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immigration - Page 802

  • Un scénario de guerilla se met en place dans un mutisme ahurissant

    6a00d83451619c69e20224df353a66200b-200wi.jpgLaurent Obertone diffuse cet avertissement d'un membre du GIGN :

    « Pendant que les mass médias nous inondent de mariage en Angleterre et de festival de Cannes, bon nombre d'événements classés "faits divers", violences inédites sur le territoire national, se mettent en place :

    Marseille "busserine" avec des groupes armés et des techniques para-militaires parfaitement rodées, un procureur satisfait du dispositif policier et qu'il n'y ait pas eu de blessés, de nombreuses attaques de policiers en civils par des groupes de jeunes (Grenoble, Courcouronne...), violences par 200 personnes à Lyon la Duchère, un homme a Pau battu à mort par des ados, appel au djihad en France par des imams dans des mosquées françaises mais aussi les suicides à répétition des policiers et gendarmes abandonnés par la Justice et rabaissés par la hiérarchie, avec un projet de CDD à venir pour les forces de l'ordre alors que la formation est déjà un réel problème.

    Bon nombres d'autres "signaux faibles", comme aiment les appeler les politiques, passent inaperçus.

    Dans les rangs de mes camarades de l’unité d’assaut du GIGN, actifs et connectés aux unités de renseignement, tous ces signaux confirment qu'un scénario de guerilla se met en place dans un mutisme ahurissant. Notre message est simple : préparez-vous.»

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/05/un-sc%C3%A9nario-de-guerilla-se-met-en-place-dans-un-mutisme-ahurissant.html

  • Solidarité avec Alexandre Gabriac

    gabriac-leetchi.jpgAlexandre Gabriac, fondateur des Jeunesses Nationalistes, ancien conseiller régional, aujourd’hui secrétaire national aux fédérations de Civitas, a besoin de votre aide !

    Notre ami et camarade Alexandre Gabriac toujours dans la tourmente judiciaire…

    • Condamné en première instance puis en appel à 2 mois de prison ferme et 4000€ d’amende pour avoir, d’après leur justice, organisé une manifestation interdite contre le racisme anti-blanc, son affaire a été examinée à l’audience criminelle de la cour de Cassation le 9 mai dernier. La décision sera rendue le 20 juin. 
    • Par ailleurs, il passera devant la 12ème chambre correctionnelle du TGI de Lyon le 4 juin 2018, étant accusé de « reconstitution de ligue dissoute » (en l’espèce les Jeunesses Nationalistes), un chef d’accusation qui lui fait encourir une peine de 7 ans de prison ferme, la perte de ses droits civiques et la somme mirobolante de 45’000€ d’amende. A noter, ce chef d’accusation est placé dans la partie législative : « Crimes et délits contre la nation, l’Etat et la paix publique » du livre IV du code pénal. Tout un symbole d’inversion accusatoire.

    Au-delà des condamnations, toutes ces affaires engendrent des frais de plus en plus conséquents pour ce jeune père de famille, à force de différentes pertes d’emplois, de déplacements, d’honoraires d’avocats spécialistes…

    Nous faisons donc appel à votre solidarité et votre générosité afin d’aider notre ami, et lui permettre la continuation de son combat pour léguer à nos enfants un avenir français.

    Lien de la cagnotte : https://www.leetchi.com/c/solidarite-pour-alexandre-et-sa-famille

    http://www.medias-presse.info/solidarite-avec-alexandre-gabriac/92310/

  • Reconquérir la France !, par Philippe Bilger

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    Il y a la France légale, la France officielle et, en son sein, une multitude de territoires réels, transgressifs, violents, riches du trafic de drogue et assurés d’une quasi-impunité. Des sociétés en autarcie malfaisante et en certitude d’être laissées tranquilles se multiplient et la France n’est plus en France partout. Il faut la reconquérir.

