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Le faiseur de rois milliardaire d’extrême gauche George Soros a versé plus de 15 millions de dollars depuis 2016 à des groupes à l’origine des manifestations pro-palestiniennes de ce mois-ci, où les manifestants ont ouvertement applaudi les lâches attaques terroristes des militants du Hamas contre Israël.
Le seul pays qui pourrait détourner l’Occident de l’Ukraine est Israël. Mais les États-Unis et leurs alliés tombent dans un piège existentiel s’ils pensent qu’une victoire au Proche-Orient sera plus facile à remporter qu’une victoire en Europe.
Le partenariat stratégique entre la Russie et l’Iran – avec la Chine dans les coulisses – tend un piège élaboré teinté de Sun Tzu, à l’Hégémon au Proche-Orient.
Hormis Israël, il n’existe aucune entité sur la planète capable de détourner l’attention, en un clin d’œil, de la débâcle spectaculaire de l’Occident en Ukraine.
Les bellicistes en charge de la politique étrangère américaine, qui ne sont pas exactement des piliers bismarckiens, pensent que si le projet Ukraine est irréalisable, le projet Solution finale en Palestine pourrait au contraire être une promenade de santé (nettoyage ethnique).
Axel Festas, chef du Groupe Antifa Lyon et Environ passe vendredi devant le conseil d’État pour contester la dissolution de son groupe, prononcée en 2022. Entaché par de nombreuses affaires de violence et flirtant avec l’apologie du terrorisme, ce groupuscule antifa sévit depuis 10 ans à Lyon dans une relative impunité. Enquête de Laurent Vergniaud sur l’activité du groupe.
Le vendredi 27 octobre, le Groupe Antifasciste Lyon et Environ, surnommé par ses propres militants « La GALE », passe devant le conseil d’État aux cotés des écolos des Soulèvements de la Terre et des nationalistes de l’Alvarium, pour l’examen des recours prononcés contre la dissolution de chacun de ces mouvements. La GALE, fondé en 2013 par Axel Festas, une figure de la mouvance autonome et redskin lyonnaise, est cependant tristement célèbre pour ses violences fréquentes et une idéologie radicale multipliant les appels à l’insurrection et les provocations de mauvais goût.
27/10/2023
Samir B. a quitté le palais de justice de Pontoise tard jeudi soir pour rejoindre une cellule de la maison d’arrêt du Val-d’Oise. À l’issue d’une garde à vue de 48 heures, l’agresseur présumé de vieilles dames a été de nouveau interpellé mardi 24 octobre. Il a été mis en examen pour « agressions sexuelles sur personnes vulnérables » et placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention.
Jeudi 25 octobre avait lieu la messe d’enterrement de Fabienne Broly Verhaeghe, 67 ans, infirmière à la retraite, mère de quatre enfants et grand-mère de neuf petits-enfants.
Cette dernière avait été sauvagement assassinée à Lille, le 18 octobre, par un Ivoirien entré illégalement sur le sol français.
Depuis le 19 octobre, des dizaines de visites domiciliaires dans le milieu des islamistes radicaux se sont révélées fructueuses. Seule une minorité des étrangers mis en cause pourra être expulsée.
Au lendemain de l’assassinat de Dominique Bernard, les préfets et les services de l’État sont mobilisés pour identifier les « profils dangereux ». Il ne s’agit pas tant de ceux qui figurent dans la catégorie S que dans le fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste qui collecte les profils d’islamistes radicaux. Du jeudi 19 au samedi 21 octobre, la police judiciaire s’est déployée tous azimuts pour mener des « visites domiciliaires ».
Gerard collomb prédisait il y a 5 ans : « Aujourd'hui on vit côte à côte, je crains que demain on vive face à face, je dirais que, d'ici à cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible, Oui, on a cinq, six ans, pour éviter le pire. les gens ne veulent pas vivre ensemble »
Cette prévision était faite il y a cinq ans.
Tel Cassandre qui n'a pas été entendue, tels les Troyens n'ayant pas voulu voir le subterfuge du cheval de Troie qu'elle dénonçait, depuis des décennies nos dirigeants ont refusé de voir les dangers de l'hydre islamiste qui gangrène notre société et progresse de jour en jour.
Une femme de 32 ans a été tabassée, mardi matin. Le suspect de 51 ans, interpellé par la BAC dans la soirée, nie en bloc.
Une femme s’est fait voler son sac et rouer de coups au cours d’une agression d’une rare violence, survenue à proximité de la gare Saint-Charles, où elle allait prendre le premier train pour aller travailler à Paris, dans le 1er arrondissement de Marseille, dans les Bouches-du-Rhône, ce mardi matin, a appris Valeurs actuelles de sources policières.
