Élue régionale, mais aussi mère de famille et amie de la famille de Victorine Dartois, Isabelle Surply réagit à l’arrestation du meurtrier de la jeune fille. Elle déplore les carences de la politique judiciaire et témoigne de la grande dignité des proches de la victime.
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Isabelle Surply : « Nous sommes en colère, le meurtrier de Victorine a un casier judicaire… Il faut réformer le système pénal »
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Pourquoi sommes-nous féministes ?
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Non, l’assassin de Victorine n’est pas un « père de famille ordinaire »
On le sait, le métier de journalistes est, hélas, en France, parmi les plus impopulaires. Selon un sondage récent, les Français ont ainsi jugé anxiogène et catastrophiste le traitement du coronavirus par les médias. Ils sont même 60 % à juger la couverture trop importante. Que l’on se rassure, la « grande » presse ne fait pas toujours dans la tragédie dramatique, elle sait même être souvent euphémisante et incroyablement optimiste.
La preuve par le choix des mots.
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Sur C News, Michel Onfray VS Laurence Ferrari sur le couvre-feu, la guerre entre médecins,les policiers attaqués.
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Stéphane Ravier : “C’est un tsunami d’insécurité qui déferle sur notre pays, un début de guerre civile (…) Les policiers ont des armes mais ne peuvent pas s’en servir”
Stéphane Ravier : "C'est un tsunami d'insécurité qui déferle dans notre pays, un début de guerre civile (...) Les policiers ont des armes mais ne peuvent pas s'en servir (...) Je préfère que ce soit une crapule qui aille au tapis plutôt qu'un policier" #Europe1
Stéphane Ravier, sénateur Rassemblement national des Bouches-du-Rhône, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de l’insécurité en France, de l’allocution d’Emmanuel Macron, de la gestion de la crise par l’exécutif et d’un éventuel couvre-feu.
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Eric Zemmour : “Il n’y a aucune discrimination envers les immigrés dans les quartiers. Il y a en revanche une discrimination envers les Français qui ont dû fuir ces quartiers !” (Vidéo
Eric Zemmour : “Il n’y a aucune discrimination envers les immigrés dans les quartiers. Il y a en revanche une discrimination envers les Français qui ont dû fuir ces quartiers !” (Vidéo). Christine Kelly et ses chroniqueurs débattent de l’actualité, puis Éric Zemmour débat face à un invité dans Face à l’info, replay du 13/10/2020.
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Pourquoi l’Etat a perdu la guerre des rues
L’Etat a perdu la guerre des rues. Pour avoir rendu les armes, il est la cible permanente de la contre-société qui s’est installée dans les cités d’immigration. Ce week-end, c’est le commissariat de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) qui a été pris d’assaut, dans la nuit de samedi à dimanche, par une quarantaine de voyous armés notamment de mortiers d’artifice. Les policiers, réfugiés dans leurs locaux, n’ont pas même tenté de riposter. Aucun renfort n’a été envoyé sur place pour faire cesser l’humiliation. Mercredi, à Herblay (Val-d’Oise), deux policiers ont été extraits de leur voiture banalisée par trois délinquants.
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À Toulouse, l’ultra-gauche harcèle la manifestation Marchons enfants !
Samedi 10 octobre, le collectif Marchons enfants ! défilait dans la ville rose. Durant deux longues heures, des militants LGBT et ultra-gauche ont tenté d’infiltrer le défilé pour agresser les participants.
Retour en image.
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Champigny, un commissariat attaqué – La France hors contrôle, par Franck Deletraz
Après avoir été bombardé à coups de cocktails Molotov et autres mortiers d’artifice par les bandes ethniques en mai 2018, puis à nouveau en avril 2020, nous pourrions presque dire, hélas, comme le font les grands médias au sujet des centaines de véhicules incendiés chaque année lors de la Saint-Sylvestre, que l’attaque du commissariat de Champigny-sur-Marne est en quelque sorte devenue une « tradition ». Sauf que, cette fois-ci, faute de réponse ferme du gouvernement, l’assaut préparé et conduit de façon quasi militaire samedi soir par une quarantaine de voyous ethniques contre ce commissariat a atteint un seuil de violence jusque-là inégalé et particulièrement grave, qui laisse présager le pire pour l’avenir.
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France, la maison de la guerre, par Philippe Germain.
Ce vendredi 2 octobre, Emmanuel Macron a présenté son plan d’action contre … non pas le séparatisme mais les séparatismes ! Aïe, Aïe, comme toujours en démocratie cela commençait bien et puis badaboum, ni vu, ni connu, elle t’embrouille… la démocratie.
D’ailleurs est-ce que cela commençait si bien que cela avec la mise en avant du nouveau terme de séparatisme ? Pour se séparer encore faudrait-il faire partie de la France, or les musulmans d’Algérie ont considéré il y a plus de 60 ans, que vivre ensemble n’était ni souhaitable, ni possible. Soutenu en cela par les musulmans du Maroc et de Tunisie. Séparée des musulmans, la France l’est donc depuis longtemps et parler de séparatisme revient à faire comme si ce n’était pas le cas, une sorte de déni de réalité. Nous, nationalistes intégraux qui avions défendu dans l’Algérie française une possible société multiculturelle n’oublions pas la leçon de l’histoire. C’est aussi simple que cela l’empirisme organisateur.