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immigration - Page 922

  • Le procureur de la République François Molins prévient : “La menace terroriste reste à niveau élevé”

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    Ce mardi 23 janvier, le procureur de la République de Paris a répondu aux questions d’Elizabeth Martichoux et d’Yves Calvi.

    Un certain nombre d’éléments permettent de penser que quelque chose se préparait, on est confrontés à une menace qui a muté. Des gens pas connus des services de renseignement.

    Il n’est pas exclu d’avoir des participations de femmes et de mineurs dans des combats terroristes. Il faut inventer des dispositifs de prise en charge des enfants qui ont vécu dans des conditions qui ne sont pas normales, qui ont assisté à des décapitations, qui voient des armes à la maison tous les jours.

  • LA PRISON, HAUT LIEU DU MAL FRANÇAIS ! (1)

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    Le monde carcéral français est, une fois de plus, en ébullition. La prison est un haut lieu du mal français. Depuis des décennies, plus précisément depuis le court passage de la droite au pouvoir entre 1986 et 1988, et le moment plus succinct encore où elle fut vraiment de droite, les gouvernements français ont renoncé à voir et à mesurer le problème de l’incarcération. Madame Taubira n’a fait que pousser cet aveuglement jusqu’à son paroxysme idéologique. La lâcheté du monde politique et du microcosme au pouvoir, hauts fonctionnaires et communicants, plus préoccupés des carrières que du sort des victimes ou du rétablissement d’une hiérarchie efficace des sanctions, a répondu à deux impératifs : réduire la dépense et obéir à l’idéologie dominante, la culture de l’excuse.

    La prison était donc considérée comme une solution honteuse et trop coûteuse, accusée de tous les maux. On fustigeait, par vagues, sa surpopulation. On critiquait son statut d’école du crime. On surveillait de près ses fautes au travers d’un « Contrôleur des lieux de privation de liberté » en dénombrant les suicides, en pointant les conditions indignes de détention. On cherchait les substitutions à l’enfermement, tellement plus économiques sous prétexte d’être plus humaines. On voulait, avant tout, améliorer le confort de la détention en favorisant la cellule individuelle, en permettant le maintien des liens affectifs et intimes, en songeant, récemment, à faciliter les conversations téléphoniques.

    Les agressions subies par le personnel pénitentiaire, méprisé, insuffisamment nombreux, et surtout coincé entre les détenus difficiles et une hiérarchie détachée de la réalité quotidienne, ont brisé l’écran de protection. Le ministre Nicole Belloubet, hué par les surveillants, a payé pour les petits marquis de notre République, les énarques qui ont traité cette question méprisable avec dédain et dont la caste calamiteuse pour le pays est incarnée par le sieur Macron.

    Il faut d’abord établir les faits : contrairement à ce que disent les médias, la France n’emprisonne pas à tour de bras. Elle est laxiste dans ses décisions judiciaires et plus, encore, dans leur exécution. La surpopulation carcérale ne provient pas d’un trop grand nombre d’incarcérations mais d’un nombre insuffisant de places de détention et d’une lenteur des procédures judiciaires. Si la France était au-dessus de la moyenne européenne pour la sur-occupation, avec 113,4 détenus pour 100 places, en 2015, alors que la moyenne de l’Union européenne était de 94,1, en revanche, son taux d’incarcération est l’un des plus faibles : 98,3 pour 100.000 habitants. La moyenne européenne est de 115,5. Le Royaume-Uni est à 146,4 pour le nombre des détenus pour 100.000 habitants, mais avec un taux de 97,3/100 d’occupation des places. Le calcul est simple : la France punit moins, mais n’a pas assez construit de cellules !

