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immigration - Page 945

  • Quand l’AFP fait silence sur les migrants terroristes

    C’est le site Arrêt sur images de Daniel Schneidermann qui reprend la nouvelle que seul Ouest-France a mise en ligne : Salah Abdeslam non seulement aurait véhiculé trois des tueurs du Bataclan mais il aurait également convoyé dix autres terroristes avec l’involontaire complicité d’ONG humanitaires locales.

    Une information révélée au départ par le quotidien hongrois Magyar Idök considéré comme proche des autorités hongroises. Reprenons Ouest France (verbatim repris d’Arrêt sur images) :

    Ces derniers s’étaient infiltrés dans la zone Schengen par la frontière entre la Hongrie et la Serbie, dissimulés parmi les flots de migrants. […] Le réseau pourrait aussi avoir profité de l’assistance involontaire des nombreux bénévoles qui venaient en aide aux migrants : Salah Abdeslam a séjourné à deux reprises dans l’appartement d’un membre d’une organisation humanitaire.

    Une nouvelle aussi sensationnelle n’a pas été reprise ni par l’AFP ni par la presse dominante. Pourquoi ? Trois explications sont possibles.

    Elle est parue au milieu des vacances et serait ainsi passée inaperçue.
    L’information est venue de Hongrie un pays qui n’a pas bonne presse chez les libéraux-libertaires.
    Enfin elle est défavorable aux mouvements migratoires.

    Aucune de ces explications n’est exclusive des deux autres et comme dit le proverbe : n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

    Texte repris du site OJIM

    https://fr.novopress.info/

  • Après les attentats en Espagne : comprendre et combattre la radicalisation – par Charles Saint-Prot

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    Après les attentats meurtriers (16 personnes sont décédées) commis en Espagne, le 17 août 2017, notamment à Barcelone où les terroristes ont foncé dans la foule à bord d’une camionnette, certains ont mis en exergue le fait que les terroristes étaient d’origine marocaine et que leur chef était un imam. L’erreur consisterait à généraliser à partir du cas de quelques activistes déviants qui ne représentent évidemment pas le peuple marocain.

    En Espagne et en Belgique, par exemple, la communauté issue de l’immigration est majoritairement marocaine, comme elle peut être majoritairement algérienne en France ou tunisienne dans d’autres pays. On ne peut jeter l’opprobre sur tout un peuple en raison des agissements de quelques-uns et il doit être clair qu’il n’existe aucun facteur national prédestinant tel ou tel ressortissant d’un pays ou tel ou tel adepte d’une religion à commettre des actes criminels. Il faut rechercher ailleurs les causes de ces agissements.

    La question religieuse est peu présente dans la radicalisation

    Les terroristes radicalisés sont des gens qui, pour des raisons diverses, se mettent en marge. En marge de leur famille, de la société, et même de la religion qu’ils caricaturent odieusement. Ils cherchent à atteindre des cibles spectaculaires à la fois pour se valoriser et faire parler d’eux, et pour donner à leur action un grand retentissement. C’est une vielle méthode des terroristes de tous les temps, par exemple les anarchistes russes de la fin du 19e siècle ou les gauchistes de l’ultragauche radicale des années 70 et 80.

    Il y a plusieurs facteurs qui peuvent pousser à la radicalisation et au passage à l’acte criminel. En premier lieu, il y a la faiblesse psychologique de certains qui se laissent piéger par des slogans extrémistes et suivent des meneurs qui les manipulent au nom d’une conception déviante de la religion que les uns et les autres connaissent mal ou pas du tout. Le deuxième facteur est dû au manque de formation et de contrôle des imams dans les pays européens. Le chef de file des attentats du 17 août en Espagne était un imam autoproclamé qui avait purgé une peine de prison pour des actes délictueux ! Cela renvoie à la question de la formation des imams qui doivent recevoir une formation appropriée, être accrédités par une instance représentative en liaison avec les pouvoirs publics et bénéficier d’un statut. Cette question est essentielle et il est temps que les pays intéressés (la France, l’Espagne, la Belgique, etc.) cessent leurs atermoiements en la matière et coopèrent avec le Maroc qui est le seul État musulman capable d’aider à la formation d’imams enseignant l’Islam du juste milieu et combattant la radicalisation, sur le modèle de l’Institut Mohammed VI de formation des imams de Rabat. Le troisième facteur est donc l’ignorance de ce qu’est le vrai Message de l’Islam qui est la religion du juste milieu, de la tolérance et du refus des extrêmes. Le fanatisme est le propre des esprits faibles et des ignorants.