    Le président de la République n’a pas voulu d’un nouveau plan pour les banlieues et a annoncé un changement de méthode. Il a sans doute raison sur le premier point mais pour le second, il a énuméré avec lucidité les maux affectant les cités – principalement le trafic de drogue avec ses ramifications internationales que la désertion policière rend infiniment lucratif et serein -, proposé avec pragmatisme des pistes, incité à la mobilisation les grandes entreprises, souhaité la multiplication des stages et la disparition des freins à l’embauche et, enfin, rêvé d’une société de “la vigilance”. Il y a du volontarisme et de la sincérité dans le propos présidentiel mais il a résonné étrangement, à cause notamment de sa dénonciation de la drogue – à juste titre il refuse sa légalisation – et de son trafic, dans une conjoncture où notamment à Marseille, à Pau, à Toulouse, à Grenoble et à Paris, des événements graves se sont déroulés qui ont démontré qu’on pouvait dans notre pays faire à peu près n’importe quoi, en particulier le pire sur le plan des violences et des dévastations comme à Paris, de l’appropriation guerrière d’une cité comme à Marseille et du massacre d’un homme par une bande de tout jeunes gens comme à Pau (Le Monde, Le Parisien).

    La drogue, à Marseille, à Pau et à Toulouse – 5 policiers blessés alors qu’ils contrôlaient un véhicule près d’un point de deal – était à la source de ces comportements scandaleux.

    Mais à Paris, à nouveau les Black Blocs ont sévi au cours d’une manifestation où on a brûlé l’effigie du président de la République représenté avec une balle dans la tête. Cette incurie parisienne est criante qui avait déjà été précédée – et donc largement alertée – par la terrifiante manifestation de casse et d’agressions du 1er mai quasiment en liberté. A Grenoble, des CRS en repos, rentrant dans leur cantonnement, étaient agressés par “une quinzaine de voyous embusqués dans des buissons” (Le Figaro).

    Dans une cité de la région parisienne il a fallu dix ans pour que soient expulsées cinq familles qui, avec leur trafic, pourrissaient un environnement qui n’aspirait qu’à la tranquillité.

    Je ne mélange pas au hasard des péripéties même si je ne méconnais pas le caractère particulier de la délinquance dans certaines cités de Marseille et que la longueur des procédures incriminerait plutôt la Justice. J’ai conscience de la facilité du “il n’y a qu’à” et de l’incantation exigeant seulement du courage politique, comme si miraculeusement moyens, policiers et restauration de l’ordre allaient advenir sans tarder. Aucun pouvoir, sur ce plan, n’a manqué de bonne volonté ni de résolution. Mais toujours de constance. En préférant de manière ostentatoire les opérations coups de poing, d’ailleurs rares, à l’action empirique, efficace et soutenue dans la quotidienneté de ces lieux et de ces cités où la France, je le répète, est à reconquérir.

    Il me semble qu’on passe trop de temps à expliquer les motifs de notre effondrement et de notre dépossession mais qu’on met trop peu d’énergie pour y remédier.

    Non pas que ce soit aisé mais j’incline à croire que rien ne s’accomplira jamais si on ne tient pas pour nécessaires quelques données.

    On a bien compris que l’autorité était discutée partout et à tous les niveaux et que ce délitement ne diminuera pas au fil du temps. Ce constat fait, il est essentiel que l’Etat et les pouvoirs publics n’en prennent pas seulement acte mais s’engagent pour le réduire, s’y opposer, s’imposer et manifester, à chaque arbitrage significatif, que la France officielle, légale n’a pas vocation à passer sous la table démocratique au profit des multiples dissidences qui la fracturent et se comportent comme si elles étaient chez elles et persuadées de ne jamais en être délogées.

    On ne peut pas systématiquement accuser la police d’inaction et se plaindre de ses interventions trop rares et toujours dangereuses dans les cités si on continue, même au plus haut niveau, à ne pas la soutenir systématiquement, sauf preuve de transgressions irréfutables de sa part, en la présumant coupable quasiment à tout coup. Une police qui, dans les situations difficiles qu’elle est amenée à affronter, n’a pas la certitude d’une adhésion à la fois politique et républicaine, est une police tentée par l’abstention plus que par l’action, répugnant aux crises et aux tensions inévitables au profit d’un abandon tactique et d’une fuite habile de ses responsabilités. Une attitude solidaire de l’Etat, ne se lavant pas les mains lâchement, comme trop souvent, des risques et des conséquences préjudiciables des missions de police, aurait pour effet de susciter plus de confiance chez celle-ci et donc plus de maîtrise de son pouvoir au quotidien.

