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immigration - Page 947

  • Comment l'alliance socialiste et islamiste a détruit la liberté d'expression

  • Immigration clandestine : la Dakar Connection démantelée

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    Au terme d’une enquête qui a duré plus d’un an, l’Office central pour la répression de l’immigration irrégulière a démantelé une importante filière d’immigration clandestine en provenance de Dakar, la capitale du Sénégal. Les centaines d’individus qui avaient bénéficié des services de cette Dakar Connection dirigée, selon Le Figaro, « par un escroc sénégalais d’envergure internationale, déjà connu de la police, disposant de solides relais tant en France qu’en Europe », avaient pu obtenir de faux papiers en France moyennant 10 000 à 12 000 euros chacun. Un reportage de TV Libertés à voir ci-dessous à partir de 11 minutes.

  • Les Français doivent faire des enfants, c’est un enjeu civilisationnel ! (Jean-Marie Le Pen)

    Jean-Marie Le Pen, président des Comités Jeanne, était samedi dernier l’invité d’un dîner patriotique organisé par Thomas Joly du Parti de la France, et où intervenait également Alexandre Gabriac pour Civitas. Ces trois formations politiques – les Comités Jeanne, le Parti de la France et Civitas – s’organisent en cartel pour les élections législatives de juin 2017.

    L’enjeu démographique a été mis en avant par Jean-Marie Le Pen qui a appelé les Français à faire des enfants. Avant qu’il ne soit trop tard.

  • Macron drague les banlieues - Journal du vendredi 31 mars 2017

  • Certains migrants choisissent le pays d’accueil en fonction du montant de l’aide au retour

    En plus d’être une aberration sur le principe (devoir payer des personnes rentrées illégalement sur notre territoire pour qu’elles partent), le montant de la prime au retour incite les clandestins à nous coloniser.

    Commission européenne estime que certains migrants choisiraient les pays les plus généreux dans leur aide au retour, espérant toucher ces sommes pouvant atteindre jusqu’à 5 000 euros en Allemagne, une fois parvenus sur place.

    La politique d’aide financière aux migrants pour les inciter à rentrer dans leur pays aurait-elle pour effet pervers de les attirer vers les pays les plus généreux en la matière ? C’est ce que semble craindre la Commission européenne, qui a publié une note le 2 mars dernier à ce sujet.

    Mises en place dans plusieurs pays, ces aides qui se veulent «incitatives» auraient un effet d’autant plus contre-productif qu’elles sont loin de faire l’objet d’une harmonisation au niveau européen. En Allemagne, celles-ci peuvent atteindre jusqu’à 5 000 euros, note le site Politico, contre 2 500 euros en France, ou 1 000 euros au Royaume-Uni. Dans d’autres pays, au contraire, comme la République tchèque, ces aides sont tout simplement inexistantes. Les migrants, avant de gagner l’UE, prendraient donc ces critères en compte pour arrêter leur choix de destination.

    Face à cet effet d’aubaine non désirable, la Commission suggère une harmonisation du montant de ces versements entre les pays – une politique difficile à mettre en application. Pour autant, le principe même de l’aide au retour ne semble pas près d’être remis en cause. Lors du conseil européen des ministres des Affaires étrangères qui s’est tenu le lundi 27 mars, Carmelo Abela, chef de la diplomatie de Malte, qui détient la présidence tournante du Conseil européen jusqu’à juin a certes concédé que «les mesures telles qu’elles existent n'[étaient] pas efficaces». Il a néanmoins estimé qu’il fallait «s’assurer que l’aide contribue à encourager les retours» des migrants dans leur pays. Source : RT
    http://www.contre-info.com/certains-migrants-choisissent-le-pays-daccueil-en-fonction-du-montant-de-laide-au-retour#more-44346 

  • REVUE DE PRESSE Guyane. « La population compare ce mouvement aux Bonnets rouges »

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    Cayenne (Breizh-Info.com) – La grève générale a été déclenchée en Guyane depuis lundi 27 mars 2017. Cela fait suite à de nombreuses semaines de mouvements de protestation divers, aux revendications principalement économiques, sociales, sécuritaires, mais aussi éducatives et sanitaires. Bernard Cazeneuve, le Premier ministre, a annoncé lundi l’envoi d’une délégation interministérielle avec un préalable : que des garanties soient données pour obtenir le « respect de l’ordre républicain ».

