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Gilles LEBRETON (FN) 08/07 DANGER ! La France doit absorber la submersion migratoire de l'Italie !
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Romain Bessonnet Le groupe de Visegrad entre mythes et illusions
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Migrants : l’impuissance de l’Union européenne, par Guy Rouvrais
Dimanche dernier, trois ministres de l’Intérieur de l’Union européenne les plus concernés par le flot migratoire (Italie, France Allemagne) se sont réunis à Paris pour préparer des mesures d’urgence face au déferlement des « migrants ». Il s’agissait de préparer le sommet de leurs collègues, ce jeudi, afin de concocter un plan d’action.
Le flux des illégaux ne cesse de croître et d’embellir, il y a quelque ironie à en découvrir aujourd’hui « l’urgence » et songer à un « plan d’action », confessant ainsi qu’il n’y en avait pas ou, plutôt, qu’il en existe mais inefficace pour enrayer le phénomène. L’urgence, en réalité, pour les ministres, c’est la nécessité d’éviter que l’Italie ne ferme ses ports, comme elle menace de le faire, interdisant ainsi aux « migrants » d’y débarquer. Les bateaux seraient alors dirigés vers… la France et l’Espagne. Il est vrai que notre sœur latine paie un lourd tribut au laxisme européen.
En 48 heures la semaine dernière, elle a vu déferler sur ses côtes 12 000 individus et près de 90 000 en une seule année, 500 000 en trois ans. Nos voisins n’en peuvent plus, les moyens manquent, les services sociaux sont débordés. Ce ne sont pas des réfugiés politiques qui viennent, même Macron le reconnaît : « 80 % sont des migrants économiques ».
Selon l’agence européenne Frontex, 93 % de ceux qui débarquent en Italie viennent d’Afrique. Et il n’y a aucune raison que cela s’arrête.
Le « plan d’action » que, dans l’urgence, les ministres de l’Intérieur européens ont esquissé reprend les vieilles recettes qui ont été impuissantes jusqu’ici à enrayer ce déferlement : octroi de crédits à l’Italie, envoi de garde-côtes supplémentaires et tentative de mater les récalcitrants de l’Europe de l’est afin qu’ils acceptent des « relocalisations » de « migrants ». Or, évidemment, ce ne sont pas des solutions mais des attitudes qui, au contraire, nourrissent le problème.
Si les Africains savent que l’on est prêt, non pas à les expulser, mais à les relocaliser, ça ne peut que les encourager à venir !
N’étant pas des réfugiés politiques, ils n’ont pas vocation à être accueillis en Italie, ni ailleurs en Europe. Un nombre dérisoire est reconduit dans le pays d’origine.
Le ministre de l’Intérieur autrichien demande, en vain, qu’ils ne soient pas débarqués mais aussitôt renvoyés chez eux, sans pénétrer sur le territoire de l’Union. A défaut de la fermeture hermétique et effective des frontières, il faut surtout que toute incitation à venir dans l’Union européenne disparaisse et signifier aux candidats à l’exil que violer ses frontières, bafouer notre droit, n’ouvre aucun droit, ne procure aucune aide financière et pas davantage la perspective d’une régularisation. L’Union européenne doit cesser d’être un Eldorado pour que nul ne risque sa vie en voulant la rejoindre. Or, pour être politiquement correct, l’Union européenne, refusant des mesures intransigeantes et dures pour tarir la source de cette immigration illégale, ne peut envisager que des initiatives qui sont cautères sur une jambe de bois. Le plan d’action masque bien mal son inaction et son impuissance.
Guy Rouvrais
Article publié par Présent daté du 8 juillet 2017
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Valls : « La France insoumise se compromet avec les islamistes » : 17 députés au compteur
« Ce n’est pas la première fois qu’il y a de la complaisance à gauche à propos du terrorisme. » – Manuel Valls
Valls surprend. Ou découvre l’eau chaude. C’est un bon comédien ou un naïf patenté, ce qui, en politique, est dangereux.
Celui qui, Premier ministre, nous annonçait que nous devrions « nous habituer à vivre avec le terrorisme », sans nommer son origine pour ne pas se mettre une bonne partie de ses électeurs musulmans à dos, a déclaré mardi 4 juillet sur RMC : « Les candidats de La France insoumise se compromettent avec les islamistes, ils sont dangereux pour la démocratie. »
Il faut dire que ce pauvre Manu, devenu persona non grata d’un PS en soins palliatifs et accueilli froidement du côté de LREM, est dans le viseur d’une Farida Amrani qui lui conteste sa victoire à l’élection législative, allant jusqu’à revendiquer la sienne à quelques mètres de lui, à la mairie d’Évry, le soir du second tour. Pas de bol, le Manu est tombé sur une coriace. Née au Maroc et arrivée en France à l’âge de deux ans, cette quadragénaire est le produit phare d’une immigration opportuniste : formatée à l’école de la République, pur produit du service public (fonctionnaire territoriale), elle coche toutes les cases d’une militante gauchiste et bruyamment revendicarde. Elle crée une section syndicale aux couleurs de la CGT dans l’agglomération Cœur de l’Essonne, puis se tourne vers la lutte politique en harponnant violemment l’édile d’Évry, lors d’une réunion publique sur les rythmes scolaires, qui, devant tant d’audace survoltée, lui suggère alors de monter une liste aux élections municipales ; ce qu’elle s’empresse de faire. Évidemment.
