Après l’attentat de Marseille, Stéphane Ravier réagit au micro de Boulevard Voltaire.
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STÉPHANE RAVIER : « JE SUIS UN EXTRÉMISTE DE LA VÉRITÉ EN DÉNONÇANT L’ISLAMISME QUI SE DÉVELOPPE À MARSEILLE »
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L'homme qui a poignardé deux femmes à Marseille sortait de garde à vue
L’homme aurait été arrêté pour une dizaine de faits de délinquance mineurs, notamment des vols et des infractions à la législation sur les étrangers. Il s’agit d’un Algérien ou d'un Tunisien en situation irrégulière.
L'Etat islamique a revendiqué l'attaque.
Jean-Sébastien Ferjou (atlantico.fr) :
«Regardons les origines … Ce sont principalement des maghrébins, il y a eu 1 malien et tous les autres étaient maghrébins.»
Damien Givelet : «Il peut y avoir des tas de raisons aussi, psychologiques, et autres …»
«Si ça vous semble plus confortable de penser que c’est psychologique, très bien. Il me semble qu’il y a gens de personnes qui souffrent de problèmes psychologiques, j’ai pas l’impression qu’ils se jettent tous dans les gares ou ailleurs en criant “Allah Akbar” ! (…) Il faut arrêter d’avoir peur de stigmatiser. Quand on n’aborde pas les choses de front, c’est là où on laisse les choses pourrir.»
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ALERTE ATTENTAT – Deux morts à Marseille, le terroriste islamiste abattu
Un terroriste islamiste a été abattu gare Saint-Charles, à Marseille, après avoir attaqué des passants avec un couteau au cri de « Allah Akbar » : il a tué deux personnes. La police nationale demande d’éviter le secteur où l’opération est toujours en cours.
On apprend dans le même temps qu’un très important dispositif a été déployé hier, comprenant une équipe du Raid, autour de la synagogue de Nîmes, sur la base de menaces réelles et sérieuses d’un attentat imminent.
Et qu’à Toronto, au Canada, un islamiste a foncé dans la foule au volant d’un camion, faisant plusieurs blessés. Un islamiste, et non un « déséquilibré » : un drapeau de Daesh a été retrouvé dans la cabine.
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Clandestins : le budget de l'aide médicale d'État va croître de 108 millions d'euros en 2018
Selon le projet de loi de finances épluché par Capital, le budget de l'aide médicale d'État (AME) va croître de 108 millions d'euros en 2018.
L'AME, mise en place en 1999, permet la prise en charge médicale des personnes en situation irrégulière et résidant en France depuis plus de trois mois. La "droite" au pouvoir n'a jamais osé remettre en cause cette pompe aspirante de l'immigration. En 2018, son budget s'élèvera donc à 910 millions d'euros, soit une augmentation de 13 % par rapport à l'année précédente.
910 millions d'€ en plus pour les immigrés, quand on sait que les Armées ont été privées de 850 millions d'€...
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La Commission européenne veut faire concurrence aux passeurs
Le commissaire européen chargé de l’immigration, le Grec Dimitris Avramopoulos, qui déclarait à Genève le 6 mars dernier que « les Vingt-Sept auront besoin à l’avenir de six millions d’immigrés », cherche à combler la baisse du nombre d’immigrants illégaux arrivant par la Libye. Il a présenté mercredi un plan pour « réinstaller » en Europe au moins 50 000 personnes depuis l’Afrique du Nord et la corne de l’Afrique. « L’Europe doit montrer qu’elle est prête à partager la responsabilité avec les pays tiers », a soutenu le commissaire européen, « les personnes qui ont un vrai besoin de protection ne doivent pas risquer leur vie ni dépendre des passeurs ».
Ce qu’on appelle « réinstallation » ne doit pas être confondu avec la « relocalisation » des immigrants clandestins déjà arrivés en Italie et en Grèce, et que l’on voudrait redistribuer dans toute l’UE selon un système de quotas. La « réinstallation » consiste à faire venir les demandeurs d’asile directement depuis des pays hors-UE.