    Pas de quoi convaincre les acteurs de la contestation – qui n’entendent pas se laisser intimider par le Gouvernement et qui veulent que leurs revendications soient entendues, et appliquées. Une grande marche a eu lieu, ce mardi 28 mars 2017, dans les deux plus grandes villes de Guyane.

    Une coordination des collectifs a rendu publique, lundi, une synthèse des revendications encore provisoire :

    - Création d’une cité judiciaire ; mise en place d’un préfet de police ; éradication des squats.

    - Construction de cinq lycées, dix collèges et cinq cents classes de primaire – pour faire face à la croissance démographique.

    - Recrutement de quatre cents intervenants en langues maternelles, des assistants des enseignants du primaire qui permettent de commencer la scolarisation des enfants dans leur langue maternelle, puis de passer au français

    - En matière de santé, ils demandent la transformation du centre médico-chirurgical privé de Kourou en hôpital public, et un soutien exceptionnel pour l’hôpital de Cayenne.

    - Les collectifs proposent aussi une zone franche sociale et fiscale sur dix ans, la construction d’une route pour désenclaver l’intérieur et un réseau téléphonique sur tout le territoire.

    - D’autres revendications concernent l’énergie, l’accès au foncier et la reconnaissance des droits des peuples autochtones.

    Pour faire le point sur la situation, pas toujours très bien comprise ou analysée par la presse métropolitaine, nous avons contacté Mathilde Romagnan, journaliste pour Radio Péyi, première radio privée généralisation d’information de Guyane, en pointe dans la couverture de la contestation populaire.

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  • La Dakar connection : le Paris-Dakar des clandestins - Journal du jeudi 30 mars 2017

  • Union européenne : le dogme craque de partout face à l’afflux de migrants

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    8831-20170330.jpgL’Union européenne a beau être le seul dieu, fêté, honoré, relayé sur toutes les antennes, la réalité c’est qu’elle se fissure de partout. Face à la nouvelle submersion migratoire de ce printemps 2017, de plus en plus de pays refusent de se soumettre.

    Pour la Grèce c’est non. Le pays refuse d’accueillir de nouveaux migrants. Comme nous le déclarait Marine Le Pen dans l’interview qu’elle nous a donnée le 7 mars dernier, « le printemps n’est même pas arrivé que déjà le nombre d’arrivées a doublé par rapport à l’année dernière ». Le ministre de l’Immigration grec, Ioannis Mouzalas proteste contre un retour au règlement de Dublin que veut lui imposer l’UE. D’après ce règlement, les migrants doivent revenir dans le premier pays européen traversé pour y demander l’asile : « La Grèce porte déjà un très lourd fardeau. Nous prenons en charge 60 000 réfugiés… »

    Après la Pologne et la Hongrie réfractaires, l’Autriche va demander à la Commission européenne d’être exemptée de l’accueil de migrants : « Nous estimons qu’une exception est nécessaire pour l’Autriche qui a déjà rempli ses obligations. » Lors d’une visite à la mission Frontex en Méditerranée, le ministre autrichien des Affaires étrangères Sebastian Kurz (ÖVP, Parti conservateur) a vivement critiqué les actions de sauvetage des ONG : « Il faut en finir avec la folie des ONG ! Il y a des ONG qui font du bon travail, mais il y en a aussi beaucoup qui sont des partenaires des passeurs. » Frontex a dénoncé le fait que les migrants sont recueillis par des bateaux européens toujours plus près des côtes libyennes, ce qui favorise les affaires des réseaux criminels et des passeurs.

    Kurz a de nouveau préconisé le modèle australien : que les réfugiés sauvés en Méditerranée ne soient plus amenés sur terre en Italie, mais qu’ils soient arrêtés et renvoyés dans des centres de réfugiés à l’extérieur de l’UE :

    « Quand il sera clair que le voyage s’arrêtera sur des îles comme Lampedusa ou Lesbos, il n’y aura au bout de quelques semaines presque plus personne à se mettre en route. »

    C’est un nouveau coup porté au système despotique de répartition des migrants voulu par l’UE.

