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immigration - Page 945

  • ITALIE : UNE JEUNE FILLE DÉMEMBRÉE COMPTE MOINS QUE LES « MIGRANTS »

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    Le 31 janvier dernier, deux valises contenant le corps démembré d’une jeune fille de 18 ans, Pamela Mastropietro, étaient retrouvées sur le bord d’une route de la province de Macerata. Ayant préalablement été nettoyée à l’eau de Javel et une partie de ses organes génitaux manquants, les causes de la mort et une éventuelle violence sexuelle sont encore à déterminer. Ce que l’on sait, c’est qu’elle fut mutilée, découpée en morceaux et abandonnée comme de vulgaires ordures dans un fossé.

    Ce que l’on sait, c’est qu’Innocent Oseghale, le clandestin nigérian de 29 ans arrêté pour homicide volontaire, profanation et dissimulation de cadavre, ne devait plus se trouver sur le territoire italien, étant mêlé à des activités de trafic de drogue et son permis de séjour ayant expiré.

    Silence total des institutions de la République italienne.

    La colère s’exprime uniquement sur Internet, dernier espace de liberté en voie de restriction grâce à la fallacieuse lutte contre les « fake news » (qui n’est rien d’autre qu’une tentative de museler les canaux d’information et d’opinion qui échappent à la pensée unique). 

    Samedi 3 février, Luca Traini, un jeune homme de 28 ans de Macerata, ouvrait le feu sur une foule d’immigrés subsahariens, blessant grièvement six d’entre eux. Il est actuellement aux arrêts, avec l’accusation de « tentative de massacre aggravée par la finalité de racisme » et port illicite d’arme.

    Il serait banal, presque usant, de réitérer que, face au foisonnement de meurtres, viols et agressions de la part des migrants envers les autochtones qui les accueillent, qu’à cause des privilèges et de l’impunité dont ils jouissent souvent, un tel acte d’auto-justice était plus que prévisible.

    Tel n’est pas le sujet ici. Le sujet, c’est le tintamarre, outrageant, dérangeant, déplacé qui a eu lieu après. Car la réaction, tant attendue, du clan politico-médiatique est arrivée. Non lors de la découverte du corps dépecé de la jeune fille ou de l’arrestation de son boucher présumé. Non. L’indignation a été déclamée dans toute sa théâtralité lorsqu’un petit Blanc a tiré sur des immigrés : le ministre de l’Intérieur Marco Minniti se déplace aussitôt sur le lieu de la fusillade, rencontre les force de police, ordonne « une réponse ferme » ; le Premier ministre Paolo Gentiloni réunit une conférence de presse déclarant que « l’État sera particulièrement sévère envers quiconque alimente une spirale de violence » ; les intellectuels prennent le haut du pavé, accusant Matteo Salvini, de la Ligue du Nord, d’être le « commanditaire moral » de la fusillade.

    Mais pas un mot sur les moyens à mettre en œuvre afin d’éviter que des criminels, qu’ils soient trafiquant d’êtres humains, de drogue, assassins, violeurs ou de pauvres « victimes de mauvaises habitudes culturelles » (comme ils aiment à les voir), ne s’installent chez nous.

    Tant pis pour les autres Pamela, qui feront les frais de ce choc culturel en acte, en attendant que la magie occidentale qu’ils imaginent les transformant en « citoyens bien intégrés » ne porte ses fruits. Ce qui n’arrivera, de toute façon, jamais à l’intérieur de sociétés communautaristes comme les nôtres, où ils accéderont au confort matériel sans avoir à changer une once de ces mêmes « mauvaises habitudes culturelles ».

    http://www.bvoltaire.fr/italie-jeune-fille-demembree-compte-migrants/

  • Démonstration de force à Cottbus (All) : plusieurs milliers de manifestants défilent contre la violence des migrants, la manifestation pro-migrants réunit à peine 600 personnes

    La manifestation contre la violence des migrants :

     

    dw.com

    http://www.fdesouche.com/949611-demonstration-de-force-a-cottbus-all-plusieurs-milliers-de-manifestants-defilent-contre-violence-migrants-manifestation-pro-migrants-reunit-a-peine-600-personnes

  • Ouverture du procès du terroriste islamiste Salah Abdeslam en Belgique

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    Le procès de Salah Abdeslam doit s’ouvrir ce lundi en Belgique. Le seul survivant des commandos jihadistes qui ont attaqué Paris le 13 novembre 2015 (130 morts) sera jugé pendant quatre jours au palais de justice de Bruxelles.

    Au côté d’un complice, il comparaît pour sa participation présumée à une fusillade avec des policiers le 15 mars 2016 à Bruxelles, trois jours avant son arrestation. Ce jour-là, une équipe de policiers français et belges avait essuyé des tirs d’arme automatique en perquisitionnant un logement supposé vide, dans ce qui était présenté comme un acte de routine de l’enquête sur les attentats parisiens.

    Trois policiers avaient été blessés et un jihadiste algérien de 35 ans, Mohamed Belkaïd, tué en faisant face aux policiers pour couvrir la fuite de deux hommes, Salah Abdeslam et Sofiane Ayari, également présents dans la planque.