A ce jour, 23 000 ont été ainsi « réinstallés » depuis des camps de réfugiés situés en Turquie et au Moyen-Orient, et la Commission voudrait maintenant étendre ce système alors que l’Italie vient seulement de réussir, en coopération avec le gouvernement de Tripoli, à mettre à mal le service de navette gratuite pour immigrants illégaux qu’assuraient les ONG européennes avec la bénédiction de Bruxelles et de Berlin (les deux tiers de ces ONG opérant en Méditerranée centrale sont allemandes). Le porte-parole de la Marine libyenne a même annoncé cette semaine que tout bateau d’ONG européenne s’approchant sans autorisation à moins de cent milles nautiques des côtes de la Libye serait désormais séquestré.
La Commission cherche donc à « court-circuiter » (sic) les passeurs, mais aussi les autorités libyennes et italiennes, par un système de « réinstallation », alors même que le système de « relocalisation » de 160 000 demandeurs d’asile en deux ans s’est soldé par un échec puisque, à l’expiration du délai en ce mois de septembre, seuls 29 000 demandeurs d’asile avaient été « relocalisés » depuis la Grèce et l’Italie, sans compter qu’une bonne partie de ces 29 000 immigrants ont déjà disparu dans la nature après avoir été envoyés dans un pays qu’ils n’avaient pas choisi.
Parallèlement, la Commission européenne, par la voix du Grec Avramopoulos, a constaté mercredi qu’il fallait accélérer les expulsions car, au niveau européen, seul un tiers des déboutés du droit d’asile quittent effectivement l’UE. C’est mieux que la moyenne française, mais cela reste une incitation à l’immigration illégale. La Commission propose d’améliorer les procédures d’expulsion, mais si M. Avramopoulos veut encore six millions d’immigrés rapidement, on sent bien que cette proposition n’est qu’un leurre.
Le désastre migratoire provoqué par les politiques européennes a bien entendu mis à mal l’espace Schengen, et la proposition, également avancée mercredi par la Commission, de permettre aux Etats membres de prolonger jusqu’à trois ans les contrôles « provisoires » aux frontières n’est rien d’autre qu’un constat d’échec.
Olivier Bault Article paru dans Présent daté du 29 septembre 2017
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Prière de rue musulmane géante à Clichy-la-Garenne
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :La police encadre une prière de rue géante depuis six mois en banlieue parisienne. C’est dans une vidéo que publie l’Observatoire de l’islamisation qu’on peut s’en rendre compte. A Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), des centaines de musulmans se retrouvent pour prier dans la rue. Bien alignés, ils ont installé un tapis sur la chaussée et des haut-parleurs pour que les rangées les plus éloignées puissent entendre le prêcheur. Ils sont tellement nombreux qu’ils occupent plus d’une voie de circulation pour les voitures.Et cela ne semble pas inquiéter la mairie. Des policiers armés assurent la sécurité de ces gens et font signe aux voitures de circuler. Les organisateurs estiment accueillir au moins un millier de fidèles d’Allah. Rémi Muzeau, le maire Les Républicains de Clichy la Garenne, avait promis tout comme son prédécesseur socialiste de construire une mosquée supplémentaire. L’écrivain et ancien musulman Majid Oukacha, commente la vidéo sur Twitter : « On y voit le résultat de la peur de nos élus laissant l’islam coloniser nos rues ».
D’autant que cette mosquée n’est pas modérée pour un sou. Toujours selon l’Observatoire de l’islamisation qui possède plusieurs vidéos tournées sur place, l’imam qui dirige cette prière du vendredi des musulmans psalmodie le verset 36 de la sourate 9 du coran, dans lequel on peut lire : « Combattez les associateurs sans exception, comme ils vous combattent sans exception, et sachez qu’Allah est avec les pieux ». Ce verset est connu pour être souvent interprété comme un appel à l’extermination des chrétiens et des athées par la force.
D’autres prières de rues non autorisées ont lieu chaque vendredi à Paris. Rue Morand (dans le XIe), elle bloque la circulation. Rue Etienne Marey (XXe) également, les fidèles de la mosquée Anwaar E Madina prient sur le trottoir.
Prières de rues à Clichy-La-Garenne : en mai 2017 c’était déjà le bordel…https://t.co/hJncun9GJM
— Sébastien JALLAMION (@SJallamion) 26 septembre 2017
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La justice pourrait délivrer un « mandat d’amener » contre Gilbert Collard !
