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immigration - Page 944

  • Officiel - Al-Qaïda soutient (((macron))) !

  • Le salon des islamistes de l’UOIF doit être interdit !

    Ce rassemblement se tient depuis déjà 34 ans et a compté jusqu’à 170.000 visiteurs en 2013. Il s’agit de la réunion islamique la plus importante d’Europe…

    Du 14 au 17 avril 2017 se tiendra, comme chaque année, le rassemblement annuel des musulmans de France (RAMF). L’événement est organisé par l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), faux nez des Frères musulmans dans notre pays. Ce mouvement est considéré comme terroriste par plusieurs pays, notamment l’Égypte (où il fut fondé en 1928), la Russie, mais aussi bientôt, peut-être, par les États-Unis selon le souhait exprimé par le président Trump. Voulant brouiller les pistes, l’UOIF s’est d’ailleurs renommée récemment en « Musulmans de France »…

    Également connu comme le congrès du Bourget, ce rassemblement se tient depuis déjà 34 ans et a compté jusqu’à 170.000 visiteurs en 2013.

    Il s’agit donc de la réunion islamique la plus importante d’Europe, ce qui n’est naturellement pas sans causer quelques débordements, souvent de la part des intervenants.

    On a ainsi pu voir au cours des années divers invités être purement et simplement empêchés de pénétrer sur le territoire français. En 2012, par exemple, ce sont les prédicateurs Youssef al-Qaradawi – qui recommandait au mari de « battre légèrement [sa femme], avec ses mains, en prenant soin d’éviter le visage ou d’autres parties sensibles » – et Mahmoud al-Masri qui furent interdits de séjour suite à leurs écrits et prises de position.

    L’UOIF regrettait alors ce qu’elle nommait pudiquement une « controverse ». Pourtant, cette année, trois individus du même calibre sont attendus : Nabil Ennasri, agent du Qatar et des Frères musulmans en France, qui avait déclaré que « le djihad, dans le cadre d’une lutte armée défensive contre un système oppressif, est parfaitement légitime pour le peuple syrien ».

    Ahmed Jaballah, ancien président de l’UOIF, qui expliquait en 2005, dans un entretien accordé à L’Express, le plan de conquête de son organisation en des termes laissant peu de place au doute : « L’UOIF est une fusée à deux étages. Le premier étage est démocratique, le second mettra en orbite une société islamique. »

    Moncef Zenati est membre du bureau national de l’UOIF et, ainsi que l’explique l’ex-Frère musulman Mohamed Louizi, prône à travers ses traductions des livres de Al-Qaradawy en français un « processus stratégique [qui] part d’abord et essentiellement de l’éducation de l’individu – d’où la priorité accordée aux « jeunes musulmans », entre autres. Ensuite de l’individu, il faut former le foyer musulman, puis le peuple musulman, puis atteindre le gouvernement islamiste, puis établir le califat, puis reconquérir l’Occident puis atteindre le Tamkine planétaire. »

    Ce rassemblement sera, comme chaque année, le lieu de diffusion d’un islamisme toujours plus conquérant. À l’heure où tous les pays d’Europe sont endeuillés par le terrorisme islamique, les Identitaires réclament l’interdiction du RAMF et la dissolution de l’UOIF !

    http://www.bvoltaire.fr/salon-islamistes-de-luoif-etre-interdit/

  • Attentat en Suède : des fleurs contre le terrorisme

    8840-20170412.jpgEst-ce avec des fleurs, des lampions, des larmes et des manifestations d’amour qu’on aurait vaincu le fanatisme national-socialiste ou bolchevique ? Assurément non. Alors pourquoi donc tant d’Européens s’imaginent-ils pouvoir combattre ainsi le fanatisme islamique ? Ou islamiste, chacun choisira, l’islamisme n’étant qu’un néologisme pour désigner, en faisant croire qu’il s’agit d’une nouveauté, la voie violente de l’islam telle qu’elle a toujours existé depuis les origines de cette religion-idéologie.

