Adrien Pérez avait été mortellement poignardé à la sortie d’une boite de nuit de Meylan, près de Grenoble (Isère), le 29 juillet 2018. L’un des trois individus mis en cause dans cette affaire pourrait être remis en liberté. Le parquet a fait appel de cette décision.
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Meurtre d’Adrien Perez : l’un des meurtriers présumés pourrait être libéré, le parquet a fait appel
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CE PAYS PART EN VRILLE
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On ne peut vaincre l’ensauvagement qu’en restaurant Notre civilisation ! (II)
Les violences urbaines de Dijon, de Nice et d’ailleurs, les meurtres gratuits qui témoignent d’une totale indifférence à la vie des autres ont propulsé la notion d’ensauvagement au premier plan de l’actualité. Le fonctionnement médiatique de notre société nous habitue à traverser au pas de charge des séquences saturées par un sujet dominant. Certains sont imposés d’en haut par l’idéologie qui anime le microcosme des politiques et des communicants, comme le réchauffement climatique, d’autres s’imposent d’eux-mêmes mais sont récupérés par la sphère du pouvoir, comme la pandémie actuelle, qui accroît l’emprise sur la société civile, d’autres encore sont suscités par des groupes de pression idéologiques et déstabilisateurs comme l’étonnante incursion en France du « racialisme » prétendument antiraciste, qui a facilité la scandaleuse exploitation de l’affaire Traoré. Enfin, il y a ceux que les faits eux-mêmes placent en tête des informations. Les violences, les coups de couteau, les blessures, les handicaps à vie, les morts, pour un mauvais regard, pour une cigarette refusée, pour un rappel à l’ordre sont monnaie courante mais demeurent dans la zone grise des faits divers où les revendications islamistes sont signes de déséquilibre mental et les noms des auteurs oubliés ou maquillés. Et puis, en quelques jours, des morts particulièrement cruelles commis par des « sauvages », provoquent une vague émotionnelle et font monter à la surface la réalité que la France d’en-haut veut cacher : celle de ces quartiers et maintenant de ces villes où la loi qui règne n’est pas celle de l’Etat, mais celle des bandes qui vivent des trafics ou des communautés qui s’inspirent d’autres règles que les nôtres. Dans cette France à l’envers, c’est le citoyen qui doit fermer les yeux et baisser la tête, car à vouloir rappeler la loi, il risque sa vie. Cette question est évidemment plus importante que celle du Covid-19, car contrairement à la maladie, elle dépend entièrement de la volonté politique, et qu’elle est d’une durée plus longue. Elle est plus essentielle que l’écologie ou l’économie, car elle est nationale et non mondiale et dépend de nous. C’est pourquoi le gouvernement de contre-sens que notre pays subit depuis trois ans l’a superbement ignorée et écartée. Voici qu’elle lui est jetée à la figure.
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Véronique Monguillot : « Les paroles, c’est bien, mais il faut des actes, mais très vite ! Il faut taper du poing sur la table ! »
Témoignage exclusif de l'épouse du chauffeur de bus assassiné à Bayonne
Témoignage poignant de Véronique Monguillot, l’épouse de Philippe, le chauffeur de bus de Bayonne, sauvagement assassiné il y a quinze jours :“un Monsieur”, “un père magnifique, et un mari exceptionnel”…
Elle évoque le « cataclysme », la vague de soutien internationale, le procès à venir.
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Contrôleur général des prisons : le cancer droit-de-l’hommiste
Par Maxime Jacob, diplômé de science politique, Gilet jaune et coauteur avec Fiorina Lignier du livre Tir à vue ♦ Ce mois-ci a pris fin le mandat d’Adeline Hazan, Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL). Elle fut présidente du Syndicat de la magistrature (très à gauche) et membre du parti socialiste. Si nous devions résumer son combat en trois mots : « Libérez les prisonniers ! » Mais, d’abord, qu’est-ce que ce poste ? Il s’agit d’une autorité administrative indépendante (mais nommée par le président de la République…), chargée de « s’assurer du respect des droits fondamentaux des personnes privées de liberté », dotée d’un budget de cinq millions d’euros. Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté fait des propositions et documente les atteintes aux « droits de l’homme ». Son équipe est composée d’« une cinquantaine de contrôleurs [qui] réalisent 150 visites d’établissement par an ». Ce qui fait une moyenne de trois lieux visités par an par contrôleur. On a vu plus productif… Découvrons le bilan d’Hazan et ses opinions sur la prison.
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Pour Marlène Schiappa, un crime n’est jamais qu’une sorte d’incivilité, par Gabrielle Cluzel.
Source : https://www.bvoltaire.fr/
Il est un fait qu’assassiner son prochain n’est ni très poli ni très courtois…
On le sait, le mot « incivilité » dans la bouche d’Emmanuel Macron a fait quelque peu réagir sur les réseaux sociaux. « Incivilité, nom féminin : attitude, propos qui manque de courtoisie, de politesse », lit-on dans le Larousse. Il est un fait indéniable qu’assassiner son prochain n’est ni très poli ni très courtois… pas très distingué, aurait dit ma grand-mère. Un peu de tenue, Archibald (comme il est d’usage dans la presse respectable – et Boulevard Voltaire est, comme chacun sait, un média chic et distingué -, le prénom a été modifié).
