Le 4 juin dernier, des policiers ouvraient le feu sur une voiture dont le conducteur refusait d’obtempérer à un contrôle pour défaut du port de la ceinture de sécurité. L’homme de 38 ans, qui a plus de 80 mentions à son casier judiciaire, en sort grièvement blessé. Malheureusement, la passagère avant, âgée de 21 ans, est décédée d’une balle dans la tête.
Comme d’habitude, le récit médiatique est binaire : selon son bord politique, on est sommé de soutenir ou de condamner la police, sans poursuivre plus loin l’analyse.
Mais un tel réflexe doit être abandonné si l’on souhaite que la France renoue avec l’ordre et la liberté, et non pas l’un ou l’autre.