    Il n’y aura pas la moindre chance de restaurer l’ordre républicain partout où il est nié si la multitude des opérations contraignantes et vigoureuses nécessaires à cette fin n’est pas approuvée, validée, légitimée et défendue par les autorités politiques.

    On me cite trop l’exemple de New York et de Rudolph Giuliani son maire de 1994 à 2001 – avec sa tolérance zéro et son éclatante réussite – au regard de notre “guerre” française pour l’instant perdue pour que je ne m’y arrête pas pour conclure. Je ne connais pas l’ensemble des modalités procédurales qui entravaient ou facilitaient l’action de ce responsable d’exception mais il est certain qu’il devait bénéficier d’une latitude autorisant une large autonomie de sa part et d’une relation exemplaire avec la justice new-yorkaise. Rien n’aurait pu prospérer sans cette double condition.

    Est-il même utile de souligner combien chez nous les rapports entre magistrature et police, entre le pointillisme de l’une et l’efficacité de l’autre sont biaisés, contradictoires, parfois même hostiles ? Bien au-delà du militantisme du Syndicat de la magistrature !

    Reconquérir la France ! Ce n’est pas une injonction vide de sens, une provocation. C’est l’obligation que se formule un citoyen navré de l’impuissance de son pays, de l’impunité des désordres et des violences et de l’acceptation apparente d’une fatalité qui n’en est pourtant pas une.

    Reconquérir la France ! Une exigence républicaine, une condition de survie.

    Philippe Bilger

    Texte repris du site Philippebilger.com

    https://fr.novopress.info/

  • La banlieue et les « deux mâles blancs », par Guy Rouvrais

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    9117-20180525.jpgL’originalité du plan banlieue d’Emmanuel Macron est que ce n’est pas un plan banlieue quoiqu’il en ait toutes les caractéristiques, mais il lui fallait faire dans l’original ; il a donc expliqué qu’il ne s’agissait que d’un ensemble de mesures cohérentes tourné vers l’avenir, ce qui pourrait être la définition d’un plan. Mais, il n’y croit plus pour la banlieue « parce que cette stratégie est aussi âgée que moi », a-t-il dit, ce qui a donné un coup de vieux à Borloo. Le chef de l’Etat a donc tenu un long discours de près de deux heures à l’intention des habitants des quartiers qui « ne croient plus dans les grands discours. » Il a ajouté cette étonnante précision : « ça n’aurait aucun sens que deux mâles blancs ne vivant pas dans ces quartiers s’échangent un rapport. Ça ne marche plus comme ça. » S’il avait parlé de « deux femelles noires », on aurait vu le ban et l’arrière-ban des organisations antiracistes et féministes monter au créneau, mais là, les « deux mâles blancs » évoqués de façon péjorative n’émeuvent personne…

    Ce qui différencie le non-plan Macron des plans antérieurs est qu’il n’en détaille pas le coût, ce qui est prudence au moment où il laisse filer les dépenses publiques sous le regard inquiet de Bruxelles. Mais le reste y est ! Et notamment la « discrimination positive » qui incite – avant d’obliger – les entreprises à privilégier l’embauche des jeunes des « quartiers », lesquelles entreprises étant en même temps systématiquement soupçonnées de discrimination raciale et que l’on va piéger par le « testing », vieille ficelle de SOS Racisme pour hurler à la discrimination lorsque la candidature d’un « jeune » des banlieues au CV trop léger n’est pas retenue. Alors que le non-plan Macron vise à en finir avec « l’assignation à résidence » des habitants des « quartiers populaires », il l’accentue et l’officialise en leur offrant un statut privilégié. Lequel se retournera contre eux, certains se demanderont toujours s’ils doivent leur emploi à leurs compétences individuelles ou à leur appartenance à une « zone prioritaire ». Les jeunes qui « galèrent » dans les banlieues non prioritaires n’auront droit à rien, ils n’avaient qu’à habiter ailleurs…