Battue à 139 voix près aux élections législatives, alors que les médias prédisaient déjà la victoire de ce spécimen issu de notre diversité, elle continue le show en contestant les résultats de l’élection et dépose un recours auprès du Conseil constitutionnel pour invalidation, soupçonnant des fraudes et de la tricherie durant le scrutin. Le spectacle de ses militants FI, vociférant lors de la prise de parole de Valls dans l’enceinte de la mairie d’Évry le soir du second tour aux cris de « youyous » endiablés, donne une idée précise du niveau de civilité d’une partie de ses électeurs et militants.
Le pauvre Valls peinant à se faire entendre comme vainqueur, devant une nuée de micros tendus, a découvert ce soir-là l’ambiance d’un hall d’immeuble au cœur de la cité d’Évry et le vivre ensemble pour de vrai, si cher à son cœur d’homme de gauche. Et cela lui a fait l’effet d’un électrochoc, puisque ce nouveau député LREM, du moins jusqu’à preuve du contraire, a osé dénoncer devant Jean-Jacques Bourdin, ce mardi, les liens entre La France insoumise et les islamistes sans y mettre de conditionnel ou l’adoucir d’éventualités.
Il enfonce le clou sur son ancien parti, affirmant dans une interview :
« La gauche est en difficulté sur les questions d’identité. Hollande n’aimait pas les évoquer […] Ce n’est pas la première fois qu’il y a de la complaisance à gauche à propos du terrorisme.
« Il y a une complaisance, parce qu’il y a une gêne et une culpabilité. Les musulmans sont le prolétariat du XXIesiècle, et en plus il y a une question religieuse. »
La gauche a donc abandonné l’ouvrier de Zola au profit d’un vote clientéliste arabo-musulman. Et c’est un ancien Premier ministre qui le dit, osant évoquer jusqu’à la question religieuse, qui soude l’identité arabe à l’appartenance musulmane, comme le temporel au spirituel.
On se doute bien que Valls n’a pas été atteint par la grâce et qu’il faut observer cette prise subite de conscience à travers le prisme d’un opportunisme politique plus que celui de la volonté intuitive de sauver l’identité française. Depuis la guerre d’Algérie, on savait la gauche complaisante avec le terrorisme. Il faut désormais retenir, de la bouche même d’un ancien Premier ministre, que la gauche de Charlie se fourvoie avec l’islam radical par lâcheté.
Parce qu’elle vomit, par tous les pores de son idéologie, le concept d’une identité française potentiellement fière de l’être, la gauche de Taubira, Najat, Peillon, Cazeneuve et consorts préfère se compromettre avec l’islam et nous démettre.
La France insoumise serait donc d’abord insoumise à la République française.
Manuel Valls est un pompier pyromane, mais il a mouillé la chemise en lançant ce pavé dans la mare. Ce qui serait criminel pour l’avenir de la France serait de laisser ses affirmations retomber dans une douillette indifférence coupable.
http://www.bvoltaire.fr/valls-france-insoumise-se-compromet-islamistes-17-deputes-compteur/
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«Un million d'Européens montent une armée populaire contre la crise migratoire»
Des groupes de milice populaire ont commencé à se former dans les villes frontalières des pays d'Europe de l'Est.Plus d'un million de personnes agissent déjà contre les tentatives des réfugiés d'entrer illégalement en Union européenne. De telles associations existent en République tchèque, en Espagne, en Allemagne et en Slovaquie. En Bulgarie, la milice paramilitaire regroupe plus de 50 000 personnes. Cette information a été confirmée par les politiciens de plusieurs pays d'Europe de l'Est selon Izvestia. Pendant ce temps, l'UE est toujours incapable de régler le problème d'affluence de migrants du Moyen-Orient.La politique migratoire de l'UE n'a fait qu'aggraver la situation des pays "tampons" de l'Union. Ainsi la Hongrie, la Bulgarie et d'autres pays d'Europe de l'Est ressentent la plus forte pression des migrants clandestins. Les habitants de ces pays, préoccupés, sont contraints de faire face au flux migratoire par leurs propres forces en formant des milices populaires de volontaires. Dans certains pays, comme en Bulgarie, cette pratique a déjà atteint le niveau étatique: les patrouilles de volontaires disposent d'armes non létales (bombes lacrymogènes, matraques).La Bulgarie est au carrefour des principaux itinéraires de migrants, ce qui crée une tension sociale parmi ses citoyens. Des militants ont créé l'organisation Chipka qui a pour objectif proclamé d'assurer la sécurité du pays contre le flux de migrants clandestins. L'organisation en question a fait part de l'existence de tout un réseau d'organisations européennes similaires qui coopèrent entre elles.La cause de l'apparition de milices populaires est l'incapacité des pays de l'UE à réagir de manière adéquate à la crise migratoire et à maîtriser la vague de réfugiés.Cela fait deux ans que les politiciens européens ne parviennent pas à trouver une solution à la phase aiguë de la crise migratoire qui frappe l'UE. La ligne adoptée par la chancelière allemande Angela Merkel, qui promeut l'ouverture maximale des frontières des pays européens aux réfugiés, est un fiasco. De plus en plus de politiciens européens accusent Bruxelles de politique à courte vue vis-à-vis du Moyen-Orient — ce qui est précisément le fond du problème des migrants selon eux. L'absence d'une ligne de conduite commune en la matière pousse les habitants d'Europe de l'Est à combattre eux-mêmes ce grave problème.Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur de l'article repris d'un média russe et traduit dans son intégralité en français. -
La grande tromperie des organismes officiels de statistiques sur l’immigration
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : En France, deux organismes publics, l’Insee et l’Ined, sont chargés de fabriquer les chiffres de l’immigration. Ces institutions se livrent à trois manipulations principales, qui usent de la même technique : truquer la définition des concepts utilisés, afin d’obtenir des chiffres sans rapport avec la réalité.
