
“Peut-on dire qu’il y a de plus en plus de violences en France depuis trente ans ?”
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“Peut-on dire qu’il y a de plus en plus de violences en France depuis trente ans ?”
22/07/2025
Le combat se poursuit pour l’épouse d’Alban Gervaise, un médecin militaire de 40 ans poignardé à mort devant une école catholique à Marseille en mai 2022. Christelle Gervaise a formé un pourvoi en cassation à l’encontre de l’arrêt de la chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence rendu le 25 juin déclarant Mohamed L., le meurtrier de son mari, pénalement irresponsable, a appris Le Figaro. (…)
Selon Le Progrès, ce mardi 22 juillet vers 18h30 à Vaulx-en-Velin (Rhône), un homme d’environ 45 ans circulant à trottinette a agressé deux femmes trentenaires à l’arme blanche, sur l’avenue des Canuts. D’après une source sécuritaire, un différend — non précisé pour l’instant — aurait motivé l’attaque.
Au programme ce soir, nous commençons avec la perspective des nouvelles discussions de paix en Ukraine organisée en Turquie mercredi. Un rendez-vous qui se profile alors que Moscou gagne toujours du terrain et que les Européens incitent Zelensky a poursuivre toujours plus le conflit.
Selon les informations d’Actu17, une fillette de 4 ans a été gravement blessée après avoir été percutée par deux hommes qui étaient sur des motocross lors d’un rodéo urbain à Bordères-sur-l’Échez (Hautes-Pyrénées; 5400 hab.).
Les idéologues gauchistes nous parlent des charmes du vivre-ensemble, de l’enrichissement multiculturel et bien sûr qualifient de « racistes » et de « fachos » les gens comme nous qui préférons l’entre-soi, où nous sommes très très largement majoritaires, nous les Blancs de culture catholique, même si notre ouverture peut accepter, en nombre très limité, et à condition qu’ils acceptent nos lois, des personnes d’une autre couleur, issues d’une autre culture, d’une autre religion et d’une autre civilisation.
Le terme de guerre civile revient en boucle pour décrire les phénomènes, pas nouveaux mais en multiplication, de violence sur la voie publique. Il faut faire le tri entre les violences de type territorial, qui consistent pour des « racailles », qui sont en réalité des bandes ethnico-religieuses qui interdisent l’accès de leur quartier à la polie, c’est à dire qui refusent la République et sa loi, au profit de la leur, dans laquelle le meurtre du dhimmi n’est pas puni. Mais il existe aussi une composante purement délinquante sur fond de trafic de drogue et de rivalités entre « entreprises » locales. Les deux sont en fait liées. La nouveauté est que cela quitte les quartiers et se propage aux villes moyennes, comme Nîmes ou Limoges très récemment et bien d’autres, encore, plus petites même. Le tout permis par une certaine retenue des forces de l’ordre qui savent que la justice cherche avec plus d’opiniâtreté, à savoir si le tir du policier était justifié, que savoir si le délinquant était bien en état de flagrant délit. Objectivement, l’arsenal juridique est d’une extraordinaire clémence avec les voyous qui se savent relativement à l’abri des foudres de la République qu’ils combattent.
Il faut savoir regarder les choses en face, sans les affadir sous le vocable commode de faits divers. Les flammes qui ont embrasé Limoges et Compiègne ne sont pas de simples étincelles allumées par l’ennui ou la misère ; elles sont les torches brandies par des mains qui défient la Cité elle-même. Là-bas, ce ne sont pas seulement des vitrines qui volent en éclats, ce sont les vitres mêmes de la Maison France qui se brisent sous les coups.
Selon Valeurs actuelles, un rapport confidentiel de l’Ofast (Office anti-stupéfiants) dresse un état alarmant du narcotrafic en France en 2025 : 7 milliards d’euros de chiffre d’affaires, violences records, 2 729 points de deal recensés, et une « narco-corruption » en progression.
Selon L’Indépendant, le samedi 12 février, tôt le matin, un habitant du Barcarès surprend un individu au comportement suspect sortant du domicile de son voisin. En s’approchant, il voit l’homme prendre la fuite et découvre que la porte de la maison est grande ouverte. La police municipale est aussitôt alertée.