    Le président a déploré l’antisémitisme renaissant sans le lier au fait que nombre de ces banlieues sont sous la coupe des islamistes qui, de fait, y font la loi. Après la parade provocatrice d’une bande de voyous arrosant un quartier de Marseille à la kalachnikov, le chef de l’Etat ne pouvait pas ne pas évoquer le trafic de drogue qui pourrit les cités. Mais ça pourra attendre encore un peu ! Il va y avoir un « un plan de mobilisation générale » mais pas avant le mois de juillet. Faut-il penser que, jusque-là, il n’y avait qu’un plan de mobilisation relative et que, grâce à l’épisode marseillais, elle est devenue générale ?

    La seule vraie nouveauté qui aurait pu être positive, eût été la communication aux maires des fichés S de leur commune. Mais ce n’est pas le cas, contrairement à ce que l’on a dit un peu hâtivement. Il a, au contraire, déclaré qu’on ne « peut pas dévoiler » l’identité des fichés S, il s’est simplement engagé à instaurer un « dialogue systématique » entre les maires et les préfets sur les « personnes identifiées comme les plus à risques ». Encore un effort, Monsieur le président !

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 23 mai 2018

    https://fr.novopress.info/210884/la-banlieue-et-les-deux-males-blancs-par-guy-rouvrais/

  • Le vrai plan banlieue : quand chez toi devient chez eux – Cyril Raul (Les Identitaires)

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    Communément, l’expression « plan banlieue » évoque un énième plan d’aides aux quartiers immigrés, synonyme de milliards dépensés en pure perte pour acheter une hypothétique paix sociale. L’objectif affiché : « intégrer » ces quartiers au reste de la société française. Pourtant, le vrai « plan banlieue », celui palpable, concret, tangible, désigne un mécanisme inverse, un phénomène d’ampleur qui ravage nombre de nos villes et de nos villages. Le véritable « plan banlieue », qui s’étend actuellement partout en France, ce n’est pas la politique de la ville qui s’applique à la banlieue, mais la « politique » de la banlieue qui s’applique dans nos villes.

    Pour tâcher d’être plus clair, voici comment se déroule un vrai « plan banlieue », dans la vraie vie. Prenons un exemple très concret, celle d’une petite ville de la « France périphérique » de 7000 habitants, appartenant pour la plupart à la petite classe moyenne blanche rurale ou semi-urbaine. Un centre-ville jusque-là agréable avec quelques commerces. Mais aussi un « quartier sensible » dont les habitants sont très majoritairement issus de l’immigration maghrébine et africaine.

    Première étape du vrai « plan banlieue » : des habitants de la cité commencent doucement à fréquenter le centre-ville. Ils investissent notamment les bistrots, et surtout leurs terrasses. Une fois installés (face à la rue, si possible), ils commandent un café. Le fameux « café en terrasse » : combien de patrons n’en servent plus ou appliquent des tarifs prohibitifs afin de prévenir ce type de phénomène dans leur établissement ? Car une fois leur terrasse investie par cette nouvelle clientèle, les passants ne s’arrêtent plus, les habitués viennent de moins en moins : pour le bistrot, c’est fini. Les nouveaux « clients » se montrent, sont bruyants, fixent les badauds. Ils occupent et imprègnent les lieux.

    Deuxième étape du vrai « plan banlieue » : les habitants de la ville commencent discrètement à se plaindre du bruit, des incivilités, de l’insécurité. Des mobylettes qui tournent dans le centre-ville tard le soir. Des « petits groupes » qui investissent la place. Les discussions entre habitants du quartier évoquent ces cas d’un voisin qui s’est fait agresser, de cette jeune fille qui s’est faite insulter. On parle de ces regards insistants, pesants. Le centre-ville finit par être progressivement déserté.

