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insécurité - Page 427

  • Vives tensions entre migrants et pêcheurs à Ouistreham (Calvados)

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    Le 16 septembre 2020, en soirée, de vives tensions entre des professionnels et des migrants ont éclaté au marché aux poissons de Ouistreham (Calvados), rapporte Ouest France.

    Vers 18 h 30, un différend a d’abord surgi entre Christiane Simon, gérante de l’étal du bateau Le Yaka, lorsqu’elle a demandé à un migrant, d’origine africaine, de faire moins de bruit. « Il a réagi de façon virulente et m’a parlé dans sa langue », a-t-elle déclaré aux gendarmes, qui ont dû intervenir quand la situation a dégénéré : « Des coups ont été échangés »lors de vives échauffourées.

    Une poissonnière hospitalisée et deux migrants en garde à vue

    Blessée, la poissonnière a dû être hospitalisée. D’après un témoignage, les gendarmes sont intervenus à deux reprises. « Deux ressortissants africains ont été placés en garde à vue », selon le quotidien régional, et une poissonnerie et une friterie ont subi des dégradations. Le lendemain matin, « la situation était encore tendue ».

    https://www.bvoltaire.fr/vives-tensions-entre-migrants-et-pecheurs-a-ouistreham-calvados/

  • La délinquance explose, Macron fait des phrases

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    Pendant que Macron pérore sur le « sentiment d’insécurité », les chiffres tombent + 21 % de coups et blessures, +19 % d’homicides et tentatives en janvier 2020. Ces derniers ont augmenté de 79 % entre 2009 et 2018 ! Un sentiment pour le moins fondé, donc…

    L’insécurité, c 'est le sen-tintent d'insécurité. Il faut y aller s'investir sur le terrain, faire bouger les choses », lançait Emmanuel Macron aux députés LREM qu'il recevait à l'Elysée le 11 février pour une séance de remotivation et de recadrage typiquement macronnienne. Le chef de l'État se projette en 2022 et veut occuper le terrain du RN la sécurité, l'immigration, l'islamisation (qu'il vient de nommer « séparatisme islamiste »). Mais pour cet homme chez qui le Verbe a remplacé l'action, et qui face à chaque problème dégaine un discours, le « sentiment d'insécurité » a logiquement remplacé la réalité du phénomène.

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  • Menaces de mort contre Zineb El Rhazoui – Le scandaleux silence des médias et de l’État, par Franck Deletraz

    Faudra-t-il attendre tranquillement qu’un djihadiste ou autre fou d’Allah s’en prenne physiquement à Zineb El Rhazoui pour que l’Etat se décide enfin à sévir, et que les grands médias cessent de fermer lamentablement les yeux sur le harcèlement dont cette courageuse journaliste fait l’objet ? Prise pour cible depuis des années par l’« islamophère » et ses complices, qui ne lui pardonnent pas ses déclarations récurrentes contre l’islamisation galopante de notre pays, l’ancienne collaboratrice de Charlie Hebdo a vu redoubler ces dernières semaines les appels au meurtre contre sa personne, au point de devoir lancer un appel au secours déchirant sur Twitter !

    « J’ai envie de la décapiter »

    Son « crime » ? Avoir osé évoquer le 14 septembre dernier sur LCI la polémique autour d’Imane Boune, et déclaré, à propos de cette étudiante voilée présentée de façon gratifiante par BFM TV, qu’elle était, après « enquête sur [son] environnement idéologique », « une militante islamiste, extrêmement prosélyte et radicale ». Des propos qui auront suffi à enflammer immédiatement la foule considérable des islamistes qui hantent les réseaux sociaux et valent à Zineb El Rhazoui un déferlement incessant de menaces de mort depuis des semaines. Parmi les innombrables « amabilités » citées par la courageuse journaliste, on retiendra celles-ci, particulièrement révélatrices de la barbarie que le gouvernement a laissé s’installer et prospérer en France : « Je vais la brûler cette connasse », « Poussez-la sous un train », « Qu’on lui coupe la tête à cette salope », ou encore « J’ai envie de la décapiter à coups de hache »…

    « Nous ne laisserons rien passer. Jamais »

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  • Au pays de la peine de mort réservée aux victimes innocentes

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    Rediffusion Polémia – Alors qu’un sondage récent IPSOS/Sopra donne le chiffre de 55% de Français favorables au rétablissement de la peine de mort, il nous a paru opportun d’extraire de nos archives un éditorial de Frédéric Pons paru en novembre 2007 sur le blog de Valeurs Actuelles. Rappelez-vous d’Anne-Lorraine Schmitt !

    Bouleversé par le meurtre sauvage de notre chère Anne-Lorraine, 23 ans, cet ami m’a appelé : « On devrait manifester, brûler des mosquées turques… » Je le comprends. Le meurtrier du RER D est un criminel sexuel récidiviste d’origine turque. Il était en liberté, malgré une précédente condamnation ! Faut-il brûler, manifester ?

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  • Nous aurons le déshonneur et la guerre raciale

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    Beaucoup d'observateurs ont pris conscience de la dégénérescence du tissu social et de ses risques d'implosion jusque dans la violence des armes. Mais la potentielle guerre civile à venir n'aura sans doute que peu à voir avec un quelconque « grand soir ».

