
Sans papiers, sans argent et sans logement, Amadouyero B., natif de Guinée-Conakry, voulait prendre le train, ce 3 mars 2025 au départ de la gare Saint Charles à Marseille. L’enjeu de ce voyage était majeur pour lui : il avait un rendez-vous à Paris dans les locaux de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) chargé d’étudier sa demande d’asile.