    À vrai dire, La question religieuse est peu présente dans la radicalisation. Il est d’ailleurs notable que beaucoup de terroristes sont des gens plus connus pour être des délinquants de droit commun que des militants religieux. Certains sont des esprits psychologiquement faibles ou des marginaux nihilistes saisis par une sorte de mal du siècle comme leurs prédécesseurs anarchistes ou gauchistes. On ne peut d’ailleurs négliger le refus de s’intégrer à la société et les pulsions de haine portées par les terroristes d’une manière irrationnelle. Bien sûr la propagande circulant sur Internet joue un rôle sur ces personnes souvent fragiles. Internet est un facteur d’accélération de la radicalisation et du recrutement des activistes.

    Le prétexte religieux est donc une imposture comme d’ailleurs les références aux conflits du Proche-Orient car on n’a jamais vu ces extrémistes militer pour la Palestine ou contre l’intervention des États-Unis en Irak qui, depuis, a été livré à l’anarchie, par exemple. En tout cas, ces excités criminels trahissent les causes arabes et les caricaturent comme ils trahissent l’Islam et font le jeu de l’idéologie du choc des civilisations.
    Le combat contre le terrorisme

    Outre le fait que la lutte contre le terrorisme implique un resserrement de la solidarité et de l’unité nationales, comme l’a déclaré le Roi d’Espagne Felipe VI, il faut mener une lutte sans merci contre les terroristes et les centres de propagande. Il est extraordinaire que personne n’ait songé à mettre fin aux activités du prétendu imam qui dirigeait la cellule de la région de Barcelone ! Il faut démanteler ces nids de propagande, et, quand c’est possible expulser les fauteurs de troubles ou les neutraliser. Le second volet concerne la coopération entre les polices : dans les attentats de Paris et de Barcelone, il semble que les services belges d’une part, et les services de l’entité autonome de Catalogne d’autre part, n’ont pas été à la hauteur. Ils n’ont pas assez coopéré avec leurs homologues français ou les services nationaux espagnols. En tout cas, la coopération entre les services est essentielle.

    À cet égard, il faut se féliciter de l’excellence de la coopération entre les services marocains, français et espagnols qui sont très professionnels et performants. Il faut redire que le Maroc est le seul pays du sud qui combat sérieusement le terrorisme en opposant aux radicaux à la fois la réponse sécuritaire qui s’impose et en les combattants sur le plan idéologique en promouvant la connaissance de l’Islam du juste milieu. C’est pourquoi de nombreux États africains envoient leurs imams se former au Maroc. Il est vrai que la fonction de Commandeur des Croyants du roi Mohammed VI lui donne une autorité particulière en matière religieuse et en fait le chef de file de l’Islam modéré. Le rôle du Maroc dans la lutte contre le terrorisme est unanimement apprécié par les pays européens ainsi que son rôle pour maintenir la stabilité régionale.

    Charles Saint-Prot – Directeur général de l’OEG

    Texte repris du site Theatrum Belli

    https://fr.novopress.info/

  • Quand Libé publie une tribune « en défense » des incendiaires d’une voiture de police parJean-Paul Brighelli

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    Sociologue et philosophe, cela vous pose un homme. Evidemment, Kant ou Hegel se contentaient d’être philosophes. Mais la sociologie ayant envahi le champ de l’immanence, nous n’avons plus besoin de penser la transcendance. Encore que « penser » soit un terme excessif.

    J’me présente, je m’appelle Geoffroy

    Enter Geoffroy de Lagasnerie. La « reproduction » au sens pur du terme, que ce soit en valeur économique ou simplement bourgeoise. Il n’a pas dû avoir trop de mal à intégrer l’ENS Cachan — à 22 ans quand même, le surdoué a pris son temps.

    Il a commis un certain nombre d’ouvrages que je ne commenterai pas (sur Foucault, nous avions certainement besoin d’un commentaire de plus sur le pape de la déconstruction, et sur Bourdieu, cela permet de faire oublier qu’on est un « héritier », quasi caricatural même), et a accumulé les prises de position « de gauche ». Sûr qu’avec ce garçon-là, la révolution a de beaux jours devant elle.