    Troisième étape du vrai « plan banlieue » : le taux de fréquentation du centre-ville chute, le prix de l’immobilier s’écroule, les commerces mettent la clé sous la porte. Le taux de vacance commerciale explose. Un kebab ouvre. Puis un deuxième. L’occupation du quartier devient totale : ils sont désormais chez eux, chez vous. Le « plan banlieue » est terminé. La ville ne s’en remettra pas.

    Ce modèle de « plan banlieue » s’applique silencieusement depuis 40 ans. Mais il n’a jamais aussi bien fonctionné puisqu’il touche aujourd’hui tous les types de villes, y compris celles de quelques milliers d’habitants situées dans la France périphérique, loin des banlieues des grandes agglomérations françaises.

    Dans une interview pour le Figaro, Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion et Stratégies de l’Ifop, affirme ainsi qu’« on observe un phénomène de généralisation et de dissémination de ces problématiques sur l’ensemble du territoire national et plus seulement à la périphérie des métropoles ou dans le fameux « 9-3 »(…). Il n’existe plus une préfecture ou sous-préfecture française qui n’ait pas son quartier « chaud ». Et le phénomène s’étend à des territoires encore plus petits. Ainsi à Trèbes, village de 5600 habitants, on compte aussi une zone « sensible », le quartier de l’Aiguille. Derrière le discours officiel de la « petite ville de province où tout le monde se connaît » se cache une autre réalité : Marine Le Pen y a fait 48 % au second tour de la présidentielle ».

    Le vrai « plan banlieue » n’est pas un plan concerté. Il n’est que la conséquence pratique de l’immigration massive (la force du nombre) couplé avec l’esprit de revanche et sa logique tacite de conquête. Il se construit autour d’un rapport de force implicite mais permanent, décrit sans détour par le géographe Christophe Guilluy dans son livre La France périphérique : « Ces terres de contacts sont aussi celles du séparatisme et d’une « lutte » non dite pour le territoire, et notamment des lieux symboliques que représentent par exemple le centre-ville ou la place du village. Qui baisse les yeux ? Qui prend le pouvoir symbolique, celui de la rue ? ». Le vrai « plan banlieue » se nourrit de la lâcheté de nos gouvernants (des ministres aux maires), mais aussi, chacun doit l’admettre, de nos petits renoncements du quotidien. Pour l’instant, les villes, les villages et les quartiers encore préservés du « plan banlieue » sont ceux où les « terres de contacts » dont parle Christophe Guilluy parviennent encore à être évitées. Jusqu’à quand ?

    Cyril Raul

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/

  • Face cachée du Ramadan : faux jeûne, business, orgies de nourriture, indigestions massives, gaspillage, dégâts sociaux

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    Le terme « jeûne » n’est pas forcément adapté pour désigner les pratiques islamiques du ramadan… qu’on ne peut plus rater en France.

    Certes, le fait de ne pas avoir le droit de boire de l’eau pendant tout le jour est dur, voire inhumain quand il fait chaud (et cela interroge sur la religion qui impose de tels préceptes).

    Pour le reste, certains parlent du « mois de la nourriture » !

    En Algérie, en 2010, le nombre de personnes admises aux services des urgences médicales après l’Iftar (repas de rupture du « jeûne ») durant les 10 premiers jours du « mois sacré » avoisinait les 10 000. « La quasi-totalité des cas personnes souffrant de troubles digestifs, d’hypertension et de troubles de diabète ont été enregistrés au niveau des hôpitaux du nord du pays », a indiqué à Echorouk le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), le professeur Mustapha Khiati.

    Au Qatar, dès le soir du premier jour du ramadan, les hôpitaux ont reçu en 2013 des dizaines de patients souffrant de douleurs. Douleurs non pas dues un manque de nourriture ou d’eau, mais à l’inverse dues à un excès.

    En effet, les patients, qui se sont suralimentés au cours de l’iftar, se sont plaints principalement de brûlures d’estomac, et de vomissements répétés. Tout au long du ramadan, les hôpitaux qataris reçoivent régulièrement des patients ayant trop mangé. En 2015, une centaine de personnes ont été admises au service des urgences au cours de la première nuit du ramadan.

