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immigration - Page 802

  • L'Immigration fille d'une idéologie

    6a00d8341c715453ef022ad3761dab200c-320wi.jpgCes derniers jours ont vu se multiplier les soubresauts de la crise migratoire. Venus du Honduras, les candidats à l'entrée aux États-Unis recrachent toute la misère et la violence de l'Amérique centrale. En Europe la bien-pensance s'obstine à condamner les pays, entre Méditerranée, Alpes et Danube, qui n'entendent pas succomber aux nouvelles grandes invasions. Dans l'Hexagone républicain, enfin, le désordre et la honte ont encore monté d'un cran avec la flambée de rixes sanglantes venues des territoires que la république a perdus.

    Au travers de tous ces drames, une certaine explication marxisante du fait migratoire est devenue ridicule : personne ne pourra plus, en effet, nous dire de façon péremptoire que tout cela vient du capitalisme.

    Au sud du Rio Grande, entre les Chiapas du Mexique et l'isthme de Panama les affrontements n'impliquent même plus les forces de l'ordre effondrées ou pourries. Ils ne se partagent plus qu'entre réseaux de la drogue, mafias satanistes et terroristes révolutionnaires.

    Aux alentours de Paris, Lyon ou Marseille, dans les banlieues de la violence, les quartiers s'appellent Allende, les lycées ont reçu le nom d'Éluard. Place Nelson-Mandela, les cousins viennent du cap Vert ; les parents viennent du Mali ; les élus, eux aussi, se manifestent, tous derniers survivants de l'implantation du parti communiste. On chercherait donc vainement, dans ces phénomènes, les traces de la fameuse "mondialisation néolibérale" porteuse de tous les maux à en croire encore les radioteurs restés à gauche. Il va donc falloir trouver autre chose, porter un regard nouveau sur la crise, sans recourir à Marx et Engels.

    Certains évoqueront, sans nous convaincre, un plan déterminé et détaillé, résultant d'une volonté bien arrêtée de dénaturation du peuple français. On pourra bien citer, dans ce sens, telle bribe de déclaration du sous-ministre giscardoïde Dijoud souhaitant explicitement transformer la France "en nouveau Brésil". Y voir la clef du mystère revient à prendre l'effet pour la cause.

    S'il paraît que l'ancien chef de l'État, et avec lui la plupart des ci-devant giscardiens, tous regrettent aujourd’hui le regroupement familial, on n'a jamais entendu s'exprimer dans ce sens un Chirac, lui qui dirigeait le gouvernement, lui le signataire du décret d'avril 1976.

    Reconnaissons que ce personnage, typiquement radical-socialiste, a longtemps su, tout au long de sa carrière au bilan si funeste, se montrer aimable de contact. Il serrait les mains, promettait à tout le monde, disait à chacun ce que chacun voulait entendre. Au rebours du Misanthrope Alceste auquel Molière fait avouer "L'ami du genre humain n'est pas du tout mon fait"[1]il épousait un monde de bons sentiments conventionnels. Il n'éprouvait de haine que pour ce qu'il appelait le "fascisme". On trouverait difficilement meilleure, – ou pire, – incarnation de l'idéologie technocratique.

    Il semble donc réaliste, au-delà des personnalités, et de considérer toute l'école de la haute classe dirigeante parisienne influencée par les idées que développait naguère un Michel Debré. Fondateur de l'Ena en 1945 – en collaboration avec Maurice Thorez[2], – principal concepteur de la Constitution de 1958, Debré publia plusieurs livres manifestes. En 1963, sous le titre "Au Service de la Nation", il assigne pour l'Hexagone un objectif démographique de 100 millions d'habitants. Comme la démographie naturelle ne mettait au monde que 300 000 jeunes Français chaque année il fallait, pour passer à 400 000, recourir à l'immigration. À l'époque, un certain Chirac, maître de conférences à Sciences Po, en recommandait chaudement la lecture à ses étudiants.

