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insécurité - Page 433

  • Démocratie et scandales financiers ou de l'affaire Strauss-Kahn aux faux lingots d'or de Fort Knox 3/3

    Les obsédés de l’Amérique « puritaine"

    Le pouvoir et la libido sont de bon aloi. Et il ne s'agit pas là d'une invention française, mais d'un phénomène bien universel. Quand Strauss-Kahn entrait à Rikers Island début mai, l'ex-gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger reconnaissait avoir eu un enfant avec son employée de maison. Aux États-Unis, la nouvelle eut un écho aussi retentissant que l'affaire Strauss-Kahn. Battant sa coulpe, Schwarzenegger a expliqué par ces mots les raisons de lire de son ex-femme « Après la fin de mon mandat de gouverneur, j'ai parlé à ma femme de cet événement, qui remonte à plus d'une décennie. [...] Je comprends et mérite les sentiments de colère et de déception de mes amis et de ma famille. Il n'y a pas d'excuses et j'assume toute la responsabilité de la peine que j'ai causée. [...] J'ai présenté mes excuses à Maria, mes enfants et ma famille. Je suis vraiment désolé ». Le couple qui était marié depuis vingt-cinq ans et qui eut quatre enfants, a annoncé sa séparation, indiquant vouloir « réfléchir au devenir » de leur relation. Pour se remettre de ses émotions, Schwarzenegger accompagna le régisseur James Cameron sur des fleuves du Brésil et alla skier à Val d’lsère.

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  • Réponse à Omar SY : violences policières, racisme et tout le tintouin

  • Démocratie et scandales financiers ou de l'affaire Strauss-Kahn aux faux lingots d'or de Fort Knox 2/3

    Le 5 février 2007, au cours de l'émission de Thierry Ardisson 93, faubourg Saint-Honoré, Tristane Banon exposa comment Strauss-Kahn aurait tenté de la violer. Un son strident rendait inaudible le nom du violeur. En 2002, elle rendait visite à Strauss-Kahn dans le cadre d'un entretien. Il était alors ministre des Finances et un ami de la famille. Il lui prit soudain la main et le bras. Tout dégénéra dans un combat violent où la victime dut se défendre au sol, contre une personne transformée en « chimpanzé en chaleur ». Étant donné que l'auteur de ces viols demeurait inconnu, les accusations monstrueuses passèrent inaperçues et tombèrent dans l'oubli. On prétexte que T Banon n'a jamais porté plainte peu après les faits. La jeune femme voulait faire la lumière sur cette affaire. En 2002, elle avait constitué un dossier pour saisir la justice. Mais sa mère, vice-présidente socialiste du Conseil général de l'Eure, lui déconseilla d'entamer toute procédure, ayant peur pour sa fille. Peut-être cette mère se trouvait-elle soumise au chantage du politicien. Lors d'une rencontre, elle demanda raison à Strauss-Kahn. Celui-ci répondit qu’il ne savait pas ce qui « lui était arrivé ». Les avocats généraux et les journalistes pourtant pétris de morale et animés d'infaillibles sentiments démocratiques ne dirent rien. Bien au contraire, informées depuis longtemps des problèmes de Strauss-Kahn, les rédactions parisiennes lui avaient taillé une réputation honteuse de « grand séducteur ».

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  • François Rebsamen a une passion : l’immigration.

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    Un communiqué de Thomas Joly,
    président du Parti de la France :
    En 2012, il critiquait Nicolas Sarkozy qui voulait une loi ”visant à imposer un examen de langue française à tout candidat au regroupement familial.”
    En 2018, il voulait que la France accueille plus de réfugiés “en régularisant notamment les ni expulsables, ni régularisables.” Il se vantait d’ailleurs d’en avoir accueilli : "Il faut aujourd’hui faire clairement les choses, il faut accueillir les réfugiés. C’est un devoir et ils ont le droit d’être accueillis. Il faut les accueillir dignement, c’est ce que j’ai fait dans ma ville”, glissait le maire socialiste de Dijon.
    Hasard ou coïncidence, après avoir accueilli ces réfugiés en 2018, la situation à Dijon s’est fortement dégradée. A tel point que, en octobre 2019, François Rebsamen se plaignait dans les médias “d’actes criminels insupportables” dans la métropole dijonnaise.
    Mais, depuis 2 jours, Dijon fait la Une de tous les médias avec la guerre entre Maghrébins et Tchétchènes. Et François Rebsamen est désormais en mode panique.
    Il appelle au calme et dénonce des violences “inacceptables”. Et il s’en prend à la police et la justice qui ne font pas bien leur travail : "On manque de sanctions. La justice arrive beaucoup trop tard, elle arrive 9 mois, 1 an après. […] La police n’a pas fait convenablement son travail. Le renseignement territorial est censé informer les autorités sur ce qui peut advenir. Or, ces Tchétchènes sont passés à travers les filets d’informations."
    « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes » Bossuet
  • Conflits et violences communautaires : que s’est-il passé à Dijon ce week-end ?