La justice souhaitait pouvoir délivrer un « mandat de comparution » et un « mandat d’amener » à l’égard du député FN-RBM Gilbert Collard, a expliqué à l’AFP le député LREM-Modem du Bas-Rhin Sylvain Waserman, d’où la demande de levée de son immunité parlementaire, qui a donc été adoptée par le bureau de l’Assemblée nationale ! « Tous les députés siégeant au bureau se sont prononcés pour, à l’exception de Clémentine Autain (La France insoumise) », rapporte l’Agence France Presse. « Ce qui s’est joué ce matin est une remise en cause de fait de l’immunité parlementaire, dans des délais pas démocratiques […] LREM joue avec le feu », a-t-elle expliqué.
Gilbert Collard peut donc maintenant, à tout instant, être interpellé et conduit devant un juge ! Menottes au poignet ? Pourquoi pas !
Les faits reprochés au député du Gard ? Les mêmes que ceux qui ont déjà valu à Marine Le Pen, en mars dernier, de voir son immunité parlementaire levée par le Parlement européen. Il a osé publier sur son compte Twitter des images de victimes de l’Etat islamique ! Le but étant de dénoncer le « parallèle ignoble » effectué par Jean-Jacques Bourdin sur RMC entre le Front national de Daesh. Gilbert Collard avait accompagné l’image d’un homme assassiné par les islamistes de ce commentaire : « Bourdin compare le FN à Daesh : le poids des mots et le choc des bobos ! »
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Migrants : 3 nouveaux centres de "pré-accueil" vont ouvrir en Île-de-France
Le préfet d'Île-de-France, Michel Cadot, a annoncé l'ouverture de ces centres pour ne plus voir "aucun migrant dans les rues ou dans les bois d'ici la fin de l'année".
Avis d'Orage: Monsieur Michel Cadot, peut aussi commencer à vider la mer à la petite cuillère afin que les plages soient moins humides. Il est probable que le résultat soit aussi efficace que l'ouverture de centres pour les clandestins afin qu'il n'y en ai plus aucuns dans les rues.
Pour compenser la saturation du centre de la porte de la Chapelle (XVIIIe arrondissement de Paris), unique centre humanitaire à Paris, le préfet de la région Île-de-France, Marc Cadot, a annoncé la création de trois centres de "pré-accueil" d'une capacité de 200 à 250 places chacun.Au micro de France Bleu Paris lundi 25 septembre, le représentant de l'État affichait l'ambition de ne plus voir "aucun migrant dans les rues ou dans les bois d'ici la fin de l'année."
Le premier des trois centres est attendu pour le 1er octobre en grande banlieue. Le nom de la ville qui l'accueillera n'a pas été précisé. Le deuxième sera ouvert à Paris intramuros avant le mois de décembre 2017. Quant au dernier, il sera inauguré avant le 1er janvier 2018 en banlieue lui aussi.
Ces centres dits aussi de "pré-orientation" permettront un accueil "inconditionnel" des migrants, ce qui n'empêchera pas une vigilance particulière sur le droit de séjour. L'idée est de "ne plus répondre dans l'urgence" mais de "bâtir un système plus structuré", où les personnes seront "davantage regroupées selon la nature de leur dossier", a résumé Marc Cadot. Les demandeurs d'asile iront en Cada (Centre d'accueil des demandeurs d'asile). Le centre humanitaire, lui, se recentrera sur sa mission d'accueil des primo-arrivants, puisqu'il n'accueillerait "pas forcément les 'dublinés'", a indiqué le préfet.
Ces derniers, qui ont pour "obligation de repartir rapidement vers le pays où ils ont déposé leur demande d'asile", seront orientés vers le millier de places d'hébergement ad hoc créées en Île-de-France depuis l'été.
Un traitement "dès la première minute" des dossiers
Avec ce dispositif, la préfecture veut d'abord régler le problème des campements de migrants à Paris, que l'ouverture du centre humanitaire il y a un an n'a pas résolu. La préfecture cherche également à répondre à la demande du président qui a exigé un traitement "dès la première minute" des dossiers des migrants, en promettant de n'avoir "plus personne à la rue" d'ici la fin de l'année.
http://www.oragesdacier.info/2017/09/migrants-3-nouveaux-centres-de-pre.html
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Immigration : la Commission européenne cède devant les Polonais, Hongrois, Slovaques et Tchèques
Lu sur le blog d'Yves Daoudal :
"On sait que la Commission européenne a lancé des procédures contre les pays qui refusaient de recevoir des « migrants », et que la Cour de Justice de l’UE a donné tort à la Hongrie et à la Slovaquie qui contestaient la légalité de la décision, au motif notamment que le texte remanié n’avait été avalisé que par deux Etats membres… mais ça fait une majorité selon les graves juristes de la CJUE.