    À l'évidence, une telle doctrine flattait un vieux rêve. Par l'effet du nombre, on imaginait faire de la France la conductrice de l'Europe. À défaut d'avoir pu intégrer l'Outremer et les départements d'Algérie dans une république résolument jacobine, l'étatisme compenserait à sa manière. Il importerait une partie de ceux auxquels on avait fait miroiter le statut de Français à part entière. Et on appliquerait de force ce transfert plus ou moins contraint aux plus reculés des confettis de l'Empire, jusqu'au terminus pathétique de Mayotte, ce nouveau département français où certains visiteurs s'étonnent d'évaluer à 95 % le nombre des citoyens polygames (?) et musulmans.[3]

    Sans doute faut-il voir un effet du hasard si "Mayotte reste une poudrière"[4]Il n'existe comme chacun, à défaut d'y croire, a l'obligation de le professer, aucune corrélation entre immigration, islamisation et insécurité. On vous le répète : pure coïncidence.

    JG Malliarakis  

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    [1] "Je refuse d'un cœur la vaste complaisance / Qui ne fait du mérite aucune différence : /Je veux qu'on me distingue ;/ et pour le trancher net, /L'ami du genre humain n'est pas du tout mon fait." (Le Misanthrope Acte Ier, scène I.)
    [2] Le chef du parti communiste était alors ministre de la Fonction publique.
    [3] cf. "Mayotte: nouveau département polygame et musulman à 95%"
    [4] cf. "Immigration : Mayotte reste une poudrière".

    https://www.insolent.fr/2018/10/limmigration-fille-dune-ideologie.html

  • Grand remplacement ou complot à ciel ouvert?

    6a00d8341c715453ef022ad39c1507200d-320wi.jpgVotre serviteur prend rarement le temps d'explorer Facebook. Il n'y installe que les liens de ses chroniques. Mais ce 25 octobre deux réactions d'amis lecteurs l'ont interpellé à propos de L'Insolent daté du 24 octobre[1].

    Mon honorable correspondant, et agent préféré à Saint-Mandé, résume ainsi le problème posé, l'ayant "bien compris, le concept de grand remplacement ne se limite pas à l'accroissement du nombre d'immigrés - que personne ne conteste, je crois[2] - mais implique aussi que tout cela relève d'un plan prédéterminé." Il s'agit bien en effet du débat sous-jacent. Un complice de Strasbourg y voit de son côté "la thèse de René Marchand[3]. Mais, ajoute-t-il, le grand remplacement est d'abord un fait qui se suffit à lui-même et qui se réalise par la simple démographie. D'où l'idée chère à Renaud Camus : la remigration."

    Or, l'idée même de songer à cette solution théorique se heurte au paradigme technocratique dominant : l'immigration constituerait toujours une chance pour la France, toutes origines culturelles étant supposées égales devant le préjugé laïciste, et tout appel au discernement étant considéré non comme une opinion libre mais virtuellement, et parfois pénalement, comme un délit.

    Qu'une notion telle que la non-discrimination, puisse paraître contraire à toutes les lois de la vie, à toutes les lois de la cité, voilà qui ne trouble pas nos républicains. Au contraire, cela conforte les dogmes jacobins de nos princes. On n'osera pas déranger leur quiétude en leur révélant les mauvais lieux[4] où, l'on chantait naguère "une seule jeunesse une seule nation pour la France et la Révolution".

    Sans doute s'agit-il d'une question de génération. Petit garçon je me souviens ainsi d'avoir demandé dans l'autobus à mon gentil voisin, d'aspect exotique pour moi inconnu, s'il était en chocolat. Cette question, vers 1948, ne manifestait aucune originalité. La rumeur en courait dans l'école communale au sein de laquelle nous ignorions ce qu'était le racisme, un produit américain pour sûr. Cela l'a fait rire. Et aujourd'hui plus personne ne rit.

    Un facteur essentiel a milité pour ce changement de population[5], quand il se trouva comme attisé par la décolonisation. Cette opération revenait à réduire les dimensions de l'Empire eurafricain de la France, aux 550 000 km2 de l'Hexagone. On déplaçait de la sorte tout ou partie des anciens colonisés, vers les terres ancestrales de leurs colonisateurs, eux-mêmes supposés en manque de main-d’œuvre et en déficit de natalité.

    Le phénomène démographique des vases communicants a beaucoup été accéléré par un obscur décret organisant, il y a plus de 40 ans de cela, le regroupement familial. Celui-ci s'entendait en l'occurrence comme irréversible et à sens unique. Comme on ne prête qu'aux riches, la rumeur publique tend à faire porter la responsabilité de cette erreur tragique au président de la république de l'époque, un certain Valéry Giscard d'Estaing.

    En réalité, accédant à l'Élysée en 1974, celui-ci semble plutôt avoir imaginé bloquer le processus.