    Lire la suite sur Causeur

  • EN CAS DE DÉSASTRE, LA RACAILLE EST PRÊTE À NOUS TOMBER DESSUS

    L’exemple de Saint Martin est perçu par un habitant de Campagnol comme un laboratoire de ce qui guette la France en cas de pépin sérieux et général. Biens et personnes seront confrontés à une barbarie dont le développement silencieux est permanent depuis quarante ans.

    http://www.bvoltaire.fr/cas-de-desastre-racaille-prete-a-tomber-dessus/

  • En France, les musulmans refusent que l’Etat donne un cadre normatif à l’abattage halal

    Vendredi dernier, l’AFNOR, Agence Française des Normes, a publié un guide de bonnes pratiques relatives à l’abattage rituel musulman. Ce texte fait suite à plusieurs mois de collaboration avec les principales instances représentatives de l’islam en France, et en particulier le Conseil Français du Culte Musulman.

    Mais ce dernier, qui n’a jamais clairement annoncé son retrait des travaux, conteste aujourd’hui ce qu’il dénonce comme une ingérence de l’Etat dans les affaires du culte.

    Derrière un énième débat sur l’interprétation de la laïcité se dissimule, en fait un marché juteux : l’abattage halal rapporte en France près de 6 milliards d’euros chaque année, à des associations religieuses qui détiennent sur ce marché un monopole absolu.

     : la norme de l' rejetée par le  et les trois Grandes Mosquées de Paris, de Lyon et d'Evry http://xfru.it/4RTCZ4 

    Photo published for Halal : la norme de l'AFNOR rejetée par les Grandes Mosquées d...

    Halal : la norme de l'AFNOR rejetée par les Grandes Mosquées d...

    La norme expérimentale pour les aliments halal transformés lancée par l’AFNOR suscite une levée de boucliers de la part des organisations musulmanes. Au Conseil français du culte musulman (CFCM) et...

    saphirnews.com

    La norme Afnor sur le halal : histoire d’un rendez-vous manqué http://ebx.sh/2xfhCQZ 

    Photo published for La norme Afnor sur le halal : histoire d’un rendez-vous manqué

    La norme Afnor sur le halal : histoire d’un rendez-vous manqué

    Le Conseil français du culte musulman se réunit mercredi 20 septembre dans l’après-midi au sujet de la norme Afnor sur le halal. L’instance représentative des musulmans de France, qui a tardé à...

    la-croix.com

  • LA DÉLINQUANCE DES MINEURS ÉTRANGERS ATTEINT LA COTE D’ALERTE EN BRETAGNE

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    Le directeur départemental de la Sécurité publique d’Ille-et-Vilaine pousse un cri d’alarme.

    « Mineurs délinquants, la cote d’alerte en Bretagne » : non, il ne s’agit pas d’un tsunami ou d’une tempête déferlant sur les côtes bretonnes mais d’un titre du Télégramme du 13 septembre. Comme d’habitude dans la grande presse, celui-ci ne rend pas compte d’un aspect essentiel de cette délinquance : le côté étranger. Il faut attendre le texte de l’article du quotidien morlaisien pour apprendre qu’un grand nombre d’agressions, vols et cambriolages en série sont commis par des mineurs allogènes.

    Voici un extrait qui reflète parfaitement ce problème : « Dans la nuit du samedi 2 au dimanche 3 septembre, quatre étudiants viennent d’être roués de coups par trois gamins âgés de 17… 10 et 9 ans ! Trois mineurs étrangers. Compte tenu de leur âge, les deux plus jeunes sont laissés libres et remis à des éducateurs. Le troisième est convoqué devant un juge pour enfants. Deux jours plus tard, il sera à nouveau interpellé, pour la troisième fois en quelques jours, pour un autre délit. »

    Et ce cas n’est pas isolé, ce comportement se répète inlassablement dans les grandes villes comme Nantes, Rennes et Brest. Ils se multiplient au point que le directeur départemental de la sécurité publique d’Ille-et-Vilaine pousse un cri d’alarme dans cette même chronique :

    « C’est une bombe à fragmentation […] Le problème est très complexe. Nous sommes touchés par des mineurs ou des faux mineurs qui entendent profiter de l’excuse de minorité et qui savent qu’ils ne peuvent pas être expulsés. Il y en a certains pour qui nous parvenons à prouver la majorité mais cela prend du temps et reste difficile à établir. Ces individus nient systématiquement les faits, ne parlent pas et refusent tout examen. »

