingénieur informaticien, du trader à l’avocat d’affaires, ceux qui vont bien sont nombreux. Mais la plupart d’entre eux ont tort de se réjouir. Pour l’instant les évolutions en cours ces dernières décennies leur profitent : mais ça ne va pas durer.

    • L’enrichissement formidable des riches est l’un des principaux effets de la mondialisation

    Dans les pays occidentaux, la mondialisation a permis un enrichissement majeur de la classe dirigeante grâce à quatre facteurs :

    Elle a autorisé premièrement une baisse très importante des coûts de production : en rendant possibles d’une part les délocalisations dans les pays à bas coût ; en permettant d’autre part le travail détaché et l’immigration, qui pèsent à la baisse sur les salaires des emplois restant localisés dans les pays occidentaux.

    La mondialisation a entraîné, deuxièmement, la baisse des impôts pesant sur le capital, les bénéfices des sociétés et les hauts revenus : la libre circulation des capitaux a en effet conduit les gouvernements à mettre en oeuvre des politiques de dumping fiscal pour éviter la fuite des capitaux ; elle a également facilité les pratiques d’optimisation fiscale et le recours massif aux paradis fiscaux.

    Les profits se sont fortement accrus, troisièmement, grâce à cet autre aspect de la mondialisation qu’est la financiarisation de l’économie : la sphère financière offre en effet des taux de profit très supérieurs à ceux qu’engendre l’activité de production dans la sphère réelle (voir cette chronique).

    La mondialisation, enfin, a créé de nouveaux marchés immenses pour l’économie capitaliste, à commencer par le marché chinois. Dans le même registre, la forte réduction des droits de douane, conséquence du marché unique européen et des négociations commerciales mondiales, augmente les profits du commerce international.

    Ces quatre facteurs cumulés ont permis un enrichissement considérable de la classe dirigeante, aussi bien dans les pays occidentaux que dans les nouveaux pays capitalistes. Le nombre des riches a sensiblement augmenté. Et ces riches sont devenus de plus en plus riches. Tel était bien l’objectif de la mondialisation de l’économie engagée dans les années quatre-vingt (voir cette chronique) : il a été pleinement atteint. 

    • Dans le sillage des riches, la mondialisation a fait de nombreux gagnants

    Les riches ne sont pas les seuls à avoir profité de la mondialisation : l’ensemble de la classe supérieure tire parti de l’enrichissement de la couche dirigeante et de l’effet de ruissellement qu’il entraîne. Cadres supérieurs, professions libérales, commerçants, tous profitent des retombées de l’enrichissement des riches, dont ils constituent en quelque sorte les clients, les serviteurs, les obligés. Ces gens et leurs familles bénéficient d’un niveau de vie élevé. Par ailleurs leur mode de vie fondé sur la mobilité (expatriation, tourisme, études et stages à l’étranger…) renforce leur adhésion à la mondialisation.

    A l’inverse, le groupe central (ou « classe moyenne »), constitué de la plupart des salariés, actifs et retraités, ne profite pas, lui, de la mondialisation. Au cœur de ce groupe central, l’énorme masse des fonctionnaires, des agents des établissements publics, des salariés des entreprises publiques et du secteur associatif parapublic (plus de 10 millions d’actifs) restent protégés par leur statut et bénéficient d’une situation qui reste correcte. Cependant de nombreux facteurs entraînent un déclassement progressif de ce groupe central. Celui-ci supporte une grande part des impôts, taxes et cotisations, qui permettent de financer l’immigration, l’assistanat et les différentes mesures de « traitement social » des suppressions d’emplois engendrées par la mondialisation : ces  prélèvements obligatoires ont désormais atteint le niveau le plus élevé du monde (45 % du revenu national annuel) et ne cessent de croître. Dans les centres des grandes agglomérations, le groupe central est également victime de la hausse des prix, en particulier des prix de l’immobilier, qui est une conséquence de l’enrichissement des riches : de ce fait une partie importante de la classe moyenne a été reléguée en zone périphérique.

    Le reste de la société est constituée d’une part des immigrés, qui occupent les emplois « bas de gamme » et bénéficient massivement des aides sociales ; d’autre part des Français de souche européenne qui se sont installés dans l’assistanat. La situation relative de ce troisième groupe s’améliore continûment, les prestations sociales ne cessant d’augmenter et les contributions qui lui incombent de diminuer. Les membres de ce troisième groupe sont financés par l’endettement public et par les prélèvements pesant pour l’essentiel sur la classe moyenne.

    Le résultat du second tour de la dernière présidentielle reflète cette situation contrastée. M. Macron a recueilli les voix de tous ceux qui vont bien. Les membres de la couche supérieure, qui sont les gagnants de la mondialisation, forment le cœur de son électorat. Au sein de la classe moyenne, les salariés du secteur public, encore protégés par leur statut, ont majoritairement voté pour lui. Les retraités, dont les revenus sont du même ordre que ceux des actifs, ont voté pour M. Macron, dans l’espoir de préserver le statu quo et le niveau encore relativement élevé de leurs pensions. Lorsqu’ils ont voté, les immigrés ont eux-aussi choisi M. Macron. Pour sa part Mme Le Pen a recueilli les voix du reste du groupe central, celles en particulier des salariés du privé en activité hors cadres supérieurs, celles également des artisans, commerçants et agriculteurs qui, sociologiquement et économiquement, peuvent être rattachés au groupe central.

    Les 20 millions de voix obtenues par M. Macron au second tour de 2017 montrent que ceux qui vont bien ou plutôt bien sont encore nettement majoritaires : cela ne devrait pas être pour longtemps.