    Autre défaut majeur : la lenteur de notre système judiciaire. Ce sont les maisons d’arrêt qui accueillent les détentions provisoires et les condamnés à moins de deux ans qui sont surpeuplées. La comparaison avec les Pays-Bas est éclairante : ce premier de la classe a un taux d’occupation de 76,9/100 et un taux d’incarcération de 53,1 pour 100.000… Mais les décisions d’emprisonnement sont de 252, contre seulement 130 pour 100.000 en France parce que la Justice néerlandaise est plus rapide et, loin d’emprisonner moins, emprisonne moins longtemps. En France, non seulement la Justice est lente, mais les exécutions de ses décisions sont plus lentes encore : 100.000 personnes qui devraient être en prison n’y sont pas. Si le laxisme des juges voire le gauchisme de certains peuvent être mis en cause, la triste vérité, c’est surtout que la France ne consacre pas à la Justice les moyens nécessaires. Son budget pointe au 23e rang sur 28 en Europe : c’est une honte ! Aussi, l’augmentation des postes du personnel pénitentiaire annoncée (1.100 emplois sur quatre ans) est-elle un emplâtre sur une jambe de bois. La Justice a besoin d’une révolution et non d’une ou plusieurs réformettes.

    http://www.bvoltaire.fr/prison-haut-lieu-mal-francais-1/

  • Prisons islamisées : vers le blocage total

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    9035-20180124.jpgAlors que quasiment pas un jour ne s’écoule sans que des agents pénitentiaires soient ici ou là attaqués et blessés par des détenus islamistes depuis le 11 janvier et l’agression de trois surveillants de la prison de Vendin-le-Vieil par l’islamo-terroriste Ganczarski (Présent du 16 janvier), leurs syndicats réagissent.

    Dimanche soir encore, deux surveillants de la prison de Longuenesse ont été sauvagement agressés par un détenu armé d’un pied de table métallique. Gravement blessés, ils ont immédiatement été transférés à l’hôpital. Deux jours auparavant, ce sont deux gardiens de la prison de Borgo, où les détenus ont le droit de circuler librement, qui ont été violemment attaqués et blessés à coups de couteau par un détenu islamiste. Témoin de la scène, un de leurs collègues racontera même sur BFMTV comment l’agresseur leur a porté « des dizaines de coups de couteau » avec la volonté flagrante de les tuer et confiera travailler en permanence avec « la peur au ventre ».

    Un sentiment général, rapporté par un autre gardien dans un édifiant reportage récemment publié par Paris Match, sous le titre « Les prisons françaises sous la coupe des islamistes ». En effet, a confié cet agent, « avant, chaque matin, j’avais peur de trouver un gars pendu dans sa cellule », mais maintenant ce que je redoute c’est « qu’on m’égorge, qu’on me décapite, qu’on me plante une lame dans le dos. Au nom de l’islam et de Daesh. Tous les jours, en allant travailler, j’ai cette peur qui me bouffe le ventre ».

    Pour un « Guantanamo à la française »

    Une situation inadmissible, qui a valu au garde des Sceaux de se faire copieusement huer vendredi à Borgo, et face à laquelle les syndicats exigent du gouvernement une réaction ferme. Or, une fois de plus, la réponse de celui-ci n’a pas été à la hauteur.

    Alors que, depuis 2015, le nombre d’islamistes incarcérés a littéralement explosé et que l’on s’attend au retour de centaines de « revenants », pas question un seul instant de créer un « Guantanamo à la française », comme le proposait en 2016 le député LR Georges Fenech. Et encore moins de rétablir la peine de mort pour les terroristes. Pour seule réponse, le ministère a proposé la création de 1 100 emplois de surveillants en quatre ans, « dont une première tranche de 100 emplois dès 2018 », ainsi que de vagues mesures censées améliorer la sécurité des gardiens et un « régime de détention défini » pour les « détenus terroristes et radicalisés ».

    Qualifiant ces propositions de « poudre aux yeux », l’Ufap-Unsa, la CGT-Pénitentiaire et FO-Pénitentiaire ont unanimement rejeté samedi ce projet d’accord et ont appelé à un « blocage total » des 188 établissements en France « à partir de 6 heures lundi ».