    Autre souci : depuis un an, ces jeunes se déplacent en s’éparpillant sur tout le littoral :
    « La trace de certains a été repérée à Saint-Brieuc, Quimper, Caen, Angers, Bordeaux… Ils sont très mobiles et réactifs. Pendant l’été 2016, on les a retrouvés sur les plages de Saint-Malo (35), où ils volaient les sacs des baigneurs. »

    Pour finir, ils ne font que croître en nombre. Fin décembre 2015, ils étaient plus de 600 mineurs étrangers criminalisés dans le Grand Ouest et le phénomène ne fait qu’empirer. Face à cette situation gravissime, la responsable du service des mineurs du parquet de Nantes considère que la réponse pénale… ne suffit pas : « Ces enfants sont exploités, sommés de ramener de l’argent. Certains sont drogués, prostitués et violentés […] Ces mineurs se retrouvent victimes et auteurs. »

    Un avis que partagent certainement les élus municipaux PS des trois grandes villes bretonnes (Nantes, Rennes et Brest). D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si la délinquance juvénile, non nationale, touche la Bretagne. Voilà une région qui continue à voter socialiste. Les délinquants, même s’ils parlent mal le français, ne sont pas bêtes, ils savent que l’idéologie droit-de-l’hommiste leur tolère nombre d’« incartades ».

    De plus, Madame le Procureur, j’avoue ne pas comprendre comment, depuis deux ans que la police arrête pratiquement chaque semaine ces délinquants, elle n’a pas pu prouver que des majeurs tirent les ficelles derrière ces adolescents et les trouver ?

    Enfin, pourquoi Le Télégramme ne nous informe-t-il pas sur la nationalité de ces mineurs étrangers ? Il serait, ainsi, plus facile de repérer les majeurs manipulant ces bandes.

    Aujourd’hui, il est impossible, dans l’ensemble de la France comme en Bretagne, de minimiser ce type de délinquance. Malgré le politiquement correct et le novlangue de certains médias, les citoyens sont conscients du problème sécuritaire gigantesque qu’il représente.

    http://www.bvoltaire.fr/delinquance-mineurs-etrangers-atteint-cote-dalerte-bretagne/

  • Colbertgate? Couscousgate?

    « Il y a toujours une tragédie au bout de la bêtise humaine » notait Benoist-Méchin.  Cette réflexion est à méditer à l’heure ou le phare de la penséeLouis-George Tin, à la tête d’une coquille vide communautaire mais très médiatique, le Cran (Conseil représentatif des associations noires de France) persiste dans son négationnisme historique. En l’espèce dans sa relecture simpliste, anachronique de notre passé pour mieux  culpabiliser le gaulois. Une entreprise qui reçoit comme d’habitude le soutien intéressé d’un certain nombre de lobbies frayant dans les eaux troubles du mondialisme militant. Dans une tribune publiée dans Le Monde (après celle qui lui a été offerte dans Libération après les événements  de Charlottesville) résume pour sa part David Namias sur le site de BFMTV, M. Tin  expose de nouveau « les raisons pour lesquelles il faudrait abandonner la référence »  au ministre Colbert.   « Celui qui fut avec le Code noir l’un des législateurs de l’esclavage, reconnu, en France, crime contre l’humanité depuis 2001. » Une loi portée en son temps par l’ex militante indépendantiste guyanaise Christiane Taubira, devenue comme chacun le sait sous le quinquennat de François Hollande un des ministres les plus impopulaires de la Ve république. « Les noms de bâtiments ne servent pas à garder la mémoire des criminels, ils servent en général à garder la mémoire des héros » affirme M. Tin  dans cette tribune  « qui prend pour appui le déboulonnage des statues à la gloire des généraux sudistes américains (…)  pour exposer ses doléances » et signée notamment par  « le philosophe (?) Louis Sala-Molins, le journaliste Harry Roselmack ou le footballeur Lilian Thuram. » 

    Membre du Haut conseil pour l’intégration (HCI) et du collectif  Devoirs de mémoires, militant pour une « République multiculturelle et postraciale », fait officier de la légion d’honneur par François Hollande en 2013,  Lilian  Thuram est-il, comme le président du Cran,  le mieux placé  pour nous donner des leçons de fierté,  d’Histoire?  En novembre 2007, souvenons-nous,  à l’occasion du match de foot France-Maroc au stade de France où notre hymne national avait été copieusement sifflé par un public majoritairement maghrébin, Lilian Thuram, alors capitaine de l’équipe de France, avait déclaré que « les sifflets, ( ne le choquaient) pas plus que ça, il faut se poser la question Pourquoi?  Ce sont des raisons d’ordre historique, il y a un mal-être dans la société. Et c’était peut-être le moment, inconsciemment, de faire passer un message. » Message que M. Thuram avait  fait également passé  en août 2006, lorsqu’il avait invité dans ce même stade pour la confrontation entre la France et l’Italie, 70 immigrés clandestins  expulsés du squat de Cachan.

