Ainsi donc, ce mercredi, c'est à Romans-sur-Isère qu'aura lieu une marche blanche organisée par la famille de Thomas, assassiné à Crépol. C'est dans ce chef-lieu de canton situé à 17 kilomètres des lieux du drame que Thomas allait au lycée et jouait au rugby, et c'est peut-être - selon toute vraisemblance - de là, aussi, que venaient certains, au moins, de ses agresseurs. Une petite ville de 33.000 habitants qui, comme bien d'autres en France, se gangrène, rongée par les violences, l'insécurité et l'immigration.
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À 17 km de Crépol, Romans-sur-Isère, cette petite cité qui connaît l’enfer
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Thomas, 16 ans, assassiné à Crépol (Drôme) Par Olivier Perceval
La liste s’allonge ! Des jeunes gens sont poignardés et des bobos outrés, sur un plateau de télévision que je ne citerai pas mais où travaille Laurent Ruquier, ne voient qu’une chose : « Ça fait le lit de l’extrême droite ». On sent l’émotion, la douleur qui étreint ces parangons de la compassion. « Ils ont le cœur dur et la tripe sensible » écrivait Bernanos à leur endroit.
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Inquisition de Zelensky : En Ukraine, les femmes subissent des violences et des représailles sadiques
La Fondation pour Combattre l’Injustice a reçu des preuves inédites d’abus brutaux de femmes par les forces de l’ordre ukrainiennes, le personnel militaire et les combattants des bataillons nationalistes. Selon les données reçues par la Fondation, les viols collectifs, les tortures des organes génitaux, les mutilations génitales et les chocs électriques pratiqués par l’AFU, le SBU et les combattants d’Azov sont effectués sur ordre direct du président Zelensky et avec l’autorisation des chefs des services de sécurité ukrainiens.
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Saint-Nicolas. La traditionnelle fête chrétienne de nouveau attaquée par les ethno-masochistes [Vidéo]
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Poutine annonce les prochaines initiatives de la Russie pour résoudre le conflit israélo-palestinien
Déplorant la catastrophe humanitaire désastreuse dans la bande de Gaza, Vladimir Poutine a prôné la nécessité d’un cessez-le feu tout en annonçant les futures initiatives russes sur cette crise en 2024. Il a dénoncé les tentatives US de déjouer les efforts de médiation et le non-respect des décisions de l’Onu prises au XXe siècle.
La Russie a l’intention d’initier des contacts sur le conflit israélo-palestinien lors de sa présidence des BRICS+ (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud et plusieurs nouveaux membres) en 2024, a déclaré ce 21 novembre Vladimir Poutine lors d’un sommet extraordinaire des BRICS consacré à la crise au Moyen-Orient.
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Crépol : ce que la terreur idéologique cherche à taire
Le traitement médiatique, occulté par la gauche, du drame de Crépol (Drôme) dévoile l’ampleur du fanatisme diversitaire. Pour la presse progressiste, porte-plume de la fiction du vivre ensemble, l’assaut ethnique dont a été la cible, ce week-end, le bal populaire de ce village rural (532 habitants) n’existe pas. Tout juste s’agirait-il d’une rixe, d’un « ensauvagement » (Gérald Darmanin) entre deux bandes. La mort de Thomas Perotto, 16 ans, tué au couteau par un « Français » né à Romans-sur Isère il y a 20 ans, relèverait du fait divers.
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Pour Nahel, une marche de « jeunes » pacifiques… mais en cagoule !
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Marine Le Pen sur Crépol : « On assiste à une attaque organisée, émanant d’un certain nombre de banlieues criminogènes où se trouvent des “milices” armées qui opèrent des razzias (…) Personne ne veut voir la réalité dès qu’elle met en cause l’immigration
Dans ce flot macabre de faits divers quotidiens, certains semblent nous toucher plus que d’autres. Pourquoi celui de Crépol et du jeune Thomas nous a-t-il tous saisis ?
Marine Le Pen. Parce qu’un gamin est mort dans des circonstances qui n’auraient jamais dû exister. Ce drame correspond au sentiment que beaucoup de Français ressentent désormais : plus personne ne se trouve à l’abri nulle part. Un nouveau seuil a été franchi. On assiste à une attaque organisée, émanant d’un certain nombre de banlieues criminogènes dans lesquelles se trouvent des « milices » armées qui opèrent des razzias.
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Emmanuelle est organisatrice du bal de Crépol. En larmes, elle livre un témoignage bouleversant : « C’était une attaque pas une rixe ou une bagarre ! Y’avait du sang partout… Un carnage… Des gens essayaient de sauver Thomas »
Selon Emmanuelle, il n’y a jamais eu de bagarre : « Je ne veux pas entendre le mot rixe. C’était une attaque ! Les agresseurs sont venus pour planter des gens gratuitement, martèle-t-elle. Tout ce que je veux, c’est que les responsables soient retrouvés et punis. Ils sont venus à la soirée avec des couteaux de cuisine et de boucher de 20 cm au moins. Il y avait déjà un petit groupe qui était rentré dans la salle et avait payé l’entrée (4 euros). Les vigiles les avaient quand même désarmés, parce qu’ils avaient des couteaux sur eux. Moi, personnellement, je ne me balade pas avec un couteau. » (…)
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L’indécence de BFM sur l’affaire Crépol
Une avocate insinue que les barbares seraient des victimes :