
Un adolescent de 14 ans a été grièvement blessé à l’arme blanche à Dijon (Côte-d’Or) dans le quartier de la Fontaine d’Ouche ce lundi soir. Il a été conduit à l’hôpital sans que son pronostic vital soit engagé, a appris Actu17.
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Un adolescent de 14 ans a été grièvement blessé à l’arme blanche à Dijon (Côte-d’Or) dans le quartier de la Fontaine d’Ouche ce lundi soir. Il a été conduit à l’hôpital sans que son pronostic vital soit engagé, a appris Actu17.
Les images des caméras de vidéosurveillance installées dans le TER qui reliait Toulouse à la Latour-de-Carol laissent peu de place au doute. Le 4 mars 2023, elles ont filmé un passager, âgé de 27 ans, placer furtivement sa main sur les seins d’une jeune adolescente, puis frapper lourdement et à plusieurs reprises son grand frère. (…)
Un clandestin sénégalais, se disant musulman, a été interpellé pour apologie du terrorisme et pour avoir menacé de brûler l’église Notre Dame de la Voie, à Athis Mons, dans l’Essonne, ce samedi, veille de Pâques, indique une source policière.
Le corps d’un homme, qui venait semble-t-il d’être tabassé, a été repêché vers 5h30 dans le canal Saint-Martin par les sapeurs-pompiers de la caserne Landon située juste à côté, a-t-on appris dans la soirée de source policière. Deux hommes soupçonnés de lui avoir porté les coups ont été interpellés quasiment dans la foulée par un équipage de la brigade anticriminalité du XIXe et une patrouille de la brigade des réseaux franciliens. Ils ont été placés en garde à vue.
La liberté est une chose sérieuse.
Tellement sérieuse que pour la liberté, des centaines de millions d’êtres humains sont morts.
La dignité et la liberté sont consubstantiels.
Le bonheur et la liberté sont aussi consubstantiels.
Ils vont ensemble.
Mais les choses sont toujours nuancées et nous savons tous qu’il n’y a pas de véritable liberté sans sécurité.
Le droit à la sécurité permet d’exercer la liberté. Liberté de posséder, d’entreprendre, de créer, d’aimer, de danser, de se déplacer, de voyager sans passeport intérieur comme c’est le cas dans toutes les dictatures.
Depuis mon article sur l'attaque terroriste tragique du week-end dernier près de Moscou, de nombreuses nouvelles informations ont été publiées confirmant les allégations de la Russie selon lesquelles l'attaque a des liens directs avec l'Ukraine. Ceci est un suivi. Le département du ministère russe des Situations d'urgence de la région de Moscou a publié le décompte suivant des victimes du massacre terroriste sur le théâtre une semaine plus tôt :
Le 30 mars 2024, à 6 heures du matin, heure de Moscou, l'attaque terroriste avait fait 695 victimes, dont 15 enfants ; Dans ce décompte, 144 personnes, dont cinq enfants, ont été tuées.
Le lundi 25 mars,, trois jours après l'attaque terroriste de l'hôtel de ville de Crocus, le président de la commission d'enquête russe, Aleksandr Bastrykin, a rapporté qu'en plus des 11 suspects initialement arrêtés, sept autres avaient été arrêtés pour avoir aidé à organiser l'attaque.
par Pierre-Alain Depauw
Les armées européennes ne sont pas prêtes à la guerre
Ces derniers jours, le même message vient de différentes armées européennes : elles ne sont pas prêtes à faire la guerre, manquent d’hommes, de matériel, de munitions. Il serait illusoire que le monde politique décide de les envoyer affronter une armée russe aguerrie et bien approvisionnée en munitions.
Les faits remontent au 15 mars dernier. Un adolescent ponot de 15 ans accepte un rendez-vous près de la gare au Puy-en-Velay. Le rendez-vous se transforme en guet-apens. L’adolescent se retrouve face à un autre jeune de 16 ans et un majeur de 18 ans.
Derrière la porte de l’appartement de la rue de Madrid, quartier Malakoff, les policiers de Nantes découvrent l’effroyable le 16 septembre 2023. (…) quatre personnes viennent de passer trois jours séquestrés et brutalisés, jusqu’à la torture. Et deux bourreaux sont encore sur place. (…) Les récits des victimes, âgées de 34 à 54 ans, plongent dans l’horreur de ce huis clos, qui trouve son origine dans une dette. Appartement nourrice d’un trafic de drogue, 10 000 € y auraient été dérobés. Lorsque les dealers mettent la main, en fouillant les lieux, sur plusieurs billets cachés dans le réfrigérateur, leurs soupçons sont confirmés. Leur colère explose, sans limite. Les deux femmes disent avoir été plongées dans l’eau, jusqu’à perdre connaissance. L’une des deux aurait été violée sous la menace d’une arme. Plusieurs scènes auraient été filmées par les auteurs. (…)