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À Dinan (Côtes-d’Armor), l’élu municipal Erwan Beaudouin a été surpris en juillet 2025 en train de prendre des photos d’une personne dans les toilettes d’un supermarché. Les vigiles ont alerté la gendarmerie, confirmant l’intervention auprès du procureur de la République de Saint-Malo. Une enquête judiciaire a été ouverte.
Quand l’argument, « extrême droite », est l’ultime parade pour ternir la réputation d’honnêtes personnes, ou disqualifier une idée, c’est que le combat idéologique est sur le point de basculer dans le sectarisme. Il n’y a plus alors que l’intolérance vis-à-vis de ceux qui refusent de disparaître en temps que personne, avec une histoire et un passé qui peut être mis en avant. Des drapeaux qui sont brandis, une volonté de protéger sa patrie contre une submersion migratoire, il n’en faut pas plus pour être catalogué d’extrême droite. Le terme est choisi à desseins, pour faire peur et réclamer le rejet sans concession d’une pensée qui ramène « aux années noires de la guerre ». L’extrême est par définition dévitalisé de raison, du bons sens, de la mesure qui prévaut dans une situation, puisqu’il s’appuie sur la stigmatisation d’une population, d’une ethnie. Agiter un drapeau, comme c’est le cas au Royaume-Uni en ce moment, est donc un acte fasciste ! C’est d’ailleurs quasiment ainsi que les journalistes décrivent les manifestants. On se pince, mais c’est là le raccourci que la gauche n’hésite pas à employer pour dénigrer un mouvement patriotique et dénier au commun des mortels le droit d’aimer un pays, le sien, qu’il désire seulement le protéger d’une entrée illégale et massive d’étrangers.
Vive émotion devant l’école Pierre Sémart à la sortie en milieu d’après-midi quand plusieurs enfants auraient été la cible d’un individu qui a croisé leur chemin. L’homme s’en serait pris verbalement à eux. “Il n’y a pas d’enfants qui seraient des victimes directes, pas de blessures. Il se serait montré menaçant ” indique une source, évoquant le début de l’enquête.
La France va donner à nouveau, ce 18 septembre, pour la deuxième fois ce mois-ci, le spectacle d’un pays à l’arrêt, envahi par un million de manifestants aux revendications multiples alors que le pouvoir vacille comme jamais. Face aux revendications longues comme un jour sans pain, on verra un Premier ministre à peine nommé, isolé et précaire, appuyé sur un gouvernement démissionnaire et soutenu par un président de la République qui a depuis longtemps perdu le soutien populaire. Tandis que les Macron font leur valise pour une visite au grand-duché de Luxembourg, le macronisme sûr de lui et méprisant s’effondre et entraîne la France dans sa chute.
Jeudi 18 septembre, vers 12h30, une fusillade a éclaté en plein centre-ville d’Arles. Trois hommes, âgés d’une vingtaine d’années, ont été touchés par balle au thorax et à l’abdomen. Les pompiers sont intervenus rapidement et ont transporté les victimes vers les hôpitaux les plus proches. L’un d’eux a été évacué avec un pronostic vital engagé.
Ce dimanche, un individu a pris le volant à Vaulx-en-Velin (Rhône) mais devait à tout prix éviter la police. Manque de chance, ce sont bien les forces de l’ordre qu’il a croisées rue Pierre-Mendès en fin d’après-midi. Il a écopé de 10 mois de prison, auxquels se rajoutent six mois d’un précédent sursis révoqué. Il a été écroué à l’issue de l’audience.
Elle avait 31 ans et s’appelait Clothilde, comme l’épouse de Clovis, qui a converti la France. Son père la décrit d’ailleurs comme « en quête de spiritualité » : athée, elle était cependant « sensible à la culture bouddhiste ». Et selon lui, « cet homme » (comprenez son meurtrier) « lui apportait certaines réponses ». La nature a horreur du vide. Originellement de culture chrétienne, l’incroyante Clothilde s’est convertie à l’islam.
Après l’assassinat de l’influenceur conservateur Charlie Kirk, Donald Trump (…) a annoncé mercredi la désignation du mouvement « Antifa » (…) comme organisation « terroriste ».
Deux hommes interpellés pour vols dans des voitures à Lyon ont violemment résisté à leur arrestation dimanche matin à Lyon.
Dimanche 14 septembre, aux alentours de 6h20, la police est intervenue dans un garage souterrain de la rue de Bonnel, dans le 3e arrondissement de Lyon, après le signalement d’individus suspects. Sur place, les fonctionnaires ont surpris deux hommes en train de fouiller des véhicules dont les vitres avaient été fracturées.