    En Suède, un sondage donne le parti anti-immigration en tête des intentions de vote, en Slovaquie, la droite nationaliste ne cesse d’accentuer sa percée.

    La réalité résiste à l’utopie européiste ? Comme l’écrivait Guy Rouvrais, c’est donc la réalité qui a tort et eux qui ont raison ! « Les eurocrates attribuent la révolte des peuples européens non pas à trop d’Europe mais à pas assez. Il faut aller encore plus en avant et à marche forcée ». Sauf que ça ne marche plus comme ça.

    Caroline Parmentier

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 30 mars 2017 sous le titre « UE : le dogme craque »

    https://fr.novopress.info/204664/union-europeenne-le-dogme-craque-partout-face-afflux-migrants/

  • Les « 500 frères » guyanais : « Si les voyous veulent la guerre, on la fera »

     

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    8830-20170329.jpgPierre Barbey le rappelait hier dans Présent : après des années d’un incroyable laxisme migratoire et judiciaire, mais aussi d’abandon par la métropole, la Guyane est aujourd’hui en passe d’exploser. Depuis lundi, en effet, une grève générale paralyse le département, à l’appel de la plupart des syndicats et de nombreux collectifs, dont celui des mystérieux « 500 frères ».

    Un département à la dérive

    Rappelons d’abord que la Guyane est le département français le plus victime de l’immigration-invasion. Originaires du Suriname, du Guyana, du Brésil et même d’Haïti, les clandestins, attirés par les pompes aspirantes de l’immigration, y débarquent chaque année par dizaines de milliers. Au point que, en novembre dernier, le préfet a dû suspendre l’enregistrement des demandes d’asile. Un afflux massif qui vient encore aggraver un chômage catastrophique, mais surtout la criminalité.

    Ici, en effet, on n’enregistre pas moins d’un homicide par semaine (49 sur les douze derniers mois), près de 200 viols en un an, 428 vols à main armée en 2016. Le taux de criminalité y était en 2014 de 90 pour mille habitants, alors qu’il est de 56 ‰ en France métropolitaine. Une criminalité dans laquelle les clandestins jouent un rôle majeur, puisque ceux-ci représentent 50 % des détenus en Guyane.

    « Si les voyous veulent la guerre, on la fera »

    500-freres--nicolas-pietrus.jpgC’est contre cette grave dérive et à la suite du meurtre d’un habitant d’un quartier populaire en février dernier que plusieurs dizaines de personnes ont décidé de former ce collectif des « 500 frères ». Mais, avec eux, pas de niaiseries du genre de celles auxquelles nous assistons depuis des années dans nos banlieues ethniques.

    Encagoulés, vêtus de noir et plutôt costauds, ils n’hésitent pas à faire le coup de poing dans les rues de Cayenne et multiplient les coups d’éclats pour demander l’éradication des squats, le maintien d’un escadron de gendarmes mobiles affecté en renfort ou encore le renvoi dans leur pays des détenus étrangers pour y purger leur peine.

    Après une première apparition le 22 février dans une manifestation à Cayenne contre la délinquance, le collectif ne cesse de s’inviter un peu partout. Ainsi, le 17 mars, ses militants ont-ils envahi le bâtiment de la collectivité territoriale de Guyane, entraînant la fuite de Ségolène Royal… Le 23, ils faisaient fermer la mairie de Cayenne, qui ne respectait pas l’appel à la grève générale. Et, samedi encore, rencontrant le chef de la mission gouvernementale dépêchée sur place, ils refusaient d’entamer le dialogue avec lui, demandant à s’entretenir directement avec Cazeneuve.

    Interrogé récemment, l’un d’eux a expliqué : « Aujourd’hui, on dialogue. On fait tout pour empêcher une guerre civile. […] Mais si les voyous veulent la guerre, on la fera. »

    Franck Deletraz

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 29 mars 2017

    https://fr.novopress.info/204631/les-500-freres-guyanais-si-les-voyous-veulent-la-guerre-on-la-fera/

  • Alexandre Del Valle : l’ennemi principal n’est pas la Russie, mais le totalitarisme islamiste

    2e partie de notre entretien avec Alexandre Del Valle à propos de son livre Les Vrais ennemis de l'Occident (première partie ici) :

    6a00d83451619c69e201b8d26f4ba3970c-200wi.jpgMais les intérêts de la Russie ne sont-ils pas profondément différents de ceux de l'Europe de l'Ouest?