    Le ramadan est aussi l’occasion d’un formidable gaspillage de nourriture :

    « Les musulmans jettent plus de 40 % des plats préparés chaque jour pendant le Ramadan. » C’est le constat d’une étude réalisée par Mohammed Aman, un écologiste du Bahreïn spécialiste de l’environnement et des déchets. « Les gens ont tendance à multiplier par trois la quantité de nourriture qu’ils consomment durant l’Iftar », ajoute-t-il.

    Par ailleurs, en Algérie, femmes et enfants battus au sein du foyer durant le ramadan : +120% ; rixes et disputes causant des blessures : +400% ; voies de fait, agressions : +320% ; vols de voitures, escroqueries, faux et usage de faux : +180% ; rendements dans les entreprises : -62% ; nombre de sinistres : +410% ; nombre de blessés : +214% ; nombre de décès : +80%. Ces chiffres ne sont pas le fait d’islamophobes rabiques, mais résultent d’une enquête menée par l’institut algérien Abassa, dans 24 régions administratives d’Algérie, auprès d’un échantillon représentatif de 3.004 individus. L’objectif de cet institut était d’identifier et de quantifier les principales conduites sociales individuelles et collectives durant le mois du Ramadan. On voit les résultats… Depuis, l’Institut Abassa a été démantelé par les autorités algériennes.
    http://www.contre-info.com/face-cachee-du-ramadan-faux-jeune-business-orgies-de-nourriture-indigestions-massives-gaspillage-degats-sociaux#more-45206

  • LOGEMENT : LES EFFETS PERVERS DE L’IMMIGRATION

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    Depuis deux mois, maintenant, j’ai quitté Paris pour le soleil du midi. Sans regret aucun, sinon pour y avoir laissé des êtres chers, mais je ne supportais plus de voir une ville où j’ai passé quatre décennies devenir ce qu’elle est aujourd’hui. Je « remonte » à la capitale régulièrement, et plus le temps passe, plus cela m’est pénible !

    Outre la qualité de vie – une expression pleine de sens –, je cherchais de la place. De l’espace. Je l’ai trouvé. De quoi, très largement, me faire entrer dans les catégories de l’INSEE dont je vous parlais l’autre jour : je vis désormais dans un appartement en « sous-peuplement très accentué ». Très très accentué, même. Pire que ces égoïstes qui « ont tendance à conserver leur logement après le départ des enfants du domicile familial ou le décès du conjoint », j’en ai acquis un tout exprès pour y recevoir la famille et les amis, et j’espère bien pouvoir en profiter.

    C’est mesquin, honteux sans doute car dénué de charité chrétienne, mais c’est ainsi. Ayant passé mon enfance provinciale dans une longère où nous dormions à trois par chambre, et vingt ans à quatre dans un modeste appartement parisien, je m’offre aujourd’hui ce grand luxe qu’est l’espace.

    Passé ce petit préambule, j’aimerais justement vous livrer quelques réflexions sur le logement. Une question qui peut sembler secondaire en regard de tant d’autres problèmes mais qui est, incontestablement, la cause de la frustration de bien des Français.

    Voilà, pour illustrer, trois histoires qui touchent des proches et disent, sans qu’il soit besoin de commentaires, toute l’absurdité de notre système.

    Une amie vend à la frontière des XVIIe et XVIIIe arrondissements de Paris un appartement de 76 m2 pour la coquette somme de 780.000 euros. Elle part dans le IXe où, pour 760.000 euros, elle va s’installer dans un appartement de 64 m2 où il lui faut faire des travaux.

    Un couple d’amis avait acheté, voilà dix ans, un appartement de 65 m2 dans les immeubles neufs qui font face à la gare RER d’Évry, la bonne ville de Manuel Valls. La location arrivant à son terme, ils souhaitent le vendre. Il est en parfait état. Acheté 175.000 euros, ils ne trouvent pas, aujourd’hui, preneur à 130.000.