    Après les larmes de Mogherini, « Haute Représentante de l’Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité », suscitées par les attentats de Bruxelles en mars 2016, nous avons eu droit vendredi aux larmes de Löfven, Premier ministre suédois, après l’attaque au camion contre les passants dans une rue piétonne de Stockholm. Commentaire d’une députée polonaise, qui s’est ainsi étonnée d’une telle réaction :

    « Suédois ! Descendant des valeureux Vikings ! Qu’êtes-vous devenus ? »

    Des fleurs partout, des lampions et une grande manifestation pour l’amourlancée sur Facebook qui a rassemblé plusieurs dizaines de milliers de personnes dimanche à Stockholm : les Charlies suédois étaient de sortie ce week-end.

    Quelques fausses notes, toutefois, dans ce concert de bonnes intentions dégoulinantes. Ainsi du chef de la police de l’agglomération de Göteborg, qui a appelé sur Twitter à l’expulsion des immigrés soutenant l’Etat islamique. Mais le ministre de la Justice a vivement réagi, demandant au grossier personnage de s’expliquer après cette déclaration, car la Suède est un pays ouvert : « Nous avons la liberté de parole en Suède, ce qui veut dire que les gens ont le droit d’avoir des opinions répugnantes ici », lui a rappelé le gentil ministre Morgan Johansson.

    Car le principal suspect de l’attentat est un Ouzbek de 39 ans, Rachat Akilov (ci-contre), qui ne cachait pas sur internet sa sympathie pour le terrorisme islamique. Par contre, dans la vie de tous les jours, c’était « un type normal » et pas religieux pour un sou. Il aurait, d’après les médias suédois, avoué et serait même content d’avoir réalisé son projet de tuer des « infidèles », soutenant avoir agi pour le compte de l’Etat islamique.

    Venu en Suède en laissant au pays sa femme et ses quatre enfants, sa demande d’asile avait été rejetée et il avait reçu l’ordre de quitter le pays en décembre mais avait disparu dans la nature, comme beaucoup d’autres.

    Sans doute inspiré par les attentats de Nice, de Berlin et de Londres, pour ne citer que ceux-là, l’Ouzbek a, au volant d’un camion volé, fait quatre morts et 15 blessés.

    Selon les déclarations de la police suédoise, il y a environ 12 500 autres immigrants ayant reçu l’ordre de quitter le territoire et dont les autorités ont perdu la trace.

    Difficile de contrôler tout ce beau monde quand on a laissé venir, pour ne pas dire encourager à venir, 163 000 « réfugiés » rien qu’en 2015 dans un pays de dix millions d’habitants. Finalement, les larmes que l’on a vues couler sur les joues du Premier ministre Stefan Löfven étaient peut-être celles d’un homme rongé par le remords…

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 12 avril 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Rixe entre Afghans et Kurdes : incendie du camp d'immigrés de la Grande Synthe

    6a00d83451619c69e201b8d2767a7f970c-250wi.jpgLa quasi totalité du camp de Grande-Synthe (Nord) a été ravagé par un incendie hier soir. Environ 1 500 migrants, principalement des Kurdes irakiens, y vivaient dans 300 cabanons en bois. Le feu s'est déclaré après une rixe à l'arme blanche entre Afghans et Kurdes qui a fait six blessés.

    Les bagarres se sont poursuivies tard dans la nuit, malgré l'intervention de deux compagnies de CRS.

    70% du camp a été détruit. Ces immigrés ont été évacués du camp et seront relogés dans des hébergements d'urgence.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Dévastateurs pour qui ?