    Michèle Tribalat, l'une des voix expertes les plus fiables en matière démographique, a tenu à préciser dans une récente tribune[6] : "Ce n'est pas Giscard d'Estaing qui a inventé le regroupement familial, il a demandé l'arrêt total des flux, la décision a été contestée au conseil d'État, il a donc dû réintroduire le regroupement familial en y ajoutant des critères de logement, de ressources, etc." Et l'ancien chef de l'État ne peut plus aujourd'hui[7] que "regretter le regroupement familial", décidé par son Premier ministre de l'époque, Jacques Chirac, par décret, le 29 avril 1976.

    JG Malliarakis  

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    [1] cf. "Cachez cette invasion que je ne saurais voir"

    https://www.insolent.fr/2018/10/cachez-cette-invasion-que-je-ne-saurais-voir.html

    [2] En quoi il se trompe : à partir du moment, aux alentours de 1970, où l'immigration est devenue un objet de cristallisation politique, l'INSEE et, à sa suite, les médias conformistes se sont evertués à démontrer faussement que le nombres des "Étrangers" n'avait pas augmenté en France depuis les années 1930.

    [3] cf. "La France en danger d'islam." Ed du Trident

    https://editions-du-trident.fr/catalogue#marchand

    [4] Allons je le révèle : c'est un refrain de l'Hymne des adieux que chantaient les jeunes militants de l'OAS.

    [5] Je me permets de noter ici que population ne signifie pas exactement peuple. Seule une Hidalgo, qui emploie à dessein sans doute un mot pour l'autre, fait la confusion.

    [6] cf. "Le regroupement familial, ce n’est pas Giscard d’Estaing"

    https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/michele-tribalat-le-regroupement-75995

    [7] cf. sa biographie publiée par Éric Roussel

    https://www.insolent.fr/2018/10/grand-remplacement-ou-complot-a-ciel-ouvert.html

  • « Dans mon quartier, des femmes musulmanes font la chasse à d’autres femmes musulmanes qui ne pratiquent pas le ramadan »

    https://www.lesalonbeige.fr/dans-mon-quartier-des-femmes-musulmanes-font-la-chasse-a-dautres-femmes-musulmanes-qui-ne-pratiquent-pas-le-ramadan/

  • Éric Zemmour face à Patrick Weil (1/2) : Un débat détonnant portant sur des sujets essentiels

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    Centenaire de la Grande Guerre

    Le débat que nous mettons en ligne aujourd'hui (1ère partie, 25 mn)) porte sur des sujets absolument essentiels, qu'ils soient historiques ou d'actualité : les deux guerres mondiales, Pétain et De Gaulle, la Résistance, l'immigration et les menaces qui pèsent sur l'identité française, les sujets dits sociétaux. En tous domaines, l'on mesurera combien la pensée d'Éric Zemmour est pétrie des thèses - parfois même d'expressions - maurrassiennes et bainvilliennes. Zémmour redresse ainsi avec un remarquable courage intellectuel des opinions reçues, manichéennes et simplistes par ignorance ou pure mauvaise foi. Quand on a lu La Cause du peuple de Patrick Buisson, quand on écoute ou qu'on lit Zémmour, on se rend un compte exact de l'influence que les idées d'Action française continuent d'exercer sur l'Intelligence française. En ce sens, l'on ne peut parler ni de leur échec, ni de leur malédiction. Et surtout, l'on constate quels signalés services elles ne cessent de rendre à la France d'aujourd'hui. Regardez, écoutez, donnez vos avis...  ■  Lafautearousseau  (2ème partie, demain) 

    La présentation de BFM

    Éric Zemmour face à Patrick Weil (2/2)

    Le journaliste et essayiste Éric Zemmour, en tête des ventes de livres en septembre avec son ouvrage Destin français (Éd. Albin Michel), a débattu face à l'historien Patrick Weil, directeur de recherche au CNRS, président de « Bibliothèque sans frontières » et auteur du livre Le sens de la République, réédité en collection Folio. - Débat animé par Nathalie Levy, dans News et Compagnie, ce mardi 23 octobre 2018, sur BFMTV.

