
Une jeune femme de 18 ans a été violemment agressée ce samedi 5 février, avenue Camus, à Nantes. À 8 h 10, elle a reçu un coup de couteau au niveau de la gorge. Elle est hospitalisée. Son agresseur est recherché.
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Une jeune femme de 18 ans a été violemment agressée ce samedi 5 février, avenue Camus, à Nantes. À 8 h 10, elle a reçu un coup de couteau au niveau de la gorge. Elle est hospitalisée. Son agresseur est recherché.
Meher n’a pas su profiter de sa liberté retrouvée. Ou plutôt si : il a peut-être trop tiré sur la corde après ses quinze mois à l’ombre. Condamné le 18 janvier avec son frère pour trafic de drogue (cannabis, héroïne, cocaïne, ecstasy), le trentenaire n’avait pas prolongé son séjour en prison. Contrairement à son cadet, big boss du trafic, Meher avait recouvré la liberté à l’issue du jugement. Et pour cause : ses deux ans de prison (dont un ferme) prononcés par le tribunal couvraient ses 14 mois passés en détention provisoire. Le ressortissant tunisien, domicilié officiellement au Grand-Duché, était en prime frappé d’une interdiction du territoire français durant cinq ans.
Le tribunal correctionnel de Lille envoie un homme en prison pour un an. Vendredi, il a abreuvé de propos outrageant plusieurs agentes de la mairie de quartier de Fives.
L’Ehpad des Tourelles hébergeait des mineurs isolés. Mais des violences au sein de la structure ont conduit le CCAS de Toulouse, propriétaire des lieux à mettre fin à l’expérience.
Depuis deux ans, l’ancien Ehpad des Tourelles, à Toulouse, héberge des mineurs isolés. Un dispositif expérimental mis en place dans ces locaux appartenant au Centre communal d’actions sociales, soutenu par la mairie et diverses associations et collectifs qui viennent en aide à ces jeunes dont la minorité n’est pas reconnue par le Conseil départemental, et qui sont, de ce fait, exclus des dispositifs de protection de l’enfance.
Police : la mort dans l’âme
Un mois de janvier noir pour les forces de l’ordre. Depuis le début de l’année, onze policiers, un gendarme et un employé d’un commissariat se sont donné la mort à travers la France. Le mal est profond et le ministère de l’Intérieur se retrouve au pied du mur.
Un major de police âgé de 55 ans et un brigadier-chef de 50 ans sont venus compléter ce week-end la dramatique liste des policiers ayant mis fin à leurs jours en 2022.
Arrivé seul de Guinée à l’âge de 13 ans, Bâ a glissé dans la délinquance. lI est sous le coup d’une OQTF ; à la gare de Cahors, il s’est montré violent et vient d’être condamné.
Il a quitté Conakry, capitale de la Guinée, mineur non accompagné, pour fuir notamment, les châtiments corporels de l’imam d’une école coranique (1). Il rejoint la France, espérant retrouver ses demi-frères, mais ses démarches restent vaines (…) La drogue et l’alcool deviennent ses principales sources d’évasion ; oisif, perdu dans le dédale administratif de sa situation, le voilà glisser dans la délinquance. Après les premières condamnations pénales devant le tribunal pour enfants, succèdent les condamnations du tribunal correctionnel.
Le ministre de la Défense hongrois a exprimé son opposition au renforcement de l’OTAN sur son territoire dans le cadre des tensions entourant l’Ukraine. Il a également confirmé l’opposition de Budapest à une éventuelle adhésion à l’Alliance de Kiev.
(…) Tibor Benko s’est exprimé sur la situation en ces termes : «La Hongrie a déjà créé une telle force nationale, développé de telles capacités nationales que, dans la situation actuelle, il n’est pas nécessaire de compter sur d’autres forces et troupes étrangères […] Nous ne considérons pas qu’il soit approprié – et nous ne demandons pas – que des renforts de l’OTAN soient déployés ici. Nous pouvons nous en charger.»
Depuis la diffusion du reportage, le juriste Amine Elbahi, qui apparaît dans plusieurs séquences aurait reçu des menaces de mort. «Mon numéro de téléphone a circulé sur les réseaux sociaux, plusieurs appels au meurtre ont été diffusés. On me menace de décapitation, d’égorgement, de s’en prendre à moi parce que j’ai tenu un discours de vérité à visage découvert et en particulier sur l’inaction du maire de ma commune», a raconté l’énarque sur BFMTV.
Depuis plus d’une semaine, le quartier de Pontanézen, à Brest fait l’objet de nombreux incidents, suite à une opération de police. Pour certains habitants, la situation est devenue invivable dans un quartier gangréné par le trafic de stupéfiants. Beaucoup de locataires sont contraints de subir les rodéos urbains et les tirs de mortiers.
«Je suis prisonnier sans avoir commis de délit, ou peut être celui d’être pauvre».
Ces émeutes sont un petit avant-goût de ce qui se déroulera dans toutes les villes de plus de 3000 habitants si Valérie Pécresse met en place son funeste projet de disperser les habitants des cités les plus problématiques sur l’ensemble du territoire.