L’assassinat barbare d’un professeur d’histoire, coupable d’avoir voulu expliquer à ses élèves l’importance de la liberté d’expression, est l’aboutissement extrême des menaces et des pressions régulièrement exercées dans les établissements scolaires par des familles qui font passer la loi de leur religion avant la loi de la nation. Il est aussi la conséquence d’un laxisme trop fréquent, qui refuse de reconnaître la réalité : la volonté des islamistes d’imposer progressivement leurs conceptions politico-religieuses, incompatibles avec les valeurs de notre culture.
insécurité - Page 422
-
Assassinat d’un professeur : l’impuissance de nos dirigeants face à l’islamism
-
J’accuse les lâches et les hypocrites
Au lendemain de l’acte barbare – la décapitation sordide d’un enseignant qui faisait son travail -, on assiste au sempiternel défilé de politicards hypocrites, d’intellectuels s’étouffant et de lâches en pleine contrition. Les uns pointant du doigt les islamistes, les autres faisant semblant de découvrir les conditions psychologiques exécrables dans lesquelles les professeurs exercent leur activité, mais personne (ou très peu) relève la chasse à l’homme.
Les faits. Le professeur est accusé d’avoir montré des caricatures de Charlie Hebdo dans le cadre d’un échange sur la liberté d’expression avec ses élèves. En avait-il le droit ? OUI !
-
CONFLANS : DES ACTES ET NON DES DISCOURS !
Le président de la République et le ministre de l’Education Nationale se sont rendus au collège où enseignait Samuel Paty, le professeur d’histoire qui a été égorgé et décapité pour avoir montré les caricatures du « prophète » à ses élèves dans un cours destiné à ouvrir les esprits des collégiens à la liberté d’expression. On dit que les assassins reviennent toujours sur les lieux du crime. L’auteur présumé de cet acte terroriste n’en a pas eu le temps puisqu’il a été abattu par des policiers à proximité du lieu où sa victime a été découverte. Quatre interpellations suivies de gardes à vue ont eu lieu, notamment parce qu’une photo atroce aurait été diffusée sur la « toile ».
-
Jean-Paul Brighelli : « Il faut éradiquer l’hydre islamiste, fanatique qui veut faire régner une loi qui n’est pas celle de la République »
Le 16 octobre, un professeur d’histoire de Conflans-Sainte-Honorine (78) qui, lors d’un cours sur la liberté d’expression, a montré les caricatures de Mahomet a été décapité devant son collège par un terroriste islamiste âgé de 18 ans, après avoir subi des menaces de mort.
Réaction de Jean-Paul Brighelli, qui dénonce cet acte barbare et demande des mesures urgentes contre « la menace terroriste permanente ».
-
« France d’après » : un enseignant décapité dans la rue par un Tchétchène
Les Français vont devoir s’habituer, ont prévenu Macron et d’autres individus comme lui…
A moins qu’ils ne changent de régime et inversent l’immigration, ce que Macron a oublié de préciser.« La victime est un professeur d’histoire au collège-lycée du Bois d’Aulne. Il a récemment montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, prophète de l’Islam, lors d’un cours sur la liberté d’expression. […]
-
Isabelle Surply : « Nous sommes en colère, le meurtrier de Victorine a un casier judicaire… Il faut réformer le système pénal »
Élue régionale, mais aussi mère de famille et amie de la famille de Victorine Dartois, Isabelle Surply réagit à l’arrestation du meurtrier de la jeune fille. Elle déplore les carences de la politique judiciaire et témoigne de la grande dignité des proches de la victime.
-
Pourquoi sommes-nous féministes ?
-
Non, l’assassin de Victorine n’est pas un « père de famille ordinaire »
On le sait, le métier de journalistes est, hélas, en France, parmi les plus impopulaires. Selon un sondage récent, les Français ont ainsi jugé anxiogène et catastrophiste le traitement du coronavirus par les médias. Ils sont même 60 % à juger la couverture trop importante. Que l’on se rassure, la « grande » presse ne fait pas toujours dans la tragédie dramatique, elle sait même être souvent euphémisante et incroyablement optimiste.
La preuve par le choix des mots.
-
Sur C News, Michel Onfray VS Laurence Ferrari sur le couvre-feu, la guerre entre médecins,les policiers attaqués.
-
Stéphane Ravier : “C’est un tsunami d’insécurité qui déferle sur notre pays, un début de guerre civile (…) Les policiers ont des armes mais ne peuvent pas s’en servir”
Stéphane Ravier : "C'est un tsunami d'insécurité qui déferle dans notre pays, un début de guerre civile (...) Les policiers ont des armes mais ne peuvent pas s'en servir (...) Je préfère que ce soit une crapule qui aille au tapis plutôt qu'un policier" #Europe1
Stéphane Ravier, sénateur Rassemblement national des Bouches-du-Rhône, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de l’insécurité en France, de l’allocution d’Emmanuel Macron, de la gestion de la crise par l’exécutif et d’un éventuel couvre-feu.