    En début de soirée, News et compagnie présenté par Nathalie Levy offre une dynamique différente en matière de rendez-vous d'information. Retour durant une heure entière sur les principaux faits d'actualité dans la voix d'une personnalité people, intellectuelle, politique ou encore sportive. Entourée des chroniqueurs Laurent Neumann, éditorialiste politique et Emmanuel Lechypre, éditorialiste économique, Nathalie Levy décrypte l'actualité avec son invité sur un ton décalé placé sous le signe de la bonne humeur.  

    Mise en ligne le 23/10/2018

  • Cachez cette invasion que je ne saurais voir

    6a00d8341c715453ef022ad375b445200c-320wi.jpgSur le site de Causeur, était publié en date du 17 octobre un curieux entretien avec le directeur général de France terre d'asile. Celui-ci, un nommé Pierre Henry, peu connu du grand public, n'y défend pas seulement ce que l'on imagine servir d'objectif à son institution. Naguère protégée de Danielle Mitterrand elle est supposée se vouer à l'accueil des réfugiés. Son responsable actuel va beaucoup plus loin, théorisant et minimisant à la fois l'ouverture à l'immigration, à tout vent et à tout va. Il soutient de la sorte, avec ce qui lui tient lieu d'élégance, que "la théorie du Grand remplacement est une foutaise !"

    Il raisonne, certes, il ergote donc, il ratiocine ainsi, car un fou, par définition, c'est un homme qui a tout perdu sauf la raison.

    En l'occurrence il s'installe comme beaucoup de commentateurs immigrationnistes dans le déni.

    Eh bien non : il faut lui répondre.

    Commençons par le commencement : le grand remplacement ne doit pas être considéré comme une théorie. C'est simplement le nom qu'un polémiste de talent, en la personne de Renaud Camus, a donné à une réalité bien tangible. Un constat.

    Or, contrairement à ce que cherchent à propager aujourd'hui ses adversaires, cet écrivain français n'a aucunement été, au départ, "engagé à l'extrême droite". Dans les années 1970-1980, il se fait connaître comme membre du parti socialiste. Ses parents, est-il affirmé sur le site Wikipedia, l'auraient déshérité en raison de son orientation sexuelle. En 1968, il participait par exemple, aux défilés de gauche, au sein de la "composante homosexuelle". À l'époque, déjà L'Humanité, se voulant l'expression d'un prolétariat résolument viril, se moquait de ces jeunes gens d'origine bourgeoise.

    Or, cet aspect de sa personnalité ne doit pas seulement ici être présenté comme une composante, au fond anecdotique, de sa vie privée[1] : un nombre important de représentants de cette sensibilité se sont retrouvés depuis 20 ans, au premier rang de la lutte contre l'islamisme. Et pour cause, le monde de l'islam les persécute quand il ne les décapite pas tout simplement. L'affreux traitement que l'Angleterre victorienne infligea à Oscar Wilde, emprisonné dans sa geôle de Reading[2] n'apparaît, en comparaison, qu'une galanterie.

    Une fois comprises, et cette origine et cette évolution, la migration droitière de Renaud Camus ne manque ni de panache ni de pertinence. En novembre 2010 il prononce une allocution sur Le Grand Remplacement, et en 2011 il publie un livre sous ce même titre. En 2012, son éditeur, qui avait publié 25 de ses livres, le retire élégamment de la liste de ses auteurs, pour avoir appelé à voter pour une candidate inappropriée, dont l'électorat d'origine fort éclectique converge dans ce refus de ce que l'écrivain, devenu maudit, appelle désormais remplacisme.

    Au-delà des étiquettes, un fait semble en effet indiscutable. Depuis de longues années, il s'est approfondi. La population française a changé par rapport à son apparence d'il y a un demi-siècle. L'adjectif de nationalité, ici l'épithète "français", se trouve accolé, sans polémique, au substantif population. Il veut dire, dans un tel contexte, de façon banale et géographique, "habitant de la France". On se refuse ainsi à distinguer l'étranger du régnicole. Car, de façon extrêmement floue et, finalement, perverse on a inventé un principe juridique de non-discrimination.

    Il est devenu règle européenne intangible par une déclaration unanime des États, rédigée, sous l'égide de Chirac président, par Toubon et Juppé, les deux Dupondt du pouvoir à l'époque du traité de Nice de 2001, préfiguration du traité de Lisbonne de 2007.

    Cette nouvelle doctrine, arme de guerre contre la liberté des peuples, suppose la destruction du concept de grand remplacement c'est-à-dire en définitive la négation du droit au constat.

