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insécurité - Page 408

  • Quand le chef des poulets perd des plumes

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    Confronté aux manifestations « antiracistes » organisées en soutien à un clan d’immigrés maliens dont plusieurs membres ont un passé judiciaire chargé, le ministre de l’Intérieur à « lâché » ses flics. La révolte gronde dans ses rangs.

    Une vidéo datant du 8 juin, qui circule sur Internet est révélatrice de la situation et de l'état d'esprit actuel de la police. Elle montre des policiers du Rhône (l'endroit exact où se situent les faits n'est pas précisé, mais on peut penser que c'est à Lyon) pris à partie par des voyous visiblement « issus de l’immigration », comme on dit, lors de la manifestation « contre le racisme et les violences policières ». Il y a là deux voitures de flics. Matraque brandie, un policier tente de maintenir à distance les agresseurs qui le bombardent de projectiles divers. Il finit par remonter en voiture et les véhicules de police prennent la fuite, laissant la racaille maîtresse du terrain. Le commentaire des commissaires de police SIPC (service interdépartemental de protection civile) qui ont posté ces images sur le réseau Twitter est édifiant : « Aujourd'hui, nos collègues de la PoliceNat69 sont passés à côté d'un lynchage en règle. Leur sang-froid et leur professionnalisme leur ont permis de se sauver in extremis ! Nous sommes admiratifs du courage de ces policiers. Vous avez dit Violences Policières ? »

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  • Aux origines de la violence contemporaine, par François Dubreil.

    Manifestation de "zadistes" à Toulouse en hommage à Rémi Fraisse, février 2015 © Fred Scheiber/SIPA Numéro de reportage: 00705776_000036

    Violence. Ce mot est partout. Radios, télévisions, nouveaux médias et réseaux sociaux ne parlent que « d’ensauvagement » et relatent jour après jour des faits divers sans cesse plus atroces dignes de cette France Orange Mécanique dont Laurent Obertone annonçait l’avènement il y a quinze ans déjà.

    Quand tout cela a-t-il commencé ? Et plus encore, pourquoi cela a-t-il commencé ?

    Obertone – encore lui – liait directement cette montée de violence à l’installation massive de populations immigrées issues de régions de la planète aux mœurs moins policées. Ce n’est pas totalement faux, mais pas vraiment pour les raisons qu’il mettait en avant. On ne peut en effet se contenter de croire en une sorte de propension intrinsèque à la violence chez ces nouveaux arrivants, liée à leur origine ethnique ou leur appartenance religieuse. En dehors même des stéréotypes racistes que véhicule cette thèse, les contre-exemples sont en effet trop nombreux pour qu’elle puisse être valablement retenue. A ceux qui en douteraient, et qui considèrent par exemple que « tous les musulmans sont violents » et que « tous les asiatiques sont pacifiques », je conseille vivement d’effectuer un voyage à Dubaï puis en Birmanie, à titre de comparaison : les faits parleront d’eux-mêmes. Mais il est certainement possible en revanche d’imaginer que des personnes ayant grandi et vécu dans des pays marqués par la brutalité civile ou militaire puissent être quelque peu imprégnées par cette culture du rapport de force, et qu’elles puissent ainsi parfois transporter avec elles une part de la violence dans laquelle elles ont toujours baigné.

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  • « 60% des délits à Paris sont commis par des mineurs étrangers, vraisemblablement majeurs » – Pierre Liscia (ancien élu parisien)

    « 60% des délits à Paris sont commis par des mineurs étrangers non-accompagnés. Beaucoup d’entre eux sont vraisemblablement majeurs mais la Mairie de Paris refuse d’établir l’âge exact de ces individus malgré les demandes insistantes du ministère de l’Intérieur et de la Préfecture. » Pierre Liscia (ancien élu de Paris) sur CNews

  • Peine de mort : pour un vrai débat

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    Rediffusion Polémia – François Mitterrand a ouvert symboliquement sa présidence en abolissant la peine de mort. Non moins symboliquement, Jacques Chirac a achevé la sienne en voulant inscrire cette abolition « en toutes circonstances » dans la Constitution. Pour autant le débat n’est pas clos. Il reste plus que jamais ouvert… pour peu que les abolitionnistes acceptent la confrontation avec les faits. Et puisque le point de vue abolitionniste s’exprime partout et celui de leurs adversaires nulle part, Polémia va résumer, dans un souci pluraliste de rééquilibrage, les arguments de ces derniers.