    Nous aurons le déshonneur et la guerre raciale 1.jpegSi la potentialité d'une guerre civile restait de l'ordre de l'anticipation dystopique il y a dix ans lorsque je rédigeais Beyrouth-sur-Loire, elle devient désormais une option obligatoire dans toute discussion lucide sur les futurs possibles de notre pays. J'ai beau me tenir éloigné de tout l'épicerie déclinologue et survivaliste (une fascination morbide de plus), une fois débarrassé des lunettes roses du progressisme, on ne peut que constater l'état de profonde dégénérescence de notre société. Politiciens haïs et marionnettes de la finance spéculative, young leaders de la start-up nation ridiculisés par un virus grippal plus virulent que la moyenne saisonnière...  Capitaines d'industries tous vendus à la logique mondialiste et aux stock options sans frontières...

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  • Selon un sondage, 55 % des Français sont pour le rétablissement de la peine de mort

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    Rémy Mahoudeaux dans Boulevard Voltaire

    Émoi dans les chaumières cossues de la bien-pensance médiatique : les Français gavés depuis des décennies de bons sentiments sirupeux, de pathos, de tartines d’excuses sociales pour tout et n’importe quoi seraient pour la peine de mort, d’après un sondage Ipsos-Sopra/Steria pour Le Monde, la fondation Jean-Jaurès et l’Institut Montaigne. 55 % voudraient son rétablissement, soit 11 % de plus que l’an dernier. Une vague brune ! Quelle mouche a piqué ces Français ? Est-ce seulement conjoncturel, lié à une séquence de drames qu’un pouvoir inconséquent voit comme des incivilités ?

    Pas question de gloser, ici, à l’infini sur l’insécurité, son évolution, ses causes et surtout la façon dont elle serait ressentie par les Français. Le sujet n’est pas, non plus, le laxisme judiciaire ou l’absence de moyens qui interdit à la justice d’être efficace depuis plus de deux siècles.

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  • Attentat de “Charlie Hebdo” : tout ça pour ça

    Alors que le procès des attentats islamistes de janvier 2015, ouvert le 2 septembre dernier devant la cour d’assises spéciale de Paris, est entré lundi dans sa deuxième semaine, force est de constater que les journaux de 20 heures des grandes chaînes de télévision se montrent particulièrement discrets quant au déroulement de ses débats. Une discrétion qui s’explique bien sûr d’abord par leur volonté systématique de cacher à nos compatriotes le vrai visage de l’islam et la gravité de la menace islamiste en France. Mais aussi, et peut-être surtout dans le cas présent, par les propos « incorrects » qu’ont pu tenir ces derniers jours certains survivants et témoins de la tuerie de Charlie Hebdo.

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  • Jean-Paul Gourévitch, sur la situation de Lesbos : “La population locale, plutôt accueillante au départ, est maintenant remontée contre les migrants”

    Les regards sont tournés vers l’île de Lesbos en Grèce avec le spectaculaire incendie du camp de migrants. Comment Lesbos en est arrivé là ? L’île est-elle une porte d’entrée ou un verrou pour les flux migratoires ?

    Pour prendre la mesure de ce drame, il faut le restituer dans son contexte historique et géographique. Cette île grecque qui compte un peu plus de 100.000 habitants se trouve à moins de 10 kilomètres des côtes turques et a toujours constitué une porte d’entrée vers l’Union européenne. Lors de la crise migratoire de 2015, 91.000 réfugiés ont réussi à y aborder et à gagner le continent via le port de Mytilène, la capitale de l’île, s’agglomérant aux quelques 1, 256 million de personnes qui ont pénétré dans l’espace Schengen. Ils auraient encore été plus nombreux si la marine turque n’en avait pas intercepté 445.000.

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  • Clandestins de Lesbos – L’Allemagne en redemande !

    Oubliée la terrible vague de viols et d’agressions sexuelles perpétrés par les hordes de migrants contre plus d’un millier de femmes à Cologne, Hambourg et autres villes allemandes lors de la nuit de la Saint-Sylvestre il y a quatre ans. Effacées des mémoires les récentes « scènes de guerre civile » de Stuttgart qui avaient pourtant choqué la classe politique et l’opinion publique allemandes. Alors que, dans ces deux cas, deux parmi tant d’autres, la police a à chaque fois établi un lien direct avec « la forte immigration » qu’a subie le pays au cours de ces dernières années, des villes et des régions allemandes en redemandent aujourd’hui et se proposent d’accueillir les clandestins du camp de Moria, détruit mercredi par les flammes.

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  • Heureux comme un squatteur en France

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    Nous vivons une époque vraiment formidable. Tantôt des ministres, les yeux grand fermés, débattent du sexe des anges par cameras interposées à propos d’une bataille sémantique liée à la hausse vertigineuse des crimes et délits qui « participe du sentiment d’insécurité » ; tantôt tout ce qui compte de bien-pensance défend, dans la même journée, tous les Charlie de la presse mais refuse à un hebdomadaire « qui pense mal » le droit de caricaturer une députée de la nation qui traite la France comme un paillasson.

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