  • SAMEDI À OUISTREHAM (14), LE PARTI DE LA FRANCE A SAUVÉ L'HONNEUR DE LA NORMANDIE

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    Malgré la pluie, les perfidies de la presse locale, le bouclage de la ville par la police et la présence haineuse d'une poignée de valets de la finance apatride péniblement réunie par l'ensemble des fractions de la collaboration à l'immigration (partis de gauche, syndicats, officines stipendiées et gauchistes de toutes obédiences...), les militants normands du Parti de la France avec à leur tête le Président Carl Lang ont bravé l'adversité et tenu samedi après-midi un rassemblement devant la plage de Ouistreham. Ils ont ainsi prouvé que la station balnéaire normande n'entendait pas terminer comme Calais cliquez ici.

    Comme l'a fort bien indiqué Bruno Hirout, le dynamique responsable local du PdF du Calvados, cette manifestation avait pour but de faire prendre conscience aux habitants de Ouistreham, abasourdis par ce qui leur arrive et terrorisés par l'extreme gauche qui soutient la pègre importée, que le Parti de la France, désormais seule force politique représentative de la Droite nationale non reniée, est et sera toujours à leurs côtés pour défendre une Normandie normande dans une France française et dans une Europe européenne... 

    Plusieurs mouvements patriotes, dont Civitas et la Dissidence française, implantés localement, s'étaient joints dans un souci d'unité d'action à la manifestation du PdF.

    Synthèse nationale

      

  • Affaire Théo : sale temps pour la fabrique du mensonge, par Ivan Rioufol

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    Ils nient, tripatouillent, insultent. Les “dénégationnistes” sont prêts à tout pour empêcher que des évidences soient dites, dès lors qu’elles risqueraient d’affaiblir le statut de “victime” que ces bidouilleurs accordent aux minorités qui se disent dominées. Le journaliste David Thomson a été le premier, en 2014, à alerter sur les risques d’attentats en France commis par des djihadistes français. Les images d’archives ont gardé la trace de débats télévisés de l’époque : elles montrent Thomson, témoin de ce qu’il a vu sur les terrains moyen-orientaux et français, en prise avec des contradicteurs qui le moquent. Ce sont ces militants en chaises longues que Thomson épingle quand il dénonce, dans Le Figaro du 26 janvier, ces “experts faussaires abonnés aux plateaux télé pour meubler du vide avec du vide et (qui) continuent d’occuper, hélas, la majeure partie du temps d’antenne”. La description est exacte. Derrière, il y a les visages et les noms des spécialistes dans la fabrique du mensonge. Mais pour eux, le temps se gâte.

    Il est vrai que les enfumages sont de plus en plus voyants et grossiers. Apparue lundi sur les réseaux sociaux, la vidéo de l’interpellation du “petit Théo”, le 2 février 2017 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), démolit en quelques secondes une année de propagande antiflics. La scène enfin dévoilée avait été décrite par la “victime” et ses soutiens médiatiques comme un déshabillage suivi d’un viol à l’aide d’une matraque.

    En réalité, l’incident se révèle être conforme aux conclusions de l’enquête de l’IGPN (la police des polices) récusées par la pression idéologique : une rébellion violente de Théo (22 ans, 1,94 mètre) contre quatre policiers qui prennent des coups et en rendent. Nulle part sur les images n’apparaît le viol qui a valu à l’un des fonctionnaires sa suspension. François Hollande, qui ne s’était pas rendu au chevet de deux policiers brûlés vifs dans leur voiture à Viry-Châtillon (Essonne), s’était déplacé pour saluer Théo Luhaka sur son lit d’hôpital.

    La force des réalités est un tsunami appelé à balayer les désinformations et les propagandes produites par la dialectique victimaire.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 1er février 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

  • CALAIS, ÇA SUFFIT !

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    Atterrés, désemparés, défaits devant une situation de plus en plus ingérable, les Calaisiens n’en peuvent plus. Voilà quinze mois, on nous disait pourtant avoir réglé le problème. Les troupes mandatées par un François Hollande gonflé d’autosatisfaction embarquaient les habitants de la jungle dans des cars, direction les 280 centres d’accueil et d’orientation répartis dans toute la France.


    Combien, sur les 6.500 personnes alors recensées, y ont réellement été conduites et combien, surtout, y sont demeurées ? Mystère. Ce qu’on sait, en revanche, c’est que des centaines de migrants (entre 600 et 800) venus de toute part rôdent encore autour de Calais. Et entre eux, ce n’est pas la tendresse.

    Une rixe d’une violence inouïe a ainsi éclaté, jeudi, entre migrants afghans et africains à l’occasion d’une distribution de repas, près de l’hôpital de Calais. D’autres bagarres ont suivi jusque dans la soirée, à Marck-en-Calaisis puis dans la zone industrielle des dunes. Bilan : vingt-deux personnes hospitalisées, dont cinq touchées par balle sur lesquelles quatre sont dans un état critique. Il s’agirait de jeunes Érythréens visés, sans doute, par des passeurs afghans. Les autres – dont deux policiers – ont été blessés à coups de pierres, de barre de fer et d’arme blanche.