    Explications :

    Il est mensonger d’affirmer que la tendance à l’abolition de la peine de mort soit irréversible. En dehors des 27 États de l’Union européenne, sortis de l’histoire, tous les grands États la pratiquent : la Chine, bien sûr, mais aussi et surtout l’Inde, la plus grande démocratie du monde, le Japon et les États-Unis qui, après l’avoir suspendue en 1967, l’ont progressivement rétablie pour 38 États et l’État fédéral.

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  • Bobigny : les étranges protections municipales pour la famille d’un tueur

    9704-20200922.jpgAbdel Sadi, le nouveau maire communiste de Bobigny, s’est fait photographier avec l’une de ses administrées, une femme voilée nommée Lynda Benakouche. Cette femme n’est pas n’importe quelle intégriste islamique. Employée municipale de la ville, elle est la conjointe du tueur Christophe Soumbou, condamné en 2009 à 18 ans de prison (et libéré en juillet 2019) pour l’enlèvement, la séquestration (pendant trois semaines), la torture collective dans une cave de Bagneux, et le meurtre du jeune Ilan Halimi en 2006.

    Le « gang des barbares », dirigé par le dénommé Fofana, et dont Soumbou était l’un des trois principaux « animateurs », comportait environ 25 membres. Criminalité et prosélytisme salafiste constituaient les deux activités essentielles du groupe. Ilan Halimi, 23 ans, avait été choisi au hasard, sur le seul critère de sa judaïté, l’objectif étant d’obtenir une rançon de sa famille. Mais les barbares – comme ils s’appelaient eux-mêmes –, l’avaient torturé puis assassiné. A Bagneux, une stèle, destinée à perpétuer le souvenir du jeune homme dans cette ville, est régulièrement saccagée. Ce gang des barbares a donc des disciples, des admirateurs. Et d’ailleurs, la plupart de ses membres ont retrouvé la liberté, aujourd’hui. Selon notre pointage, seul Fofana lui-même est encore incarcéré.

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  • La répression pour tous

    La répression pour tous

    Le schéma national du maintien de l’ordre (SNMO), paru jeudi, est un document publié par le ministère de l’Intérieur. On y lit :

    «Concomitamment, il sera proposé aux journalistes des sensibilisations au cadre juridique des manifestations, aux cas d’emploi de la force et notamment aux conduites à tenir lorsque les sommations sont prononcées, ainsi qu’aux dispositions du SNMO. Il importe à cet égard de rappeler que le délit constitué par le fait de se maintenir dans un attroupement après sommation ne comporte aucune exception, y compris au profit des journalistes ou de membres d’associations. Dès lors qu’ils sont au cœur d’un attroupement, ils doivent comme n’importe quel citoyen obtempérer aux injonctions des représentants des forces de l’ordre en se positionnant en dehors des manifestants appelés à se disperser.»

    Dominique Pradalié, secrétaire générale du Syndicat national des journalistes (SNJ), s’insurge :

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  • Quand les allocations familiales finançaient Daech

    Quand les allocations familiales finançaient Daech

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    Après des mois d’investigations dans le cadre de la commission d’enquête parlementaire relative à la lutte contre les fraudes aux prestations sociales, dont les conclusions ont été présentées à l’Assemblée nationale mardi 15 septembre, son rapporteur, le député UDI Pascal Brindeau, livre à Valeurs actuelles une de ses funestes découvertes. Alors qu’il se rend à Tours au Sandia (Service administratif national d’identification des assurés), dépendant de la Cnam et attribuant des numéros de sécurité sociale aux personnes étrangères ou françaises nées hors de France, Pascal Brindeau cherche à vérifier la concordance entre une liste de fausses identités mise à sa disposition par la police aux frontières et les immatriculations inscrites dans les fichiers du Sandia. Sur les 83 usurpateurs d’identité manifestes, 46 ont eu des droits ouverts en France leur permettant de toucher en moyenne 9 000 euros par an. Parmi les fraudeurs: Zakaria Asbai, dit Abu Zubair, un des fondateurs de Dae’ch… Né au Maroc mais de nationalité belge, ce combattant de l’État islamique parti en Syrie en 2013 profitait donc sans vergogne de la générosité française, via une caisse d’allocations familiales de l’Essonne…

    https://www.lesalonbeige.fr/quand-les-allocations-familiales-financaient-daech/

  • Vives tensions entre migrants et pêcheurs à Ouistreham (Calvados)

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    Le 16 septembre 2020, en soirée, de vives tensions entre des professionnels et des migrants ont éclaté au marché aux poissons de Ouistreham (Calvados), rapporte Ouest France.

