insécurité - Page 431
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Benoist Bihan : La guerre hors limite est-elle spécifique à notre époque ? (ouvrage)
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Sibeth : « Je ne saurais pas expliquer à mes enfants s’il est normal ou pas de jeter des pierres sur les forces de l’ordre »
Nouvelle provocation du porte-parole du gouvernement, suite à l’arrestation d’une infirmière prise en flagrant délit de jeter des pierres sur les forces de l’ordre :
Elle n’aurait pas voulu dire exactement cela, mais pour une “porte-parole”, cela fait désordre :
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Pour Zemmour, «les banlieues françaises, c’est l’alliance de la Kalachnikov et du coran».
Source : https://fr.sputniknews.com/
Face aux violences qui ont secoué ces derniers jours Dijon, Éric Zemmour a dressé son constat de la situation dans les banlieues françaises. Il les compare à des «enclaves étrangères (...) régies par les caïds de la drogue» et avec une «alliance de la Kalachnikov et du coran.»
Depuis vendredi dernier, Dijon voit se dérouler une succession de scènes de violences opposant des habitants d'origine maghrébine du quartier des Grésilles à des personnes issues de l'immigration tchétchène. Sur le plateau de Face à l’info, Éric Zemmour a abordé ce sujet le 17 juin.
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Paris, Dijon, Nice : y a-t-il un pilote dans l’avion ?
Les autorités sont incapables de maintenir l’ordre, de faire respecter la loi et, même, de défendre l’honneur de forces de l’ordre insultées par une racaille encouragée à déferler, vu la passivité du pouvoir. Mieux : elles encouragent à la désobéissance, comme l’a fait Castaner en donnant son blanc-seing moral aux manifestations interdites…
Jugez plutôt :
Depuis trois semaines, des manifestations sauvages se déroulent régulièrement, malgré les règles sanitaires et les interdictions des autorités : manif de sans-papiers, puis manifs antiracistes. Toutes se sont accompagnées de troubles, de heurts, de violences. Mieux, même : samedi dernier, ce sont des commerçants et restaurateurs de Paris qui se sont vus obligés de fermer pour permettre une manifestation non autorisée de se dérouler. Ubuesque…
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A Dijon, la vérité des faits
Par Guillaume Roquette *
Et le réel s’est vengé. Durant deux semaines de divagation, la France s’est prise pour l’Amérique, la police a été indignement culpabilisée (y compris par son ministre) et le pays tout entier fut accusé de racisme, sommé de mettre un genou à terre en signe de contrition. Jusqu’à ce que des émeutes, bien réelles celles-là, nous ramènent tout d’un coup dans le vrai monde.
Les batailles rangées entre Tchétchènes et Maghrébins qui ont bouleversé Dijon cette semaine n’ont rien d’iné- dit. Elles viennent nous rappeler que la violence, en France, n’est pas le fait de la police mais des voyous. Voilà des années que la capitale de la Bourgogne, comme des dizaines de métropoles françaises, est le théâtre d’affrontements entre bandes sur fond de trafic de drogue. Des années que les armes y circulent presque au grand jour, que les trafiquants ont conquis le territoire.
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ÉMEUTES À DIJON ! VERS LA GUERRE CIVILE ?
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Aujourd'hui Dijon, demain toute la France : les violences ethniques ? le fruit pourri d'une politique pourrie menée par un Système pourri...
Depuis 1975 et les scélérats décrets Chirac, validés par le Président Giscard d'Estaing, la hideuse alliance du Fric et de la Révolution a fait entrer en France des millions et des millions d'étrangers : le Fric, pour payer moins cher des quasi esclaves, la Révolution pour dissoudre la Nation historique France.
Politique folle et suicidaire, volontairement et méthodiquement appliquée par le Système, qui a ainsi "libanisé", ethnicisé le pays, chaque entité s'attribuant une part du territoire national.
N'ayant pas nos "pudeurs de gazelle" (comme dirait Mélenchon), ces nouvelles ethnies, qui se fichent de la France comme d'une guigne et ne sont là que pour leur(s) intérêt(s) matériel règlent leurs différents promptement : pas de Justice, pas de Lois, pas de procès ni d'avocats, la kalach, la batte de base ball, la mort subite (pas la bière, non, ce serait trop beau !).
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Pendant des décennies, les autorités de Berlin ont fourni légalement des enfants SDF à des pédomanes
« Pendant des décennies, les autorités de Berlin-Ouest ont placé régulièrement des enfants sans abri chez des pédophiles. Il ne s’agit pas d’un dysfonctionnement, mais d’une politique intentionnelle et consciente dans le cadre du soi-disant “projet Kentler”. On estimait que les pédophiles feraient des parents d’accueil “particulièrement aimants”.
À partir des années 1970, le professeur de psychologie Helmut Kentler a mené son “expérience scientifique” en utilisant comme cobayes des enfants sans abri de Berlin-Ouest, les fameux “enfant de la gare Berlin-Zoo”.
Les enfants ont été intentionnellement placés chez des hommes pédophiles, ces derniers étant censés faire des parents d’accueil particulièrement aimants, selon le professeur Kentler.
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I-Média n°303 – Arabes contre Tchétchènes : le califat de Dijon
Sommaire
03:05 L’image de la semaine – Hommage à Jean Raspail
Jean Raspail est mort samedi 13 juin. Il était aventurier et écrivain mais sera entré dans la postérité en tant que prophète grâce au Camp des saints. Nous reviendrons sur ce décès et sur le traitement médiatique qui en a suivi.
06:42 Arabes contre Tchétchènes : la bataille du califat bourguignon
L’année 2020 n’en finit pas de nous réserver des surprises incroyables… Cette semaine, c’est une bataille à distance entre membres de la communauté tchétchène et maghrébine qui a eu lieu à Dijon pendant plusieurs soirées… Et le silence médiatique a longtemps été… assourdissant !
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Les fortes pressions subies par le procureur national financier dans l’affaire Fillon
Éliane Houlette, procureur national financier (PNF) de 2014 à 2019, a été auditionnée mercredi 10 juin par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale consacrée aux « obstacles à l’indépendance du pouvoir judiciaire ».
Après avoir critiqué le manque de volonté de l’État à assurer l’indépendance des magistrats, Éliane Houlette a évoqué l’affaire Fillon. C’est la « pression du parquet général » qui l’a marquée. Les demandes incessantes pour qu’elle fasse remonter les informations le plus vite possible sur les derniers actes d’investigation, des demandes qui lui étaient parfois adressées pour « les actes de la veille », et qu’elle devait synthétiser « avant 11 heures le lendemain ».