    Dans cette tribune du Monde, résume encore BFMTV,  Louis-Georges Tin affirme encore que « louer la qualité du ministre de Louis XIV qui a redressé l’économie du royaume en oubliant que Jean-Baptiste Colbert a aussi légiféré, en posant les fondements du Code noir, pour permettre le développement de l’esclavage est un argument bancal. C’est, développe-t-il, comme de saluer Pétain vainqueur de Verdun en oubliant celui de l’Etat français et de la collaboration avec le régime nazi. »

    La comparaison ne doit rien au hasard mais tout à l’actualité dont s’inspire ici le président du Cran. D’une  épuration l’autre, et pour le coup franchement bancale,  le site de cette même chaîne relevait  que le maire de New York, Bill de Blasio, dont l’inculture crasse  et/ou la soumission au politiquement correct sont assez ahurissantes,  a affirmé sur twitter qu’ «Après les événements violents de Charlottesville, la ville de New York va étudier tous les symboles de haine présents sur son territoire ».  «La plaque commémorative en l’honneur du maréchal Pétain, collaborateur nazi, située sur la promenade du Canyon of Heroes, sera la première que nous retirerons.  » « Comme les autres noms apposés sur la célèbre avenue, précisait BFM, le maréchal français avait eu l’honneur d’une parade sur la célèbre avenue, en 1931 »…en tant que vainqueur de Verdun et artisan majeur  de la victoire sur l’Allemagne…  Bref, un utilisateur de twitter, réagissant aux vœux du président du Cran et de ses amis  pose la bonne question : « Et pourquoi pas carrément débaptiser la France tant qu’on y est ? On pourrait la renommer pays d’accueil ou Hall de gare. »

    Les Français justement constate Bruno Gollnisch ne veulent pas que leur pays soit définitivement transformé  en hall de gare… ou en « hôtel » comme le souhaite et l’a dit Jacques Attali,  le mentor d’Emmanuel Macron.   Le site RT  rapportait le sondage Ipsos publié le 16 septembre, « une légère majorité de Français (53%) pense qu’il y a trop d’immigrés en France. C’est moins qu’en 2016 (57%), mais plus que la moyenne des autres pays sondés (48%) et que l‘Allemagne (50%), qui a vécu l’arrivée de pus d’un million de migrants ces deux dernières années (…). Plus significatif encore : seuls 14% des sondés en France estiment que l’immigration a un impact positif sur leur pays. Dans le détail, 16% pensent qu’il s’agit d‘une bonne chose pour l’économie  et ils sont 55% à estimer que l’immigration met trop de pression sur les services publics. En outre, 49% des Français jugent que l’immigration force leur pays à adopter des changements qui leur déplaisent , un chiffre en baisse de 5 points par rapport à 2016, mais toujours plus élevé que la moyenne mondiale (44%).  »

    « De plus, 61% pensent que la plupart ne sont pas vraiment des réfugiés et viennent en France pour des raisons économiques. Par ailleurs, 75% des sondés pensent que des terroristes se cachent parmi les réfugiés (…) Enfin, les Français jugent très sévèrement la gestion de la crise des réfugiés par leurs autorités, puisque seuls 12% des Français pensent que la France a bien réagi. »

    C’est dans ce contexte que certains décrivent avec une joie gourmande  un FN  qui serait en train de se déchirer autour de la question de la place  de l’euro dans son  programme et du lancement par Florian Philippot de l’association Les PatriotesMarine a tenu à clarifier la situation ce matin sur RTL en insistant sur l’importance de « la grande œuvre de refondation » du Mouvement national . «Il n’y a pas de crise »  au FN a-t-elle (r)assuré.  «Il (Florian)  sait que la création des patriotes au moment des législatives a créé une forme d’émoi et certaines inquiétudes auprès des adhérents . » «Il est évident que s’il passe son temps à faire la communication des Patriotes, les adhérents du Front National vont se sentir orphelins. »

    Autant dire qu’à l’aune des défis qui nous attendent,  les attaques portées contre Florian au motif qu’il a dîné dans un restaurant  de couscous à Strasbourg sont peu finaudes, même si ledit repas symboliserait aux yeux de certains son peu d’appétence et d’intérêt  pour la défense de l’identité charnelle de notre pays, les  questions liées à l’immigration,  ce que l’intéressé conteste formellement.