    Vers 18 h 30, un différend a d’abord surgi entre Christiane Simon, gérante de l’étal du bateau Le Yaka, lorsqu’elle a demandé à un migrant, d’origine africaine, de faire moins de bruit. « Il a réagi de façon virulente et m’a parlé dans sa langue », a-t-elle déclaré aux gendarmes, qui ont dû intervenir quand la situation a dégénéré : « Des coups ont été échangés »lors de vives échauffourées.

    Une poissonnière hospitalisée et deux migrants en garde à vue

    Blessée, la poissonnière a dû être hospitalisée. D’après un témoignage, les gendarmes sont intervenus à deux reprises. « Deux ressortissants africains ont été placés en garde à vue », selon le quotidien régional, et une poissonnerie et une friterie ont subi des dégradations. Le lendemain matin, « la situation était encore tendue ».

    https://www.bvoltaire.fr/vives-tensions-entre-migrants-et-pecheurs-a-ouistreham-calvados/

  • La délinquance explose, Macron fait des phrases

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    Pendant que Macron pérore sur le « sentiment d’insécurité », les chiffres tombent + 21 % de coups et blessures, +19 % d’homicides et tentatives en janvier 2020. Ces derniers ont augmenté de 79 % entre 2009 et 2018 ! Un sentiment pour le moins fondé, donc…

    L’insécurité, c 'est le sen-tintent d'insécurité. Il faut y aller s'investir sur le terrain, faire bouger les choses », lançait Emmanuel Macron aux députés LREM qu'il recevait à l'Elysée le 11 février pour une séance de remotivation et de recadrage typiquement macronnienne. Le chef de l'État se projette en 2022 et veut occuper le terrain du RN la sécurité, l'immigration, l'islamisation (qu'il vient de nommer « séparatisme islamiste »). Mais pour cet homme chez qui le Verbe a remplacé l'action, et qui face à chaque problème dégaine un discours, le « sentiment d'insécurité » a logiquement remplacé la réalité du phénomène.

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  • Menaces de mort contre Zineb El Rhazoui – Le scandaleux silence des médias et de l’État, par Franck Deletraz

    Faudra-t-il attendre tranquillement qu’un djihadiste ou autre fou d’Allah s’en prenne physiquement à Zineb El Rhazoui pour que l’Etat se décide enfin à sévir, et que les grands médias cessent de fermer lamentablement les yeux sur le harcèlement dont cette courageuse journaliste fait l’objet ? Prise pour cible depuis des années par l’« islamophère » et ses complices, qui ne lui pardonnent pas ses déclarations récurrentes contre l’islamisation galopante de notre pays, l’ancienne collaboratrice de Charlie Hebdo a vu redoubler ces dernières semaines les appels au meurtre contre sa personne, au point de devoir lancer un appel au secours déchirant sur Twitter !

    « J’ai envie de la décapiter »

    Son « crime » ? Avoir osé évoquer le 14 septembre dernier sur LCI la polémique autour d’Imane Boune, et déclaré, à propos de cette étudiante voilée présentée de façon gratifiante par BFM TV, qu’elle était, après « enquête sur [son] environnement idéologique », « une militante islamiste, extrêmement prosélyte et radicale ». Des propos qui auront suffi à enflammer immédiatement la foule considérable des islamistes qui hantent les réseaux sociaux et valent à Zineb El Rhazoui un déferlement incessant de menaces de mort depuis des semaines. Parmi les innombrables « amabilités » citées par la courageuse journaliste, on retiendra celles-ci, particulièrement révélatrices de la barbarie que le gouvernement a laissé s’installer et prospérer en France : « Je vais la brûler cette connasse », « Poussez-la sous un train », « Qu’on lui coupe la tête à cette salope », ou encore « J’ai envie de la décapiter à coups de hache »…

    « Nous ne laisserons rien passer. Jamais »

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