Quoi qu’il en soit, le texte est caduc aujourd’hui 27 septembre. Donc on ne peut plus l’appliquer chez les récalcitrants.
Ce même jour, la Commission européenne « recommande un nouveau programme de réinstallation pour conduire en Europe au moins 50.000 des personnes les plus vulnérables ayant besoin d'une protection internationale dans les deux prochaines années ». Et elle a déjà « mis de côté » 500 millions d'euros pour soutenir les Etats membres qui accepteront d’en accueillir (donc 10.000 euros par personne).
Mais, grande nouveauté : la Commission parle bien des Etats qui « accepteront » d’accueillir des « réfugiés ». Il n’est plus du tout question de « relocalisations » forcées décidées de Bruxelles.
Autrement dit les méchants Polonais, Hongrois, Slovaques et Tchèques ont gagné sur toute la ligne…
Les chiens aboient, la caravane passe. Mais les chiens sont fatigués d’aboyer, on dirait…"
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Jean Messiha (FN) : « Personne n’est obligé de venir chez nous ! »
L’énarque Jean Messiha, porte-parole des Horaces, ce groupe de hauts fonctionnaires proches du Front national, a accordé un entretien au magazine Monde & Vie sur la « question identitaire ». « Il faut commencer par dire et par être ce que nous sommes, explique-t-il. Il faut écouter ce cri du tréfonds des âges : “Deviens ce que tu es“, “Connais-toi toi-même“. On peut résumer l’évolution de la situation migratoire et identitaire de manière très simple. Dans les années 50, on disait aux personnes qui venaient en France : “Devenez ce que nous sommes. “C’était l’époque de l’assimilation. En 1980, sous couvert d’antiracisme on a abandonné cette notion au profit de l’intégration que j’appelle de première génération, qui dit aux immigrés : “Restez ce que vous êtes.“ À partir des années 2000, on assiste à l’intégration de deuxième génération, qui est une gradation de la première par laquelle on dit aux immigrés : “Devenons ce que vous êtes.“ »
En conséquence,
« il faut renverser cette évolution régressive. Personne n’est obligé de venir chez nous. Si certains veulent devenir ce que nous sommes, ils sont les bienvenus. Mais nous ne deviendrons pas ce que certains agitateurs parmi eux veulent que nous devenions. La France doit rester la France. »
Celui qui est né égyptien, est arrivé en France à l’âge de huit ans et n’a obtenu la nationalité française qu’à l’âge de vingt ans ajoute :
« Dans les années 80, celles de ma jeunesse, on a appris à ce peuple qu’être français est une honte, que la France était un pays rance, qui a livré des enfants juifs pendant la Deuxième Guerre mondiale, qui a été colonialiste, esclavagiste, etc. L’islamisme s’explique en grande partie, dans ce pays, par le fait qu’on a interdit à une génération de citoyens de se sentir fiers d’être français. À 15 ans, j’aspirais à devenir un Français et on m’interdisait de le devenir. Je me suis retrouvé face à un Mur de Berlin m’enfermant dans mon identité d’origine. J’ai dû consentir, pour devenir français de cœur, à un investissement personnel gigantesque. Mais chez beaucoup, ce mur a produit un effet rebond vers la culture d’origine. »
Et Jean Messiha de conclure ainsi :
« On a voulu instaurer dans les individus cette terre brûlée identitaire, qui correspondait à la culture soixante-huitarde, mais la nature a horreur du vide. Sur cette terre brûlée “laïque“ ont fleuri les cultures d’origine des immigrés et pour beaucoup cela a été l’islamisme. Le consumérisme ne suffit pas aux individus. On ne meurt pas pour son I-Phone ! »
Extraits d’un entretien à lire en intégralité dans Monde & Vie n° 945 daté de septembre 2017
https://fr.novopress.info/207484/jean-messiha-fn-personne-nest-oblige-de-venir-chez-nous/