    Certes, s’il est évident que ce ne sont pas les restaurateurs Marocains qui menacent le devenir de la France,  le goût de nos compatriotes pour le couscous (plat délicieux s’il en est)  est souvent  utilisé par nos adversaires comme preuve des bienfaits de l’ouverture de notre pays aux flux migratoires venant du sud. En avril 2012, dans son discours  Porte de Versailles, Jean-Luc Mélenchon l’avait repris à son compte : « Je le dis et j’en suis fier : tout le monde mange des merguez et du couscous dans ce pays, l’intégration est réussie !» (sic).  Plus sérieusement, Henri Guaino rappelait ces dernières heures sur Sud radio que la popularité du couscous en France doit au moins autant  à l’arrivée en métropole après 1962  de nos compatriotes Français d’Algérie qu’à l’immigration maghrébine.  Pieds Noirs qui ont été nombreux à monter des restaurants de couscous (plat pied noir par excellence !!!) , dont un certain nombre baptisés l’OASis étaient fréquentés assidûment par les nationaux et étaient un clin d’oeil assez transparent à leur nostalgérie française

    Citons pour mettre tout le monde d’accord cette célèbre formule de Gault et Millau, qui aura l’adhésion de tous les frontistes et plus largement de tous les Français, peuple amoureux de la bonne chère… et de  la mesure:  «Le nuoc-mâm dans le cassoulet, l’harissa dans la choucroute et le ketchup dans tout, nous font entrevoir les limites du métissage des cultures ». Bref il n’y a pas plus de raison de débaptiser les lycées Colbert que d’accepter une immigration-invasion planétaire ou de créer artificiellement un couscousgate au FN  ! A bon  entendeur!

    https://gollnisch.com/2017/09/19/colbertgate-couscousgate/

  • Après la polémique Nathan : toi aussi, apprends à compter les migrants !

    Minute-couv-migrants-Nathan-251x350.jpg« Toi aussi, apprends à compter les migrants ! » : telle est la Une de l’hebdomadaire Minute paru ce matin, qui rebondit, en mode politiquement incorrect, sur la polémique suscitée par le manuel de mathématiques des éditions Nathan. Extrait.

    « Des migrants fuyant la guerre atteignent une île en Méditerranée. La première semaine, il en arrive 100. Puis chaque semaine, le nombre de nouveaux arrivants augmente de 10 %. a) Par combien est multipliée une quantité lorsqu’elle augmente de 10 % ? […] f) En déduire le nombre total qui seront arrivés dans cette île au bout de huit semaines. Arrondir à l’unité. » Tel est le problème que l’on pouvait trouver il y a encore quelques jours dans un manuel de mathématiques édité par Nathan à destination des classes de Terminale. […]

    Après 48 heures de tempête sur Twitter, les éditions Nathan (anciennement Fernand Nathan, FN éditions eût été amusant…) ont présenté leurs « vives excuses » aux « associations d’aide aux migrants, réfugiés et demandeurs d’asile » et retiré le livre des épiceries où il était en vente. Un nouveau tirage devrait bientôt être réalisé avec un nouveau problème. Pour notre part, à « Minute », chauds partisans d’une pédagogie intersectionnelle, nous nous permettons de livrer à la réflexion de nos camarades de FN-éditions les pistes suivantes.