    C’est là le résultat des politiques laxistes menées depuis des décennies par la gauche et la droite sur le plan judiciaire comme sur celui d’une immigration qui peuple très majoritairement nos prisons. Depuis lundi les surveillants pénitentiaires bloquent la prison de Fleury-Mérogis pour protester contre l’explosion des violences dont ils sont victimes.  Le criminologue Xavier Raufer le rappelle dans un article publié sur le site atlantico si les Français sont mécontents de leur justice  (« l’action de la justice est peu ou pas satisfaisante pour deux-tiers des Français » selon une enquête de l’INSEE).  « Aujourd’hui, les surveillants (pénitentiaires)  sont insultés, rossés, menacés de mort et traqués sur les réseaux sociaux. Hors des prisons, on file les gardiens jusqu’à domicile. Je sais où tu habites, sifflent des détenus… où travaille ta femme, à quelle école vont tes enfants. On les intimide par vengeance, ou pour qu’ils laissent passer la drogue et les portables. »  Autre illustration de la démission coupable de nos « élites » , Le Figaro rapporte  que dans « Le camp de migrants de Grande-Synthe, près de Dunkerque, dans le Nord, qui se voulait un abri exemplaire pour les migrants rêvant de passer en Angleterre », des bagarres entre Afghans et Kurdes ont dégénéré.

    «  Un violent incendie a ravagé l’essentiel de ses 300 chalets lundi soir expliquent les autorités. Les rixes entre migrants se sont poursuivies tard dans la nuit (…) Les deux compagnies de CRS qui tentaient de les faire cesser progressaient difficilement, parfois visées par des pierres ». «Vers minuit, le camp dit de La Linière, voulu par le maire écologiste de la commune Damien Carême » –c et élu écolo-gauchiste avait interdit la visite de Grande-Synthe à Marine Le Pen en janvier dernier-, NDLR  « a été réduit à un «amas de cendres» et «il sera impossible de remettre des cabanons à la place de ceux qui existaient auparavant», a déclaré à la presse le préfet du Nord ». Comme d’habitude,  les contribuables français paieront les dégâts…

    Français qui payent aussi chèrement l’inféodation de l’Europe de Bruxelles aux oukases du mondialisme. Il n’est guère surprenant qu’Angela Merkel , François Hollande, le président du Conseil européen, Donald Tusk, les instances européistes aient apporté leur soutien aux frappes américaines sur la Syrie. Et ce  en violation totale d’un droit international dont les européistes se gargarisent  et  prétendent être les garants.

    Il n’est guère étonnant non plus que ce même François Hollande  se soit de nouveau prononcé le 5 avril contre les partisans de l’Europe des nations lors d’un déplacement à Noyon  (« l’Europe, ce n’est pas l’addition des nations qui la composent, ce n’est pas une somme d’égoïsmes ») pour vanter une Europe de Bruxelles « qui nous protège » (sic).  Président socialiste pseudo ennemi de la finance qui, comme les candidats européistes de cette élection présidentielle, se retrouve de nouveau sur la même longueur d’onde qu’une  incarnation du capitalisme spéculatif et hors sol comme Jamie Dimon, patron de la banque américaine  JP Morgan. Ce dernier affirme dans sa dernière lettre annuelle aux actionnaires que «  la dislocation de l’UE et de l’union monétaire pourrait avoir des effets politiques et économiques dévastateurs. » Dévastateurs pour qui ?

    Classe politique française, qui de Jean-Luc Mélenchon à François Fillon, d’Emmanuel Macron à Benoit Hamon, met ses pas dans ceux du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, pour condamner l’initiative du gouvernement de Viktor Orban en Hongrie, intitulée Let’s stop Brussels  (« arrêtons Bruxelles ») dénonçant la volonté d’ingérence des instances eurobruxelloises dans leur vie quotidienne et leur choix politique. Députés Hongrois qui ont en en outre le toupet de voter en faveur d’un projet de loi en faveur de la fermeture de « l’Université (anglophone) d’Europe centrale », fondée par le trouble milliardaire mondialiste et immigrationniste  George Soros. 