Alors Marlène Schiappa, bonne fille, a tenté de faire le service après vente et l’exégèse : « Dans incivilités, on peut qualifier les faits de délinquance, les délits et même les crimes. » Et peut-être aussi les génocides, qui sont souvent l’œuvre de goujats mettant leurs coudes sur la table ? Les massacres qui signent une très mauvaise éducation ?
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Meurtre d’Axelle Dorier : ces « féminicides » qui n’intéressent pas les féministes !
Elle était ravissante, Axelle, 23 ans et le sourire sur un avenir qu’on lui imaginait radieux. Elle appartenait à cette catégorie de « soignants » qu’on a applaudis tous les soirs à 20 heures pendant le grand show du confinement, ceux qu’on a fait défiler à la Concorde, le 14 juillet dernier. « Nos héros », comme on dit à l’Élysée.
Mais l’héroïne est morte. Assassinée de la pire façon : traînée sur 800 mètres par un chauffard jusqu’à en être démembrée. Un chauffard dont on peut imaginer, vu les circonstances, qu’il l’a percutée volontairement. Les enquêteurs s’interrogent : quel était « le niveau de conscience » du conducteur (21 ans) et de son passager (19 ans) ? Ont-ils senti qu’il y avait quelque chose sous les roues ?
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Un réalisateur américain veut faire un film sur les horreurs des terroristes du Kosovo
En 1999, l’Armée de libération du Kosovo a fait le commerce d’organes humains. Les terroristes albanais, qui étaient soutenus par les États-Unis pendant la guerre, ont terrorisé la population locale. Les victimes étaient principalement des Serbes et des Roms. Ils ont été arrêtés sous prétexte de collaborer avec l’Etat, puis leurs reins et leur cœur ont été vendus, en Europe, en Israël et en Turquie. Les opérations ont eu lieu dans le nord de l’Albanie.
C’est cette histoire scandaleuse que le réalisateur américain Paul Kampf (photo) entend raconter avec le soutien du Serbian Cinematic Center dans son film Harvest.
Kampf a déclaré que l’idée de créer un tel film lui est venue après avoir lu le livre « Le cœur serbe de Johann » de Veselin Dzheletovich. Basé sur de vrais événements, l’histoire raconte l’aventure d’un Allemand qui a reçu le cœur d’un Serbe assassiné. Après l’opération, il est confronté à des visions et se rend au Kosovo pour trouver des réponses à ses questions.
«J’ai commencé à étudier l’histoire de ces événements, à lire des articles, à regarder des documentaires»
Kampf a admis que l’histoire du Kosovo est extrêmement difficile pour les Américains, mais il a lui-même promis d’être impartial dans la création de son œuvre.
«Je vais découvrir où se trouvait l’OTAN à ce moment-là, où la Russie et les États-Unis regardaient, et pourquoi nous n’avons pas réagi à ce qui se passait là-bas».
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Retour des djihadistes, Traoré : Dupond Moretti commence fort, par Régis de Castelnau.
Éric Dupond-Moretti, le bravache de la société du spectacle dont Macron dans un souci de diversion avec son lugubre remaniement nous a fait un Garde des Sceaux, n’ira probablement nulle part. Car quelles que soient ses intentions, et il y en a peut-être de souhaitables, nous savons bien qu’il ne pourra rien faire d’utile. Ne pouvant échapper à ce qu’il est, une caution sans pouvoir. Juste un exemple, la justice française une des plus pauvres d’Europe, est complètement en faillite, l’avons-nous entendu s’exprimer sur la nécessité absolue et urgente d’augmenter considérablement son budget ? Eh non, parce que là il s’agit d’affronter Bercy, où résident les vrais patrons du système Macron et où effets de manches et aboiements n’impressionnent personne.
On l’entend en revanche plus facilement sur des sujets secondaires jetés en pâture à la polémique, comme par exemple le rapatriement des djihadistes de nationalité française partis rejoindre le terrorisme islamiste au Moyen-Orient, ou son ingérence dans la procédure judiciaire concernant la mort d’Adama Traoré.
Djihadistes criminels : tout le monde à la maison !
Soucieux de complaire au mainstream et de s’attirer les bonnes grâces des belles âmes des beaux quartiers nous rebattant les oreilles avec ce sujet, il demande le rapatriement des djihadistes français partis apporter la mort au Moyen-Orient, et avec comme seul argument, le fait qu’ils soient français. Au-delà du caractère indécent et provocateur de la posture, cette demande est complètement irrecevable, et pour plusieurs raisons :
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Nicolas Dupont-Aignan, après l’attaque déjouée d’une église dans le 93 : « On est dans un déni de réalité… il faut nommer les actes antichrétiens et réagir »
Dimanche dernier, au Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis, un forcené a menacé les fidèles d’une église, armé d’un fusil-mitrailleur, en criant « Allahou akbar ». L’attentat a été déjoué grâce à l’intervention d’un passant. L’auteur des faits comparaissait, ce jeudi 23 juillet, devant le tribunal de Bobigny. Le procès a été renvoyé au 14 août.
Réaction de Nicolas Dupont-Aignan, qui dénonce les actes antichrétiens, auxquels on « s’est habitué » en France. Pour lui, celui qui a évité le drame au Blanc-Mesnil mérite la Légion d’honneur.