    Non ! s’ils sont totalement opposés aux intérêts et idéologie de McWorld et de l’atlantisme, ils sont par contre très convergents avec ceux de l’Occident identitaire ou « alterOccident » car l’énergie, le territoire, les cerveaux, les ressources naturelles et la force militaire russes puis le modèle alter-occidental souverainiste et néo-orthodoxe-chrétien de la Russie post-soviétique doteraient l’Europe, si celle-ci était libérée du joug atlantiste, d’une autonomie et d’une force de frappe géostratégique qui en ferait la première puissance du monde. Et c est justement ce que craignent les Etats-Unis et les stratèges de l’OTAN… Mais il est clair que notre intérêt serait de développer les richesses énergétiques de la Russie et d’importer le gaz et le pétrole russe plutôt que de dépendre des monarchies du Golfe et du Maghreb qui ont des intérêts et des valeurs géocivilisationnelles non seulement opposées mais menaçantes puisque les puissances islamiques escomptent conquérir religieusement et démographiquement l’Europe.  

    Pensez-vous que la lutte commune contre le totalitarisme islamique suffise à unifier l'ensemble de la civilisation occidentale ou bien les divergences internes ?

    Bien sûr que non, mais cette lutte commune aurait le mérite de clarifier l’ennemi principal, qui n’est pas la Russie, mais les pôles du totalitarisme islamiste, composé d’Etats et organisations sunnites qui projettent de nous conquérir et donc de détruire tout simplement note civilisation… Des Etats-Unis à la Russie en passant par l’Australie et la Vieille Europe, les défis sont communs : immigration, vieillissement, menace islamiste, individualisme, et les origines sont communes, christianisme, pensée gréco-latine, substrat celto-germanique ou latin et slave. Nos valeurs sont bien plus proches que nous le croyons et du point de vue de l’islamisme conquérant, nous ne faisons qu’un, en vertu de l’adage islamique, les Croisés et les impies ne sont qu’une seule nation (Kufru Millatün wahida »).  

    Est-il encore possible de lutter efficacement contre le totalitarisme islamique quand nous dépendons autant financièrement des principaux financiers de ce totalitarisme, notamment les monarchies du Golfe?

    Oui parfaitement ! Une chose est claire : nous ne pourrons pas vaincre le totalitarisme « chez lui », c est à dire dans les pays musulmans, car seuls les musulmans et les responsables politiques et religieux de es pays pourront réformer leur religion, jamais revisitée depuis le 11ème siècle et restée figée dans une théologie de la guerre et de l’intolérance, source à laquelle puisent les islamistes radicaux pour disqualifier les modernistes. Cette guerre interne nous échappe largement. Nous pouvons certes aider les pays les plus anti-islamistes, comme les derniers nationalistes arabes et les Etats qui combattent la subversion des Frères musulmans (Egypte, général Haftar en Libye, Syrie de Bachar, forces chiites modérées en Irak, Kurdes, Liban, Jordanie, Maroc, etc). Mais par contre, sur notre sol, si nos dirigeants renouent avec un volontarisme et une politique de souveraineté, nous pouvons reprendre en main les institutions de représentations de l’islam et couper l’influence de l’islamisme mondial nos communautés musulmanes d’Europe puis bannir les Frères musulmans et les mouvances salafistes, radicales, wahhabites, tablighies, milli görüs,etc, bref toutes les tendances de l’islam extérieur dont l’objectif est d’empêcher l’intégration de nos concitoyens musulmans à qui sera proposée une « charte de l’islam de France » qui posera les conditions de la compatibilité entre les règles et rituels islamiques et nos valeurs et lois. Il suffira d’appliquer la loi et de n’accepter de l’islam que ses mouvances réformistes conformes à nos valeurs et règles. La chose est possible. Des imams modérés existent mais nos politiques ont préféré depuis des décennies confier nos musulmans aux forces islamiques obscurantistes et étrangères. Il est temps de revenir à la raison. 

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/03/alexandre-del-valle-lennemi-principal-nest-pas-la-russie-mais-le-totalitarisme-islamiste.html