    Exercice historico-mathématico-civique n° 1 :

    « Sachant qu’une Française de souche ne fait en moyenne qu’1,5 enfant quand une migrante subsaharienne réussit généralement un strike à plus de 5, combien de temps faudra-t-il pour que la boucherie au coin de ta rue devienne halal ? (pour les vegans, on remplacera la boucherie par une épicerie bio, de même l’urine de chameau se substituera-t-elle au kombucha). »

    Exercice n° 2 :

    « Si 1 million de migrants arrive en Allemagne la première année, 500 000 la deuxième, calcule le nombre de viols à Cologne dès le deuxième Jour de l’An. Compare ce nombre à celui des viols commis par les Allemands de souche, achète une truelle et trouve le nombre de moellons indispensables à la reconstruction d’un mur. Donne la réponse en allemand et va te dénoncer ensuite au proviseur. »

    Exercice n° 3 :

    « Soit un peuple qui perd par mortalité 500 000 personnes par an, ne gagne par natalité propre que 400 000, combien de temps lui faut-il pour se rendre compte qu’il est remplacé ? Compte sur tes doigts, puis coupe-toi la main pour faire gagner du temps à ton futur prof de Charia. »

    Exercice n° 4 :

    « L’espérance de vie d’un esclave gaulois à Rome au Ier siècle avant J.-C. étant de 32 ans, celle d’un esclave angolais dans une plantation anglaise de Jamaïque de 30 ans, celle d’un eunuque nubien à Istanbul au XIXe siècle de 55 ans, calcule le montant des réparations dues par la France à l’Afrique et à la Turquie et dis merci à l’Italie de t’avoir civilisé. »

    L’intérêt de notre méthode est que […]

    Extrait d’un article de Philippe Martin à lire dans son intégralité dans Minute n° 2839 daté du 20 septembre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • UNIVERSITÉ DE REIMS : 8.000 ÉTUDIANTS PRIVÉS DE COURS À CAUSE DE… 40 MIGRANTS !

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    Qu’est-ce que ces baudruches paralysées devant quarante personnes ?

    C’est la dernière histoire en date. L’université de Reims a interdit l’accès de son campus à ses étudiants parce qu’un camp d’une quarantaine de migrants s’y est installé. 8.000 personnes privées de cours quelques jours après la rentrée universitaire, où est le problème ?

    Message, dimanche soir, de Guillaume Gellé, président de l’université de Reims-Champagne-Ardenne (URCA) :

    « L’établissement restera fermé jusqu’à nouvel ordre. Je ne pouvais plus assurer la sécurité de tous, que ce soit celle des étudiants ou celle des réfugiés. Parmi eux, on dénombre une quinzaine d’enfants, dont certains ont moins de cinq ans. L’université ne pouvait pas fonctionner normalement face à cette occupation illégale. Tant que les conditions de sécurité ne seront pas rétablies, l’accès aux locaux de l’université restera interdit et les cours suspendus. »

    Ça s’appelle ouvrir le parapluie. Le Chamberlain, même. La capote XXL. Car se rend-il compte de ce qu’il écrit, ce monsieur Gellé ?

    Reprenons sa missive et faisons une petite analyse de texte : il ne pouvait plus « assurer la sécurité de tous, que ce soit celle des étudiants ou celle des réfugiés ».

    Que faut-il comprendre ? Que des étudiants excédés risquaient de s’en prendre aux campeurs ? Que les campeurs risquaient de s’en prendre aux étudiants ? Qu’un enfant s’écorche les genoux dans la cohue estudiantine et cela aurait déclenché un scandale propre à faire descendre toutes les belles âmes dans la rue ?

    Le président Gellé est « une belle personne ». Il ne souhaite pas porter plainte contre les miséreux qui sont passés du parc Saint-John-Perse, tout à côté, au campus universitaire. Un parc où ils séjournaient depuis des mois et qu’ils ont quitté suite à la plainte des riverains excédés. Ah, les méchantes personnes que voilà !

    « Il y a des échanges avec le préfet et l’État sur la suite à donner. Le but, ce n’est pas l’expulsion en tant que telle mais de rouvrir au plus vite le campus », dit M. Gellé. Nous voilà rassurés ! Les migrants aussi, sans doute…

    Je me répète : se rendent-ils compte de ce qu’ils racontent, tous ces éminents hauts fonctionnaires de la République ?

    Qu’est-ce que ces baudruches paralysées devant quarante personnes, incapables de gérer une telle situation ?

    On n’ose imaginer ce qui se passera le jour où les Afghans, Syriens, Érythréens, Pakistanais, Soudanais, etc., arrêteront de se faire la guerre dans leurs campements pour se joindre aux Albanais, Arméniens et Tchétchènes (les quarante du campus de Reims) et devenir une armée vindicative ? Ils prendront la mer, eux aussi, pour aller demander l’asile politique… où et à qui, d’ailleurs ?