    Madame X., âgée, est partie en maison de retraite. Pour payer les frais, ses enfants ont vendu l’appartement dans lequel elle s’était installée après son veuvage. (Ex)-beaux quartiers de Poitiers, belle prestation : 70 m2, salle d’eau et salle de bains, parties communes bien entretenues, deux chambres. Ils l’ont très péniblement vendu… 70.000 euros ! Pourquoi ? Parce que la municipalité a installé en face des logements sociaux pour y abriter des populations « allogènes » venues de la capitale avec ses mœurs et ses trafics.

    Paris ne compte plus, désormais, que des gens « très riches » – soit parce qu’ils sont depuis longtemps propriétaires d’un logement dont les prix flambent de façon délirante, soit parce qu’ils appartiennent à une classe sociale extrêmement aisée ; face à eux, des logements sociaux. Entre ces deux extrémités, on ne trouve plus personne. Les cadres moyens fuient vers la banlieue, qui se met elle aussi à flamber. Un jeune couple qui s’est installé voilà cinq ans à Montreuil dans une maison d’à peine 90 m2 où il a fallu faire de lourds travaux, payée 347.000 euros, s’en voit proposer aujourd’hui 650.000 !

    J’ai discuté avec mes déménageurs. Ils parcourent la France, doivent souvent dormir à l’hôtel. Seulement voilà, ils ne trouvent plus d’hôtels à bas prix : tous ou presque, en périphérie des grandes villes, sont réquisitionnés pour y loger à l’année des immigrés.

    Les déménageurs sont payés au SMIC. Que croyez-vous qu’ils pensent lorsque le patron les engueule parce qu’ils n’ont pas trouvé une chambre en dessous de 100 euros la nuit ?

    Les beaux esprits nous serinent que « les populistes » se trompent ou, pire, qu’ils vivent dans le fantasme : faux, l’immigration ne coûte pas cher à la France ! Reste qu’elle coûte probablement très cher aux Français en qualité de vie, en pertes individuelles, en désespoir parfois.

    http://www.bvoltaire.fr/logement-effets-pervers-de-limmigration/

  • Balkans : nouvelle barrière anti-immigration

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La Croatie fait face à une nouveau flux migratoire arrivant depuis la Bosnie. L’objectif des migrants n’a pas varié : rejoindre l’Europe Occidentale, en passant par la Slovénie. Ce dernier pays pourrait se retrouver dans un avenir proche avec 60.000 clandestins bloqués à la frontière de l’Autriche peu encline à les laisser entrer.

    Cette nouvelle route balkanique traverse l’Albanie, le Monténégro, la Bosnie-Herzégovine avant de rejoindre la Croatie puis la Slovénie. Alors que la Croatie reste passive pour le moment, le Monténégro semble quant à lui décidé à empêcher ce scénario d’advenir. Vojislav Dragovic, chef du département de la police des frontières au ministère de l’Intérieur du Monténégro a déclaré à la télévision publique que la construction d’une barrière frontalière avec l’Albanie était envisagée.

    D’autant que l’Albanie ne semble pas disposée à reprendre les clandestins qui arrivent au Monténégro, en dépit d’accords bilatéraux entre le Monténégro et l’Albanie. La Hongrie a déclaré être disposée à offrir au Monténégro 25 km de grillage frontalier sur les 172 km que compte la frontière. Un bel exemple de coopération européenne !

    https://fr.novopress.info/

  • Facebook : les identitaires, la censure et les libertés publiques

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    La suppression par Facebook de la page de Génération Identitaire, qui rassemble plus de 200.000 abonnés, a suscité un vif débat public. Dominique Reygnié, directeur général de la Fondapol, s’en est ému dans une tribune parue dans le Figarovox.

    Selon lui, « la question posée par la fermeture du compte de Génération identitaire est, à proprement parler, cruciale : il s’agit de savoir si nous sommes engagés dans un processus de privatisation de nos libertés publiques et en dehors de tout contrôle de type juridictionnel ou parlementaire. »

    Nicolas Bay, patron du Front national au Parlement européen, a lui aussi soulevé la question de cette censure politique et directement interpellé le président-fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, auditionné hier par les députés européens. Ce dernier s’est contenté d’une réponse évasive affirmant qu’il était très attaché à la liberté des opinions politiques.

    https://fr.novopress.info/