    • Mais l’immigration va rebattre les cartes et effectuer un tri

    La classe moyenne va voir à court terme sa situation économique se dégrader significativement cette fois. Plusieurs facteurs devraient jouer dans ce sens. Le poids des prélèvements continuera à augmenter afin de contenir les déficits publics, qui sont une conséquences de la mondialisation et de l’immigration. La classe dirigeante s’apprête, deuxièmement, à comprimer le niveau des retraites servies par la sécurité sociale, afin là encore de maintenir déficit et endettement publics à des niveaux supportables. Il est probable, troisièmement, que la classe dirigeante procédera pour les mêmes motifs à un « ajustement structurel » du secteur public (dégraissage des effectifs, blocages des rémunérations, remise en cause du statut de l’emploi public) : la situation des salariés du secteur public et parapublic devrait dès lors se détériorer nettement dans les années à venir. Il n’est pas exclu enfin que la France soit confrontée à un moment ou à un autre à une limitation des capacités d’endettement de l’Etat : la sécurité sociale (retraites et couverture maladie en particulier) devrait alors fortement réduire ses prestations et son champ d’action.

    Mais la classe moyenne ne sera pas la seule à plonger, et c’est ce point que nous voulons ici souligner. Si leur situation économique ne devrait pas être affectée à court terme, les gens aisés vont eux-aussi rencontrer un problème : du point de vue de l’ordre public et de la sécurité, la situation est en effet en train de se dégrader à toute allure sur tous les points du territoire. Toutes les villes même de dimension modeste sont désormais touchées par une insécurité croissante, conséquence directe de l’immigration. Le Grand ouest, prisé de la classe supérieure, des fonctionnaires et des électeurs de gauche, est à son tour touché par l’invasion migratoire et son cortège de délinquance, de violence et d’insécurité. Au fur et à mesure que les choses vont empirer, la classe supérieure va éprouver des difficultés à vivre dans des zones sécurisées et à se déplacer en sécurité. En France en effet, les zones riches et les zones peuplées d’immigrés sont étroitement imbriquées : les milieux aisés ne pourront donc pas se protéger comme ils le font au Brésil, en dressant un mur autour des villes où ils sont regroupés .

    Non seulement la dégradation de la situation va se poursuivre mais elle va s’accélérer. Les immigrés représentent en effet désormais une masse trop énorme pour que les choses puissent rester en l’état : entre 15 et 18 millions de personnes originaires de l’immigration non européenne sont d’ores et déjà installées en France métropolitaine. Leur nombre s’accroît de 4 à 500 000 par an, du fait de l’immigration légale, de l’immigration illégale et des naissances (voir cette chronique). Sous l’effet de cette invasion, un nombre croissant de points du territoire vont être touchés par une situation de chaos : délinquance, violences, drogue, émeutes, processus de sécession des « quartiers », islamisation… Dans ce contexte la vie quotidienne de la grande majorité des Français de souche européenne va fortement se dégrader : les milieux aisés seront également touchés, au même titre que l’ensemble de la classe moyenne.

    Seuls les vraiment riches (moins de 10 000 ménages en France) échapperont à tout cela. Ils ont acquis des résidences dans le monde entier, en particulier aux Etats-Unis. Ils ont acheté des îles dans les endroits paradisiaques. Ils se déplaceront en avion privé d’une de leurs résidences sécurisées à une autre. Sur le plan économique, ils se consacreront aux marchés gigantesques que leurs offrent les pays émergents. Du point de vue de leurs intérêts tant matériels que moraux, ils n’ont plus rien à faire de l’Europe.

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    L’immigration de masse a été décidée et organisée par la classe dirigeante car elle contribue significativement à son enrichissement. Or cette immigration de masse, qui a pris désormais la dimension d’une invasion, va rebattre les cartes en profondeur au sein de la société française.

    Le chaos qui s’installe va opérer un reclassement majeur. Les membres du groupe dirigeant vont progressivement se retirer du jeu et le moment venu quitter le pays. Les immigrés seront eux en pays conquis. Malheur à tous les autres. Malheur en particulier aux Français moyens de souche. Mais malheur également à tous ces bourgeois, de droite et de gauche, aujourd’hui aisés, qui vivent bien dans l’entourage ou la clientèle des puissants, parés de leurs « valeurs » et de leur bonne conscience. La plupart n’auront pas les moyens de s’expatrier et partageront le sort catastrophique de tous les Français moyens lepénistes qu’ils auront tellement méprisés. Ce ne sera au demeurant que justice.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • LE GOUVERNEMENT « PROGRAMME, CONTRÔLE ET ACCEPTE » LA TRAITE NÉGRIÈRE EN MÉDITERRANNEE (L’Imprécateur)

    Voilà où nous en sommes : il est probable et vraisemblable que, sans changement politique rapide à la tête de la France, le peuple français s’il veut, comme le font déjà plusieurs peuples européens, arrêter ou au moins contrôler l’immigration clandestine, va devoir se battre contre son propre gouvernement.

    Il ressort en effet des déclarations du général 4 étoiles Gomart, ex-chef du Renseignement militaire, à l’occasion de la dernière réunion du GEOINT (1), le très discret Centre du renseignement géospatial (satellites) que « l’invasion de l’Europe est programmée, contrôlée et acceptée » par plusieurs gouvernements en accord avec (ou sous les ordres de ?) la Commission de Bruxelles, dont le gouvernement français.

    Notre, le gouvernement surveille de près le déroulement de l’invasion, « rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles«  (Gal Gomart).

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