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Les policiers sont en colère après les propos d'Emmanuel Macron sur les contrôles au faciès. Plusieurs syndicats appellent à cesser les contrôles.
Place de la République, samedi 5 décembre. Frédéric Lagache, porte-parole du syndicat Allliance-Police nationale, est venu mesurer le désarroi des forces de l'ordre après l'interview accordée par le président de la République à Brut.
Certes, les "Cagoules noires" existent et cassent depuis longtemps. Mais on les connaît, il y en a entre 2 et 300 à Paris, et environ 3.000 dans toute la France. Pourquoi la police ne reçoit-elle pas (jamais) d'ordres pour les mettre hors d'état de nuire ? Par ailleurs, le président de la République, en campagne électorale auprès de la jeunesse sur #Brut, a validé de fait la notion de #ViolencesPolicières, même s'il a essayé de proposer un subtil distingo avec son "je préfère parler de violences commises par des policiers" : le reste du débat a bien tourné autour du thème imposé par les révolutionnaires de "violences policières", et c'est cette expression-là qui a été, qui est et qui reste dans toutes les bouches. La réponse, à défaut d'être nouvelle, a été immédiate ce samedi, et Emmanuel Macron, qu'il le veuille ou non, a bien joué le rôle de pyromane en chef...
Un récent rapport de l’OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe) mentionne 595 attaques anti-chrétiennes dans 30 Etats de l’Organisation: 80 attaques contre les personnes, 56 menaces et 459 attaques contre les propriétés. Pour la France, l’OSCE recense 8 attaques contre les personnes, 1 menace contre des personnes et 136 attaques contre les propriétés. Il est inquiétant (et symptomatique) de constater que la France est ainsi le pays le plus touché par la haine anti-chrétienne avec 144 actes et 1 menace (loin devant le deuxième, l’Allemagne, qui compte 81 cas, le troisième étant l’Espagne, avec 75 cas). Précisons que ces actes sont des actes documentés et transmis à l’OSCE et qu’ils ne représentent donc qu’une toute petite partie de la réalité.
"Les policiers méritent mieux que ce rôle de rempart contre le changement, qu’on essaye de leur faire jouer", affirme Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne", dans son édito.
On appelle ça un fiasco. L’insupportable agression de Michel Zecler par des policiers hors de contrôle a ébranlé à juste titre un pays en pleine interrogation sur certaines pratiques de ses forces de l’ordre. Mais elle ne fait que s’ajouter à un climat parfaitement délétère dans lequel un ministre aux ambitions peu discrètes instrumentalise autant qu’il le peut la souffrance et les amertumes des policiers. Pendant ce temps, les médias s’interrogent doctement sur la double question qui leur semble la plus brûlante : doit-on parler de « violences policières » et ce mot implique-t-il un caractère « systémique » desdites violences ?
Le 1er décembre 2020, l'ancien directeur de la recherche en pneumologie de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et le pneumologue et ancien directeur du département de santé publique, le Dr Wolfgang Wodarg, ont déposé une demande auprès de l'Agence européenne des médicaments — responsable de l'approbation des médicaments à l'échelle de l'Union européenne — pour la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin Sras-CoV-2, et en particulier l'étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).
L’image de la semaine, ce sont ces pistes de ski fermées qui font beaucoup parler dans tous les médias !
03:01 Les médias et l’extrême gauche attaquent la police
Un producteur de musique, noir, a été violenté par des policiers, alors qu’il résistait à son interpellation. Face à cette situation complexe, la caste politico-médiatique s’est indignée en bloc, cherchant peut-être à créer une affaire George Floyd en France…
19:54 Revue de presse
Censure envers Eric Zemmour et ses soutiens, propagande pro-migrants… Nous reviendrons sur l’actualité médiatique de la semaine dans notre revue de presse
34:53 Violences de l’extrême gauche : complicité médiatique
La scène du lynchage d’un policier par des « black blocs » lors des manifestations contre la loi « Sécurité globale » a été très commentée. Certains journalistes et médias semblent complices de cette violence de l’extrême gauche.
Dans Face à l’info, l’éditorialiste a démontré le “changement de nature” de la délinquance depuis les années 70, qui s’apparente aujourd’hui à une “conquête de territoire”.
Une bonne vieille manif’ est bien plus exaltante qu’une séance de paintball ou de laser-game…
Les bonnes vieilles manifs sont en train de se réinventer. Quel que soit l’objet de la protestation, elles s’accompagnent dorénavant d’actes spectaculaires de vandalisme et de violences inouïes envers les forces de l’ordre. Les vitrines sont défoncées, les voitures incendiées et les policiers poursuivis comme des cerfs lors des chasses à courre.
Le récit officiel, repris par les médias, dit ceci : parce qu’il est noir, le producteur de rap, Michel Zecler, a été lynché par des policiers blancs dans le XVII e arrondissement de Paris, le 21 novembre. La scène principale, filmée par la caméra de surveillance d’une entrée d’immeuble, dit les faits. La victime assure aussi avoir été traitée de “sale nègre”. Hier, quatre policiers ont été mis en examen. Deux d’entre eux ont été placés en détention provisoire. Est-il permis néanmoins d’apporter des précisions ? Ce point semble risqué, au vu du consentement de la presse à s’en tenir à la version établie. Remarquons pourtant que les fonctionnaires ont été présentés dimanche, par le procureur de la République Rémy Heitz, comme ayant “des bons, voire des très bons états de service“.