    Enfin, comment compte-t-on faire durablement accepter aux Français la privation de leurs droits pour des équipements et des institutions qu’ils financent par leurs impôts ? Aujourd’hui l’université, hier et demain les gymnases réquisitionnés à chaque évacuation (plus de trente rien que pour Paris) et dont la transformation en dortoirs prive les populations locales de tout usage de « leur » bien.

    http://www.bvoltaire.fr/universite-de-reims-8-000-etudiants-prives-de-cours-a-cause-de-40-migrants/

  • Quimper : le minaret retoqué (annulation du nouveau projet), une victoire pour la résistance patriotique

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    Quimper (Breizh-Info.com) – Pour la troisième fois, la municipalité de Quimper, dirigée par Ludovic Jolivet, s’est opposée au permis de construire concernant une troisième mosquée dans la capitale de la Cornouaille. Pour l’association culturelle et cultuelle turque de Quimper, c’est la fin de la bataille juridique, puisque cette dernière a décidé de stopper ses actions en faveur du projet et de se consacrer à la rénovation de la mosquée déjà existante, route de Douarnenez.

    Pour justifier l’annulation, Ludovic Jolivet a notamment argué de l’avis négatif de l’architecte des Bâtiments de France qui a déclaré : « Ce projet, en l’état, n’étant pas conforme aux règles applicables dans ce site patrimonial remarquable ou portant atteinte à sa conservation ou sa mise en valeur, l’architecte des Bâtiments de France ne donne pas son accord ».

    Ali Dere, président de l’association turque, a notamment réagit en expliquant :  « On ne veut pas faire de procès d’intention. Si le maire a estimé que le projet ne pouvait se faire comme nous le demandions, on respecte sa décision. Depuis trente ans, nous travaillons en bonne intelligence avec la municipalité dans le respect du cadre légal, mais aussi en nous intégrant dans le tissu socio-économique, associatif et culturel breton. Cette décision n’empêchera pas de nouveaux projets d’être élaborés et soumis en toute transparence au contrôle des services concernés. »

    Pour l’association RéAgir (Résister et Agir) qui s’est opposée depuis le début aux différents projets de mosquée à Quimper, c’est une bataille remportée, « mais pas la guerre », comme Claudine Dupont-Tingaud l’explique dans un communiqué :

    « Car si à Quimper, en Cornouaille bretonne, la communauté turque installée depuis 1970, vient de prendre acte (provisoirement ?) du refus des « Bâtiments de France » d’autoriser, sur sa mosquée un minaret assorti de coupoles prévus par son architecte – évident et provocant emblème de sa conquête physique de notre territoire !- nous savons que ces musulmans fidèles d’Erdogan – l’actuel tyran de l’Etat Turc – n’ont jamais renoncé à suivre sa célèbre recommandation : « ….profitez de votre double nationalité pour voter en France…..mais ne vous assimilez jamais : nos mosquées seront nos casernes, leurs coupoles nos casques, leurs minarets nos baïonnettes ,et leurs fidèles nos soldats  » comme l’a écrit l’un de leurs poètes….»

    Et l’association d’insister :

    « Ce n’est donc pas une renonciation définitive de la communauté turque et nous devons en persuader nos édiles qui en ce domaine, font preuve, comme d’ailleurs l’Administration, d’un dangereux angélisme !

    Nous ne pouvons nous satisfaire de ce recul , après 3 présentations de projets , uniquement, dû à une contrainte purement environnementale risquant de céder devant « l’accroissement démographique » comme nous en prévient le président de la communauté mahométane qui se félicite que son implantation bretonne ait permis, cette année, l’édition d’un festival Turc’o Breton !

    REAGIR restera donc vigilant car l’actualité récente,- et la Bretagne dans sa générosité n’est pas épargnée – révèle le résultat du cosmopolitisme et du communautarisme dont l’Angleterre et la Catalogne donnent, hélas, un bien triste et sanglant exemple de non- résistance opposée au salafisme…. donc au terrorisme.»

    L’association turque, forte d’un millier de membres dans les environs, dispose toutefois pour l’instant (avant la rénovation) d’une capacité d’accueil, au sein de sa mosquée, de 500 personnes, et d’une salle de réception pouvant en accueillir 800 avec notamment une salle réservée exclusivement aux femmes.

    NDLR : comme quoi, là où on se bat, on peut gagner...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/