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 23 janvier 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Bilan 2017 de la politique immigrationniste en Ile-de-France : 436 000 titres de séjour délivrés

    Voici un extrait du courrier du Préfet de la région d'Ile-de-France, Préfet de Paris et du Préfet de Police, Préfet de zone de défense et de la sécurité de Paris, relatif au bilan 2017 de la politique immigrationniste en Ile-de-France :

    Capture d’écran 2018-01-22 à 20.39.10Capture d’écran 2018-01-22 à 20.40.00

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LA PRISON, HAUT LIEU DU MAL FRANÇAIS ! (2)

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    L’image est tragique pour notre pays : des surveillants de prison désarmés face aux détenus les plus violents se trouvent maintenant face à des CRS bien équipés qui n’hésiteront pas à les déloger si on leur en donne l’ordre. Le mot « ordre » prend ici un sens grotesque et paradoxal puisqu’il exprime le désordre qui règne dans notre pays que les utopies et la démagogie de la gauche comme la lâcheté de la prétendue droite ont depuis longtemps mis cul par-dessus tête.

    L’État est devenu une nounou obèse débordante d’assistance et qui préfère, en outre, offrir des niches douillettes à ses favoris inutiles plutôt que de remplir ses vraies obligations. Au premier rang de celles-ci figure, bien évidemment, la Justice. Les dépenses, dans ce domaine, sont deux fois plus faibles par habitant qu’en Allemagne ! Celle-ci consacre 146 euros à la Justice par habitant, la France 72, mais le Royaume-Uni 155 ! Le nombre de ses juges est dramatiquement insuffisant, avec 10 juges pour 100.000 habitants, quand la moyenne européenne est à 21 ! Insuffisamment nombreuse et mal équipée, notre magistrature est donc l’une des plus lentes. Un jugement prend en moyenne 304 jours contre 19 au Danemark et 91 aux Pays-Bas. C’est ce qui explique la surcharge des maisons d’arrêt saturées par les détentions provisoires et, paradoxalement, le nombre de décisions d’incarcération non appliquées par manque de place. La Justice pénale est prise en étau entre la gestion hôtelière du parc pénitentiaire et la politisation gauchiste d’un certain nombre de magistrats. Le résultat est aberrant : bien des séjours en prison sont trop longs, mais beaucoup de condamnés demeurent en liberté.

    L’idéologie « progressiste » qui domine dans les médias en profite pour glisser sa désinformation. Les prisons seraient surpeuplées parce que la Justice condamnerait trop à la détention. C’est le mythe du « tout carcéral ». En fait, le taux d’occupation français est excessif non parce qu’on enferme trop, mais parce qu’on n’a pas construit suffisamment de cellules. La comparaison avec l’Allemagne est éclairante : il y a, outre-Rhin, 95,8 détenus pour 100.000 habitants et un taux d’occupation de 98,7 %. En France, c’est 91,6 détenus pour 100.000 habitants, mais un taux d’occupation de 114,8 % en 2016. Le verre déborde non parce qu’on y verse trop d’eau, mais parce qu’il est trop petit. L’usage de peines de substitution ne doit pas être un artifice pour faire baisser les taux d’occupation mais un dispositif lourdement encadré.

    Est-ce dans cet esprit qu’on recourt au gadget du bracelet électronique ? Évidemment, non ! L’un des assassins du père Hamel en portait un !

    De même, l’utilisation des travaux d’intérêt général, auxquels j’avais consacré un rapport, demande un encadrement méticuleux et exigeant dont la Suisse donne l’exemple. L’idée que la privation de liberté constitue la totalité de la peine qui doit être vécue dans la dignité, voire le confort, est une stupidité. Elle conduit à son contraire, à des détenus provisoires dormant sur des matelas à même le sol, à cinq dans une cellule, tandis qu’ailleurs, un condamné passe son temps devant la télévision, avec bientôt le téléphone ! J’estime qu’en dessous de six mois de condamnation, les TIG devraient systématiquement remplacer la détention.

    La revalorisation du personnel pénitentiaire est une priorité. L’exemple de Singapour est intéressant. Il procède du concept de « Total Defence » qui intègre tous les services de sécurité intérieure. Tous protègent les citoyens et doivent être animés du même esprit. C’est ainsi que policiers, pompiers et gardiens de prison reçoivent une année de formation commune. Bien évidemment, cela passe par une augmentation des traitements qui rendra ces professions attirantes. Actuellement, 70 % des candidats au concours des surveillants de prison ne se présentent pas : on ne se fait pas tuer pour 1.400 euros par mois. Toute agression contre un membre de ce corps unique devrait être sanctionnée avec une sévérité extrême.