    Cachez cette invasion que je ne saurais voir…

    JG Malliarakis  

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    [1] Laquelle en France est supposée protégée par l'article 9 du Code civil que l'on invoque de moins en moins.

    [2] cf. La Ballade de la Geôle de Reading d’Oscar Wilde et Bernard Pautrat https://perruchenautomne.eu/wordpress/?p=930

    https://www.insolent.fr/page/2/

  • L’islamisation à visage découvert

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    Ceux qui peuvent en parler, ceux qui doivent se taire...

    Depuis plusieurs jours, les journalistes Davet et Lhomme sont invités sur tous les plateaux télé et radio pour faire la promotion de leur livre Inch’Allah, l’islamisation à visage découvert.

    Les faits sont là, nombreux, bien décrits. On voit que les interdits religieux conditionnent l’ensemble de la vie quotidienne. On dévoile que des quartiers entiers se ferment dans le communautarisme où l’on mange islam, on s’habille islam, on parle arabe. Dans ces territoires qui ne sont plus la France, on ne se mélange plus aux autres. Les élèves refusent le son des musiques occidentales, ne dessinent plus de visage, n’entrent plus dans des salles au mobilier rouge, n’absorbent que du halal… Les femmes sont reléguées à la place qui est la leur dans le monde islamique. Ces quartiers islamisés sont désormais partout en France, même dans des villes moyennes. Des départements comme la Seine-Saint-Denis font quasiment sécession par rapport au sacro-saint « vivre ensemble »… Tout ça est très bien mené.

    Personnellement, je me réjouis que la vérité sur les dangers de l’islamisation de la France soit médiatisée, enfin.

    Mais je ne comprends pas. Pourquoi quand deux éminents journalistes parlent de l’islam, ce sont des grands reporters, et pourquoi, quand la « fachoshère » alerte sur des faits similaires, on menace de faire fermer les sites (Jean Jacques Bourdin voulait qu’on interdise le site fdesouche) ? Qui décide, dans les hautes sphères, de qui doit pouvoir parler et qui doit se taire ? Qui décide de ceux qui doivent être considérés comme des héros et ceux qui doivent être désignés comme des salauds ?

    Alors, certes, suite au travail de terrain de leurs cinq étudiants, Davet et Lhomme glissent les sempiternelles « pas d’amalgames » lors de leurs interviews promotionnelles. Messieurs, vous avez quinze ou vingt ans de retard sur le constat. Pendant toutes ces années, vous n’avez pas vu ou pas voulu voir la réalité. Cette réalité, 35 % des électeurs français s’en préoccupaient à l’élection présidentielle 2017 (sans compter les abstentionnistes)… Allez-vous mettre quinze ou vingt ans de plus pour faire la bonne analyse ? Allez-vous enfin comprendre que le problème est bien plus fort que les « facteurs socio-économiques » des quartiers et qu’il ne se cantonne pas à « l’islamisme radical ». Quand allez-vous comprendre, vous et vos éminents confrères, que les problèmes que pose l’islam, en tant que religion expansionniste, ne pourront jamais être résolus par les politiques conduites et reconduites depuis des décennies ?

    Un petit conseil de lecture : lisez le Coran, lisez l’histoire des chrétiens d’Orient et vous aurez les idées plus claires. Souvenez-vous, également, de cette phrase de Youssef al-Qaradâwî, des Frères musulmans, en 2002 : « Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques, nous vous dominerons. »

    Réfléchissez encore mais, de grâce, n’attendez pas vingt ans pour comprendre, il sera sans doute trop tard…

    Axel Vontargier

    http://www.bvoltaire.fr/lislamisation-a-visage-decouvert/

  • Allocation du demandeur d’asile revalorisée de 1,6%, retraites et allocations familiales de 0,3%

    Allocation du demandeur d’asile revalorisée de 1,6%, retraites et allocations familiales de 0,3%

    Cherchez l’erreur :

    https://www.lesalonbeige.fr/allocation-du-demandeur-dasile-revalorisee-de-16-retraites-et-allocations-familiales-de-03/

  • Enfants de djihadistes. Le message des autorités : « Faites-leur bon accueil »

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    Cent cinquante mineurs, enfants de djihadistes, Français uniquement par leur naissance sur notre sol, sont retenus dans des camps en Syrie, en Irak, et dans ce Kurdistan aux frontières mal définies. Il y en aura d’autres, car actuellement des milliers de familles djihadistes sont coincées dans la poche islamiste d’Idlib, en Syrie.