    Dans son éditorial paru dans le numéro d’avril-mai de la revue Eléments, Alain de Benoist  pointe avec brio l’effacement  de l’Europe (impuissante)  de Bruxelles dans le monde  multipolaire  qui se met en place; « un canard sans tête » face aux tigres américain, chinois et russe, une Russie qui redevient une grande puissance. «Une Europe vidée de son énergie qui, dans le grand jeu mondial, compte désormais pour rien. Une Europe en état d’apesanteur qui continue à marcher mécaniquement sans réaliser qu’elle est déjà morte. Une Europe en forme d’espace ouvert à tous les flux, de terrain vague au sens propre de l’expression, qui se dissout elle même dans le prêchi-prêcha moral humanitaire et l’idéologie des droits de l’homme (…).»

    « A l’heure de la dureté des temps poursuit-il, l’Europe se veut plus molle (et maternelle) que jamais, plus oublieuse de son histoire et de son identité, plus béatement portée sur les nuées de la moraline politiquement correcte. A l’heure où la politique fait son retour en force, elle continue de croire en  la communauté internationale (ou à la communauté atlantique) et s’abandonne au mythe de la persuasion sans les armes. A l’heure où se fait jour un irrésistible désir de retrouver des repères, elle s’emploie à privatiser la question du sens et à faire disparaître toutes les formes d’ancrage. Ayant mis l’individu au centre du corps social, elle reste étrangère aux grands projets collectifs et rêve de dissoudre les frontières en même temps que les généalogies, voire de faire naître un homme nouveau, libérérdes pesanteurs de l’histoire, qui se fabriquerait lui -même à partir de rien – un self -made-man en somme. Loin de profiter de l’actuelle remise en cause  de l’architecture  géopolitique du monde pour s’autonomiser, les dirigeants européens continuent à discuter sur le quai de la gare. sans réaliser que le train est déjà parti. »

    Un constat implacable mais lucide. Bruno Gollnisch l’a dit, face aux concepteurs de cette Europe dévoyée, de cette construction bruxelloise contraire au génie de notre civilisation européenne, une autre voie est possible. Et ce n’est peut être pas le moindre des paradoxes aux yeux  de certains, mais il apparaît de plus en plus clairement que ce sont  les patriotes, les défenseurs de la souveraineté des nations et  de la  libre-coopération, le projet porté  par Marine Le Pen,  qui incarnent le mieux  l’avenir d’une l’Europe  redevenue libre,  rayonnante, fière et enracinée.

    https://gollnisch.com/2017/04/11/devastateurs-pour-qui/

  • Hongrie : tout demandeur d’asile est désormais placé en centre fermé

    Fin mars, la Hongrie a encore durci son droit d’asile : tout demandeur d’asile est placé dans un centre fermé, situé en zone de transit. Deux de ces centres ont été installés à la frontière avec la Serbie. L’objectif est d’empêcher ces migrants de disparaître durant l’instruction de leur dossier… « Tout étranger en situation irrégulière en Hongrie est systématiquement conduit à la zone de transit de Tompa ou à celle de Röszke, 50 km plus à l’Est de la frontière serbo-hongroise. »

    Comme l’explique La Croix, « si les migrants veulent demander l’asile en Hongrie, ils doivent résider obligatoirement au sein de ces conteneurs extraterritoriaux installés dans la zone de transit, en attendant une issue aléatoire. En 2016, moins de 425 personnes ont reçu l’asile ou la protection subsidiaire de la Hongrie. À ce jour, la Hongrie n’a enregistré qu’environ 1 270 demandes d’asile pour l’année 2017, un chiffre largement à la baisse. Si les migrants ne veulent pas rester en Hongrie, ils peuvent sortir et entrer en Serbie. »

    https://fr.novopress.info/

  • Attentat en Suède : une victime de plus - Journal du lundi 10 avril 2017

  • Attentat en Suède, le terroriste était un demandeur d’asile

    Stockholm et Saint-Pétersbourg sont les dernières étapes du terrorisme en Occident.

    Le djihadiste du Kirghizistan disparu des radars de contrôles à la frontière pour au moins un an, durant lequel semble-t-il il a été en Turquie, s’est préparé à reparaître en Russie et à frapper dans le métro de Saint-Pétersbourg, terrible attentat qui a causé la mort de 14 personnes et fait de nombreux blessés graves.