    Retour sur les violences qui ont eu lieu à Dijon ce week-end, après l’impressionnante bagarre ce vendredi 12 juin. Selon nos informations des membres se revendiquant de la communauté tchétchène, sont venus de tout le pays, pour se venger de dealers résidant en Côte-d’Or.

    Les bagarres place de la République sont presque devenues une habitude le weekend. Mais les images de la nuit du vendredi 12 juin 2020 reste impressionnantes et inédites à Dijon. On y voit plusieurs dizaines de personnes réunies, armées de barres de fer et de battes de baseball. Il s’agirait d’un règlement de compte entre des membres de la communauté tchétchène venus de toute la France, et des dealers dijonnais.

    France Bleu

    https://www.tvlibertes.com/actus/conflits-et-violences-communautaires-que-sest-il-passe-a-dijon-ce-week-end

  • N’importons pas, en France, la question raciale américaine !

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    Les États-Unis ne sont pas la France. La justice ne repose ni sur la revanche ni sur le désordre. Les États-Unis connaissent, une fois de plus, des émeutes raciales. La violence urbaine n’y est pas nouvelle. La situation de la minorité noire, la seule à être venue dans le pays, non pour y vivre mieux et plus librement, mais amenée de force sous le régime de l’esclavage, y est spécifique. Depuis Martin Luther King, des progrès ont été réalisés, dont le symbole a été l’élection de Barack Obama. En politique, comme au cinéma, les Noirs ont conquis des places, mais les pesanteurs sociologiques et historiques subsistent. Depuis Malcolm X, le désir d’assimilation fondé sur l’égalité des droits a laissé place, chez certains, à une volonté de revanche qui accentue la fracture. La véhémence de « Black Lives Matter » en témoigne, qui met en exergue les « victimes de la police » noires.

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  • Action française Lyon : les vies françaises comptent !

    Les vies françaises comptent !

    Face à la racialisation américaine de la société française, les militants de l'action Française - Lyon ont rappelé qu'en France ce sont les vies françaises qui comptent !
    #StopAuxTraore #RacismeAntiBlancs #BlackLivesMatter

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/06/15/action-francaise-lyon-les-vies-francaises-comptent-6245862.html

  • Entreprise de subversion de racisme décolonial : Macron pris de panique

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    L’entreprise de déstabilisation de l’État que nous observons au travers de la récupération de l’affaire George Floyd aux États-Unis et son amalgame avec celle d’ en France est typiquement révélatrice d’une opération de subversion des esprits. Or, la réaction du chef de l’État consiste, non pas à dénoncer cette entreprise et à condamner fermement les violences contre les forces de l’ordre, mais à enjoindre le gouvernement à s’emparer des différents volets du sujet, la déontologie policière (qui existe déjà et qui punit les comportements racistes) mais aussi la politique de la ville (qui a montré ses limites et son échec) et le racisme (comme si toute la France était raciste !).

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  • Un gendarme qui a participé à l’arrestation d’Adama Traoré raconte: « il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites »

    Un des fonctionnaires qui a participé à l’interpellation d’Adama Traoré, le 19 juillet 2016, avait déjà effectué « 3 ou 4 » interpellations houleuses dans les années précédentes. L’avocat de la famille demande que « toutes les procédures » impliquant Adama Traoré et les gendarmes présents le 19 juillet soit versées au dossier.

    […] En cause, les déclarations du gendarme nommé « Romain » devant l’IGGN (le service d’enquête interne à la gendarmerie) le 29 juillet 2016 : « Je ne peux pas vous dire combien de fois j’ai procédé à son interpellation mais peut être trois ou quatre fois en 3 ans. A chaque fois, cela s’est toujours mal passé car il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites ».

    L’avocat de la famille s’interroge donc sur l’existence d’un « différend » entre des membres des forces de l’ordre et Adama Traoré. […]

    Yassine Bouzrou déduit de ces faits qu’il existait une « animosité » entre le gendarme et Adama Traoré et s’interroge sur une volonté de « vengeance » du gendarme.

    […] L’avocat du gendarme concerné, Rodolphe Bosselut dénonce un « feuilleton » entretenu par l’avocat de la famille : « Découvrir au bout de quatre ans d’instruction qu’il y aurait encore des actes à réaliser ou des témoins-clefs à interroger, déclare l’avocat à RTL, c’est la preuve d’une seule chose : la volonté de faire durer artificiellement le dossier pour l’exploiter médiatiquement ».

    RTL via FDS

    https://www.tvlibertes.com/actus/un-gendarme-qui-a-participe-a-larrestation-dadama-traore-raconte-il-y-a-toujours-eu-une-opposition-violente-de-cet-individu-il-y-a-eu-des-violences-des-rebellions-des-outrages-des-fuit

  • Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes !

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    Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut : d’abord, il y a Castaner, occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a dû le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Rantanplan !

    Ainsi, donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi si, bien sûr, elle est d’extrême gauche et importée des États-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les gilets jaunes manifestaient avec, en queue de cortège, les Black Blocs chargés, comme par hasard, de créer les « tensions » en fin de journée afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics !

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