    C’est la première fois, nous dit-on, que des armes à feu font leur apparition.

    « C’est un degré de violence jamais connu »on a atteint une escalade de la violence devenue insupportable pour les Calaisiens et les migrants », a dit le ministre de l’Intérieur venu sur les lieux. Et Gérard Collomb d’ajouter : « Je suis venu réaffirmer notre mobilisation face aux passeurs qui nourrissent quotidiennement violences et rixes. » 

    Les passeurs, oui, mais pas que…

    Natacha Bouchard, maire de Calais, pointe d’autres responsabilités. Interrogée, vendredi matin, sur France Info, elle a évoqué « la complicité de certains passeurs, de certains activistes, de certains No Border ou de certains associatifs » qui, par intérêt pour les premiers et naïveté pour les seconds, entretiennent les faux espoirs des migrants. « Ils sont complices parce qu’ils sont en permanence avec les migrants, leur font commettre des actes délictueux et ne les incitent pas à rejoindre les dispositifs d’État qui sont mis en place », a-t-elle affirmé.

    Pire que cela : interrogé par France Info lui aussi, un responsable associatif accusait, vendredi, les forces de police d’être à l’origine des émeutes. C’est « la faute au harcèlement », disait-il. On comprend, dès lors, que tous ces activistes/associatifs soient vent debout contre le projet de loi « asile et immigration »actuellement en préparation, lequel permettrait de recenser enfin les migrants présents sur notre territoire, puis de prendre officiellement en charge ceux qui sont fondés à y rester et de renvoyer les autres construire leur propre pays.

    Seulement voilà, la question de l’immigration est éminemment politique. C’est même le dernier bastion idéologique d’une gauche moribonde, engloutie dans la faillite sociale et économique, et qui n’a plus, pour exister, que ses discours creux sur l’universalité de la fraternité humaine – propos démentis chaque jour dans les faits.

    Dans ce jeu-là, les migrants sont des pions, tout comme les bénévoles qui, en toute bonne foi, se dévouent par altruisme. Aux belles années du communisme révolutionnaire, on les appelait « des idiots utiles ».

     

     

    http://www.bvoltaire.fr/calais-ca-suffit/

  • Invasion migratoire : Lancement de l’opération “Themis” pour secourir les migrants en Méditerranée

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    Ne l’appelez plus “Triton” mais “Themis”. C’est le nom de la nouvelle opération de l’agence européenne Frontex en Méditerranée. Une mission destinée à secourir en premier lieu les migrants. “Themis” entre en action ce 1er février avec un mandat plus large.

    Sa nouveauté ? La fin de l’obligation de débarquer les migrants uniquement en Italie. Ceux qui seront secourus en mer, seront déposés dans la zone de sécurité la plus proche, que ce soit en Italie, en Grèce, en Espagne, en Libye ou à Malte.

    Par cette initiative, l’Union européenne va donc continuer à inciter les migrants à quitter leur pays pour tenter de s’installer en Europe.

  • Les enseignants doivent s'adapter aux banlieues de l'immigration

    C'est l'idée des députés Aurore Bergé (La République en Marche) et Béatrice Descamps (UDI, Agir et Indépendants), dans les conclusionsde leur mission "sur les relations école-parents". Les deux élues ont été désignées en octobre par la commission des Affaires culturelles et de l'Education pour mettre à jour les préconisations d'une précédente mission d'information, menée en 2014.

    Evidemment elles ne parlent pas de multiculturalisme ni de banlieues de l'immigration. Tout est dans l'euphémisme. Aurore Bergé et Béatrice Descamps expliquent que

    "les enseignants sont, plus qu'auparavant, issus des classes les plus favorisées de la population française". "Lorsqu'ils sont affectés dans des quartiers difficiles, ils n'en sont le plus souvent pas originaires, ils n'en connaissent pas les spécificités et vivent de moins en moins là où ils enseignent.

    Les deux députés recommandent ainsi la mise en place d'une formation spécifique pour tout enseignant qui prend ses fonctions dans un nouvel établissement.

    "Il serait certainement utile aux enseignants qui arrivent en poste de connaître la sociologie du quartier dans lequel s'implante l'établissement..."

    Sic. Devront-ils aussi lire le coran ? On ne sait pas, mais ils devront apprendre le langage des banlieues. Les deux députés recommandent que les enseignants évitent de recourir à un vocabulaire "involontairement opaque". Et surtout : éviter dans les bulletins scolaires les remarques "désobligeantes voire stigmatisantes sur le long terme pour l'élève et son orientation".

    Malheureusement, les deux députés ont dérapé (pour écrire comme Le Monde). En effet, elles proposent que les enseignants organisent des "prétextes inclusifs" et des "rituels positifs" pour favoriser le retour à l'école des parents qui se sont éloignés de l'institution scolaire. Exemple cité par les deux députées : la mise en place d'une "semaine du goût" qui pourrait permettre à "chaque parent d'apporter une spécialité culinaire de son pays".

    De son pays ? Mais de quel pays ? Ce ne serait pas la France leur pays ?

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Calais : nouvelle guerrilla - Journal du Vendredi 2 février 2018