    Le terroriste ouzbek qui en Suède au volant d’un camion a renversé et tué 5 personnes et blessé 15 passants est lui un « réfugié » accueilli dans le pays de la bien-pensance en 2014 et dont la demande d’asile politique avait été rejetée en juin dernier.

    Libres d’entré, de sortir, et de tuer là où ils ont été accueillis, logés, nourris…

    Matteo Salvini, le chef de la Ligue du Nord italienne a eu cette remarque pertinente :

    « Le terroriste de Stockholm était un réfugié qui devait être expulsé. Celui de Milan avait débarqué à Lampedusa et avait été arrêté 5 fois. Que disent tous les bien-pensants ? Blinder les confins et bloquer les frontières, avec tous les moyens. Autrement c’est de la complicité. »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/attentat-en-suede-le-terroriste-etait-un-demandeur-dasile/72198/

  • Frédéric Pons : « La vague islamiste de persécution des chrétiens ne s’arrêtera pas à l’Orient ! »

    Dans son nouveau livre Le Martyre des chrétiens d’Orient, Frédéric Pons explique que leur persécution a commencé bien avant que l’Occident n’ouvre les yeux. Les témoins qu’il a rencontrés en Irak et en Syrie nous mettent vivement en garde contre la guerre que les islamistes ont lancée contre l’Europe, utilisant à leur profit l’effondrement des valeurs et les lois de notre démocratie.

    Ces chrétiens qui ont accepté de tout perdre pour sauver leur foi sont des signes d’espérance, ici et là-bas.


    Frédéric Pons : "La vague islamiste de… par bvoltaire

    https://fr.novopress.info/

     
  • Stockholm : le multiculturalisme jusqu’au fond du gouffre

    Si, dans l’imaginaire collectif européen, la Suède incarne – faut-il dire – l’exemple de la tolérance et de l’accueil de l’autre, dans la réalité, elle a cessé d’être un paradis de paix et de progrès social, comme vient de l’illustrer l’attentat commis hier après-midi  à Stockholm.

    Un paradis qui fut longtemps son apanage sous la double bannière du luthéranisme et de la neutralité. Comme ailleurs en Europe, l’accueil massif de populations migrantes aboutit à une situation « vivrensembliste » qui vire maintenant au cauchemar. Au cours des dernières semaines, trois alertes à la bombe ont été recensées dans la seule ville de Luelå ; cinq à dix voitures sont brûlées chaque nuit dans le pays ; épidémie de viols sur tout le territoire, dont 82 % sont le fait de « migrants » ; quatre policières molestées par des demandeurs d’asile ; séries d’explosions de camions, etc. Les Suédoises, réputées libérées, vivent dans la peur. Ainsi, 12 % ne sortent plus le soir. Quant aux autres, 31 % ne sortent que si elles sont accompagnées.

    Une police de la charia a récemment été instaurée très officiellement dans la banlieue nord de Stockholm.

    Dépassée par la masse croissante des délits et des crimes commis sur le territoire, les politiques délèguent la justice à des « cadis ». C’est en toute légalité qu’au nord de la capitale, une « police de la charia » a instauré une ségrégation stricte selon les sexes dans les transports en commun, s’adonne à la chasse aux tenues vestimentaires non « charia compatibles », réprime la consommation d’alcool, etc. Des zones de « droit islamique » dans lesquelles la police « blanche » ne rentre plus. Une évolution qui conduit à des démissions en masse de policiers excédés

    A part le rétablissement d’une forme de service militaire visant notamment au maintien de l’ordre, la réponse des autorités gouvernementales suédoises, qui nient la réalité des faits, relève sans surprise du « syndrome de Stockholm ». Elles ont ainsi récemment renoncé à poursuivre l’auteur d’un envoi de fonds destinés à Daech. Dans les rangs travaillistes, on songe même au dépôt d’un projet de loi visant à légaliser le mariage avec des mineures, à l’image du prophète qui a épousé la petite Aïsha alors âgée de sept ans.

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