    Des missions officielles françaises sont au Proche-Orient pour préparer les rapatriements. Avec l’aide de la Croix-Rouge, elles veillent à ce que les familles ainsi retenues soient bien traitées. Mais les enfants ne sont pas scolarisés, les conditions d’hygiène des camps ne sont pas satisfaisantes alors que l’hiver approche. Aussi nos dirigeants ont-ils exprimé le désir de voir tous ces jeunes gens revenir en France le plus rapidement possible.

    Le message est de leur faire bon accueil. Pourquoi ? Parce qu’ils sont Français, tout simplement. Leurs parents – et eux-mêmes pour les plus âgés d’entre eux – ont certes déchiré leurs cartes d’identité française et déclaré la guerre à la France. Mais peu importe, ils sont Français par le droit du sol (pas par le sang versé, c’est le moins que l’on puisse dire !), car nés en France. Ils ont donc droit à notre sollicitude, à toutes les mesures de prise en charge du type de celles que l’on met en œuvre quand des Français sont victimes d’une catastrophe naturelle à l’étranger. Des mesures qui furent bien souvent refusées aux rapatriés d’Algérie, à l’époque de de Gaulle.

    Dans le cadre de la prévention de la radicalisation, les mineurs sont et seront suivis par des cellules d’accompagnement et de réintégration, car l’obsession exprimée par les « humanitaires » est que, si l’accueil en France n’est pas optimum, ces jeunes gens, ces enfants, finiront par retourner ou s’orienter vers les folies barbares de leurs parents. C’est pourquoi il faut leur faire bon accueil. A la vérité, derrière cette compassion pour ces mineurs, il y a d’abord la peur de voir ces centaines d’enfants et d’adolescents, dont certains ont participé à des égorgements et des tueries, se transformer en « lionceaux du khalifat » et renouer, en France, avec ce type de terrorisme. Aussi, pour éviter le pire, il faut donc « leur faire bon accueil ». Sinon ils risquent, une fois en âge de comprendre, de s’en souvenir et de chercher à se venger, expliquait sans complexe une « humanitaire » sur une radio publique.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Têtes à Clash n°36 : J-M Blanquer dénombre 1 000 cas d’atteinte à la laïcité à l’école

  • Général Gomart : « l’invasion de l’Europe par les migrants est programmée, contrôlée et acceptée »

    Général Gomart : « l’invasion de l’Europe par les migrants est programmée, contrôlée et acceptée »

    Le général Gomart, patron du renseignement militaire, qui a quitté l’armée en mai 2017, explique : « Cette invasion de l’Europe par les migrants est programmée, contrôlée et acceptée ». 

    Et « rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles ».

    Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) était chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire.

    Il a expliqué, en ouverture du colloque GEOINT (Géospatial Intelligence), qui s’est tenu à la Société de Géographie à Paris, les 11 et 12 septembre 2018, comment le trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français.

    • La Direction du Renseignement Militaire, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de Renseignement Géospatial Interarmées).
    • Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.).
    • C’est ainsi que la DRM peut présenter au gouvernement français une situation précise de la présence des migrants subSahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des « passeurs » de migrants.
    • Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en Méditerranée (Eunavfor Med) lancée en mai dernier.

    Le général Gomart a déclaré, lors du colloque, que les militaires français avaient repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte).

    • Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent.
    • Il les voit préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable.

    Avant tout départ en mer, les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses migratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…

    Le GEOINT est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géo localisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques ».

    L’invasion n’avance pas au hasard

    Il n’y a donc aucun mystère, tout se sait.

    • On sait où les « passeurs » vont s’approvisionner en bateaux.
    • On sait que la Turquie délivre de faux passeports et que les autorités de réception ferment les yeux.

    Le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, et il pourrait le voir également en Europe.

    Mais peut-être regarde-t-il, par ordre, dans d’autres directions !

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

    Via Dreuz-Info

    http://www.medialibrefrance.com/2018/10/general-gomart-l-invasion-de-l-europe-par-les-migrants-est-programmee-controlee-et-acceptee.html?fbclid=IwAR3uUkW3AqrOqo4qq7rdU97k5gP7kGaubT3Uua8oGrZq87LM3yp9u1x0Cxc