    Les solutions existent. Elles sont hors d’atteinte en raison de la situation budgétaire du pays, de l’idéologie qui y règne, des mauvaises habitudes dont on ne veut pas se défaire et, plus encore, par un manque total de courage politique.

    http://www.bvoltaire.fr/prison-haut-lieu-mal-francais-2/

  • Nouvelle victoire judiciaire pour l'Agrif

    La cour d’appel de Nancy vient d’infirmer très sévèrement l’invraisemblable jugement du tribunal de Briey sur la profanation du cimetière par deux jeunes inspirés par un antichristianisme d’affirmation sataniste. Elle fait droit aux conclusions et à la plaidoirie de Me Jérôme Triomphe, arguant du fait irréfutable d’une volonté idéologique délibérée de profanation anti-chrétienne. Elle juge ainsi :

    « la Cour trouve donc dans les faits mêmes des éléments suffisants pour estimer que le comportement, que les mineurs admettent avoir eu, porte objectivement atteinte au respect de l’identité chrétienne et sont dès lors constitutifs d’une faute civile vis-à-vis de l’AGRIF dont l’objet statutaire est précisément de lutter contre le racisme anti-chrétien ».

    C'est au moins le 40e procès gagné par l'Agrif.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pologne - Immigration, catholicité, UE : les dirigeants polonais ont la parole sur TVL

  • Marine Le Pen soutient totalement le personnel pénitentiaire

    “Je soutiens totalement les revendications et la colère du personnel pénitentiaire”, a déclaré Marine Le Pen dans Les 4 Vérités ce lundi 23 janvier alors que des dizaines de prisons partout en France étaient encore bloquées.

    Très clairement, nous avons dans les prisons françaises des condamnés pour terrorisme qui sont des gens qui ont commis des actes de guerre et auxquels on accorde un système carcéral de droit commun. C’est une véritable folie.

    Il faut pour ces terroristes ou pour ces radicalisés un droit particulier, une procédure pénale particulière, des juridictions particulières et un système carcéral particulier.

    La présidente du FN a donc apporté son soutien total au personnel pénitentiaire :

    Le gouvernement continue une politique de laxisme total à l’égard des fondamentalistes islamistes. Il ne prend pas la mesure de la dangerosité de ces personnes. Et ce sont les gardiens de prison qui paient et en réalité l’ensemble des Français qui paient la note.

  • Surveillants de prison : La situation ne devrait pas s’apaiser de si tôt

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis quelques semaines, la tension est palpable entre l’administration pénitentiaire et les surveillants de prison. La semaine dernière par exemple, plus d’une centaine de prisons étaient bloquées par des surveillants en colère.

    Les négociations entre les deux partis se poursuivent mais n’ont toujours pas abouties. Les blocages devraient donc continuer dans les prochains jours.

    Le conflit actuel est impressionnant par sa durée et son ampleur. Les surveillants s’opposent au climat de violence auxquels ils font actuellement face.

    On recense depuis plusieurs mois un nombre croissant d’agressions de surveillants par des détenus, dont certaines par des islamistes. Le projet propose aux syndicats des surveillants proposait une création de 1100 emplois sur 4 ans avec un renforcement de la sécurité des surveillants. Un projet rejeté dans son ensemble par les syndicats car pas assez ambitieux

    Les surveillants remettent aussi en cause le taux de surpopulation carcérale qui atteint les 200% dans certaines régions comme l’Île-de-France ou le Sud Est.

    Une surpopulation aussi dans le viseur des Nations Unies qui épinglent régulièrement la France sur le sujet. Les derniers ministres de la Justice en particulier Christiane Taubira ont tenté de mettre en place de nouvelles punitions permettant de désemplir les prisons mais mettant potentiellement en danger la sécurité des Français.

    Pendant ce temps là, la situation s’est compliqué dans 2 nouvelles prisons.

    Dans les prisons de Maubeuge et Sequedin, des dizaines de détenus ont refuse de rejoindre leurs cellules. De nouvelles tensions qui devraient s’ajouter à celles déjà présentes.

    https://fr.novopress.info/