Quels sont les chiffres de l’immigration indiqués par l’Insee ? L’Insee indique que la population immigrée en France est de 5,8 millions en 2013. A cela s’ajoutent les « descendants d’immigrés » 6,8 millions en 2008. Au total : 12,6 millions d’immigrés ou de descendants d’immigrés en France.
Ces chiffres masquent la réalité de l’invasion et du Grand Remplacement. Car quand on regarde de plus près les chiffres officiels, on apprend que :
‑ par l’immigration légale, 200 000 non-Européens entrent chaque année en France.
‑ l’immigration irrégulière est estimée à au moins 70 000 par an, soit le nombre des déboutés de leur demande d’asile… jamais expulsés.
‑ on connaît aussi approximativement le nombre annuel des naissances issues de l’immigration non européenne par les statistiques médicales comme la drépanocytose : 300 000.Total des immigrés non européens qui chaque année naissent ou s’installent en France : plus de 500 000, ce qui représente un stock de 15 à 20 millions de non européens.
En 50 ans, d’après les comptes réels, de manière mathématique, les Français de culture européenne seront simplement minoritaires dans leur propre pays.
Où est l’arnaque comptable de l’Insee ? L’Insee utilise une définition biaisée de l’immigration, fausse dans les faits : officiellement, un « immigré » est une personne, résidant en France, née à l’étranger et de nationalité étrangère à sa naissance. Ce qui évacue de ces statistiques tous les immigrés de la troisième génération et des générations suivantes… précisément celles où recrutent les djihadistes !
Ces manipulations statistiques sont indispensables pour que puisse poursuivre la politique immigrationniste sans que la population de souche ne se révolte…
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Macron donne raison aux identitaires : le problème des clandestins existe bel et bien
Emmanuel Macron devant les parlementaires français réunis en Congrès à Versailles a déclaré vouloir « réformer profondément » le système du droit d’asile pour arriver, explique-t-il à un « traitement humain et juste » des demandes des futurs « réfugiés ».
« Nous ne pouvons pas continuer à affirmer notre attachement aux principes du droit d’asile, en nous abstenant d’entreprendre une réforme en profondeur. »
En parallèle à ses déclarations, différentes sources françaises ont dévoilé aux quotidiens italiens que lors de la réunion d’hier soir à Paris entre les ministres de l’Intérieur de France, d’Italie et d’Allemagne, le gouvernement français a clairement refusé l’hypothèse de débarquements de « migrants » dans les ports français. Si les ministres se sont accordés sur un code de bonne conduite pour les ONG, ce qui pourrait calmer pour un temps l’Italie qui menace de fermer ses ports aux débarquements de clandestins, la Marine italienne n’aura pas le droit en revanche de dérouter les bateaux des ONG vers les autres pays européens. La crise migratoire et les multiples déferlements quotidiens d’immigrés illégaux continueront donc à être supportés par le seule Italie au bord de l’explosion économique, sociale, sécuritaire.
Une façon pour les financiers apatrides et les banksters internationaux qui détiennent entre leurs mains le futur économique des pays européens de soumettre les gouvernements de ces derniers, et pour l’instant ils ont jeté leur dévolu sur l’Italie, à leur bon vouloir et à leur étreinte asphyxiante. Et Macron n’est-il pas un des leurs et un de leur atout majeur ?
Francesca de Villasmundo
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Suède : 92 % des viols graves sont le fait d’extra-Européens
(NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
En Suède, 92 % de tous les viols « graves », c’est à dire faits avec violence, sont commis par des clandestins et des réfugiés.La liste des 10 premiers pays de provenance des responsables des viols a été publiée. Elle ne comporte qu’un seul pays non islamique : le Chili.
La plupart des violeurs sont issus d’Irak, d’Afghanistan, de Somalie, d’Erythrée, de Syrie, de Gambie, d’Iran, de Palestine, du Chili et du Kosovo. En tenant compte du nombre de personnes des différentes nationalités en Suède, les Afghans sont 79 fois plus susceptibles de commettre un crime sexuel que les personnes nées en tant que citoyens suédois.